(UN) Autoproclamé roi de la vermine, une couronne de boue à la tête, des armées de putes à ses pieds (DEUX) La destruction comme la plus belle des passions, les corps qu’ils aiment briser autant que les cœurs. Il connaît les points où ça fait mal, il sait en user et en abuser, il sait comment pousser l’âme au bord du précipice, devenir la seule issue à leurs yeux. Le sauveur aux crocs acérés. (TROIS) La violence qui court dans ses veines, sa belle amante, son doux poison qui le consume lentement, éclate un peu trop souvent. Les bleus qui parsèment les peaux de ceux qui le côtoient, les quelques éclats de sang sur ses murs. (QUATRE) Possessif. Le désir de s’accaparer des choses, mais surtout des autres. Son royaume de pacotille, ses vinyles, son frère, son chien, ses putes, ses clients. Il choisit tout avec minutie, despote incontesté. (CINQ) Une putain de bête qui traine dans son ombre, le fidèle clébard qui obéit comme il se doit, les crocs qu’ils montrent ou qu’il plante à son bon vouloir, les aboiements et le silence quand il le veut. Et il l’aime son gros chien à la gueule de loup, son Tito, jamais de laisse à son cou, la viande rouge qu’il partage avec son maitre. Il est certainement plus malin que certains idiots de l’immeuble, son compagnon d’infortune. (SIX) La face cachée du roi, le double gentil, l’ange à son démon, le frère qu’il n’aime pas montrer. Les deux jamais ensembles en public, pour protéger l’illusion, le mythe de son côté doux et gentil. Du bois qu’on ajoute au feu des rumeurs qui courent sur le personnage et sa santé mentale. (SEPT) Le nom qui pue l’Italie, mais les pieds qui n’ont jamais foulés la terre promise de l’autre côté de l’Océan. Les parents ont bien tenté de lui apprendre la langue, s’il arrive à peu près à se débrouiller, il y a surtout les insultes sont restées, l’accent qu’il arrive toujours à imiter, mais les belles formules sont ressorties par l’autre oreille. (HUIT) L’attrait du bad boy, l’aura du danger, l’irrémédiable séduction du salaud parfait. Il a les belles paroles pour les charmer, les mots sales à murmurer à l’oreille pour les faire gémir, les paroles sèches pour les dégager au matin, après en avoir abusé. Et pourtant, ça ne les empêche pas de les faire retomber dans ses filets. L’espoir infime qu’on arrivera à le faire changer pour nous. (NEUF) Il a ses préférés parmi ses petits protégés, ses poules aux jolis œufs d’or, le frère et sa sœur. Les résistances d’Oreste qu’il a fait sauter une à une, le non qu’il a forcé en oui, le cabot féroce devenu chiot apeuré, le corps sculpté par ses propres coups et baisers.  Ses belles créations dont il n’hésite pas à profiter lui-même quand l’envie lui prend. (DIX) Une bague qu’il garde dans le tiroir, dernières cendres de son mariage parti en fumée. Aucune surprise sur les visages pourtant, il n’était pas fait pour durer, dans leur ilôt d’infidélité et de violence. Pourtant, Franco a du mal à supporter l’idée qu’elle ait pu lui échapper.  

Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? Passer d’un trou à rat à un autre. Coup de tête infernal. Le besoin de surveiller, contrôler, ses poules aux œufs d’or, les avoir juste à côté. Toujours disposé pour le moindre de ses caprices. Et tous les nouveaux clients potentiels, toutes les âmes brisées à ramener à sa cause. Les billets verts qui remplissent les poches. Alors, il balaie les protestations du frère, il ne paiera plus l’ancien loyer, et comme il ne peut s’en sortir tout seul avec son boulot de gentillet qu’on ne paie vraiment pas assez. L’argumentation musclée, Franco obtient toujours ce qu’il veut, les cartons à faire et déballer.

Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? Vermine sans avenir. Scélérats de pacotille. Vauriens bons à rien. Francesco n’a que du mépris pour son prochain. Les voisins il les emmerde avec son métal qui gueule à quatre heures du matin. Tous ceux qu’il baise sans retenue. Le clébard qu’il a entrainé à aboyer près des murs pour mieux les faire chier. Y’a bien cette population ahurissante de minets et de jolies poupées qu’il ne rêve que de briser. Tous ces gredins à qui extorquer de l’argent contre quelques instants de plaisir avec ses putes. Ouais peut-être qu’au fond, il aime cet endroit plus que son taudis d’avant. Bien que le charme de la nouveauté risque de bien vite s’estomper.

Quelle est votre réputation au sein du quartier ? Il est le démon à la gueule d’ange, le monstre à la forme humaine. Il a cette aura sombre autour du corps, reflet de la grande noirceur de son cœur. Et pourtant, un certain charme qu’on peine à ignorer, le halo séduisant du connard qu’on pense pouvoir changer, mais au final on finit juste baisé. Francesco il a ce sourire arrogant, le regard méprisant, il vous écrase de sa splendeur imposante. Il est le voisin horrible qu’on rêve que de voir partir, ou au moins tomber victime d’un accident. Horriblement bruyant, toujours à gueuler, à baiser, et quand ce n’est pas sa musique de merde qu’il met trop fort qui flingue le silence, c’est son chien qu’il laisse aboyer. On aimerait bien lui en coller une, mais on ne le fait pas, on est pas fou. On le sait dangereux, on le sait connectés, à tous les autres gens à ne pas fréquenter et même les policiers. Alors, on ravale sa fierté on la ferme et on regarde par terre quand il passe à côté.

EN COURS
ORESTE ▲ comment j'ai peur, comment j'ai froid
STANISLAS ▲ personal jesus
GABRIEL ▲ je m'abîme d'être moi-même
FEMKE ▲ arracher ton image
FELICE ▲ ouvre franco, ouvre
SILVER ▲ vagabonds des soleils noirs
FAUSTO ▲ séparer la bête de l'individu
EFFY & STANISLAS ▲ i am your sinner, i am your whore
ACHAB ▲ (UA) pussy for bad boy no pussy for sad boy

PRÉVUS
▲ ACHAB
▲ ARIANE
▲ AVERY
▲ CELSO
▲ DASHA
▲ MADO
▲ MARIUS
▲ SIN
▲ VERONA

TERMINÉS
ANGE' ▲ je me sens beau quand tu m'abîmes
PSEUDO ▲ titre du rp

ABANDONNÉS
SIN ▲mon amour, je serai ton malheur pour l'éternité
FAUSTO ▲ un peu de moi coule sur ta joue
OSCAR ▲ highway to hell