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Suileabhan McGregor
Suileabhan McGregor
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyDim 24 Déc - 0:25

Falling.

Opale &
Suileabhan


Je m'impatiente et prends mon temps en même temps. Le résultat est que les choses s'emballent, malgré tout toujours empreintes d'une certaine douceur dans tous nos gestes. J'aime la sentir vibrante de désir contre moi. Et ça ne me dérange pas la pointe de fierté que je pense pouvoir lire dans son expression, quand elle peut constater l'effet qu'elle me fait en retour. Un effet que je ne cherche pas à lui cacher. Qui empire quand elle remue son bassin sur le mien. Je laisse entendre un vague juron en réponse à la friction insistante. Elle prend un malin plaisir à m'exciter toujours plus et je ne m'en plains vraiment pas. Au contraire, je prends tout sans rechigner. J'en veux toujours plus. Elle continue son petit manège et de mon côté je recouvre son corps de mes mains qui glissent, frôlent ou s'immiscent. Je joue à la découvrir. Elle se tend à la recherche d'un peu plus de contact encore quand mes paumes épousent la forme de ses seins. Comme le reste de son corps, ils sont menus. Mais c'est loin de me déranger. J'aime bien son corps. Je gronde presque de mécontentement cette fois, quand elle me pousse pour me rallonger et demeurer tout à fait au dessus de moi.

C'est malgré tout un regard enflammé que je plante dans le sien. Les mains qui glissent pour s'installer sur ses hanches délicatement arrondies. Que mes doigts se plantent dans sa chair autant pour la punir que pour lui faire sentir à quel point elle peut me rendre dingue. Dingue d'un désir que je ne cherche pas à contenir. Mais je ne me plains évidemment pas quand elle glisse sur mon corps. Qu'elle me découvre à son tour du bout des doigts et du bout des lèvres. Chacune de ses caresses est chargée en érotisme pur. Quelques frissons bien incontrôlables me parcourent la peau qui se recouvre aussitôt de chair de poule. Je pince les lèvres et me crispe de tout mon long quand sa bouche atterrit juste au dessus du pantalon que je porte toujours. Je l'aide dans son affaire quand elle entreprend de me le retirer à son tour. J'ai le regard rivé sur son visage. Presque fasciné par ce qu'elle dégage en cet instant. Ce désir brut qui se mêle à cette assurance à toutes épreuves qui ne lui va que trop bien. Je n'aime pas l'idée d'être à ce point sous son emprise. Mais je ne contrôle pas grand chose, je dois bien le reconnaître.

Je me tends toujours plus d'anticipation. Presque anxieux, comme si je craignais l'intensité de ce que je pourrais ressentir si elle poursuivait et allait plus loin. Sa question ne m'étonne pas. Et je ne vais pas m'émouvoir pour la "dureté" de ses mots. Je lui suis reconnaissant, même, d'aborder la chose alors que j'étais moi même trop concentré sur elle et l'envie que j'ai de sa petite personne, pour y penser. J'le suis. Je lui confirme sans hésiter. Même si je regrette de n'avoir pas de préservatif à portée de main pour être pleinement rassuré. En soit, je ne doute pas qu'elle prend ce qu'il faut pour ne pas tomber enceinte. Quant à l'éventualité d'une maladie, je ne pense pas qu'il y ait grand risque avec elle. Elle fait certainement très attention tout le temps. Et puis au risque de passer pour un irresponsable, j'ai envie de lui faire confiance parce que ça m'arrange. Je n'ai aucune envie de trop réfléchir maintenant en mettant fin à ce que nous sommes en train de partager. En sachant qu'il n'est pas impossible que ce soit la dernière fois. Pour ce que j'en sais ...
Opale McMahon
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyDim 24 Déc - 1:18

falling, falling, for the diamonds at night..
ft. @Suileabhan McGregor

Pas besoin d’en dire plus. Le simple fait que j’aborde la question sans aucun ménagement est probablement un indice pour lui que, de un, je sais ce que je fais et de deux, je suis une grande fille, sur tous les plans. Je suis clean et épargnée d’enfants, ce qui fait de moi une jeune femme déjà certainement plus éclairée que la plupart des pauvres nanas qui se retrouvent enceintes alors qu’elles pensaient qu’une capote ça ne pète jamais, où que la pilule, ça peut se prendre une fois sur deux. Pourtant, je couche avec certainement plus de monde que la moitié d’entre elles. Ce qui m’amène au point suivant: le fait que lui, me fait confiance où n’y réfléchit pas réellement. Et plutôt que de choisir la deuxième option, je préfère me dire qu’il me sait plus maligne que de coucher avec tout le monde sans jamais prendre un minimum de précaution. Par contre, est-ce qu’il a raison de me faire confiance, alors que j’ai les lèvres entre-ouvertes et prêtes à le dévorer?

D’ailleurs, il est probablement tant que je le fasse, plus pour mon propre bien que pour le sien. Parce que, mine de rien, j’ai toujours les cuisses serrées l’une à l’autre, un peu trop fort; alors que je m’installe tranquillement entre ses jambes, poussant doucement d’un dandinement de hanche pour m’y faire la place nécessaire. Dernier regard, avant la mise en bouche, pour que je puisse me concentrer sur lui, plutôt que sur cette sensation de chaud, de lourdeur qui me tiraille entre les cuisses. Du bout des lèvres dans un premier temps, car j’apprécie encore le contraste entre sa peau douce sous une main qui se promène sous son nombril, et la dureté de ce que je tiens dans l’autre. Les contradictions, c’est toujours un truc qui me fait kiffer.

Une caresse légère du bout de la langue, avant que je m’attaque un peu plus profondément à ce que j’ai entre les lèvres. Allers et retours, sans jamais dépasser une limite imaginaire, cette limite où ma main et ma bouche se rencontrent. Non, je ne suis pas une emmerdeuse qui n’a pour but que de l’attiser, je prépare juste le terrain de jeu, pour que ça soit pile poil comme il faut. Je lève les yeux, juste pour essayer d’apercevoir ses yeux, une lueur sur son visage. Juste pour voir ce que ça provoque, quand ma bouche le quitte juste pour le gratifier d’un coup de langue, de la base au sommet pour y laisser une trace humide. Surveiller toujours, la moindre de ses réactions quand ma main qui était occupée à le tenir serre un peu plus fort, alors que j’amorce une descente plus importante, quasi-complète. Et putain, je mesure l’ampleur de la situation, son ampleur à lui, surtout. Je ne le quitte toujours pas des yeux, quand, après quelques vas et viens plus courts, je réitère le mouvement délicieux qui envoie son érection maintenant phénoménale taper contre ma gorge. J’ai le pouvoir. Je le sais. Et bon dieu, j’aime beaucoup trop ça -le pouvoir, et l'avoir entre mes lèvres- pour que ça soit sain.


Dernière édition par Opale McMahon le Dim 24 Déc - 14:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyDim 24 Déc - 11:31

Falling.

Opale &
Suileabhan


Opale déteste suffisamment les gosses pour vraiment faire tout ce qui est en son pouvoir pour éviter de tomber enceinte. Je ne m'en fais donc vraiment pas de ce côté là, je ne suis pas prêt d'avoir un troisième môme et je n'en veux pas. Je suis sans doute idiot de ne pas trop m'en faire pour le reste mais au fond de moi, j'ai étonnamment confiance en elle. Et de son côté, elle ne semble pas douter de ma réponse non plus. Elle semble plutôt rassurée et désireuse de passer à l'étape au dessus. Un lourd soupir m'échappe aussitôt que ses lèvres entament une danse sensuelle sur mon sexe. Je me cale bien confortablement, un bras replié sous le bras pour ne rien manquer du spectacle qu'elle est en train de m'offrir. Parce que le visuel est toujours très important. Et presque aussi excitant que l'acte en lui même. Surtout avec une fille aussi jolie et aussi expressive que peut l'être Opale. Dans son regard je lis bien des choses toutes plus excitantes les unes que les autres.

Je frissonne plutôt que de grogner tant je serre les dents, quand elle fait lentement courir sa langue sur toute ma longueur. Elle maîtrise le sujet. J'en ai la confirmation quand elle me reprend en bouche et m'enfonce aussi loin que possible. Oh putain ... Je jure pour de bon tandis qu'elle reprend ses vas et vient plus court. Mais l'instant d'après, elle enfonce de nouveau trop loin dans sa gorge. Je retire mon bras de sous mon crâne pour loger ma main sur mon visage. Presque sonné. Ou trop excité. Avec une envie furieuse de la plaquer contre le matelas pour la baiser forcément trop durement. Elle est en train de me foutre dans un état pas possible et il ne fait aucun doute qu'elle est bien consciente de ça. Qu'elle prend un malin plaisir à faire gonfler mon excitation, comme mon sexe entre ses lèvres expertes. Putain... Je répète d'une voix que je sais rendue rauque par l'excitation.

Je veux qu'elle continue et en même temps, j'ai besoin de plus que ça. Je ne doute pas qu'elle est capable de m'achever de cette façon là très précisément. Mais je veux vraiment plus. Je lui offre quelques minutes supplémentaires de pouvoir indécent sur ma petite personne, avant de perdre patience pour de bon. En me redressant pour l'attirer avec une douce fermeté à moi. Je retrouve tout de suite ses lèvres pour un baiser fiévreux et désordonné. Mes dents échouent sur ses lèvres, ma langue taquine la sienne pour mieux s'enfuir. Et sans cesser de l'embrasser, je la flanque de nouveau dos sur le matelas. Assez fermement pour l'empêcher de reprendre le dessus cette fois. Et je glisse une main entre ses cuisses. Je n'ai pas l'intention de m'y attarder plus qu'il ne faut. Juste désireux de m'assurer qu'elle peut me recevoir. Ce n'est pas de l'égoïsme. C'est juste un besoin urgent et impérieux que je ne saurais faire taire trop longtemps. Mes doigts s'enfoncent dans les plis intimes de son corps. Caressent, provoquent et préparent tandis que je perds le souffle à l'embrasser avec toujours plus d'ardeur.
Opale McMahon
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyDim 24 Déc - 14:38

falling, falling, for the diamonds at night..
ft. @Suileabhan McGregor

Il n’y a rien de plus satisfaisant que de pouvoir lire de façon claire dans le regard de Suileabhan qu’il est soumis à ce que je suis en train de lui faire. Mais c’est encore plus plaisant de l’entendre, quand il jure et que ça vient vibrer dans mes oreilles. Par expérience, je sais que les hommes ont l’esprit qui se ramollit aussitôt que leur queue devient trop dure. Ils délaissent leur besoin de dominer pour leur plaisir, encore que, certains sont plus compliqués que d’autre à dompter. Mais là, la lutte a été beaucoup trop facile, je n’arrive pas à savoir si je m’en délecte où si je reste sur ma faim, encore que, j’ai la bouche toujours pleine. Deuxième juron. Et la seule réaction que ça provoque chez moi, c’est l’envie de recommencer encore, et encore, pour voir jusqu’où il se sent de tenir sous mes lèvres, face à ma langue qui le caresse, à mes joues qui aspirent encore et toujours. J’hésite à laisser mes dents s’inviter dans la danse, juste sur le sommet, pour le chatouiller un peu.

Il ne m’en laisse pas le temps, et j’en suis la première désolée. Et impossible de lui dire ce que j’avais en tête, parce qu’aussitôt attirée à lui, il me viole de nouveau les lèvres. Il va finir par les traumatiser au point de réouvrir la plaie que j’y ai fait plus tôt dans la soirée, par sa faute, d’ailleurs. Et rien que pour ça, j’ai envie de le mordre juste pour le marquer en espérant lui faire ressentir cette sensation entre douleur et plaisir sur les lèvres. Mais ça aussi, pas le temps, parce que je suis déjà écrasée sous lui, mon dos qui s’enfonce contre le moelleux des couvertures. C’est con, mais, l’idée d’être à sa merci est excitante; parce que je sais qu’il me fera payer d’une façon ou d’une autre ce que je lui ai fait. Tout ce que je lui ai fait. J’me doute que depuis le premier jour, je l’ai frustré, par mes réflexions, par ma désobéissance, mon application à essayer de le pousser toujours plus loin dans ses retranchements. Je me doute aussi, qu’il a eu envie plus d’une fois, de me faire passer un sale quart d’heure, juste parce que, j’l’ai touché dans son égo.

Mon égo, à moi, se fait la malle quand ses doigts vont se fourrer entre mes cuisses, et me pénètrent sans réel ménagement. Et je sais que qu’il y trouve ne peut que lui confirmer ce que mon corps pouvait déjà laisser paraître quand je faisais tout pour lui faire perdre pied. Je suis prête, je n’attends que ça. Les gémissements qu’il m’arrache à chaque fois qu’il effleure un point sensible ne sont là que pour lui signifier que je n’attends plus qu’une chose. Qu’il me prenne, et qu’on, enfin, qu’il entre dans le vif du sujet. Pas comme ça, ceci dit.

Je pose mes mains, qui vagabondaient jusque là de façon erratique contre les muscles de son dos, contre son cou, et serre un peu pour nous détacher. Je feule, parce que, je suis perdue entre la sensation d’avoir encore besoin de ses lèvres, et l’attaque de ses doigts qui provoque une vague de papillons dans mon bas ventre. Je le regarde, et c’est précisément ce que je veux éviter. Le regarder dans les yeux quand, enfin, il commencera à me pénétrer en s’y donnant probablement corps et âme. On est pas assez proches et intimes pour ça à mon goût. C’est juste du sexe, autant baiser sans y apporter plus d’ambiguïté. Et je n’ai même pas honte de lui dire, à bout de souffle, à moitié rendue folle par sa main et par mes hanches que j’ondule, sans savoir si c’est pour l’aider à me faire du bien, où pour me libérer. « Laisse-moi me retourner. » Non, je l’invite pas à une possession plus intime encore, mais, tant qu’à faire d’être baisée, autant s’y appliquer, et ne lui laisser que l’image de lui se perdant en moi d’une façon bestiale et violente si il le veut, la vision de mon dos cambré pour l’accueillir et le laisser me briser sous ses coups de reins.
Suileabhan McGregor
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyDim 24 Déc - 15:05

Falling.

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Suileabhan


Un trop plein de beaucoup trop de choses est en train de m'assaillir de toutes parts. Cette nana a le don de m'enrager autant que de m'exciter. J'en ai le coeur qui s'emballe, les reins qui s'enflamment et l'estomac qui se retourne. Je la déteste autant que j'ai envie d'elle. Et c'est un mélange qui me rend complètement dingue. Et c'est bien dans l'optique qu'il s'agit là de notre unique étreinte, que je vais au bout des choses. Que je daigne faire preuve de tendresse autant que de passion. Après qu'elle se soit elle même appliquée à me rendre dingue et à me faire perdre la raison pour de bon, de sa bouche joueuse sur mon sexe gorgée de désir. Sous mes doigts j'ai la preuve pas si surprenante, de son désir. J'imagine bien que pour avoir laissé les choses aller aussi loin, c'est que l'envie était partagée. Je suis quand même douloureusement satisfait de la trouver moite sous mes explorations de plus en plus poussées. J'arrête presque de respirer pour ne manquer aucun des gémissements mélodieux que je lui arrache. A faire aller et venir deux doigts en elle et à caresser son bouton de plaisir de mon pouce dans le même temps. Je joue à la découvrir de la façon la plus intime qui soit à présent.

Je continue de l'embrasser avec force alors même qu'elle roule des hanches à la recherche de toujours plus de sensations. Et me tends en sentant ses mains glisser dans mon dos et s'y crisper. Je ne cherche pas à savoir ce qu'elle veut de façon plus précise ni à en comprendre la raison. Il n'y en n'a peut-être aucune. Et dans le fond, je m'en fous. Je me redresse, à genoux devant elle. Juste le temps de l'aider en la guidant moi même dans ses mouvements pour la flanquer à quatre pattes devant moi. Difficile de ne pas grogner devant la vision idyllique qu'elle m'offre. Soumise sûre d'elle. Provocatrice même ainsi positionnée. Nue, offerte, sexy en Diable. Mes mains glissent sur ses hanches, descendent un peu plus bas pour l'attraper par les cuisses et les lui écarter un peu plus. Je ramène une main entre ses cuisses, sur son bouton de plaisir de nouveau taquiner tandis que de l'autre je me guide en elle. Inutile de tourner plus longtemps autour du pot. J'ai envie d'elle et je ne suis pas certain de pouvoir attendre une minute de plus.

Je me montre lent pourtant, pour m'enfoncer presque tranquillement en elle. Une première pénétration pour tâter le terrain. Et apprécier l'étroit fourreau qu'elle m'offre. Comme la pression de ses fesses contre mon bassin quand je m'y colle et m'y presse plus fort. J'aime les courbes et la fermeté qui font son corps de poupée parfaite. Avec toujours la même lenteur, je recule pour faire mine de me retirer. Et finalement m'enfonce en elle avec plus de dureté. Une brusquerie qui me fait la heurter plus fermement. Qui fait claquer les chairs qui se rencontrent et basculer son corps autant que je le lui permets. Une main fermement ancrée sur sa hanche fine. Un nouveau brusque coup de reins suit. Avant que je n'entame les choses plus sérieuses. Je loge ma seconde main sur son épaule pour l'inciter à se cambrer autant que pour maintenir son corps en place et l'empêcher de fuir trop loin à chaque nouveau coup de reins retentissant qui semble me propulser toujours plus loin au creux de son ventre. Malgré tout, je garde le contrôle. Refusant de perdre les pédales trop rapidement. De mettre fin de façon précipitée à cette étreinte aussi surprenante que plaisante.
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyDim 24 Déc - 15:46

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Visiblement, mes désirs sont des ordres, car les mots ont à peine quitté ma bouche qu’il nous sépare complètement, me laissant le plaisir de l’observer une dernière fois. Le corps tendu, prêt à aller chercher l’extase, impatient au point de m’aider à me retourner pour que ça aille plus vite. Tant mieux, j’avoue que je ne vais pas pouvoir tenir avec cette pression entre mes cuisses encore des heures. À quatre pattes, devant lui, je sais exactement l’image que je lui donne. L’image d’une nana sûre d’elle, qui se soumet à son bon plaisir, qui le provoque volontairement en poussant les fesses un peu plus en l’air, en creusant le dos juste pour accentuer les courbes. Ses mains qui glissent sur ma peau, comme si c’était du satin, provoquant un frisson d’anticipation quand enfin, il nous met en position, et je le regarde faire par dessus son épaule. Perdue par son air concentré, mais pourtant perdu et embrouillé par le désir qui s’anime dans ses yeux. Finalement, même si j’aurai pu le regarder des heures comme ça, je suis obligée de fermer les yeux, quand il se décide enfin à prendre possession de mon corps, me pénétrant avec une lenteur désespérante et pourtant addictive. Chaque centimètre de plus faisant vibrer mon bas ventre, au point de m’arracher un gémissement presque plaintif tellement ce qu’il me fait est en train de m’envoyer tout droit dans les étoiles. C’est tellement bon, que c’en est douloureux.

Un départ en douceur, et qui pourtant, annonce le ton. Il va me briser, m’éclater la raison en un million de morceaux, me rendre folle comme je le rend fou d’habitude. Deuxième coup de reins, plus brusque, comme pour me punir. Mon corps réponds, en poussant mes hanches encore plus contre le sien après le contre-coup; l’aspirant encore plus entre mes cuisses, dans mon ventre. Et c’est exactement ce que j’attendais. Qu’il me punisse, de tout ce que je lui ai fait subir, de la plus belle façon qui soit. Nouvel assaut d’une violence inédite, qui fait résonner le bruit de nos corps qui se rencontrent contre les murs, alors que mes avant-bras cèdent, me laissant reposer sur mes coudes. « Putain. » Je jure, parce que, je ne sais pas réellement ce que j’attends. Qu’il continue ses coups de boutoirs au point de me faire céder, où juste qu’il s’empresse d’en finir pour me délivrer. Il me fait perdre la tête, sans le savoir.

« Suileabhan, s’il te plaît. » S’il te plaît quoi? Même moi, je ne sais pas. Je suis un mélange de gémissements, de soupirs. Je me cambre, toujours plus, pour l’accueillir encore et toujours plus loin. Et je ne regrette pas de lui avoir demander de me prendre comme ça, parce que, les sensations sont bien plus agréables que si j’avais dû me contenter d’être prise côté face. Je m’écrase tête la première contre le matelas, manquant de laisser mes cuisses céder aussi , parce qu’il vient de faire vibrer une corde sensible. Ma main va attraper la sienne sur mon épaule, pour l’attirer sur le côté, avant d’en prendre complètement le contrôle, et de lui faire faire une ligne droite, de mon sein à entre mes cuisses. Ma main qui guide la sienne sur l’épicentre du séisme, et qui le force à appuyer sur mon clitoris. Ma paume qui pousse sur ses doigts, parce que les miens sont un peu plus loin, à guetter les mouvements de son sexe pour l’effleurer quand il a l’audace de se retirer. Je suis tremblante, alors que je sais très bien que je peux endurer beaucoup plus. « Brise-moi. »
Suileabhan McGregor
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyDim 24 Déc - 16:33

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Opale &
Suileabhan


Elle est diablement réceptive Opale. Au moindre geste que j'ai à son encontre. Je peux sentir ses muscles se tendre, apprécier ses soupirs comme ses gémissements parfaitement irréguliers. Et elle est dans la demande de toujours plus, également. Sans parler de la façon qu'elle a de jouer de son corps. Elle accentue la cambrure de ses reins pour relever autant que possible sa croupe. Je m'abstiens de jurer encore, refusant de trop lui en offrir trop rapidement. Elle sait déjà suffisamment l'état dans lequel je suis par sa faute. Ou grâce à elle. Je ne sais plus avec précision. Je suis seulement conscient du fait qu'elle me rend vraiment dingue. Et j'ai espoir que la réciproque commence à être vraie. Que je ne sois pas le seul à se faire embarquer dans cette folie furieuse. Je peux évidemment lire l'envie dans son regard qu'elle m'offre par dessus son épaule. Et la sentir qui palpite et se crispe déjà autour de moi quand je m'enfonce en elle. Centimètre après centimètre. Désireux de profiter pleinement autant que de la préparer. Disparaître en elle de toute ma longueur. Et la sentir s'ouvrir à mon passage. C'est bon. Presque trop pour l'état de ma conscience qui va bien finir par se foutre la mal pour de bon.

Si je lui offre un coup de reins retentissant, elle me le rend bien en revenant à la rencontre de mon bassin, avec la même brusquerie. De nouveau elle m'arrache un juron grogné du bout des lèvres. Mes doigts s'enfoncent plus fermement dans sa chair. Empoignent trop durement. Elle bascule légèrement en avant, m'offrant une bien meilleure prise sur sa hanche et une meilleure vision de son postérieur. Les coups de reins brutaux s'enchaînent bien rapidement. Vas et vient frénétiques entre ses cuisses ouvertes et tremblantes. L'équilibre de son corps est précaire. Elle s'enfonce plus volontiers dans les oreillers. S'offrant davantage à mes soins. A mon bon vouloir. Sa main guide la mienne pour l'inciter à se loger à nouveau sur son bas ventre. Mon index et mon majeur emprisonnent son clitoris pour le provoquer de façon plus sérieuse. Des mouvements circulaires d'abord lents puis plus rapides quand j'offre une cadence plus soutenue au reste de son corps. Ma seconde main échoue finalement sur la chute de reins. Fermement posée à plat pour continuer de la maintenir en place. L'empêcher de s'éloigner trop loin et de basculer pour de bon à chaque fois que je m'enfonce profondément en elle.

J'ai beau être à bout de souffle après quelque minutes à cette cadence infernale, je ne ralentis que pour la provoquer et la faire languir avant de mieux reprendre. C'est l'excitation qui rend ma respiration irrégulière, plus encore que les efforts. Putain Opale ... Je grogne d'une voix toujours aussi rauque, quand je reprends une série de coups de boutoir violents. Je la prends sans faire montre de la moindre douceur. Même mes doigts sur son bouton de plaisir sont là pour l'achever pour de bon. Et plus elle se crispe autour de moi, plus fort j'y vais. J'impose et prends. Faisant rougir ses fesses des coups de bassin sans demi mesure. Je ne crains pas de lui faire mal. Ou je m'en fous. Un peu des deux. Je n'y pense pas tellement. Je la sens vibrer, trembler, frissonner, comme je l'entends gémir et supplier à voix basse. Je lui obéis parce que c'est précisément ce dont j'ai envie moi aussi. De ce corps à corps bestial et infernal. Les coups de reins semblent être de plus en plus violents. Comme si je tentais de m'enfoncer toujours plus profondément en elle et mes doigts trempés caressent sans s'arrêter à la même cadence. Et l'orgasme que je sens déjà s'approcher.
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyDim 24 Déc - 17:13

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ft. @Suileabhan McGregor

Nous sommes partis pour une danse incontrôlable, encore qu’il contrôle et est maître de la situation. Moi, je ne suis pas capable d’y réfléchir plus que de mesure, car je n’ai plus qu’un seul but, sentir et ressentir la moindre sensation qu’il provoque en moi, quand il s’enfonce plus vite, plus fort, plus loin. Et même quand c’est moi, qui dicte à sa main d’aller jouer avec mon intimité, il arrive encore à en faire ce qu’il veut, parce que, ses provocations font remonter le long de ma colonne vertébrale des étincelles qui brûlent tout sur leur passage.

Les deux mots qu’il m’offre sont assez pour me rappeler à la raison -ou pas- et me faire ouvrir les yeux, voulant porter ma concentration sur lui un instant. Il me manipule comme il manipulerait une poupée de chiffon, et putain, j’aime ça. J’aime savoir que sa main couvre la totalité de mes reins, tellement j’ai la taille fine et qu’il a des mains à la proportion de son corps. J’aime savoir qu’il serait capable de me péter la colonne vertébrale qu’un coup de reins si il lui en prenait l’envie, car il ne fait aucun doute maintenant que dans la passion du moment, il pourrait se laisser emporter par la puissance. J’aime quand il continue de m’envahir, et que je le prends, tout entier, et que mes muscles se referment, se crispent et vibrent autour de lui. On va y arriver, putain, parce que nous sommes des bêtes, et la seule chose qui nous intéresse, maintenant, c’est d’être satisfaits. Et pourtant, je ne veux pas en finir comme ça, alors que mes cuisses tremblent trop fort, comme le signe qu’elles vont bientôt me lâcher.

Sans réellement savoir comment j’en suis encore capable, par le rythme qu’il impose, mes mains se posent à plat à côté de mon visage, et poussent, pour m’aider à me redresser, ne lui laissant d’autre choix que de se stopper un moment si il ne veut pas nous séparer, où risquer de s’abîmer.  « Attends. » Je lui souffle, juste pour lui assurer que je reviens, qu’on va y arriver, au bout de cette putain de course. Je recule pour que mes fesses rencontrent son bas ventre, et pousse un peu sur mes bras pour finalement me redresser complètement, mon dos contre son torse, ma tête sur son épaule, tournée vers son visage pour aller titiller du bout de la langue la peau que je trouve. Je cherche la main qu’il avait contre mon dos pour la passer entre mes seins, me presser plus contre lui et aller la resserrer sur ma gorge. Mon autre main, elle, est déjà dans ses cheveux, à tirer dessus doucement. Plus que la pénétration, c’est l’image que j’ai de nous dans mes yeux qui m’excite. Alors, j’ondule les hanches, juste pour finir de m’achever, signer la mort de ma conscience de ses mains sur moi, qui serrent; de son sexe qui me comble. Sa main que je pousse contre ma gorge, presque pour manquer d’air. Ses mouvements plus limités, plus mesurés, mais tout aussi profonds, et qui m’envoient me fracasser droit dans les étoiles, quand la foudre frappe à la base de ma colonne vertébrale, raidissant tous les muscles de mon corps. Un gémissement transformé en un cri qui résonne comme le tonnerre contre les murs de la chambre. La lumière aveuglante dans mes paupières. « Suileabhan. » c’est son prénom que je balance comme un juron, parce que c’est de sa faute à lui si je suis tremblante et haletante, que mon corps s’appuie sur le sien pour tenir le coup. Il peut faire de moi ec qu'il veut maintenant, je ne réponds plus de rien.
Suileabhan McGregor
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyDim 24 Déc - 18:02

Falling.

Opale &
Suileabhan


J'aime douloureusement la façon qu'ont nos corps de s'emboîter à la perfection. L'étroit fourreau que je sens palpiter autour de moi qui continue de m'imposer en elle. Comme les mouvements de son corps qui fait balancier. D'avant en arrière pour s'empaler toujours plus durement sur moi. Sans parler des chairs qui claquent sans la moindre douceur. De ce son érotique qui résonne dans le silence de la pièce. Qui fait des ricochets sur les murs pour finalement échouer au creux de nos oreilles. Ca me plait presque autant que les gémissements que j'entends, échappés de sa jolie bouche. C'est bien la première fois que j'aime le son de sa voix. Je suis à bout de souffle et luisant de sueur. Pourtant je la maintiens toujours fermement en place et continue de la baiser durement. De la prendre trop fort. D'aller et venir trop rapidement. Et elle ne fait qu'en redemander. Semblant refuser l'idée même que je puisse ralentir ou lui offrir moins. Et moi je me défoule. Furieusement. Je libère des semaines de frustration. Non pas sexuelle. Mais bien tout le reste. Les coups d'éclat. La rage au ventre. La rage aux reins surtout. La boule de tension que je sens sur le point de se libérer pour répandre ses ondes de plaisir dans le reste de mon corps.

Je gronde de mécontentement quand elle souffle un mot. Rien qu'un. Mais qui a le don de me frustrer tout de suite trop fort. Je ramène mes mains sur ses hanches quand elle remue, attendant en silence qu'elle fasse ce qu'elle a à faire. Je profite de ces quelques secondes d'accalmie pour reprendre tout à fait mon souffle quand même. Trouver le bon dans la frustration, malgré tout. Pourtant je me crispe quand elle bascule ses fesses en arrière. Que leur arrondi trouve refuge contre mon bas ventre. Elle fini par se redresser et coller son dos à mon torse. Je frissonne au contact de nos peaux enflammées. Définitivement, j'aime un peu trop la façon qu'ont nos corps de s'entremêler et se joindre. Un sourire léger étire mes lèvres quand elle me fait loger une main sur sa gorge. Je ne suis pas plus étonné que ça de la découvrir amatrice d'un peu de violence, d'un peu de danger, même dans ses rapports physiques. Je tourne assez le visage pour faire courir la pointe de ma langue sur ses lèvres, tandis qu'elle même roule des hanches à la perfection. Se frotte à moi comme une chatte.

J'enroule ma main autour de sa gorge fragile et serre juste ce qu'il faut pour lui faire sentir que je suis bien présent. Que je pourrais serrer trop fort pour lui couper le souffle. Que je pourrais insister pour lui faire perdre conscience. Mon autre main revient à l'attaque de son clitoris en même temps que je reprends mes coups de boutoir. Je vais et je viens de nouveau trop fort. Serrant parfois plus fort la prise de mes doigts autour de sa gorge. Lui coupe le souffle entre deux coups de reins trop violent que je lui impose sans la moindre douceur. Ma main sur son bas ventre qui continue de la maintenir captive. J'enfouie mon visage au creux de son cou pour la mordre tandis que j'accélère sensiblement la cadence. Je balance mes dernières forces dans la bataille. Mes mouvements aussi rapides que possible. Frénétiques. Comme la danse de mes doigts sur son bouton de plaisir. Je jure un "merde" presque surpris quand elle se referme fort autour de moi et que son gémissement s'achève en cri retentissant. Qui me fait vriller les tympans autant que le cerveau. Je claque plus fort encore son corps. Et de nouveau, je serre sa gorge. Lui coupe la respiration le temps de flanquer les derniers coups de reins libérateurs. Qui me font finalement jouir. En spasmes libérateurs je me déverse en elle, profondément enfoncé en elle et le bassin collé à ses fesses. Encore un "putain" qui m'échappe, soufflé contre sa peau malmenée par mes dents.
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyDim 24 Déc - 18:35

falling, falling, for the diamonds at night..
ft. @Suileabhan McGregor

Quand enfin il se libère en moi, je soupire, en prenant conscience qu’on va pouvoir redescendre, que l’ambiance est déchargée de l’électricité qui nous tournait autour, de la lourdeur de nos désirs, de l’ambiance chaude, trop chaude. D’ailleurs, je réalise seulement maintenant que sa peau contre la mienne est humide, qu’il est tout aussi essoufflé que moi. Moi, d’ailleurs, je me rends compte que j’aurai probablement une douleur délicieuse entre les jambes demain, parce qu’il m’a baisée comme on ne l’avait pas fait depuis longtemps. Je n’irai pas le lui dire, parce que, j’ai pas envie d’aller flatter son égo. Et puis, aussi parce que, les mecs que je lève en général rapidement en soirée, ce sont des mecs que je ne connais pas, avec qui je n’ai aucun historique, et qui restent relativement sages pour s’éviter des problèmes. Entre lui, et moi, ça n’a été que passion, brutalité, bestialité. Comme nos rapports depuis le début. Et je regrette presque d’être aussi satisfaite.

Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours préféré le risque et le dangereux plutôt que les plans cucul. Parce que, c’était ennuyeux, de laisser quelqu’un vous faire l’amour comme un taulard, un mec qui pue la douceur et les sentiments. Ne nous méprenons pas. J’aime les sentiments, quand ils sont partagés. J’aime la douceur, quand elle est authentique. Deux personnes qui ne font que satisfaire des besoins primaires entre eux n’échangent rien d’autre que des désirs, des sensations. Et c’est exactement ce qui vient de se passer entre lui et moi. Un besoin de succomber à nos désirs respectifs. Pour le reste, il n’y a rien d’autre entre nous que de la douceur quand je lui en demande. Des éclats de voix et des coups de gueule quand on ne peut pas s’entendre.

J’ai une terrible envie de me laisser tomber contre les draps, de l’entraîner avec moi pour me retrouvée coincée entre le matelas et son corps. Pour me prouver que j’existe encore, que j’ai la possession de mon corps. Pourtant, j’envisage plutôt de m’éclipser dans la salle de bain, parce que, sans capote, l’après-sexe est moins glamour. Je n’éprouve aucune gêne pourtant, alors que je me détache de lui, non sans lui lancer un dernier regard.

« Viens. » Je lui lance ça, plus comme une invitation que comme un ordre. Moi, j’ai besoin d’une douche. Pour me débarrasser de la fine couche humide sur ma peau. Me débarrasser de lui, qui commence déjà à s’échapper le long de mes cuisses, ne me laissant d’autre choix que de me hâter vers la salle de bain, dont je ne prends même pas la peine de fermer la porte. Si il compte me rejoindre, c’est mieux. Je suis sous l’eau en un temps record. De l’eau brûlante qui apaise les dernières tensions liées à notre étreinte passionnée. J’ai déjà la tête qui repose contre le carrelage frais au mur, comme pour faire retomber la température alors que l’eau me coule dans le dos. Et putain, j’ai encore envie de lui. Et ça me fait chier, de me l’avouer. L’eau me rappelle la douceur de ses doigts contre ma peau. Il fait chier, sérieux.
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyDim 24 Déc - 20:43
Je dois bien admettre que je suis encore trop retourné avec l’esprit foutu en l’air par l’orgasme qui vient de me ravager, pour pouvoir réfléchir. Je ne suis pas conscient de grand chose. C’est même à peine si je réalise que c’est avec Opale que je viens de coucher. Je vais dans doute le regretter très prochainement. Mais nous aurons tout le temps d’y penser plus tard. Genre demain matin quand on se lèvera. Je ne doute pas qu’elle trouvera vite un moyen de me foutre en rogne. Qu’elle s’assurera que je regrette bien tout ce qui vient de se passer entre nous. Mais vraiment, je n’ai pas encore envie d’y penser. Alors que je redescends lentement en pression. Et que j’apprécie de façon démesurée les sensations qui s’éternisent sous ma peau. Je mets déjà un temps fou avant de me décider à délier nos corps. De plus en plus conscient de ma respiration désordonnée, des battements rapides de mon cœur et des quelques gouttes de sueur qui coulent sur ma peau tatouée.

Mais c’est elle qui s’éloigne de moi pour de bon. En détachant tout à fait nos corps. Aussitôt je frissonne. Déjà en manque de la chaleur de son corps contre le mien. Mais je n’ai pas la moindre envie d’avouer ça tout haut. Ou même de juste le lui montrer d’une façon ou d’une autre. Je fini par basculer sur le lit pour me rallonger sur le flan tandis qu’elle même se lève pour quitter le lit. Je ne m’attendais pas du tout à ce qu’elle m’invite à la suivre. Mais elle le fais. Et pour une raison que j’ignore moi même, je me surprends à lui obéir encore une fois. J’imagine que je ne peux pas faire semblant de ne pas en avoir envie du tout. Je souhaite juste profiter encore un peu de cette étonnante accalmie entre nous. Bien conscient du fait que ça ne durera pas éternellement. Je sais même qu’une fois que ce sera terminé, ce sera pour de bon.

Elle disparaît dans la salle de bain et enfin je me décide. Je prends mon temps pour ne pas donner l’impression que je suis si avide que ça de sa présence et de son contact. Quand je débarque, elle est déjà sous l’eau. Et je prends rien qu’une minute pour la dévorer du regard. Bien conscient du fait que mon envie d’elle n’a pas disparu en même temps que je me suis libéré en elle. Elle est plus sexy encore avec les gouttes d’eau qui coulent sur sa peau. Parcourant ses courbes et disparaissant dans les parties même que j’ai exploré de mes mains et de ma bouche. Enfin je la rejoins, me faufilant dans son dos. sans chercher le contact physique. Juste pour avoir droit, moi aussi, à l’eau fraîche qui vient effacer toutes traces de sueur. De mes mains je rabat mes cheveux mes cheveux en arrière sur mon crâne et offre mon visage au jeu d’eau.
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyLun 25 Déc - 12:44

falling, falling, for the diamonds at night..
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Je l’entends et je le sens dans mon dos. Pas besoin de me retourner, ça ne peut être que lui, de toutes les façons. Je suis surprise qu’il tienne ses distances, mais, je me dis que ça serait étrange aussi, si il se permettait de me toucher comme si de rien n’était, comme si c’était normal. Que moi, j’arrive, et je le touche et empiète sur son espace personnel, ça serait tout à fait normal, parce que je suis comme ça. Lui, il est beaucoup plus mesuré et moins tactile; c’est une vérité établie. Autre vérité établie, celle qui fait de moi une emmerdeuse qui passe son temps à essayer de le faire chier. Et si il a cru que s’envoyer en l’air y changerait quelque chose, il s’est bien trompé.

Je me décide à me détacher du mur qui soutenait ma tête en quête de fraîcheur, pour me retourner face à lui. Je n’étais déjà pas spécialement pudique, mais maintenant, j’en ai absolument plus rien à faire que la pointe de mes seins effleure son torse. Faut arrêter de déconner, et plutôt revenir aux choses sérieuses. Ou du moins, à une humeur légère. « T’as pas dû me baiser aussi fort que ça, je tiens encore debout. » Je rigole, avant d’aller échouer contre lui quand même, juste pour la bonne mesure. Il ne m’a pas épargnée non plus, je dois bien le lui accorder, maintenant que j’ai ma tête contre son épaule, mon corps pressé contre le sien, et mes mains à explorer son dos. Je pousse encore un peu, juste pour l’enquiquiner un peu plus. « Tu vas me laisser me promener à moitié nue dans ton appart’ maintenant? Ou au moins dans les petites nuisettes et déshabillés que j’ai pas encore sorti pour t’épargner une gaule phénoménale? » Je l’aurai bien appelé papa, juste pour souligner l’interdiction grotesque, mais, ça aurait fait virer la conversation sur un cliché porno des années 70. Après, il va croire que je fais une fixation.

J’avoue que, ça a presque été un supplice de vivre avec autant de fringues, et surtout autant de tissu alors que je passerai bien ma vie en t-shirt culotte pour me sentir libre. Alors, quand ses gosses sont autour, je peux faire un effort. Mais sinon… Étrangement, je n’arrive pas à savoir si les choses vont être plus simples maintenant qu’on a couché ensemble, ou si elles vont se compliquer. Ça pourrait paraître plus simple, de se dire que c’était du sexe casual, que ça peut arriver de nouveau, sans se prendre la tête; parce qu’on est assez grands pour faire la part des choses. Que ça pourrait même aider à lever certaines frustrations, et surtout, résoudre une tonne de problèmes quand ça commence à partir en vrille. De l’autre, est-ce que maintenant, c’est pas non plus la misère, parce que, c’était peut-être une ligne à ne pas dépasser, justement pour éviter que les choses empirent dans une relation déjà houleuse? Pour éviter qu’on ne sache plus comment se comporter, parce que c’est flou.

Finalement, pour répondre à toutes mes questions, j’ai déjà mes bras qui se faufilent autour de son cou comme des serpents, mon corps qui se presse contre le sien, mes pieds qui basculent sur la pointe. La réponse, elle viendra maintenant que mes lèvres sont à doucement narguer les siennes.
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyLun 25 Déc - 13:08

Falling.

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Suileabhan


Je ne sais vraiment pas où tout cela va nous mener. Ni même où nous en sommes à l'instant présent. Je sais seulement que sa présence me trouble tout à fait désormais. Que la voir entièrement nue à portée de main, ça me fait quelque chose. Et me flanque une vraie envie de la tripoter de nouveau. Ce que je ne fais évidemment pas. Quand elle pivote pour porter son attention sur moi, j'efface l'eau de mon visage du plat de ma main, pour rouvrir les yeux et la regarder en retour. Ses mots, loin de me vexer, parviennent plutôt à m'amuser et à faire naître une ébauche de sourire sur mes lèvres. Je sais que je n'ai pas été si tendre que ça avec elle. Je ne l'ai pas franchement épargnée. Faut que j'te baise jusqu'à ce que tu ne puisses plus marcher ? Je demande très sérieusement. La prendre de la même façon une ou deux fois au cours de la nuit pour que ses muscles soient trop endoloris au saut du lit, pour qu'elle parvienne à le quitter. Qu'elle n'ait pas envie de le faire, même.

Tout naturellement, elle vient se presser davantage contre moi. Je peux sentir les pointes de ses seins caresser mon torse, de la même façon que ses mains glissent dans mon dos. Tous ces contacts ne sont pas désagréables du tout alors je ne cherche pas à la repousser. Tant pis pour le fait que l'on continue d'entretenir l’ambiguïté sans se poser la question de savoir si c'est une bonne chose ou non. J'aime bien ça alors je ne la repousse pas, c'est aussi simple que ça. Je loge même mes mains sur sa chute de reins et ma joue contre son crâne. Si tu fais ça, je vais avoir envie de te sauter dans tous les coins de mon appartement. Je lui fais très sérieusement remarquer. J'imagine un peu trop bien la chose. La voir débarquer de bon matin dans la cuisine, dans une petite nuisette qui ne dissimule pas grand chose de ce corps que j'ai eus le temps de parcourir et découvrir tout entier. Ou même rien qu'au réveil si elle continue de venir se loger contre moi dans mon lit, pour y trouver du réconfort. Je ne suis pas certain de pouvoir m'empêcher de glisser mes mains sur sa peau de porcelaine.

T'as vraiment pour habitude de vivre avec si peu de tissu sur le corps ? Je crois que je connais déjà la réponse en fait. Et je ne pense pas que ce soit pour provoquer qui que ce soit. C'est certainement juste une question de confort. De la même façon que moi j'aime à dormir nu. C'est nettement plus confortable de ne pas avoir le corps entravé par des couches superflues de tissu. Je fais mine de reculer le visage pour éviter ses lèvres quand, dressée sur la pointe des pieds, elle vient les chercher. Mais c'est pour mieux fondre dessus la seconde d'après. Mes mains trop larges qui viennent recouvrir ses hanches délicates pour la ramener contre moi quand j'approfondis le baiser en enfouissant ma langue dans sa bouche. Pour trouver la sienne, la caresser et la faire prisonnière en s'enroulant autour. L'une de mes mains remontent pour se glisser dans ses cheveux et presser son crâne pour l'embrasser avec plus de force, plus d'insistance. Mais dans un grognement sourd, je mets fin au baiser et plante un regard sombre dans le sien.
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyLun 25 Déc - 15:38

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« Avec ton grand âge, je doute que tu y arrives sans faire une crise cardiaque. Mais, ça serait une sécurité pour toi, si tu comptes disparaître encore, de savoir que je suis incapable de marcher tellement tu t’es appliqué à la tâche. » Et je rigole, de façon franche, insouciante. Bien évidemment que je me moque de lui. Il n’est pas si vieux que ça, et il a une forme physique qui ne laisse aucun doute sur sa capacité à me retirer la possibilité de marcher pour les heures à venir, si jamais il s’y décidait. Par contre, en effet, probablement que ça le rassurerait de savoir que je suis incapable de me tenir debout. Moins de soucis à se faire sur l’idée que je puisse me barrer et le laisser en plan, avec un seul constat : échec de la mission. Et faut pas se mentir, même lui, il trouverait ça agréable de me ravager au point de m’anesthésier partiellement; et probablement de s’insensibiliser lui-même pour quelques temps.

« Parce que c’était pas déjà le cas, en vrai? » Le ton faussement choqué, et avec un regard vexé presque. Je me doute que ça va le faire chier comme question, et je me doute aussi surtout qu’il n’y répondra pas, par fierté, où juste pour me faire chier. Et je me fous de la réponse. C’est bien pour ça que je m’empresse de poursuivre. « Je ne suis habillée de façon appropriée que quand mon père est dans les parages. Encore que…. » Encore que, j’ai aucun problème à débarquer dans mes petites nuisettes de soie le matin au petit-déjeuner. C’est mon père, il s’en fout de comment je suis habillée, tant que je me sens bien. Je me couvre seulement quand je sais que c’est ce qu’il attend de moi, comme une fille à papa bien docile que je suis. Celle qui le vit plutôt mal, c’est ma mère, qui ne supporte pas de vieillir et qui se met en compétition avec sa propre fille pour obtenir l’attention de son mari. Elle n’a toujours pas comprit, que mon père me préférait, parce que moi, je ne suis pas chiante où intéressée par son fric.

Si je suis surprise du léger mouvement de recul qu’il amorce quand je m’approche, je suis rassurée de le voir revenir, de façon plus féroce, m’attirant à lui et s’emparant de mes lèvres comme si j’étais à lui. C’est déroutant, mais je me laisse manipuler, plutôt contente qu’on ne se prenne pas déjà la tête. Vu nos tempéraments respectifs, ça pourrait déjà être la guerre. A croire qu’il entend ce que je pense, quand il se détache de moi, le regard ténébreux. J’hésite sur la lecture que je dois en faire. Déroutée, je le lui demande dans un murmure. « Qu’est-ce que tu veux ? » Pas qu’est ce qui se passe ? Non. Il est assez grand pour assumer ce qu’il veut, ou ne veut pas, et surtout pour me le dire. Dans le meilleur des cas, ses désirs se passent de commentaires et je m’exécute. Au pire, il décide de poser des limites, et plutôt que de le traiter de rabat-joie, je me dirai qu’il est probablement le plus courageux de nous deux.
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MessageSujet: Re: falling, falling, for the diamonds at night.   falling, falling, for the diamonds at night. - Page 4 EmptyLun 25 Déc - 16:20

Falling.

Opale &
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Si j'affiche une moue outrée quand elle mentionne "mon grand âge" je ricane presque aussitôt ensuite. Parce qu'elle sait que je ne suis foutrement pas vieux. Bordel. Je n'ai même pas encore trente ans. C'est certain qu'à côté d'un bébé comme toi, je dois avoir l'air vieux. Je rétorque malgré tout. Et c'est exactement ce que j'étais en train de penser. Te baiser toute la nuit pour que demain tu n'ais d'autre choix que de rester couchée. Même si ça signifie que de mon côté je serai pas mal crevé aussi. Et que je vais avoir du mal à faire quoi que ce soit. Mais il le faudra. Ça c'est une certitude absolue. Au delà du côté pratique de la chose, il y a également le plaisir même de la foutre dans cet état. De savoir que je suis responsable de sa léthargie soudaine, de ses douleurs physiques et peut-être même de quelques marques ici et là.

De mes doigts qui se seront enfoncés beaucoup trop fort dans sa chair. De mon bassin qui n'aura cogné que trop violemment contre ses courbes. De mes dents qui se seront plantées dans sa peau délicate. Je dois pincer les lèvres pour ne pas rire quand elle semble choquée d'apprendre que je ne passais pas déjà mon temps à rêver de la prendre dans tous les coins de mon appartement. Je ne sais pas si elle est sérieuse ou si elle joue la comédie. Dans le doute, il est sans doute préférable que je n'insiste pas trop sur le fait que non, je ne fantasmais pas à ce point là sur elle. J'ai l'impression que c'est exactement le genre de question à laquelle je ne dois pas répondre. Je me contente finalement de conclure pour ma part. Honnête jusqu'au bout. Même si je ne nie pas avoir fantasmé quelques fois sur sa petite personne. Surtout la nuit qu'elle a passé dans mes bras. Je préfère mettre la faute sur son parfum qui m'a chatouillé les narines toute la nuit durant, de façon beaucoup trop agréable.

Il suffit finalement d'un baiser enflammé pour que je sois complètement ravagé de l'intérieur. Secoué par l'envie d'elle qui renaît de ses cendres. Beaucoup trop vite. Beaucoup trop fort. Ton corps. Je réponds le plus sérieusement du monde, en posant de nouveau mes mains sur ses hanches pour la faire reculer jusqu'à la plaquer contre le carrelage frais de la cabine de douche. Son corps. Façon de mettre encore une barrière entre nous pour le reste. Ce n'est qu'une histoire de sexe. Un besoin de s'appartenir physiquement. Parce que pour le reste, on ne peut pas dire que les compatibilités soient évidentes. Ni que l'on ait envie, l'un comme l'autre, de vivre autre chose. De vivre plus que ça. Déjà, j'appuie mes propos en logeant mes lèvres au creux de son cou et mes mains sur ses seins. Qui caressent et massent sans cesse à mesure que ma bouche entame sa lente descente sur son corps. Ce corps que je trouve incroyable, je dois bien le reconnaître. Si je torture ses seins de ma bouche, c'est sur la partie sud que je veux aller m'installer. Ce que je ne tarde pas à faire. Mes lèvres atterrissent entre ses cuisses. La pointe de ma langue commence à taquiner et dans le même temps, je lui fait loger une cuisse sur mon épaule pour avoir un meilleur accès à son intimité.
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