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| | Sujet: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 1:33 | | Fausto Flique-moi Scorza Celui qui vit par le flingue périra par le flingue. Nom Scorza, Prénom Fausto, Date et lieu de naissance le 26 décembre 1979, Âge trente-six ans, Nationalité américaine, Origines un peu d'Italie, Statut matrimonial il dit qu'il est marié, elle dit qu'elle est célibataire... l'Etat de New York dit qu'un joli loft est à vendre à Brooklyn. Orientation sexuelle jusqu'à preuve de la déviance, hétérosexuel. Job flic, le caniveau de la police maintenant, ce que le légiste est à la médecine, le gars de la météo au journalisme, Date d'arrivée au Parking quelques mois, Groupe ceux qui rêvent, Type de perso pré-lien, en quelques sortes, Crédit swan, Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? chef, oui, chef. Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? Fausto n'avait aucune envie de s'enterrer dans ce taudis qui lui sert d'appartement. Avoir les relents de drogue, de sang et de sperme sur le pas de sa porte, c'était le niveau - 20 de ses ambitions... Mais servir sa nation et protéger les honnêtes gens, ça ne paie pas bien. Mais Franco. Ce sale con frappe toujours pour l'entraîner un peu plus profond dans sa fange. Il s'est retrouvé y'a trois mois à signer un bail qui lui file la nausée chaque matin. Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? S'il n'a pas de mépris, Fausto a de la détestation. De pauvres âmes. De sales âmes. Putes et camés, les résidus de la société à laquelle, lui, appartenait. Il se déteste trop pour ne pas, chacun, les haïr. Ce n'est pas sa place. Ceux-là, il sont déjà foutus, ceux qu'on laisse crever en détournant les yeux... l'antichambre de ce qu'il y a après, peu importe ce que c'est, car ça s'annonce à chier. Quelle est votre réputation au sein du quartier ? Il est l' autre frère, le bon jumeau - quand même c'est totalement proportionnel à combien Franco est un sombre enfoiré. Il est le flic qu'on évite et qui le rend bien. On se demande s'il fait seulement son boulot, s'il en a quelque chose à foutre... sûrement qu'il prend des notes, des noms, pour le moment où le capitaine l'aura un peu plus à la bonne et qu'il sera bien loin d'un bon coup de couteau en faire-part de remerciement. Pour le moment, c'est du décor, une flamme ténue. Comme l'ombre du premier-né qu'a perdu le chemin du jour. | feat Christian Bale (DIX) Avec le glock officiel du NYPD, il entretient un Ruger P. C'est l'arme sale, l'anonyme, l'efface-emmerdes... Plus de numéro de série et le propriétaire sur un autre continent. (NEUF) Il a son peu de haine, d'homophobie dans la carcasse, ce qu'il faut pour l'Italie, la police... tout juste ce qu'il faut pour être un peu pédé. (HUIT) Il a eu 1079 occasions d'avoir un gosse mais monsieur tire à blanc. Il y a une chance, selon ce bon docteur mais les gamins, Fausto, s'il y a un certificat médical qui en dispense, ça lui va bien. (SEPT) Ne lui parlez pas Colisée, panini ou Botticelli... il hait l'Italie, pareil à toute l'Europe arrogante et stupide. Il n'a pas quitté l'État et encore moins le pays. Il n'a d'italien que le nom et il est prêt à mourir au son du Star-Spangled Banner pour le prouver. (SIX) Il sourit un peu moins fort, l'étoile montante de la police new-yorkaise. Discret, même anonyme. Fausto commet ses bonnes actions tels des crimes, et il ne va plus réclamer ses médailles : elles ont toutes un revers frappé à sa gueule. (CINQ) Il porte son alliance avec grand-orgueil, qu'importe les cuisses dans lesquelles il loge. Il aime sa femme et elle protège trop bien l'airain terni avec lequel il est né. Ils sont presque divorcés. Il est presque perdu. (QUATRE) Fausto voit un psy deux fois au mois. Ce n'est pas qu'il veuille mais, en haut-lieu, on pense qu'il a un truc à soigner et que c'est une condition à son absolution. La bête, docile, va donc au décorticage débiter des conneries sur son enfance et le lien spécial entre des jumeaux. (TROIS) Il est laconique, pour un condé, un mot doit peser confession. Il y a toujours Franco, ou Felice, pour un commentaire éclairant sur le taiseux, et lui ne cracherait pas une syllabe qui ne soit pas calculée. (DEUX) Il s'est jamais autant fait péter la gueule et il n'a jamais autant aimé ça. Il rend coup pour coup et explose plus d'os qu'on ne peint son corps en bleu(s) mais la dégradation, et le plaisir de le faire, est, doucereuse et délicate, déjà entamée. (UN) Il est prêt à croire en Dieu si Dieu veut bien croire en lui. (ZÉRO) BOOM. Il est mort.
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Nous avions toute la fin devant nous. - Tu veux qu'on la regarde encore ? elle dit, la télécommande en mains. - Je l'ai déjà vue six ou sept fois, ça va aller. - J'insiste, grincent les dents dissimulées par les lèvres maculées au rouge. - Fais pas chier, Lil... j'ai assez d'emmerdes comme ça. Elle s'en fout absolument lorsqu'elle presse la touche qui relance les images depuis le début... comme s'il n'était pas déjà capable de les réciter, de les décrire, les yeux fermés, les objets d'arrière-plan en goodies. Il connaît chaque seconde, pareille à un sale cauchemar qu'on fait et qu'on ressasse, étant gosse. Il sait déjà la fin du film, et c'est à peu près pire que le dernier opus de Mission Impossible et Cinquante nuances de Grey réunis. Ça dure une éternité, et puisqu'il s'obstine à regarder ailleurs, elle fait grimper le son. Il n'y a pas de bande-son sur cette vidéo mais le grésillement seul de l'enregistrement suffit à la manifester en filigrane. - Je veux seulement savoir si ta bite va encore lui finir dans la bouche... L'insinuation. Les mots choisis. Ou le fait qu'ils s'écoulent de la bouche de sa femme. Tout fait sursauter Fausto, dont les muscles se raidissent à l'instant où il avise le poste de télévision. L'image est demeurée figée, comme l'on part pisser à la pub. Et ça ne lui plait pas de voir son reflet s'en prendre au visage d'un type qu'il ne reconnaît pas. Une sale catin de ce frère mal-haï. On y entre pour peu de dollars, et cette petite mise en scène n'a sûrement coûté qu'une poignée de billets verts. Ça le répugne d'autant plus que toute son existence semblait tenir au bon vouloir du maître des putains. Ce sale fils... de leur mère. - Je t'ai déjà dit que c''était pas moi. C'est... - Laisse-moi deviner ? C'est Francesco, c'est ça ? (Lillian a toujours insisté sur le prénom de Franco, précisément à l'image de l'injure qu'on ne réserve qu'au pire et au moins respecté de ses ennemis ; pourtant, cette fois, elle prononce les syllabes à la façon d'une invocation, et le ton est puéril.) J'adore entendre ça, je te jure. Ça fait quoi, une bonne décennie, déjà ? T'as plus quinze ans, Fausto, et tu peux plus te planquer derrière ton connard de frère. - Tu dois me croire, bordel de merde. Si tu me crois pas, c'est lui qui gagne... - A la seconde où t'essaies de m'apitoyer, je te colle mon poing dans la gueule. Elle en déborde d'envie. Il suffirait d'un prétexte, peut-être d'une inflexion de voix... Un lambeau tiède de son époux voudrait tâter de ses limites, piétiner la frontière de sa résistance et voir l'éclat qu'elle lui promet. Elle vomit de la colère, du dégoût et de la vengeance par tous les orifices qui sont donnés à la vue, et ce que le hasard dissimule n'est que pour ménager l'esprit. Tandis que tout s'écroule, sa vie, son boulot, sa réputation – son mariage, il doit encore affronter le miroir à son âme, celui qu'il a choisi plutôt que de s'en voir affliger de naissance. Lillian était l'autre revers, le meilleur de ses penchants, le contre-poids patient, clément et même exceptionnel qu'il avait déniché pour lutter et survivre à Francesco. Ça lui pète au visage et ça lui éclabousse l'espoir. Son existence est passée sous les sabots du frère négligé, et il perd encore de l'énergie et du courage à sauver une chose qu'il avait, de toute façon, déjà perdue. - Alors tu vas te barrer avec le chat et le salon de jardin ? il fait en se découpant un air ironique (et ça ne fonctionne pas, putain, c'est un échec). - Quand j'aurai fini de divorcer avec toi, ce qu'il te restera sera tout juste ce dont j'aurai pas la place dans mon nouvel appartement. - Je croyais que les avocats défendaient les gens. - Je croyais que mon mari ne s'amusait pas à se faire sucer par un gardé-à-vue. Il frappe du poing sur la table. Eh, quoi ? Il s'est redressé pour moitié qu'il est tout aussi dépourvu de poursuite. Elle serait capable de le faire emprisonner pour la seule esquisse d'une menace, même voilée. Elle serait capable de tout. Étrange que Francesco et Lil ne se soient jamais mieux entendus... ils ont de l'excès et du pouvoir à n'en savoir qu'emmerder tous les autres. - Je t'ai déjà dit que c'était pas moi, il articule péniblement. - Alors pourquoi tu n'as rien dit ? Vas-y, je t'écoute. T'as eu l'occasion de te défendre. Combien de fois ? On n'a pas eu la délicatesse de me faire parvenir ce détail procédural avec la vidéo. Un de tes collègues, répond-elle au regard qui pose la question implicite. Il semblait très concerné par ma bonne information, dit-elle satisfaite de pouvoir divulguer l'anecdote. Pour ça, je devrais le suc... ? - Ta gueule, Lil ! Ferme-ta-gueule. Je me fais pas sucer par des pédales, et surtout pas au commissariat. Si t'es pas capable de voir que c'est pas moi sur cette vidéo, tu veux que je te dise ? C'est que t'as qu'à aller te faire foutre. Toi, et tous les autres : allez vous faire foutre. Je vous emmerde, autant que vous êtes. - Mon pauvre garçon... même quand il te fout tellement dans la merde qu'on t'en trouverait jusque dans l'estomac, tu le dénonces toujours pas, hein ? T'es un sale con, Fausto. Pas à cause de lui. Comme lui.
Balladurpasse ta souris ! Dédé, ou Doudou, pour les intimes et les titulaires de la carte du RPR. J'irai troller sur vos tombes.
Dernière édition par Fausto Scorza le Lun 14 Sep - 5:22, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 1:35 | | que t'es beau, on dirait moi |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 1:37 | | Bienvenuuuuuue |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 1:38 | | Aaah le deuxième Scorza Bienvenue au Parking Bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 1:48 | |
OOOOOOOOONH. LE FRÈRE ! LE GENTIL FRÈRE. Contente que tu débarques because, qu'est-ce que j'en peux plus de l'autre ! Oh làlà mon Dieu, il est insupportable. Je ne comprends pas pourquoi vous ne l'avez pas enfermé à triple tour dans un cachot quand il était encore qu'un marmot.
Trêve de plaisanterie, bienvenue bienvenue bienvenue chez nous. J'espère que tu te plairas par ici. Hâte de voir les deux frères en action ( ) puis surtout qu'on se trouve un lien qui dépote. (Je dois t'envoyer un MP i know. )
Sinon, oui j'en profite pour étaler ma vie, because j'ai entendu parler de toi y a déjà peut-être quelques mois. (La faute à Franco.) En fait elle m'a passé le lien vers un sujet Bazzart qui était un débat sur l'inceste et mon Dieu j'avais été fascinée par les réponses tellement awesome d'un certain Balladur. Je m'étais dit : putain tu vas passer pour une creep si tu lui envoies un MP pour lui parler de ce sujet qui datait de Mathusalem. Résultat, je m'étais résignée et je m'étais dit : dommage je pourrai jamais lui dire combien j'ai admiré sa répartie. Voilà aujourd'hui on m'offre cette chance : bordelou tu m'as tellement tellement impressionnée, je te kifaille trop. Voilà, c'est tout. (Yeah, I'm crazy, but that's why people love me so.)
Ta fiche sinon, elle est géniale. Bref, t'es génialissime.
Des mamours sessuelles rien que pour toi.
Dernière édition par Oreste Eliot le Lun 14 Sep - 16:50, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 2:29 | | Mais enfin t'es là. Tu t'es fait attendre, saleté. Contente de te voir |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 3:00 | | VOILA ENFIN LE PLUS BEAU DES DEUX tu m'aimes certainement pas mais moi je suis en amour sur toi. j'espère pouvoir te confondre quelques fois avec ton handicapé de frère ... Bienvenue |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 5:27 | | Je propose effectivement de fonder un contre-club (anti Franco, tiens donc). Ce sera sponsorisé par Civitas, par contre. Je vous remercie, tous autant que vous êtes (y compris à celui qui se fait ses post-it sur ma fiche de présentation soyons fous). D'autant plus que j'ai fini cette petite fiche de présentation (je crois) ; j'attends l'aval du jumeau maléfique pour aller poster au bon endroit. La bonne étoile de Dédé Balladur veille sur vous. |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 8:48 | | Du coup c'est bienvenue ou revienvenue ? Quoiqu'il en soit, cette famille envoie du pâté en croute quoi ! |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 11:34 | | Bienvenue ou rebienvenue... XD |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 11:53 | | |
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« Maman Tapin » ▹ APPART : #1310 avec Tom-Tom & Nana (Tom & Iris)
▹ TAF : Thésarde en Histoire de l'Art renconvertie en Succube du Pussy Box || CamGirl et Photographe de Charme pour arrondir les fins de mois.
▹ DC : Niilo, Ness, Dei, Natacha.
| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 12:55 | | Ah enfin le voilà ! bienvenue ! Mon DC pourra être ton psy si tu veux |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 12:57 | | Ce personnage gère Bienvenue ! |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. Lun 14 Sep - 15:59 | | Et de nouveau merci, même si c'est juste la bienvenue, sans re. |
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| Sujet: Re: (fausto) la vie vous sourit : elle se moque. | | |
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