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Anonymous
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MessageSujet: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 13:43
Woody Alan Kipp
j'me suis perdu, j'ai bu la tasse.
Nom kipp, ça sonne comme un surnom mais c'est bien ce qui figure sur ta carte d'identité. Prénom woody, et ça c'en est un, de surnom. En vrai tu t'appelles Woodrow, ça pue quand même le siècle dernier ça non ? Date et lieu de naissance tu es né le 19 mars 1983 au Parking, dans le Bronx.  Âge ça te fait 32 ans même si tu as du mal à réaliser : en avoir passé quasiment dix à l'ombre perturbe le décompte. Nationalité américaine, d'ailleurs tu n'as jamais quitté le sol américain. Origines américaines en majorité, mais il paraît que t'as un peu de sang grec qui coule là. Statut matrimonial tu es célibataire officiellement, mais ça fait des années que ton coeur est pris. Orientation sexuelle t'es hétéro et même derrière les barreaux tu l'es resté. Job ou Activité bookmaker, c'est lui qui prend les paris. Date d'arrivée au Parking tu vis ici depuis ta naissance, même si tu en es sorti pendant neuf ans puisque tu étais en taule. Groupe de ceux qui vivent, t'oscilles entre tout est blanc et tout est noir, le juste milieu n'existe pas. Type de perso c'est un inventé. Crédits SWAN un peu, SWAN beaucoup. Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? oui allez !

Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? Ta mère cherchait un appartement pas cher et elle a trouvé le Parking. C'était le seul loyer qu'elle pouvait se permettre, avec déjà ton aînée dans les bras et enceinte de toi jusqu'au cou. Tu vis ici depuis ta naissance et la seule fois où tu as décidé de prendre ton indépendance et t'éloigner des Kipp s'est mal finie, alors tu comptes bien rester maintenant que tu es de retour.
Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? Tu as du mal à reconnaître tes voisins, beaucoup se sont cassés, certains sont morts ou sous terre, mais l'immeuble est toujours identique à lui-même. Pourri et écaillé, les mêmes graffitis qui ornent les murs - quoiqu'on dirait qu'il y en a moins qu'avant, à croire qu'ils ont été effacés ? - et la même concierge qui court après les loyers. C'est pas le grand luxe mais c'est ta maison.
Quelle est votre réputation au sein du quartier ? C'est le petit Kipp qui est de retour ! On dit qu'il a passé neuf années en taule, on sait pas si c'est un pédophile ou juste un taré mais il a séquestré une ado pendant des mois, à deux pas du Parking. On sait pas s'il finira crevé d'une overdose ou d'une balle dans la tête, mais Woody ça relève du miracle qu'il ait atteint les trente ans déjà.



   
feat harry lloyd
Tu as eu une adolescence chaotique, on peut le dire. Une période caractérisée par un goût insensé pour les conduites à risque et un refus catégorique des limites qu'on pouvait essayer de t'imposer tant bien que mal. Tu es le gamin du milieu. Ton père s'est barré quand il a appris que ta mère était enceinte de toi, il avait dit qu'il voulait plus de gamin, elle l'en a pas cru capable. Elle aurait peut-être dû. T'as grandi avec ta mère, ta grande sœur et ta sœur cadette (enfin, c'est ta demie soeur du coup). Tu n'es pas complètement idiot mais tu n'as aucune culture générale, t'as arrêté bien trop tôt les cours pour ça. Malgré tout tu percutes assez vite, s'il faut prendre une décision quelconque tu sais le faire rapidement : appuyer sur la gâchette ou s'abstenir ? Y'a tellement de violence dans ton corps que ça dégueule de tous les pores. Tu sais pas la contenir alors quand t'es énervé - à savoir, régulièrement, puisque t'es aussi susceptible qu'impulsif - tu gueules et tu passes tes nerfs sur ce qui t'entoure. T'aimes bien les gamins, ça te plaît bien cette spontanéité et l'âme pas encore tâchée par les adultes, tu te prendrais presque pour Peter Pan. T'as encore la clef de l'appart que tu as squatté pendant dix mois, celui dans lequel tu séquestrais une gamine qui avait fait l'erreur de se trouver sur ton chemin. Bien sûr, tu t'es attaché à ton otage. Tu prétendais - à toi-même, puisqu'il n'y avait qu'elle et toi dans ta vie - qu'elle était seulement là pour la rançon qu'allaient te filer ses parents, que s'ils essayaient de te trouver tu lui plantais une balle dans la nuque. T'en aurais été incapable. Doctissimo dit que t'as développé un Syndrome de Lima. Tu sais pas faire grand chose de tes mains, t'as pas vraiment de talent ni même de passion. Le seul truc qui te fait vibrer c'est l'adrénaline, c'est (presque) ta seule came. T'as longtemps cru que t'allais rejoindre le 27 Club. Maintenant t'es persuadé que tu iras pas plus loin que 34 ans. Tu présentes des symptômes du trouble de personnalité borderline, notamment une peur panique de l'abandon, des réactions systématiquement démesurées et en général une grosse difficulté dans les relations avec les autres. En gros, t'es pas facile à vivre.
   
   
Tu dévales les escaliers quatre à quatre en t'accrochant à ton sachet transparent comme un noyé à une bouée. Des impayés, un règlement de compte qui tourne mal, c'est monnaie courante dans les étages du Parking mais ça empêche pas ton coeur de s'emballer à tout va. Tu flippes de te faire attraper, on t'a balancé l'ecsta en t'ordonnant d'aller la planquer dans le sous-sol et surtout ne pas te laisser avoir. Ils s'en foutent, les connards de l'immeuble d'en face, que t'aies quatorze ans ou vingt. S'ils te chopent, tu vas passer un très mauvais quart d'heure, fallait pas venir refiler tes cachetons sur leur territoire qu'ils disent. Techniquement tu empiètes pas sur leurs plate-bandes : tu fais juste la navette, tu planques les pilules sous tes tee-shirt crades parce que tu passes inaperçu avec ta tronche de pré-ado égaré, mais aussi bizarre que ça puisse paraître ces gens là n'ont pas le sens du détail alors que tu sois mule ou un revendeur, tu finiras avec tes dents dans le macadam. Tu ouvres la porte du parking de tout ton poids, manquant de te vautrer sur le passage sans oser jeter un regard en arrière. T'as l'impression d'entendre une horde derrière toi et tu sautes par dessus le capot d'une vieille Chevrolet garée ici, tu te recroquevilles derrière le chassis. Ton coeur bat dans tes tempes, si fort que t'as l'impression que tu vas crever ici même. En apnée, tu plantes tes crocs dans l'intérieur de ta joue pour t'empêcher de reprendre ton souffle aussi bruyamment que tu le souhaiterais. T'entends les pas, les corps qui piétinent et les sifflements exaspérés, t'entends les jurons qui sonnent comme la résignation et enfin les connards de l'immeuble voisin se barrent. T'expires un grand coup. T'attends encore une vingtaine de minutes puis tu remontes chez ton pote - enfin, c'est plutôt un type sans scrupule qui abuse de ta naïveté pour te faire rêver à un avenir blindé de fric qu'un pote - pour le trouver la gueule éclatée contre le parquet, le sang qui a déjà commencé à imbiber le sol. Tu le pousses du bout du pied pour vérifier qu'il est en vie et quand il répond par un geignement plaintif, tu t'échappes, satisfait.
Tu vas encore pouvoir faire chier tes soeurs en ramenant de la thune qui te servira à acheter des bonbecs et pas les partager.


L'ecsta passe entre tes doigts mais le crystal s'infiltre dans tes poumons. Ils sont loin tes quatorze piges, quand tu te contentais de répandre la drogue dans les artères de ton propre immeuble, quand tu affichais une grimace dégoutée quand tu voyais tes "potes" se partager les pipes en verre. Enfin, ça fait à peine trois ans en fait, et pourtant t'as l'impression que ça en fait trente. Ta mère a bien essayé de comprendre ce qu'il t'arrivait quand t'as commencé à aller de moins en moins souvent en cours, mais elle a abandonné quand elle s'est rendue compte que t'y allais plus du tout. Tu passais tes journées dans les appart' pourris des dealeurs du coin, persuadé qu'ils étaient des modèles à suivre. Tu les admirais ces âmes paumées, ces grands corps plus ou moins robustes, leurs veines perforées par les lames qui donnent du courage, l'épée de damoclès au dessus du crâne. Ils t'ont montré comment fumer ta ice, ils t'ont appris à te battre, ils t'ont collé des calibre 45 entre les doigts, des putes au fond de tes draps, des aiguilles au creux des bras. Courbe l'échine, Woody, apprends à recevoir les coups autant qu'à les donner. T'es docile ou bien c'est la drogue qui te rend comme ça Woody ? Et pourquoi parfois tu lâches tout et tu descends dans la rue chercher la merde, juste pour te prendre une droite, juste pour te sentir vivant ?


Tu claques la porte de l'appartement, excédé. Ta mère et tes soeurs se sont encore liguées, à croire qu'elles allaient te sauver avec une intervention à la con. Elles disent qu'elles s'inquiètent, qu'elles tiennent à toi, tu sais que c'est du flan. T'as toujours été le mouton noir de la famille, tu l'as toujours senti jusqu'au fond de tes tripes. C'est à cause de toi que papa s'est barré, t'as l'impression que leurs yeux te gueulent à chaque fois qu'elles les posent sur toi. C'est ta faute, tu pourrais au moins faire l'effort de ramener à graille. Tu pars te réfugier sur le toit, assis au bord du gouffre, les pieds battant dans le vide tu crèves d'envie d'écouter cette voix au fond de ton crâne qui te demande
(te supplie)
d'en finir maintenant. Et tes bras zébrés sont les témoins de ton malaise, tu peux bien tenter de les cacher à grand coups de sweatshirts ça empêche pas que t'as besoin de voir perler - ou pisser, selon si t'as été tendre - le sang pour te souvenir que t'es en vie. Tu fixes le sol et tu te demandes si c'est douloureux, tu te demandes si tu sentirais tes os se péter contre le béton et combien de secondes tu passerais à agoniser avant que tout soit terminé. Tu poses tes coudes sur tes genoux et tu te retiens d'avancer plus, t'as pas envie d'en finir Woody. Pas tout de suite. T'as des choses à accomplir d'abord, tu veux marquer les esprits, qu'on se souvienne de toi.


Le caillou de crystal scintille à travers le verre. Ton pouce vient gratter le briquet et tu laisses la flamme danser sous la paroi. Tu inhales pour te donner du courage, pour que tina fasse son job et te fasse croire que c'est toi le plus puissant et que t'es invincible. Enfoncé dans le siège défoncé d'une bagnole volée, tu zieutes la sortie de l'établissement d'un oeil avide. "Je m'arrête devant le premier lycée", tu t'étais promis en mettant le contact et te voilà. Planqué, à l'affût. Fallait que tu sois rapide, fallait que tu sois efficace, mais tu peux tout faire Woody t'as peur de rien. T'as plus peur. T'expires un grand coup. Tu te promets que la première personne qui sortira sera ta proie, que tu la lâcheras seulement quand tu l'auras décidé.
Et le plan est brillant. Tu enlèves une ado, tu la séquestres quelques temps dans un appartement vide que t'as repéré pas loin de chez ta mère. Tu demandes une rançon, t'empoches la thune et tu disparais dans la nature. T'iras peut-être au Canada. Ou en Europe, tu sais pas, t'as pas encore décidé. Tu cilles à peine et tu n'entends pas la sonnerie désagréable du lycée devant lequel tu prends tes dernières vapeurs de courage. Tu reposes le matos sur le siège passager - et tu jures quand tu te rends compte que ça a glissé et que le tissu pourri est en train de cramer -. T'éteins rapidement tout ce bordel afin de finir carbonisé dans la vieille carcasse et quand tu relèves les yeux, une masse noire d'élèves est déjà en train d'investir les portes. Tu pestes et tu parcours du regard ces groupes de gamin jusqu'à t'arrêter sur une des silhouettes. Elle, tu murmures silencieusement. C'est elle que tu veux, c'est elle que tu auras.

Oh, et tu l'as eue Mattie. Tu l'as suivie, t'as attendu qu'elle passe dans une rue moins fréquentée et en l'espace de dix secondes elle avait fini dans le coffre, vieux sac en papier brun sur le crâne, poings et pieds liés. T'en avais le coeur qui battait à tout rompre et chaque pulsation te faisait trembler comme si c'était la dernière. Tu as tourné en rond pour éviter qu'elle n'essaye de retenir le chemin emprunté, pour qu'elle pense que tu l'emmenais loin de chez elle et loin d'ici, et dès que la nuit a repris ses droits et que les lampadaires ont grésillé faiblement, tu t'es garé devant cette tour que tu voyais de ta fenêtre depuis que t'étais gamin.
Tu ouvrai le coffre, les yeux sombres et le sourire de caïman greffés au visage, tu arrachai promptement le sac qui bloquait la vue de ta victime pour exposer ta sale face aux rayons de la lune. D'un air complice, tu posai ton index sur tes lèvres et murmurai un "shhh !" enjoué. "Si tu gueules, j'irai déposer ta langue sur l'oreiller de ta mère !", tu confiai en chantonnant, complètement défoncé. Sans doute la gamine aurait pu profiter de ton état pour te foutre une droite et décamper, elle aurait eu des chances de s'en sortir, mais fallait croire que t'étais crédible dans le rôle. Tu vérifiai que personne n'était en train de zoner autour de la tour et attrapai l'épaule de la gosse pour la faire sortir du coffre, fermement. Et ton coeur battait à t'en péter la cage thoracique, impossible de te calmer alors que tu t'approchai de l'appartement que tu avais repéré comme inoccupé depuis des lustres et t'en avais presque la tête qui tournait, camé à l'adrénaline. Tu poussai la gosse à l'intérieur du logement et refermai la porte à double tours derrière toi avant d'expirer longuement. Tu lui expliquai rapidement que tu cherchais juste une rançon, que t'allais pas la buter tant qu'elle te causait pas d'emmerdes. Brusque, tu la fis reculer jusque dans la chambre et tu t'installai sur le canapé pour surveiller. Trop haut pour s'échapper par la fenêtre et elle dut sentir ta présence derrière le bois car elle n'esquissa aucune tentative de fuite ce soir là - et tu jurai l'entendre pleurer ou peut-être c'était seulement ton esprit qui te jouait des tours -. La bile au bord des lèvres alors que tu redescendais de ta prise de meth brutalement, comme si tu chutais d'un immeuble et que l'agonie était terriblement lente, tu tardai pas avant d'inhaler de nouveau les grandes bouffées de bravoure, lorgnant sur le crystal en train de fondre comme si c'était le plus beau diamant qu'il t'ait été donné de voir. Et tu restai assis devant cette porte, les yeux rivés sur l'écran de TV et la chaîne d'infos locales que t'avais décidé de regarder.


Mattie. T'aurais pas dû commencer à lui parler, ni même lui demander son nom et encore moins lui donner le tien. T'aurais pas dû la considérer comme un humain, pas la regarder, rien. T'aurais dû sagement attendre que ses vieux ramassent le fric que t'as exigé en échange de leur gamine, c'était pas la peine de regarder toutes les conférences de presse et collecter tous les articles de journaux Woody. Et tu l'as jamais touchée, Mattie, ni même violentée, toujours doux comme un agneau. Le loup dans la prairie. Les premiers mois furent compliqués, à camper des heures devant la porte de la chambre désespérément fermée, à attendre le moindre mouvement qui signifiait qu'elle cherchait à se faire la malle. Et puis t'as commencé à lui parler, le dos contre le bois, et tu savais qu'elle était assise de la même manière de l'autre côté. Ta langue s'est déliée et t'as tout raconté, tes insécurités et ces cicatrices sur tes avants-bras, ton malaise et ces rechutes régulières dans les bras des méthamphétamines. Peut-être que t'étais juste le type qui se sentait le plus misérable dans cette histoire, Woody.
Ça a fini par déraper, éventuellement. Au bout de six mois tu devais admettre que t'avais aucune idée de rendre Mattie aux siens, même contre la rançon, contre rien du tout. Elle savait trop de choses pour que tu la laisses filer dans la nature et surtout tu ne voyais plus comment t'étais capable d'avancer sans elle. Tu t'es attaché, tu t'es agrippé à son âme comme si elle était la seule personne capable de t'écouter, t'as planté ton regard dans le sien en lui faisant promettre de jamais se barrer. Et elle a promis, Mattie, elle a pas dû voir toute la merde qui se trouvait sous ses yeux, elle a pas dû réaliser à quel point t'étais pourri jusque sous tes ongles, elle a dû oublier que tu l'avais foutue dans un coffre quelques mois plus tôt. Mais elle a promis.


Le plan aurait pu être parfait, Mattie et toi en train de disparaître dans la nature, vous deux contre le reste du monde. Mais la gamine est tombée malade, accablée par des migraines à s'en péter la boîte crânienne contre le bitume. T'as fait des allers-retours incessants pour trouver des pharmacies ou des toubibs peu regardants, prétextant avoir les symptômes qu'elle affichait dans l'espoir de trouver le médicament miracle qui le sortirait de sa misère, sans succès. T'as repoussé l'échéance, essayé de la soigner avec des paroles tremblantes, jusqu'à devoir te résoudre à l'emmener à l'hosto le plus proche.
Et tu auras tenu quasiment trois minutes avant qu'un infirmier ne reconnaisse la gamine et donne l'alerte. Tu t'es retrouvé à genoux, le canon d'un Glock 22 collé à la nuque et la moitié des flics du quartier qui t'attendaient à la sortie. T'as retenu ta colère et ta frustration et ta tristesse, et t'as été embarqué et Mattie est restée là. Ta mère est même pas venue au procès et tu sentais le regard lourd, insistant, des parents de la gamine. T'as été patient et finalement tu t'es mis à les fixer en retour, tout le long du procès, leur arrachant des échanges horrifiés et des messes basses non dissimulées - c'était soit ton regard perçant, soit ton sourire carnassier, tu sais plus exactement ce qui les a fait réagir -.


Neuf ans derrière les barreaux. Tu as pris dix, ils ont été cléments en constatant que la gosse avait subi aucun sévice. T'es sorti un an avant la fin de ta peine, pour bonne conduit parait-il - sans doute ont-ils fermé les yeux sur les innombrables altercations que t'as eu dans l'ombre ainsi que sur le joli pactole de clopes que t'avais empoché en pariant et en jouant -.
T'es retourné au seul endroit que tu connaissais, le Parking, t'as vaguement essayé de renouer avec ta mère mais tes frangines t'ont dit que ça allait être compliqué. Elles t'ont aidé à trouver un appartement pas trop cher, t'ont filé quelques chemises propres, vestiges de leurs ex. Et t'essayes de te reconstruire tant bien que mal, comme tu sais faire, un pied devant l'autre pour pas tomber au fond du gouffre. T'es en équilibre Woody et le moindre coup de vent te ferait rechuter.

   
Crooner Curves
passe ta souris !
Ici Earl :hihi: donc tout pareil, je suis toujours #teamIT et j'ai toujours 21 ans et j'aime toujours autant les séries et les chats. Sauf que maintenant j'ai même plus peur de DC GNOE


Dernière édition par Woody Kipp le Dim 25 Oct - 3:16, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 13:45
Tu es fourbe.
Rebienvenu !
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 13:47
Re-bienvenue et courage pour ta fiche ! CUTE
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 14:03
My god t'es trop beau :l: Re-chez toi :l:
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 15:22
à moi NIARK
T'es beau. Rebienvenue JAIME
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 17:03
Ooooh EarlGrey :l:, il est joli ton nouveau bonhomme et j'adore son prénom DE CEUX JAIME
(Woody les cowboy, héro des jouets opprimés ?! *-*) SLIP
Bon courage pour la fiche et baiser sur ton fessier ANGE DE CEUX
Makayla Jefferson
Makayla Jefferson
« Ta future BM »« Ta future BM »
http://www.nous-sommes-de-ceux.com/t7580-makayla-hunt-all-you-wa
▹ DISPONIBILITE : Oui
▹ MESSAGES : 2376
▹ INVESTISSEMENT : 21

▹ AGE : 45 ans
▹ APPART : 1210
▹ TAF : Médecin légiste dans le commissariat du coin
▹ AVATAR : Taraji P. Henson
▹ DC : Geert Grote Lul, Ô dada lie



MA RENOMMÉE DE MERDE :
MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 17:34
Earl reste le plus mignon d'abord Surprised !
Mais rebienvenue quand même :l:
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 18:02
Bob ; trop pas, j'ai rien caché du tout moi c'est pas ma faute si tu me reconnais MEME PAS sur la cb Surprised trop de tristesse en moi. Pour te faire pardonner tu me feras le plaisir de me réserver un lien trop cool dès que je serai validée !

Cara ; merciiii CUTE

Aaron ; pff toi-même d'abord :l: thanks CUTE

Femke ; j'en attends pas moins, je sais que tu peux plus te passer de moi Surprised thanks GNOE

Oliver ; moooh merci ! Pour être honnête j'ai hésité entre Woody et Andy aha, l'esprit des jouets animés s'empare de moooi ! bisou sur ta fesse aussi :l:

Guan ; on est d'accord c'est compliqué de le surpasser, et puis Woody il est pas mignon c'est une machine de guerre sans pitié et sans scrupule pff (enfin presque...) ! merki :l:
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 18:22
J'aime beaucoup ton pseudo Smile
Bienvenue à toi Smile
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 20:37
woody comme dans toy story :hihi:
je surkiffe ton choix d'avatar je l'avais encore jamais vu sur un forum JAIME il a joué dans got si je ne m'abuse HUM
re-bienvenue chez toi! LOVE
Anonymous
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 20:58
re-bienvenue !
omg j'ai même pas RP avec Earl t'as déjà un autre perso intéressant GNOE GNOE
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 21:11
Charlotte ; merci mihihi :hihi:

Nat ; NIARK dans GoT oui ! et moi il m'a trauma dans Doctor Who, il joue un alien trop trop perturbé, j'avais trop aiméé Surprised merci en tout cas !

Cat ; la faute à qui tsss ME GUSTA ? MERKI GNOE
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 22:03
Rebienvenue parmi nous HEH
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyDim 18 Oct - 22:50
Ce que tu es canon !! :l: Rebienvenue chez toi BRILLE
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it EmptyLun 19 Oct - 0:17
Re-bienvenue petit cul :hihi::l:
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MessageSujet: Re: woody - smile like you mean it   woody - smile like you mean it Empty
Sauter vers:  
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