| Sujet: Elzéa - La fleur s'est fanée mais son parfum demeure. Lun 3 Aoû - 23:06 | | Elzéa Daniel Wellington La fleur s'est fanée mais son parfum demeure. Nom Wellington, Prénom Elzéa, Date et lieu de naissance 18 Novembre 1989 à Londres Âge 25 ans, Nationalité Anglaise, Origines Anglo-irlandaises, Statut matrimonial Célibataire, Orientation sexuelle Hétérosexuel Job ou Activité Journaliste et écrivain à ses heures perdues, Date d'arrivée au Parking Début Juillet 2015, Groupe Nous sommes de ceux qui rêvent Type de perso Inventé Crédits Applestorm (Bazzart), Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? Non. Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? J'ai déménagé au Parking début Juillet, grâce à l'argent qui a été déposé sur mon compte au fur et à mesure des années. Je suis arrivé seul, dans l'espoir de trouver de l'inspiration pour mon projet littéraire, et pour découvrir un autre monde. Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? C'est un endroit très particulier. A un moment de la journée l'immeuble peut être très silencieux et calme, et soudain une clameur s'élève et l'immeuble prend vie. Et ça peut être à n'importe quel moment de la journée. Ça me change de mon ancien mode de vie. Et chaque personne ici a une histoire propre et son propre caractère, ce qui rend la vie très spéciale ici. C'est l'endroit parfait pour écrire un bouquin. Quelle est votre réputation au sein du quartier ? C'est un peu difficile à dire puisque je viens à peine d'arriver. Mais je pense que jusqu'ici je dois passer pour un mec discret. Mes voisins doivent néanmoins se demander ce qui se passe dans mon appartement la nuit puisqu'il m'arrive de faire tomber des choses par terre la nuit. Heureusement, je vérifie chaque soir que mes fenêtres et mes portes sont fermées à clé et que j'ai bien coupé le gaz, pour éviter un éventuel accident lors de mes crises. Je n'imagine pas quelle serait ma réputation si mes voisins étaient au courant de mes crises de somnambulisme. Je crois qu'ils me prendraient sûrement pour un mec bizarre. Mais en même temps, s'ils ne savaient pas et que je m'échappait de mon appartement la nuit, je passerais pour un mec louche, je suppose. | feat Adrien Sahores Elzéa aime tout ce qui est chaud, tout ce qui lui rappelle une once de douceur et de confort. Il est fan de thé, de café, de chocolat, des feux de cheminée, des couvertures, de Thanksgiving, de Noël, des couleurs chaudes, de tout ce qui est familial, des jours froids et pluvieux, de l'hiver tout simplement. • C'est un novice de l'amour. C'est loin d'être un Casanova, même si son côté anglais l'a bien servi en Europe pour draguer. Il a très peu d'expérience en relations sentimentales, ayant eu peu de copines. • C'est un jeune homme très honnête, parfois trop (ça lui a parfois valu ses relations amoureuses justement), qui n'aime pas enjoliver les choses, même pas dans ses écrits, ce qui rend ses critiques acérées. • C'est un grand perfectionniste. Il aime que les choses soient au meilleur d'elles-même et il fait souvent très attention aux détails. • Bien qu'ayant des fois du mal à dormir, lorsqu'il dort à poings fermés il est difficile de le réveiller. Il lui faut au moins vingt minutes supplémentaires, ce qui le rend souvent en retard pour ses rendez-vous personnels et un peu ronchon le matin. En revanche, il met un point d'honneur à être à l'heure pour le travail. • Quand il était petit il lisait déjà beaucoup et aimait se prendre pour quelqu'un d'autre et refaire le monde. Son imagination lui est très utile pour ses écrits. • Depuis son départ à l'étranger, et ce dès ses études supérieures, Elzéa a doucement repris contact avec sa famille, mais il garde une certaine rancoeur contre sa mère. Il l'aime, c'est certain, mais il n'arrive pas à oublier ce qu'elle lui a fait vivre. Néanmoins, il discute de temps en temps avec ses frères via internet. • C'est un grand fan d'athlétisme et surtout de course, et il adore aller courir pour se changer les idées, notamment lorsqu'il pleut ou lorsqu'il y a beaucoup de vent.• C'est un grand mangeur. Il a beau être tout fin, il mange comme un vrai ogre, et parfois ça peut surprendre. Il adore tout ce qui est sucré et aime cuisiner et se lancer de nouveaux challenges en cuisine. • Ce qui est différent, dans un bon sens, lui plaît, il aime s'intéresser aux choses qui n'intéressent que peu de personnes . L'Asie et sa culture par exemple. Ainsi aime voyager pour découvrir des choses inconnues du grand public et découvrir de nouvelles cultures, cuisines et traditions. Il récolte souvent de petits souvenirs de chaque voyage. C'est une personne qui s'adapte vite à son environnement quand ce dernier lui plaît. • | Elzéa est né à Londres, plongée sous une neige épaisse, quelques jours avant Thanksgiving, une fête célébrée en famille chez les Wellingtons, bien que ceux-ci soient Anglais . Le visage de sa mère s’est illuminé à la vue de son dernier petit garçon. Néanmoins l’inquiétude régnait, aussi diffuse dans la prunelle de ses yeux que s’étend l’océan sur le globe. Bientôt ce fut une pluie de larmes qui s’abattirent sur la douce peau du nourrisson. Sa famille le trouvait étrangement sage et plus d’une fois une ombre d’inquiétude au sujet de sa santé s’étendait au sein du cercle familial. Mais Elzéa, bien que de temps en temps sujet aux maladies infectieuses, a su développer un système immunitaire sain. C’était un enfant en bonne santé. Et il l’a toujours été. Très vite les inquiétudes de la famille au sujet du petit dernier s’effacèrent. On oublia vite les premières semaines en couveuse, et bientôt Elzéa rentra à l’école. Tantôt enfant joueur, tantôt enfant réservé et sérieux, Elzéa était du type à s’adapter vite à son environnement quand il se sentait à son aise.
Il est né dans une famille assez aisée, et c’était le petit dernier de la famille. Son père était reporter à l’étranger et n’était que très peu là. « Je ne suis pas là, mais je le fais pour vous » était son discours. Sa mère, quant à elle, était hôtesse de l’air. Elle avait pris du temps pour elle et pour sa famille pour procurer un soutien à ses jeunes enfants. Mais dès que l’aîné eut l’âge de s’occuper de lui-même et de s’occuper de ses frères, elle repartit au travail, l’esprit apaisé. Elzéa a été précédé par deux grands-frères avec qui il a toujours eu une certaine complicité. Ils trouvaient toujours un moment dans la journée pour se retrouver et discuter de leur journée respective. Ces deux jeunes garçons ont toujours été d’un grand réconfort pour Elzéa, et souvent ils étaient de bon conseil. Mais souvent, c’était leur gouvernante qui s’occupait d’eux. Elle n’était pas trop sévère ni trop douce. Elle avait ce brin de fermeté et de tendresse qui la rendaient formidable. Elle palliait à l’absence de leurs parents. Ces derniers n’étaient souvent là que lors des vacances, et leur amour débordait tout particulièrement durant la période de Noël.
La vie suivait tranquillement son cours. Cependant, une nuit, alors que tout le monde s’était assoupi dans son lit, Elzéa se leva et marcha jusqu’à la chambre de son deuxième grand-frère. Il ouvrit la porte sans ménagement et se dirigea vers le bureau de son frère avant d’ouvrir les tiroirs et de fouiner dedans. Son frère, qui ne dormait pas à poings fermés, l’observa avant de lui demander ce qu’il cherchait dans sa chambre à cette heure-ci, mais aucune réponse ne vint. Elzéa resta muet, reparti les mains vides, et retourna se coucher. Lorsque son frère en parla à la table du petit-déjeuner le lendemain matin Elzéa se défendit et nia, ne croyant rien de tout cela. Et cette scène recommença. Cet étrange spectacle varia d’une pièce à une autre, et ce de manière de plus en plus régulière. Bientôt la gouvernante fut mise au courante et pu témoigner de ces étranges évènements. Les parents furent mis au courant, et leur mère fut rapidement de retour. On emmena Elzéa au médecin, qui ne sut quoi leur répondre. Bientôt Elzéa commença à jeter des objets la nuit, à sortir dans la rue, et sa mère ne trouva d’autre solution que de l’enfermer dans sa chambre. Le jeune homme, auparavant si joyeux, commença à se muer en un enfant triste et silencieux. Il se sentait terriblement incompris et surtout seul. Ses nuits étaient troublées, et bientôt il refusa de s’endormir. Il luttait contre ses envies de somnoler et restait éveillé pour prouver à sa famille que tout cela pouvait s’arranger. Mais dès qu’il baissait sa garde, ses anciens démons revenaient le hanter. Qu’il dorme ou non, son environnement prenait la forme d’un cauchemar. Les enfants le dévisageaient à l’école et s’éloignaient de ce gamin bizarre et frêle qui ne parvenait plus à se concentrer en classe ou même qui avait peur de taper dans un ballon dans la peur de blesser quiconque.
Sa mère, ne sachant plus que faire, demanda à ce qu’on le prenne en charge à l’hôpital pour qu’il soit surveillé et aidé. L’inquiétude la rongeait, mais elle se sentait impuissante. Ses frères vinrent régulièrement le voir, ainsi que sa gouvernante, mais bientôt sa mère repartit travailler dans les airs. Il se réfugia dans la lecture et s’enfuyait dans de nouveaux mondes écrits et rêvés par d’autres. Au bout d’un an il retourna à la maison, et on lui trouva un traitement. Quoi qu’étant un traitement aux résultats plutôt aléatoires, et ses crises étant toujours monnaie courante, elles devinrent globalement moins fréquentes et plus supportables pour le reste de la famille. Ses proches aimaient ce jeune homme, de tout leur cœur, mais souvent c’était davantage un sentiment d’inquiétude que de complicité qui régnait. Elzéa ne voulait pas être une source de pitié, et dès qu’il devint majeur et pu reprendre du poil de la bête, il décida de quitter le cocon familial pour poursuivre sa vie seul.
Il vécut en Europe avec une amie proche le temps des études, changeant de pays tous les ans. Il se sentait réellement heureux pour la première depuis le début de ses crises. En dehors de son cursus, Elzéa faisait tout pour se dépenser au maximum, il faisait notamment des séances d’athlétisme et de running, dans l’espoir de devenir épuisé et de faire une nuit complète et réparatrice. Et souvent cela fonctionnait, ou du moins c’est ce qu’il croyait, mais peut-être était-ce seulement car il se sentait détendu, libre, et qu’il ne se sentait plus coupable au sujet de ses crises.
Il a suivi des études pour travailler dans le journalisme. Il ne voulait pas devenir comme son père, même s’il l’aimait beaucoup, mais souhaitait devenir rédacteur en chef dans un magazine littéraire et surtout développer sa compétence en écriture. Il aspirait à devenir un grand écrivain, mais il ne s’en sentait pas le courage ni se sentait assez mature pour parvenir à réaliser son rêve. C’est ainsi qu’il travailla pendant deux courtes années à Paris, le cœur léger, menant une vie parfaite à ses yeux. Il commença à écrire un peu, et se lança dans un projet d’écriture sérieux à ses yeux. Mais il fut vite confronté à la page blanche, et bientôt il sentit que partir était la meilleure solution. A défaut de s’installer dans une petite cabane en bois dans la forêt, il s’installa au Parking, cette dernière solution représentant pour lui un monde qu’il ne connaissait pas, un monde dans lequel il pourrait s’infiltrer et faire de nouvelles rencontres.
Coucou! Moi c'est Mo'/Billie./Morgane. C'est mon deuxième personnage ici, il est tout beau (j'espère) et tout neuf (ça c'est sûr), et il succède au personnage de Daisuke Matsumoto. D'ailleurs je m'excuse de ne pas avoir pu poser d'absence pour Dai', ce qui lui a valu sa suppression. Milles excuses pour les personnes qui voulaient un lien avec moi, ou qui avaient un lien/RP avec mon petit Dai'. Je vous embrasse
Dernière édition par Elzéa Wellington le Mer 12 Aoû - 23:23, édité 19 fois |
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