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| Sujet: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 11:43 | | (Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) Novembre 2015, tu sors de taule et t’as besoin d’un endroit où loger. Toute la famille est là à t’attendre et passées les premières effusions qui se sont traduites par des coups de poings qui se voulaient amicaux, t’as suivi ta frangine Deirdre pour venir squatter son appartement. Au début c’était provisoire : ça l’est toujours ce genre d’arrangements, mais t’es resté. T’as pris tes marques, tu t’es plu au Parking, c’est même dans ses escaliers en béton que t’as appris à maîtriser cette nouvelle jambe en plastique que tu exhibes comme un trophée. Y avait Deirdre ta sœur chérie, la seule femme de ta vie, et Kyllian ton neveu que tu adores plus que tout, ainsi que Dwayne, éternellement perdu dans son monde de rêverie. Mais Lui, il n’était pas là, alors en février, t’as foutu le camp comme un sauvageon, abandonnant tout derrière toi. T’as suivi ton cœur : t’es bien le premier chez les Haynes à céder avec un tel enthousiasme aux sirènes de l’amour. Y en fallait bien un. T’es de retour, là, juste maintenant : t’as ton sac dans ta main et dans l’autre, ton cœur berné, faible et incapable de ne pas être entier. Alors tu reviens mais tu sais que l’accueil sera redoutable : les rats qui désertent le navire ne sont jamais les bienvenus.
(Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?) Ben on va te prendre pour un fou, un illuminé ou un doux abruti mais tu t’en fous : tes voisins, tu les aimes. Ouais, voilà, on vous avait prévenu, c’est bête à pleurer. Tu les aimes parce qu’ils haussent les épaules quand tu les salues le matin avec ton éternel petit sourire malicieux, parce qu’ils râlent en emmenant leurs poubelles et que toi, ça te fais vraiment marrer. Ils sont communs, stupides parfois et humains, mais ils sont comme toi après tout : ils foutent le bordel, saccagent leurs vies sans l’apprécier et gueulent presque aussi fort que Dei dès que la feuille d’impôts tombe. Ils sont vivants et comme t’es bon public, tu vas pas leur cracher dessus.
(Quelle est votre réputation au sein du quartier ?) T’es le mec qui ne marchait pas droit quand il est arrivé, qui brinquebalait, qui a dû apprendre à se tenir debout sur une jambe de plastique. Un tout petit peu moins valorisant que celle des pirates d’autrefois, mais diablement plus pratique. T’es l’éternel enjoué, qui croque la vie à pleines dents parce que t’es vivant et que ça, t’arrive pas à le regretter.
(NOM) Haynes (PRÉNOM) Wayland Curtis (ÂGE) 29 ans (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) 1987 à New York. A tout jamais américain, même si la famille revendique haut et fort ses origines. (OCCUPATION OU ACTIVITÉ) Electromécanicien : tu bidouilles partout où il y a du courant et si parfois tu t’y brûles les doigts, t’adore te sentir le Maître Incontesté de la Foudre dans ces engins qui t’ont ôté une jambe autrefois. (NATIONALITÉ) Américain. (ORIGINES) Irlandaises, comme l’ensemble de la famille, même si ça te paraît loin tout ça, totalement hors de propos. T’es pas dans le passé toi, et t’y seras jamais. Ta vie est à NY. (STATUT CIVIL) Célibataire (ORIENTATION SEXUELLE) Gay mais t’assumes pas, t’oses pas le cracher au ciel et le jeter à la figure des frangins ou de la frangine. Alors tu caches, tu ne dis rien et tu fais le dos rond quand on te demande si t’as quelqu’un dans ta vie. T’as ta jambe, c’est déjà bien, et c’est tout ce que tu trouves à répliquer. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING) Novembre 2015, départ en février 2016, puis retour en Juin 2016. On va finir par te baptiser le yoyo. (REPRISE DU PERSONNAGE) En cas de suppression, acceptez-vous que votre personnage soit scénarisé ? C’est déjà le scénario de Deirdre Butler (GROUPE) De ceux qui rêvent, parce que de tous les Haynes, t’es bien le seul à croire encore aux mensonges du cœur. (TYPE DE PERSO) Scénario de Deirdre Butler (CRÉDITS) AMIANTE
PSEUDO : Voodoo ÂGE : 23 ans PAYS : France FRÉQUENCE DE CONNEXION : quasiment tous les jours COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : J’y étais déjà COMMENTAIRE OU SUGGESTION : Vous êtes géniaux restez tels quel ! AVATAR : Devin Paisley
WAYLAND CURTIS HAYNES Dieu dit « Que la Lumière soit. ». Et toi t’as répondu : «On dit s’il vous plaît !» LA FAMILLE : Haynes, Joyce, peu t’importe. Ils sont tiens tout comme tu es à eux. Mü l’aîné, qui a toujours pris soin de toi, bien plus que ton propre père, Tucker le damné qui a fini en taule avant même que tu puisses réellement le connaître, les autres frangins sur qui tu prenais exemple mais qui n’ont pas pu empêcher que toi aussi tu finisses derrière les barreaux, Deirdre enfin, la seule fille du groupe même si y a plus garçon manqué qu’elle. Celle avec qui tu as fait les 400 coups, celle avec qui tu as connu tes meilleurs fous rires. Ils sont tous du même sang et vous partagez la même tête de bois qui refuse de céder face aux coups du destin. Tu les aimes même si au sein de cette famille-là, c’est un mot à prendre avec des pincettes : y a pas d’effusions, peu de contacts et quelques sourires qui s’envolent rapidement. Ça t’a jamais suffi mais t’osera jamais demander plus que ce qu’ils t’offrent déjà avec tant de tendresse.
LES GARCONS : ça ne se décide pas ça, tu ne te lèves pas un matin en affirmant haut et fort au monde entier que toi, entre tous, tu seras gay. Non, ça vient progressivement, mélange de regards osés, de gestes volés et d’hésitations à la limite de la torture. C’est apparu dans les douches des gymnases, au contact des corps dans les bars et au creux de quelques lits d’amis qui ne l’étaient pas vraiment. T’hésitais, tu tergiversais entre besoin réel et peur des frangins. Ils ne te l’auraient jamais pardonné, eux dont la morale chrétienne faisait état de loi, à défaut de respecter celles en vigueur du pays. Alors t’as jamais rien dit, tu as caché ce secret et tu souriais distraitement dès qu’on te demandait où tu en étais, question cœur. Pour autant, t’as jamais été faux cul au point de te mentir à toi-même : t’es pas allé te forcer avec une fille, au détriment de tes envies et de son cœur à elle. T’en voyais pas l’intérêt : t’es un cachottier sauf pour toi-même.
LE CŒUR : Mü qui a perdu son gosse, Deirdre qui se faisait tabasser et qui a failli y rester, Tucker en taule qui est revenu avec la pire nouvelle du monde et Dwayne qui n’aime que ses livres, par peur sans doute de vivre quelque chose de réel. Toi au milieu, quand tu dis que tu veux vivre une belle histoire d’amour, c’est pas étonnant que tu passes pour l’illuminé du coin. Ils te rient tous au nez, ils ronchonnent, bougonnent : « non l’amour, ce ne sont que des balivernes, ça n’existe pas, tombe pas dans le piège petit, arrête d’être aussi gamin et grandis un peu ». Sauf que toi, tu veux y croire, de toutes tes forces, de toute ton âme. Et tant pis si Mü te regarde comme si étais demeuré et que Deirdre soupire en retenant ses insultes. T’oses jamais vraiment en parler mais ça reste en toi, cet espoir impossible de trouver un jour quelque chose à quoi personne ne touchera et qui te rendra enfin entier.
TON CORPS : entier, parlons-en tiens ! Depuis tes 13 ans, il te manque un bout de toi, échoué au fond d’un ravin. L’accident de voiture, ce n’était pas ta faute mais c’est toi qui as morflé : tu relativises, t’aurais pu perdre davantage qu’une jambe, faut être lucide. Alors un petit bout de corps contre le reste de ta vie, ça valait peut-être le coup ce deal-là. Mais entre 13 et 28 ans, t’as eu besoin de béquilles pour tenir debout comme les autres : adolescent tu prétendais qu’il s’agissait de tes sabres lasers et bordel, tu savais les utiliser presque aussi bien qu’un jedi. Combien de coups de béquilles tes frangins se sont pris dans la tronche ? Tu les faisais tournoyer avec habitude et adresse, diablotin qui a toujours su utiliser ce que la vie lui avait laissé comme miettes pour s’en régaler jusqu’à plus faim. Alors bon, tu leur courais pas après, c’est vrai, et y avait des regards lourds de compassion auxquels tu répondais en agitant ton moignon avec un grand sourire, mais t’as fait avec. Chacun sa merde et t’as jamais été le genre de mec à te défiler pour si peu. Mais depuis novembre, depuis ta sortie de prison, t’as une prothèse, et ça a changé ta vie. Grâce à Deirdre qui s’est sué sang et eau pour te la payer. Y a eu comme une émotion dans le regard de Mü quand il t’a vu debout pour la première fois de ta vie, presque aussi grand que lui. Cette prothèse, tu l’aimes : tu l’as customisé, t’en ris, tu t’amuses au pirate avec ton neveu… Oui, elle est en plastique, et alors, ça change quoi ? Y en a bien qui vivent avec des cœurs de pierre, et pourtant, ils vivent.
LA PRISON : 7 ans pour trois fois rien, c’est cher payé. Mais avec deux frangins qui y étaient déjà passés, le juge n’a pas été compatissant, même pas devant ton moignon. De la ‘graine de voyou’ qu’il disait : t’as laissé causer parce que toi, t’es de la graine de Haynes et t’en es fier. Par contre, pour le coup, ton moignon a quand même été pratique : impossible de te mettre avec les autres prisonniers, trop dangereux et les équipements n’étaient pas adaptés à une personne soi-disant ‘handicapée’ comme toi. T’as fini dans une prison spéciale, avec les mecs en fauteuil, ceux à qui il manquait un sens ou un morceau de corps. La bande des éclopés, réunis ensemble pour le pire et… le pire. Et comme tu savais vraiment bien te servir de tes béquilles, on t’a jamais fait chier. L’avantage du jedi. T’es pas ressorti de là-dedans abîmé comme Tucker ou Mü. T’es resté l’éternel gosse Haynes.
CE SALE CARACTERE : t’es chiant parce qu’aux repas de famille, tu dois bien être le seul à sourire. A rire, à lancer des vannes qui ne sont pas drôles, à essayer d’attirer les autres dans le piège de cette joie puérile. Mû tire la tronche, Tucker fait profil bas, Dwayne rêve et Deirdre gueule : toi, t’es l’électron libre qui a décidé de profiter de la vie et de lui sourire. Tu sais bien que ça les fait chier et c’est peut-être pour ça que t’insiste autant d’ailleurs. Jusqu’au moment fatidique où Mü te chope, ébouriffe tes cheveux à t’en arracher le cuir chevelu et te lâche un de ces micro-sourires qui te réchauffent le cœur : rien que pour ça, tu ferais le clown jusqu’au bout de la nuit.
Mü : le Père, le vrai, celui qui a remplacé celui de pacotille qui ne s’est jamais réellement intéressé à sa progéniture. Celui que t’as pas revu depuis 7 ans parce que t’étais en taule, et que tu t’étais barré du Parking et de la circulation quand il en est sorti à son tour. Il est l’aîné, t’es le dernier garçon de la troupe. Ce genre de lien, ça ne se discute pas, ça se vit. Tucker : celui avec qui tu t'entendais le mieux. Vous étiez très souvent ensemble et il t'a plus ou moins servi de modèle, du moins jusqu'à ce qu'il atterrisse en taule. Tu savais qu'il ne voulait voir personne mais tu te rendais quand même au parloir, t'essayais de le voir, ne serait-ce que pour lui transmettre quelques nouvelles. T'as jamais supporté l'idée de devoir couper les ponts et tu n'as pas pu t'y résoudre. Il est ton frère, il est ton sang et il restera à jamais ton meilleur ami. Deirdre : la frangine. Tout le temps fourrés ensemble, vous étiez comme les doigts de la main, inséparables. T’as jamais supporté son type et quand t’es venu la voir à l’hôpital, quelques mois avant que tu n’atterrisses en taule, t’as failli commettre un meurtre. T’en étais malade à crever de la voir sur ce lit, immobile, alors qu’elle pétillait toujours de vie ta frangine. C’est elle qui était là à ta sortie, elle qui t’a offert ta prothèse, en économisant durant tout ce temps : t’en avais les larmes aux yeux alors elle t’a giflé, et toi t’as éclaté de rire. Mais t’as beau l’aimer jusqu’à en suffoquer, tu t’es enfui sans oser lui dire au revoir. Parce que tu sais ce qu’elle pense des homo, parce que t’as peur, pour la première fois de ta vie, t’as réellement la trouille du regard qu’elle va poser sur toi. Tu t’es enfui pour ne pas subir la même malédiction qu’elle, mais tu te rends compte que la vie sans Deirdre, c’est comme un café bourré de sucre : il te manque quelque chose d’amer pour te redonner du peps.
Lui : Lui c’est l’Ange. Et toi t’es tombé amoureux. Ça ne se discute pas ces choses-là. T’étais persuadé que c’était réciproque. Ça l’était sans doute, quant au creux des draps, vous vous contentiez de boire la sueur de vos efforts, de cette passion que vous n’avez jamais maîtrisé. T’as tout plaqué pour lui et il n’a jamais probablement compris ce que tu cachais derrière tes silences et tes rires : toi au-dessus, lui en-dessous et inversement, vous vous êtes ainsi caché tellement de choses que quand t’as surpris ce message sur le répondeur, t’as eu comme un déclic. C’est beau l’amour. C’est douloureux aussi. Mais ça, tu ne l’avoueras jamais, et cette aventure, tu la gardes en toi, comme un secret.
LA MECANIQUE : t’es agile de tes doigts, à défaut de l’être de tes 5 orteils restants. Tu sais trafiquer les moteurs comme personne et les circuits électriques n’ont aucun secret pour toi. T’aimes ça, t’adore sentir le frisson électrique quand tu rebranches quelque chose et que tu sais, de source sûre, que ça va fonctionner. Et avec Deirdre, vous avez fait des miracles sur des bagnoles qui n’avaient plus que quelques kilomètres à vivre.
TATOUAGES : Tu pensais que cela te rendrait plus viril, plus 'mec' aux yeux de tes frères. Finalement c'est le côté artistique qui l'a emporté chez toi : tu aimes ces marques parce que justement, elles renvoient l'image d'un autre, de cet homme que tu es vraiment sous la couche familiale typée Haynes et le vernis social imposé par les autres.
ARTISTE : Après l'électronique, t'as un certain sens de l'art, à ta manière. T'as customisé ta prothèse avec Deirdre en vous marrant comme des idiots, t'élèves des statues de ferrailles au milieu de ton salon qui ne ressemblent à rien et ça te plaît. C'est ta façon de t'occuper, de te changer les idées et d'oublier pendant un temps qu'à l'extérieur, tout n'est pas toujours aussi beau que tu le pensais étant gamin.
BOB : Il est amusant lui avec son déni impossible et son regard un peu trop fatigué par la vie. Tu te rends régulièrement au centre médical pour ta rééducation : apprendre à remarcher n'a pas été facile et ne l'est pas encore toujours. Quelques mois, contre 15 ans avec des béquilles, c'est pas assez pour reprendre les gestes d'antan, alors on t'aide. Tu te marres là-bas, t'égayes leurs journées quand tu t'y rends parce que toi, tu l'as vraiment bien pris ta prothèse et la perte de ton membre. Pas au tout début mais rapidement, t'as surmonté tout ça et maintenant, t'oses en rire, t'oses tout avec ce membre en plastique. Mais Bob, lui, il est sonné. Encore sous le choc de ce qui lui arrive et tu sens qu'il ne te comprend pas, qu'il te regarde comme un extraterrestre. C'est amusant et en même temps, il est toi. Toi autrefois, quand t'arrivais pas à comprendre. Sauf que t'étais qu'un gosse, et lui c'est un adulte : la rééducation sera beaucoup plus longue, mais t'as jamais été le genre de type a abandonné un type au sol.
RETOUR : t'es devant ce Parking que t'as quitté y a 5 mois. Retour à la case départ, face au géant de béton qui te regarde du même oeil compatissant. L'Autre, celui qui t'a ôté à eux sans le savoir, il n'est plus là et tu sais qu'il a autre chose qui l'attend, ailleurs. Incompréhension, quiproquo, non-dits... Tout t'embrouilles l'esprit. Tu veux encore croire à l'amour mais peut-être pas à cet amour-là. Tant pis. Une autre fois peut-être. En attendant, Dei est là. Mü doit être sorti de prison, et y a Tucker et ses emmerdes. T'as hâte de les revoir, vraiment, même si leur première réaction sera probablement une colère que t'as mérité. C'est pas grave. T'es devant le Parking et tu souris. Welcome Bro !
Dernière édition par Wayland Haynes le Mar 9 Aoû - 0:57, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 11:55 | | Toi Bouuuuh VILAIN LÂCHE (Rebienv quand même sale bête.) |
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| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 12:49 | | Lâche peut-être, mais tu m'aimes n'est-ce pas frangine ? Pas taper ! |
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| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 13:04 | | Ré : l: Contente que tu prennes Way |
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| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 13:14 | | Merci les filles ! |
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▹ AGE : Trente-cinq années au compteur, bien trop passées à être une autre, pour finalement n'être plus personne.
▹ APPART : #1105/11ème étage - seule entre des murs froids qu'elle tente vainement de colorer d'une personnalité qui ne cesse de lui échapper.
▹ TAF : Palefrenière la journée, les bottes dans la paille et le crottin, à en avoir des cloques aux mains de manier le balai et la fourche, mais le bonheur indiscutable d'oeuvrer au bien-être des chevaux pour quelques heures de monte comme rémunération qui persiste dans son coeur. Fille de joie, catin des beaux quartiers New-Yorkais une fois que la nuit a enveloppé la ville -et son âme. En recherche d'autres horizons, pour se défaire de la prostitution.
▹ AVATAR : Priyanka Chopra.
▹ DC : L'Irlandais aux poings écorchés (Aisling Ó Luain). (yet to come)
| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 13:17 | | Rebienvenuuuuue avec ce superbe scénario. Hâte d'en lire plus. Et de le découvrir sous ta plume. Je vais prendre plaisir à te stalker sous cette autre frimousse sexy à souhait. (sorrynotsorry) (faudra qu'on songe à des liens ? ) Bon courage pour la suite de ta fichette. |
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| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 13:20 | | Oooh mon très cher, je vais venir EXIGER des liens ! Ta plume, tes persos, ton Ash adorable à mourir : tu penses bien que je vais te harceler |
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| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 13:25 | | ReBienvenue |
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| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 13:48 | | Yoooo rebienvenue ! Encore un frangin à rajouter à l'armée des futurs p'tet potentiel beauf ça commence à faire beaucoup p'tain ! courage pour ta fichette et à bientôt |
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| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 13:52 | | Merci à vous deux !! |
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| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 14:07 | | Merci ! J'avoue, entre Mü, Tucker et Way, ça commence à faire une belle brochette xD |
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« Moelleux comme un Pitch » ▹ APPART : #907 (neuvième étage) entre le ciel et la terre, à mi chemin entre dieu et l'enfer
▹ TAF : prêtre, passeur de la parole divine, engagé dans un tas d'associations locales.
▹ AVATAR : Lambert Wilson
▹ DC : Franz ; Popi ; Éléazar; Nikita
| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 14:13 | | Welk'again brother Tu sais déjà tout ce que j'en pense T'es seksy On ira cassé la gueule aux méchants ensemble |
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| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement Mer 8 Juin - 14:43 | | T'es drôlement bien conservé pour un mec né en 1897, faut que tu donnes tes astuces Rebienvenue |
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| Sujet: Re: Wayland Haynes - La Famille avant tout, le coeur après, et inversement | | |
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