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MessageSujet: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 2:50
''Jo'' Jocosa Lark Bravo
i cannot find my own way home.
Nom - Bravo, le portugais qui coule en toi de par ton père. Ce sang brillant, que tu ne crains même pas lorsqu'il gicle sur ta peau. Ce père nature trop loin, sous lequel tu pourrais bien t'enterrer, pour y renaître, nouvelle. Âge - Elles se sont additionnés, t'on donné l'air d'un été qui dure, perdure, devient indien. Pourtant tu sens que la rose se fane, de plus en plus rapidement, alors que tu fais disparaître cette ligne menant au ciel, tu sais que tes vingt-trois ans ne rejoignerons jamais les cents. Ça te fais trembler, alors t'allumes le calumet, même quand t'as pas d'amis pour le partager. Tout pour toi. Nationalité - Née le 4 juillet, avec l'aigle tatoué sur le coeur, enfant du vieux Sam, on te prend pour une étrangère, une immigré, mais tu n'as toujours connu qu'ici. Le brésil de tes géniteurs n'as jamais foulé tes pieds. Enfant d’immigrants rentrés chez-eux, te laissant perdue, derrière, alors que tu promet que tout vas bien. T’étouffant dans un rire pour cacher toutes ses idées noires de prendre la ligne de trop. Origines - Le portugal et le brésil se sont fait la paix, la guerre, puis la paix et encore la guerre. Ils se sont fait une enfant, puis sont partis, lui laissant l’Amérique, ses États désabusés, dans tous leurs états, ce rêve déchu et tous ses problèmes. Statut matrimonial - Trois ans, un siècle, des millions d'année, une bonne partie de vie. Et en un clin d'oeil, en un pétard plus rien. Il a frappé cette putain de route, comme si t'avais jamais existé, comme si t'étais pas importante. Murmurant qu'il allait revenir, mais t'y as jamais cru. Il est parti rêvé ailleurs et depuis qu'il n'est plus là, tu as l'impression qu'on t'as oubliée dans une boîte. T'étais donc quoi avant lui ? Orientation sexuelle - Avec tout ce qui est bon, tu ne fais pas la fine bouche. Tu goûte, jusqu'à t'en dégoûter, jusqu'à t'en sentir moins que rien. Qu'est-ce que la sexualité, de toutes façons. Le genre dégendré, ce n'est même pas tout le  monde qui en a un, qui s'identifie par un ou l'autre. T'es perdue, comme partout. Job ou Activité Vibrante sous tes pieds, dans ta taille, envahissant toute ta tête, possédant ta gorge, tout le temps. La musique a toujours été ta passion, ta thérapie, ton thérapeute. Il s'est désintégré ton groupe, ta deuxième famille, tout ce que t'avais, après lui. Tu n'as devant toi que la solitude et la musique rap qui te réchauffe alors que t'aspires encore les rêves, la douceur de cette vulgarité pourtant si vraie. Date d'arrivée au Parking Avec lui, avec cette moitié de toi qui a foutu le camp, il y a trois ans. Vous étiez amoureux, heureux, excités. Bientôt le bordel était votre nouveau colocataire, mais ils sont partis tous les deux. Il ne te reste que le vide, la douleur et deux chats. Le froid était déjà entré lorsque vous êtes arrivés, pour vous tenir au chaud, glacer ce qui était né de votre amour. C'était quelque part en décembre, tu as oublié, et t'as même fait exprès de l'oublier. Groupe De ceux qui n'y croient plus vraiment, ceux qui ont refusé de rampé, ceux qui ne rigolent plus vraiment de rien, de ceux qui survivent.Type de perso Inventée. Crédits amortentia  Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? Absolument  :l:

Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? Le temps que l'amour dur, celui qui, au fond n'existe pas, n'est qu'une illusion passagère, une réaction chimique qu'on fout dans le space cake, pour avaler la bouillie pourrie. Maintenant au trente-huitième mois d'habitation. Trente-huit putain d'ième de chèque versé au proprio, qui se paie moins bien depuis qu'il a foutu le camp, que tu songes à vendre ton corps alors que tu brûles tout ton argent, le roulant, t'en poudrant le nez, pour l'oublier. Tu étais emménagée avec lui, par amour, construisant votre petit nid d'amour dans ce trou à racailles. Heureusement que Jack est là, qu'elle prend sa place dans ton lit, te sort de tes cauchemars en baiser que tu étouffes au fond de ta gorge en rigolant, comme si c'était une charmante plaisanterie, sept fois rien.
Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? De la racaille. Pourtant t'en fait partie. Pas mieux, pas pire. Tu râles souvent, sans gêne, pas la tienne du moins, criant tes conneries comme s'ils étaient tous des putains de sourds, avec un casque d'astronaute sur la tête, un scaphandriaconneries. N'empêche qu'ils sont ton oxygène, ton inspiration, tes muses, ta musique. Celle de leur bordel, leurs problèmes, leur folies, leur drogue, leur poésie de fond de cendrier, leurs rimes de dix dollars dans le cul d'un pute. Tu l'avouera peut-être jamais, trop occupée à faire ta forte, ta sauvage, mais tu les aimes bien. De la vieille folle au bout du couloir au jeune taulard de l'autre bout, tu racontes quelque part leur histoire, tu essaie, même si tu rap faux.
Quelle est votre réputation au sein du quartier ? La fille qui fait du bruit, marche, chante, râle, rap et baises fort. La fille pas trop fifille, qui se prend pour une dure à cuire, mais qui n'en est pas moins sensible. L'amoureuse déchue qui croit plus en rien et qui crache sur les tourtereaux aveugles. La fille qui jure, qui a pas vraiment de boulot, pas vraiment d'argent. La fille qui achèterais de la poudre à n'importe qui, qui ferait peut-être aussi n'importe quoi pour en avoir. Un suicide blanc poudré à la fois. La fille qui semblait autrefois avoir un rêve, celle qui chantait dans les bars, qui a tout perdu en même temps, celle qui ère et s'enterre. Celle qui survit.


feat Pheobe Tonkin
Bleu, avec des étoiles blanches dedans. C'est le ciel ce tu verses chaque matin et soir sur ta brosse à dents. Parce que si t'as vie est en bordel, c'est la seule chose qui est saine et intacte ; ton hygiène dentaire. Tu es capricieuse sur ton dentifrice; il te faut celui avec Spider-Man sur l'emballage, celui qui fait qu'on te demande si t'as des gosses. C'est toi la gosse, utilisant la même pâte à dent que quand tes parents sont partis, que la fée des dents est morte. Tu te prend pour Lily la tigresse, tu penses que t'es une sale gosse capable de détruire des mâchoire. Le truc c'est que tu t'es jamais vraiment battue, même si tu fais comme si t'étais une pro de la boxe. Tu fais celle qui est touchée par rien, mais tu n'es qu'une toute petite fille qui pleure, hurle à l'intérieur, qui font d'amour au moindre sourire, en de masses roses à paillettes que t'enterre sous la suie, te déguisant en phoenix. L'amour n'as jamais eut quinzes balles pour toi, l'amour de ta vie est né depuis peu. Il se nomme Jude, et même quand il hurle pour te dire bon matin, ce n'est pas moins avec un sourire que tu vas le prendre dans tes bras, le noyer affectueuse dans le jus d'orange. Ton neveux est la prunelle de tes yeux, ton ex en était même jaloux, et avec raison, Jude a toujours été ton amant à suce et à couche-culotte. Il était beau, ton amour, comme celui qu'on raconte en disant que c'était beau. Amoureuse de l'amour ne se cachant nullement à cette époque, tu as courtisé ton âme, t'offrant, de désoffrant et contre-offrant. Il te rendait dingue et jouait les inaccessible, même si tu lui ouvrais grand les portes de ton lit et des mélodies de sirène. Il prétendait être sourd, aveugle et con en plus. La soirée où tout a basculé, tu allais abandonner. Tu avais déjà une autre proie en vue, pourléchant tes lèvres à l'idée de sa chaire, crute, fraîchement attrapée. C'est peut-être de voir ton regard de lionne affamée sur quelqu'un d'autre qui l'as fait revenir ; vous avez terminer la nuit, vos trois ans, enlacés, dans un lit. Les plus belles et les plus douloureuses années de ta vie. Maintenant il ne reste que son fantôme, vos photos. Pourquoi il est pas plutôt mort ? S'aurait peut-être fait moins mal au thorax. Fuck. Raconte 10 points cruciaux sur ton personnage, sa marque de dentifrice habituelle ou encore la pointure de ses chaussures, ce genre d’éléments indispensables quoi ! Raconte 10 points cruciaux sur ton personnage, sa marque de dentifrice habituelle ou encore la pointure de ses chaussures, ce genre d’éléments indispensables quoi ! Tu hurles, pas que de plaisir, dans les nuits sombres. Tu as peur du noir, mais en fait, pas vraiment. Tu en recouvrir tes yeux, tes cils, tes épaules, tes seins, ton sexe, tes lèvres, c'est ta couleur à toi, celle que tu aurais voulu qu'est ta peau, délicieuse comme du chocolat. Pourtant la nuit, seule dans le noir, tu n'arrives pas à fermer l'oeil, tu paniques, te crée des films d'horreur au quatre coin de la pièce, accompagné des cris venant du couloir ou de la rue dehors. Quand tu trouves enfin le sommeil, il n'est pas paisible, tu cauchemarde toutes les nuits, tu rêves des choses horribles, que tu n'arrives pas à raconter. Il avait réussis à te guérir, simplement pour te faire replonger plus bas en partant, ton médecin t'as abandonné, était-il imaginaire, putain ? Raconte 10 points cruciaux sur ton personnage, sa marque de dentifrice habituelle ou encore la pointure de ses chaussures, ce genre d’éléments indispensables quoi ! Tu n'aimais pas vraiment perdre le contrôles, tenant fermement les rênes de ta vie avant qu'elle ne se venge sur toi. Depuis qu'elle t'as fait ce coup de salope, tu lui en redonnes de plus belle. Tu t'éclates la tronche à tout ce que tu peux. Tu as tes chouchous, la jolie neige qui tombe sur ta table et qui remonte en toi, défiant les lois de la gravité. Tu aimes aussi la mary-jane, celle nouvelle conquête si délicieuse après des ébats. Avant tu aimais boire avec modération, maintenant, tu oublies la moitié de tes soirées. Tu t'en vantes comme si ça ne te dérangeais pas, avant plus d'alcool pour étouffer qu'on a peut-être abusé de ton corps pendant que t'étais K-O. Tu crois plus en l'amour, c'est terminé. Le conte de fée est terminé et tous les putain de livres on brûlés, la biblio au complet. Ça existe plus, c'est qu'une excuse pour laisser les gens nous faire du mal. Tu as décidé de cesser d'aimer, ou, du moins, de l'avouer, de chercher à le partager, l'accoupler. Personne n'as dit que s'allait être facile et ce ne l'est d'ailleurs pas, quand ton ventre se tord pour un rien, que t'as envie de te lancer, lui foutre un poignard dans la main, pour qu'ils t'ouvrent encore, encore, encore.  
Ce matin est le plus dur, mais il est moins pire que celui qui viendra après ce soir. Chaque jour ça creuse, en tout, en toi. Mal de tête, mal de coeur. T'ouvres tes yeux, tu te sens, mal. Ton coeur se lève alors que toi t'es encore endormie. Il s'élance, hors de tes lèvres, avec tout ce que t'as bien pu prendre hier soir, pour remplir ton ventre trop plat, trop vide. Ça se déverse, en torrents, tes yeux s'ouvrant pour attraper une bouée en forme de corbeille. Vomissant toute ta dépression, ton coeur brisé, tes tripes. Tu t'en sors, retrouve enfin un peu d'air marin, tes yeux plissés, tu vas crever, tu t'es noyé dans la fermentation de fruit, de tout ce que la nature vous a foutu à l'intérieur. Tu t'agrippes aux draps noirs à l'odeur hostile. Un ras-de-marré de couverture à tes côtés te jettent de nouveau par-dessus bord, sonnant l'alarme du réveil brutal. Femme à la mer, atterrissant dans les eaux brutales de ce tapis bleu qui râpe tes genoux, te laissant découvrir que c'est pas la première fois, tes jambes déjà brûlées de la veille, probablement, t'en sais rien, tu craches tout ce mal qui a grandis en toi. Espérant qu'il n'en reste plus rien, mais tes prières sont veines, les dieux t'en veulent et tu les envoies encore chier. Tu reprends doucement conscience, sur le bord du rivage aride, ouvrant tes yeux, cherchant le foutu pirate qui t'as ramenée sur son navire. Ton coeur râte de s'enfuir encore, tu le retiens, ça t'écoeure, ça t'enrage. Il a ce sourire de voyant charlatant qui croient qu'ils chient des boules de crystal.

Je t'avais dis que je t'aurais; - Va chier. Jappes-tu alors que tu ramasses tes bouts de dignités sur son plancher, les attachant négligemment à ton corps avant de foutre le camp. Tu te traînes, rampe jusqu'à l'extérieur de son enfer, pour te retrouver dans un des couloirs de ta propre demeure, le parking. Tu vas crever ici, tu veux crever ici, maintenant, sous une pierre, sous la honte de son odeur qui couvre encore ton corps désarticulé. Ton souffles brisé arrive tout juste à trouver la vie pour te ramener à la maison, chez-elle. Jack. Ton alcool préféré, ta nouvelle drogue, à laquelle t'as toujours été accroc. Ton orage, ton soleil, tout ce que t'as, qui te file entre les doigts. Tu veux ses bras, le creux de son cou, ses ongles, mais tu te dégoûtes, suintant comme une gangreneuse. Tu vas donc t'achever, te noyer, cracher tes derniers regrets sous la douche, pour boucher le drain, te nettoyer de tes pêchés. T'enrouler dans son odeur à elle, celle où tu te sens toi-même.

Tu sèches même pas, glissant comme une sirène sortie de l'eau, sous ses draps, contre son coeur en sueur. La couvrant de baisers, petite chatte repentante, dans tous les sens du terme. Tes lèvres attrapent les siennes, l'alcool assommé sous le goût de la menthe fraîche, ta langue lui disant gentiment bon matin, tout comme ta main, glissant sur son ventre, à la recherche d'un trésor, aventurière. Vous vous roulez dans les draps, comme on emballe et déballe des bonbons, les roulant sur vos langues dans des soupirs qui sonnent comme des farces pour deux amies telles que vous, jusqu'à ce que des pleurs viennent vous appeler à l'aide. On se noie dans sa merde de l'autre côté du mur, vous devez vous rendre à la rescousse. T'es devenue maman lesbi, sans vraiment la savoir ni l'avoir cherché, demandé.

Ce n'est que lorsqu'il est de nouveau assommé, le petit bébé, que tu reviens tranquillement à la vie. Le ventre vide, la bière coule bien. Quoi, c'est pas des céréales ? Un flamme naît de la turbulence et fait partir la tienne en fumée. Tu commandes de la malbouffe, des burgers, de frites, du coke, de la coke. Tu trouves enfin un peu de lumière, l'attrapant avec précaution du bout des doigts, la couchant sur le papier, faisant doucement l'amour à chacun des mots que tu fait rouler sur ta langue, tapotant la table, murmures pour ne pas réveiller les anges qui dorment. Tu commences à trop gigoter, alors tes doigts glissent jusqu'à Lola, lui demandant des ses nouvelles, ce que vous faites ce soir, elle est où la fête, Maud vas être là ? Et c'est repartis. Tu te perds en mer, mais tu ne te retrouve jamais vraiment. T'es comme prise dans des sables mouvants, qui te laissent mourir de faim. Putain, comme il te manque ton ex. L'alcool coule encore en toi, tes mains caressant les touches qui lui envoie ses messages au sirop d'érable que tu regretteras demain. 

CalamityJane
passe ta souris !
J'aime l'anonymat, donc voilà. Je suis une fille de forums, qui va et vient. J'aime les surprises et ne pas trop savoir avec qui je rp. Si vous croyez qu'on se connaît d'un autre forum et que vous voulez en savoir plus, n'hésitez pas à me mp, mais voilà. J'aime être mystérieuse. HEHE


Dernière édition par Jo Bravo le Sam 30 Mai - 9:20, édité 15 fois
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 3:13
Bienvenue :l:
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 3:16
Oh mon premier. HAN BANANE :l:
Merci beaucoup. I love you
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 7:51
Elle est belle OMG

Bienvenue, bon courage pour ta fiche :l:
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 9:11
Bienvenue :l:
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 9:51
Merci beaucoup :l: J'espère que le personnage plaira également. JEREM LE HERISSON Smile
Et Merci m'sieur McKenzie. I love you
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 9:53

Oh mon Dieu, Tonkin, cette déesse. BAVE2 MIAOU OMG (Je meurs de la jouer un jour en RPG. MDR)
Pourtant, je ne suis absolument pas fan des séries TVD et TO mais je lui trouve un tel charme à cette nana putain ! I love you FAN Tu as vraiment fait un excellent choix !

Bienvenue au Parking, en lisant rien que ton profil ton personnage promet d'être super intéressant. SADIQUE Hâte de le voir évoluer ici ! UP
Bon courage pour la fichette. coeur

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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 10:00
Awwww, mais regardez le petit amour qui débarque sur ma fiche. HEHE JAIME
Moi non plus, je ne suis pas fan de ses séries et je n'étais pas non plus fan de H20, le truc de sirènes MDR SADIQUE Pourtant, oui, je la trouve sublime et moi aussi, il y a longtemps que je veux la jouer :l:

Merci beaucoup, ça m'encourage beaucoup à vous pondre la suite dès qu'un peu de sommeil aura coulé sur moi. GEEK SADIQUE
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 10:18
Tonkin, Jo(hnny) Bravo MDR MDR Je rigole toute seule ARROWluvCharlie

Bienvenue en tout cas, excellent choix POTTE
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 10:26
T'as vu, t'as vu. MDR OMG
jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. Tumblr_lv2tu2Qtxi1r3roq0o1_400
Merci Twisted Evil HAN
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 11:01
Ton prénom est très original ! Cool

Bienvenue et bon courage pour ta fiiiche DANCE
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 11:02
Phoebe est une princesse, elle est belle, mais tellement belle, tellement I love you JAIME Bienvenue parmi nous DE CEUX coeur Bon courage pour terminer ta fiche MIAOU
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 11:16
ohlala mais quelle plume ! t'as écrit juste un p'tit bout mais j'aime déjà Crying or Very sad Crying or Very sad
bienvenue ! hâte de lire la suite ho
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 11:22
Phoebe est tellement belle, tu as fait un excellent choix BAVE2
Bienvenue et bon courage pour ta fiche, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec cette bombe JAIME
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. EmptyLun 25 Mai - 11:37
J'adore le pseudo HAN
Bienvenue au Parking BRILLE :l:
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MessageSujet: Re: jo bravo ; the more i try, the more i'm lost.   jo bravo ; the more i try, the more i'm lost. Empty
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