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Anonymous
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MessageSujet: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptySam 4 Juil - 20:03
Frédéric Johann Honegger
si tu regardes l'abysse, alors l'abysse te regarde.
Nom Honegger, comme le compositeur, mais non, il compose pas et il chante faux, en plus, Prénom Frédéric, aussi surnommé Frankenstein. Parce que sincèrement, ils ont la même gueule, Date et lieu de naissance 27/07 dans un taxi parisien coincé dans les bouchons, Âge Trente trois balais et pas mal d'autres dans le cul, Nationalité Franco-américaine (mange des hamburger aux grenouilles), Origines Françaises, son père étant un parisien pure souche, et sa mère américaine, Statut matrimonial Séparé de sa compagne et de sa fille, Orientation sexuelle Les femmes il les prend, les hommes il les rêve, Job ou Activité Ancien Détecteur de l'armée marine, présentement facteur, Date d'arrivée au Parking trois novembre 2012,  Groupe de ceux qui vivent, Type de perso Inventé, Crédits spacemen,  Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? oui.

  Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? Frédéric a emménagé au parking il y a de cela trois ans, contraint de se réfugier là où personne n'aurait idée de le trouver. N'importe où mais assez loin de la vie, n'importe où mais assez loin de la mort, n'importe où mais loin du ciel et des eaux. N'importe où, juste un endroit dans le noir pour se cacher, un endroit dans le noir pour ne plus jamais ouvrir les yeux. Il venait de perdre sa famille et s'était retiré de l'armée à cause de son état de santé critique. Le Parking était pour lui une tanière ; la grotte du yéti sanglotant dans ses crocs. Dépressif, malade et seul, il était le fantôme de son étage.
  Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? Frédéric n'existait pas la première année suivant son emménagement ; le monde n'existait donc pas autour de lui. Il n'avait ni voisins, ni immeuble, il errait simplement, pas après pas, souffle après souffle. Lorsqu'il est vaguement sorti de sa dépression, il a ouvert les yeux et s'est rendu compte que d'autres gens vivaient là : à sa gauche, à sa droite, sous ses pieds et dans son ciel. Et un jour, il est allé frapper chez son voisin de droite, s'est présenté et a même osé un sourire... Mais sa réputation étrange ne l'aida pas à se faire une bonne opinion de ses voisins. Il trouve la plupart méchants et sauvages. L'immeuble, quant à lui, il le quittera au plus vite une fois prêt. Le Parking est un moyen de faire survivre la chrysalide ; le papillon fuira dès que ses ailes auront battu l'air.
  Quelle est votre réputation au sein du quartier ? Il est laid, il est seul, il est étrange. Au départ, on le prenait pour un fantôme et innombrables légendes courent à son sujet : mort revenu à la vie, terroriste, psychopathe, les voisins se sont fait un cruel plaisir à assaisonner sa vie. On disait aux enfants : "Si vous n'êtes pas sages, nous allons vous emmener chez le fantôme du Parking." Les ados lui balançaient des "Hé Frankenstein !" dans la gueule avant de s'enfuir en courant. Il vit seul dans un appartement pour deux et parfois, on entend des fracas de guerre venant de son antre.
Peu savent qu'il est malade et profondément malheureux derrière son air de pitre insaisissable. Il semble immunisé contre les railleries, bien que ces dernières lui fendent le cœur... Et depuis cette dernière année, il ne manque pas de se venger en profitant discrètement de son emploi de facteur, qui lui permet de connaître beaucoup d'entre vous, grâce aux lettres de vos proches ou aux colis innocents que vous recevez...

 
feat Matt Smith
L'histoire la plus banale au monde : Monsieur Honegger, riche homme d'affaires, se complaît dans un combat acharné avec la plus grande rivale de son entreprise : Madame Jefferson, requin dans le même milieu mais sur la rive Américaine. Et comme de la haine à l'amour, il n'y a qu'un pas, ils se marient cinq ans après l'échec du projet et donnent naissance à deux fils : Frédéric et Sebastian. Les deux garçons grandissent à Paris avant de prendre le cap pour Boston, formés dans les meilleures écoles et destinés aux plus hauts postes que leurs parents s'idéalisent.   A ses dix-huit, Frédéric fait un grand doigt d'honneur au monde, à l'esclavage intellectuel, à l'absence croissante de ses parents et à sa vie morne. Il s'engage dans l'armée marine dans l'espoir d'accomplir le destin d'un grand homme et assouvir un besoin d'indépendance, malgré une santé fragile (bien que stabilisée) qui manque de le bannir des ordres. Garçon aux capacités stupéfiantes, il s'oriente finalement vers le poste de Détecteur, travaillant parfois même comme Détecteur anti sous-marin ; ce travail, au fil des années, le projette au cœur de l'action et des responsabilités, le coupant par la même occasion de sa vie hors de l'eau, et notamment de sa compagne qu'il délaisse maladroitement sur les cotes. Cruellement engagé, très sollicité voire admiré, il se complaît autant qu'il se morfond dans une sorte de solitude, mais l'appel de la mer et du devoir le pousse loin, toujours plus loin des bords. C'est finalement un événement aussi tragique que magnifique qui le fait revenir sur terre : un enfant. Son enfant et celui de sa compagne.   Forcé par sa paternité, il tente de concilier ses deux vies de marin et de père, mais la tâche est ardue et Frédéric est rapidement déchiré par la fatigue et l'angoisse. Sa santé se dégrade dangereusement et, peu à peu, son couple lui aussi dépérit. Entre la terreur d'être un mauvais père, les missives assassines de sa conjointe, la pression de l'Armée et sa santé, il craque et, suite à un procès, cède ses droits parentaux, abandonnant derrière lui sa fille, alors âgée de deux ans. Il s'exile en mer, dévasté, cachant son état psychologique et malheureusement couvert par quelques associés, confiants quant à sa réintégration. Mais le sort s'acharne sur Frédéric, et, lors d'une excursion en mer, il est atteint d'une impressionnante crise d'épilepsie, maladie dont il était pourtant sevré depuis des dizaine d'années. Il est alors contraint de se retirer immédiatement de l'armée ; face à cette décision qu'il reçoit comme une trahison, il quitte définitivement ce monde pour disparaître le plus loin possible de sa vie.   Son épilepsie a refait surface comme si elle avait trente ans à rattraper. L'angoisse de pouvoir perdre connaissance à n'importe quel moment et la peur de mourir, délicieusement assaisonnées par ses échecs l'ont conduit à une grave dépression. Seul et abandonné, il s'est enfermé dans son appartement, au Parking, subissant seul ses crises, faisant face à ses angoisses et sa démence. C'est finalement par pitié que son ancienne compagne, dévorée par la culpabilité, est venue le secourir en lui accordant de voir sa fille, alors âgée de cinq ans. Cette visite l'a aidé à sortir la tête de l'eau : il s'est promis de se remettre sur pieds au nom de sa fille et de revenir à ses côtés. Homme extravaguant et décalé, il répond aux nombreuses railleries (notamment sur son physique qui ne plaît pas à tous) par l'auto-dérision, qui cache en profondeur une contre-attaque de grande méchanceté. Il a une liste sur laquelle il note tous les noms des voisins qui lui font du mal et projette des vengeances qui viendront toutes à terme... Parfois dévoré par la peine, il est capable de devenir violent contre lui-même (physiquement) ou contre autrui (verbalement le plus souvent) Il est facteur depuis maintenant plus d'un an. Très peu savent qu'il est un ancien marin. En réalité, très peu connaissent les détails de sa vie : il reste le fantôme du Parking, ce con étrange qui erre dans les couloirs à la recherche du néant. Il n'a eu aucune relation sérieuse depuis sa rupture, mais il ne sait pas refuser les avances des autres ; parallèlement, c'est une quiche en séduction malgré son charme indéniable (qu'il ne met pas toujours en avant, certes) Depuis cette année, il a ouvert sa vie sociale et a fait beaucoup de rencontres, ce qui a en grande partie favorisé la guérison de sa dépression. Son épilepsie, quant à elle, en est au même point et reste dangereuse et très handicapante. Il la cache, honteux, et peine à s'attacher aux autres de peur de les exposer à sa maladie, et les forcer inconsciemment à s'engager envers lui Sa dépression passée, il s'est promis d'être toujours très bien habillé, même le dimanche Il reprend le sport depuis cette année, bien qu'il ait beaucoup perdu lors de son état de larve handicapée. Il court beaucoup, nage et revient sur les rings de boxe Il adore raconter des histoires, réelles ou fictives et a un réel don pour la comédie. Attractif sans jamais être envahissant, il est un ami sur lequel on peut compter, bien qu'il soit totalement irresponsable (comme s'il voulait à tout prix oublier les cadres de l'armée) Il a horreur qu'on l'appelle Fred Depuis son engagement dans l'armée, ses parents l'ont plus ou moins reniés, furieux d'apprendre qu'il ne voulait pas se soumettre au destin tout tracé qu'ils lui offraient. Peu à peu, leurs relations se sont adoucies (notamment lors de sa grave dépression) et aujourd'hui, la famille peine un peu à se souder à nouveau même si la tâche est difficile Son jeune frère frère, Sebastian, est une des rares personnes qu'il n'a jamais oublié en mer. Parallèlement, Sebastian ne lui a jamais reproché de partir. Frédéric a toujours été son modèle, et Sebastian s'est lui aussi rebellé contre l'autorité parentale pour choisir une voix qui lui convenait. Lorsque Frédéric était au plus bas, c'est Sebastian qui venait lui rendre visite au Parking, inquiet et déterminé à aider son frère ; s'est également lui qui a convaincu son ancienne compagne à venir. En soit, ils sont très proches malgré leurs différences En réalité et en dépit des rumeurs, Frédéric et un homme doux, tendre et attention avec les gens qu'il aime. Tactile, il privilégie les gestes au mots.
 
 
Il l’entend.

C’est un murmure, mal articulé ; quelques mots qui s’échappent dans le vent : le champ des sirènes, au loin, les mélodies tragiques des marins échoués.

Il l’entend, l’appel de la mer. Il entend même ses bras qui viennent et repartent, tantôt chaleureux, tantôt destructeurs. Il l’entend lui dire qu’il n’est pas fait pour fouler le sol, qu’il doit partir, partir vite et loin.

Frédéric baisse la tête sur le sable blanc ; l’eau à ses pieds continue à murmurer son prénom, à hypnotiser son esprit, à lui crever les tympans de son souffle éternel. Plus loin, l’eau se fracasse contre les pierres, comme elle le fait parfois contre les bateaux lorsque les marins s’activent dans l’angoisse mêlée à une forme de calme professionnel. Ils font un pacte avec la mer, ils savent qu’ils peuvent ne jamais revenir. Mais c’est comme partout ; on devrait tous faire un pacte avec la vie, savoir qu’on pourrait y rester, au coin de cette rue. A l’époque, Frédéric n’a pas peur. Frédéric n’a aucune idée de ce que cela peut être, la mort.

Il sent une main se glisser sur son épaule : c’est sa compagne qui s’inquiète poliment. Voilà encore son amant qui rêve d’ailleurs, de là où elle ne serait pas. Elle le voit malheureux d’avoir renoncé au large (mais pour combien de temps ?), elle le voit perdre son souffle de jour en jour, loin des vagues. Puis elle pose son regard sur l’enfant qui joue sur le sable et qui finit par le goûter avec toute la naïveté du monde. Elle se dit que Frédéric trouvera tout le bonheur du monde dans ce petit être.

Et Frédéric entend. Il entend l’enfant qui tousse, grimaçant sous ses découvertes. Son enfant : sa fille, sa Marion. Et il arrache son regard au large (la mer la retient de ses cris, mais Frédéric, poussé par la puissance d’un père, la repousse d’un battement de cils) et va retrouver son enfant avant de le prendre dans ses bras. La minette ne tarde pas à rire, passant ses minuscules bras autour de son père, lançant au monde un regard curieux.

Et Frédéric la mène au bord de l’eau, lui montre l’infini de l’océan et lui parle. Il lui raconte. Il lui dit qu’à la frontière du ciel et de la mer, il y a un autre monde. Il se confie et lui dit qu’un jour, ils iront ensemble, qu’il lui montrera les secrets des profondeurs, l’infini du ciel, les étoiles uniques qu’on aperçoit qu’une fois perdus au large.

Madame écoute d’une oreille distraite aux nuances inquiètes. Elle n’aime pas quand son compagnon s’emballe, elle n’aime pas savoir que la mer lui manque tant : et elle ? Lui a-t-elle autant manqué un jour ?

Mais ses larmes se perdent dans l’océan et Frédéric ne les voient même pas, absorbé par ses récits. Il ne voit pas, il ne voit jamais. Sa véritable compagne, elle se tient devant lui : infinie et libre, à personne et à tous, violente et douce.

Et il l’entend l’appeler à chaque fois, sans jamais entendre les autres. La mer est égoïste, la mer n’a pas de limites, la mer n’écoute pas. A vivre en elle, on devient tout comme et il n’y a pas de retour. On signe un pacte, une promesse ; on y laisse son cœur et on offre son esprit.

C’est le prix à payer, la superstition pour survivre et l’inavouable drogue : on finit tous par y sombrer. Et Frédéric sombrera.

 
Kataii
passe ta souris !
Weshé. Ca va bien ? Moi ça va aussi, posé. Donc moi c'est Maria, mon truc à moi c'est la 'zik. Mais genre, la 'zik classique. Ouais, voilà, Mozart, Beethoven et tout ça. Donc dans la vie, j'étudie tout ce beau monde et comme je bosse mon violoncelle comme une acharnée, j'suis pas beaucoup là, voilà, c'est vrai. Mais je suis là MIAOU Je rpote quand même régulièrement le week end à moins que je sois entre la vie et la mort (ce qui arrive assez fréquemment quand j'y pense *oui, je me vend bien, hein ?*). Voilà, je peux vous aimer maintenant, s'il vous plaît ?  CUTE


Dernière édition par Frédéric Honegger le Dim 5 Juil - 15:52, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptySam 4 Juil - 20:26
Ooooh ton perso a l'air bien cool BRILLE Bienvenue :l:
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptySam 4 Juil - 20:31
J'aime ce que tu as écrit :l:
Bienvenue au Parking :l:
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptySam 4 Juil - 20:41
Merci les belles têtes que vous êtes Crying or Very sad :l:
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptySam 4 Juil - 20:47
Bienvenue. :l:
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptySam 4 Juil - 20:52
Merci toi :l:
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptySam 4 Juil - 22:14
Han Matt POTTE Facteur, j'aime HEH

Bienvenue HAN
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptySam 4 Juil - 22:17
bienvenuuuue
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptySam 4 Juil - 23:37
Bienvenue ! :l:

Il est trop chou le docteur ho Bon courage pour la suite de la fiche, ce perso a l'air de déchirer du poney-licorne :l:
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptyDim 5 Juil - 0:09
Satine : Benwai, facteur, je sais où t'habiiiites... MIAOU

Avery : Merci CUTE

Elior : Merci beaucoup beaucoup CUTE J'avoue que même si je suis très Tenantienne, Matt était parfait pour mon idée FAN
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptyDim 5 Juil - 0:21

Je ne regarde pas Doctor Who, je suis traumatisée par Matt Smith depuis que je l'ai vu dans le film de Ryan Gosling (Lost River) parce qu'il joue un gros psycho pas bien dans sa tête.

MAIS.

Mais j'aime ce que j'ai lu du perso. J'aime le pseudo. J'aime les avatars que tu as choisis. J'aime ta signature et le petit texte. J'aime la photo dans ton profil.
PAR-DESSUS TOUT, j'aime le métier de ton personnage, sérieux, j'trouve ça trop classe et orginal. Et pourtant c'est un métier qui est banal pour tout le monde. On ne pense jamais à nos facteurs, dans la réalité.
BREF. J'aime beaucoup. DE CEUX

Et je crois que je viendrai sûrement squatter ta fichette de liens quand tu seras validé. MIAOU J'ai même déjà une petit idée je pense. CUTE

En tous les cas, bienvenue parmi nous et bon courage pour la fin de la fichette. I love you FAN

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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptyDim 5 Juil - 0:27
Bienvenue ! Ton personnage fait rêver coeur CUTE
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptyDim 5 Juil - 0:43
Bienvenuuuuuue BRILLE Un facteur, c'est original ça BRILLE Et un ancien militaire MIAOU Je pense que je viendrai t'embêter pour un lien avec mon DC MIAOU Bon courage pour la suite de ta fichette, have fuuuuun here ! coeur
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptyDim 5 Juil - 2:43
des hamburger aux grenouilles HEU CUTE
bienvenue Frankenstein What a Face
bon courage pour la suite de ta fiche CUTE
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MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. EmptyDim 5 Juil - 11:21
Bienvenueeee :l:
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: (frédéric) moi, moche et méchant.   (frédéric) moi, moche et méchant. Empty
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