| Sujet: Do you know when a panic room is truly useless? (Jacks) Sam 7 Mai - 15:46 | | (Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) Je n’ai pas connu autre chose. Paraît même que j’y étais conçu. Alors que j’aurais pu partir, à mes dix huit ans, j’ai juste descendu d’un étage. Juste en-dessous de mes parents et frères et soeurs à qui je vais rendre une visite quand j’y pense c’est-à-dire pas souvent. Mais, le Parking, c’est un peu ma vie, j’y ai grandi, j’y ai fait mes premières armes, comme on dit. Je ne me vois pas habiter à un autre endroit, d’ailleurs je ferais probablement tâche dans un autre quartier. Pas assez bien pour aller ailleurs.
(Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?) C’est ma maison, je ne vois pas ce que je peut penser d’autres. Bien sûr ce n’est pas franchement l’endroit idéal pour avoir une carrière sans anicroches et remarquable, mais ce n’est pas non plus si invivable qu’on peut le dire à l’extérieur. Bon, j’admets je ne suis pas très objectif non plus. concernant mes voisins, j’en connais la plupart, surtout ceux qui ont grandi avec moi, et qui sont mes camarades d’infortune. Et je peux me vanter de connaître presque toutes les filles, si je vous assure. Je dois être la réincarnation de Dom Juan.
(Quelle est votre réputation au sein du quartier ?) Ma réputation ? Oh, ça ça dépend à qui vous parlerez aussi. Les avis divergent parfois. Pour les filles, je suis soit le Dom Juan qu’on veut absolument dans son lit (et sans aucune difficulté, je vous le dis ) Ou alors un salaud de la pire espèce, ça c’est déjà moins gentil. Pour mes amis, je suis le gars avec qui il fait bon d’être ami pour bien se faire voir, et pour entrer dans toutes les partys possibles. Mais qu’il vaut mieux avoir de son côté. Pour mes ennemis, et bien je dirais quelqu’un qui n’a pas peur de se prendre des coups ni d’en donner. Et qui aime ça, en plus. Pour les mamys, et papys, je suis une véritable terreur mal élevée.
(NOM) écrire Ingram (PRÉNOM) Jackson (ÂGE) 26 piges (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) 31 janvier 1990 (OCCUPATION OU ACTIVITÉ) Vendeur dans une épicerie, où il se sert parfois gratos à la barbe de son patron (NATIONALITÉ) américain pur et dur (ORIGINES) 100% américaines (STATUT CIVIL) Célibataire, et fier de l’être. (ORIENTATION SEXUELLE) Hétérosexuel selon lui, pendant 26 ans de sa vie, mais étrangement son regard est attiré par un jeune homme, plutôt pas mal. Ca le dérange, beaucoup. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING) Le jour de sa conception, pour ne jamais le quitter (REPRISE DU PERSONNAGE) C’est à la base un scéna dont il peut être remis en jeu (GROUPE) ceux qui vivent (TYPE DE PERSO) scénario d’Amir Sahraoui (CRÉDITS) Munroe Helps
PSEUDO : Maev20 PRÉNOM : Maëva ÂGE : 26 ans PAYS : France FRÉQUENCE DE CONNEXION : tous les jours ou presque COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : J’y étais avant et on m’en a reparlé depuis, et voilà COMMENTAIRE OU SUGGESTION : Vous êtes beaux. AVATAR : Nico Tortorella JACKSON INGRAM IL FAUT BEAUCOUP PLUS DE FORCES POUR RESSENTIR LES EMOTIONS QUE POUR LES REFOULER; Je suis né dans une famille nombreuses, j’ai deux grands frères et deux petites soeurs. Mes parents faisaient ça pour toucher le maximum d’argent. Oh ils nous aimaient, enfin je l’espère, mais ils ne se sont jamais caché de la véritable raison de notre famille nombreuse. • On a jamais été très lié avec mes frères et soeurs, c’est un peu chacun pour sa gueule dans cette famille. Le pire quand tu es au milieu dans une fratrie, c’est que tu te sens totalement invisible, tu ne peux pas te vanter de réussir à tes exams, parce que tu n’y es pas encore, ou tu es trop grand pour être la source principale d’attention. Une horreur. J’aime mes frères et soeurs, mais bon c’est pas ma priorité dans la vie. Enfin comme tout ce qui concerne autre chose que moi. • J’ai un égo surdimensionnés, et je l’assume totalement. À ne pas avoir de l’attention, on le cherche ailleurs, alors le m’as-tu vu, c’est un peu mon principe de base. Tout pour ma gueule, rien pour les autres. Mais ça m’a aidé, une fois, d’être ainsi. • Dans ce besoin d’être l’attention de tout le monde, je ne supporte pas que l’on me refuse quelque chose. Ca peut tourner au vinaigre quand on me dit non. Pas que je prône la violence gratuite non plus. Mais j’obtiens toujours ce que je veux, c’est une nécessité. • Je suis un peu fainéant sur les bords, pas que je ne fais rien. Mais j’aurais pu aller bien plus loin dans mes études. Mais je les ai arrêtés dès que j’ai pu, pour devenir vendeur. Au moins, pas de déception. Pourtant tout le monde est persuadé que j’aurais pu aller loin dans mes études. Mais à quoi ça m’aurait servi ? Oui, j’aime paraître un peu con sur les bords, plus que je ne le suis réellement. •Dès 18 ans, j’ai pris mon appart’, c’est aussi une des raisons qui m’ont poussé à prendre rapidement un boulot et à quitter mes études, mais je ne supportais plus la vie dans l’appartement familial, et plus vite je quittais mes parents, plus rapidement l’air sera respirable. Mais de temps en temps je vais voir comment se porte mes deux petites soeurs. Les ainés ayant déjà quitter le bastion familial pour autre chose que le Bronx. • Très rapidement, vers dix ans, je crois, je sais que je ne quitterais pas cet endroit. Que ça serait là que je resterais, et je l’ai totalement accepté. • Vers mes seize ans, alors que l’ambiance dans la famille était exécrable, j’ai sombré dans la drogue. J’ai d’abord essayer par curiosité avant d’en être totalement dépendant, et surtout ça faisait bien, dur à cuire, pour ceux avec qui je trainais à ce moment là. Mais, une années d’excès en tout genre ont eu raison de moi, et mon apparence était pitoyable. Je n’osais même plus me regarder dans le miroir. Alors j’ai décidé d’arrêter, comme ça. Je n’ai pas besoin d’un évènement tragique pour m’arrêter. Je peux être d’une volonté de fer quand je le décide, et ça m’a réussi sur ce coup. Je m’en suis sorti, et je me vante de n’y avoir pas retouché depuis. • Je suis un passionné de tatouages, j’en ai un peu partout sur mon corps, et j’en ai encore de prévu. C’est ma drogue. Et ça complète mon apparence. J’ai un besoin irrépressible de plaire aux femmes, d’attirer leurs regards. • Je suis un adorateur de viande. Je n’en mange pas souvent, mais c’est un véritable orgasme culinaire quand ça arrive. Principalement de la viande rouge. • Si il y a quelque chose qui m’insupporte, qui me met totalement hors de moi, c’est quand on se fout de ma gueule. Et même pour des broutilles. C’est la principale raison pour laquelle mon poing peut se retrouver en contact avec le visage de mon interlocuteur. Je ne suis pas un bagarreur compulsif même si ça ne me fait pas peur de me battre, surtout dans ce quartier. • Même si je ne pense pas du mal de ce quartier, j’ai toujours une arme blanche planquée. Sait-on jamais. • Je peut passer des journées et des nuits entières à regarder des films. De l’action, du bon thriller, ou même des navets. Tout et n’importe quoi. Même si publiquement je n’avouerais jamais regarder des films à l’eau de rose. Je suis un mec, et un mec ne regarde pas cela. J’ai acheté d’ailleurs exprès un écran plat dernier cri, où je peux regarder tout ce que je télécharge illégalement. • Mon dernier fantasme : avoir une moto, une vraie de vraie, qui fait un boucan d’enfer. Je commence à avoir une jiolie somme à côté pour me l’acheter mais j’ai encore quelques mois d’économies. Parce qu’avouez, une moto ça fait quand même super bien quand on sort avec ? • Quand je sors dans la rue, j’aime faire peur au gens. J’arrive derrière eux le plus silencieusement avant de hurler. J’explose de rire à chaque fois, la réaction des gens est tellement hilarante à chaque fois. Je faisais exprès avec mes petites soeurs. Mais c’est tellement jubilatoire. • Je tiens un petits carnet où j’écris toutes mes pensées du jour, du moment. Ca peut être un petit évènement qui m’a marqué dans la journée, ou tout autre chose. Mais il ne me quitte jamais. • Si pour moi le plus important c’est l’apparence, c’est pour cacher ma véritable nature : celle d’un ado blessé qui n’a jamais eu la moindre attention de ses parents, en manque d’affection depuis son enfance et qui est invisible. Celle d’un mec qui ne demande que d’être vu pour ce qu’il est et pas seulement pour ce qu’il fait voir. Mais jamais je ne montrerais cette faiblesse. • Dernièrement je me suis surpris à m’être arrêté en pleine rue, comme ça, pour fixer une silhouette inconnue. Une silhouette gracieuse, fragile, sauvage. Une silhouette qui m’a retourné le cerveau. Le soir, j’ai eu le besoin de la revoir encore et encore. Alors, chaque jour je partais en quête, sous des excuses bidons de traîner dans les rues, de cette silhouette. Graal de ma journée. Je veux tout savoir de cette silhouette, alors je me renseigne à droite et à gauche, j’apprends, je me mets en colère lorsque je sais que d’autres peuvent le toucher. Je peux me vanter de le connaître par coeur sans même lui avoir parler. Mais je me fais prisonnier de mes propres envies, fermant à double tour ma liberté. Cette silhouette devient une obsession dévorante, que je dois absolument nourrir sous peine de mourir. • Un jour, j’ai obtenu son numéro, coup de poker. Tout aurait pu s’accélérer si je ne m’étais pas retrouvé si démuni. Moi qui sais tout, moi qui n’a peur de rien, je me retrouve tel un cocker apeuré à ne pas savoir quoi écrire. Et s’il me rejetait ? Mon carnet est noirci de mes pensées tournée vers cette silhouette, comme si plus rien d’autre ne comptait désormais. Une obsession que je dois assouvir coûte que coûte. |
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