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| Sujet: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Lun 30 Mar - 23:15 | | Joan-Jane Percy Anderson Elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu. Qu'on prend pour l'océan, dans lesquels on voit Dieu Nom Anderson, ou l'héritage d'une mauvaise mère qui n'a pas su garder un mari pour donner son nom à son enfant. Anderson, ou le reflet d'une relation extra-conjugale, d'un mensonge, d'une bâtarde.... Prénom Joan-Jane, la combinaison de deux prénoms qui n'ont rien à faire ensemble. Comme deux mondes qui se confrontent et crée quelques choses de beau. Du coup, elle a fait le choix. Le choix qu'on ne l'appelle plus que Joan. Ou J-J pour ceux qui la connaisse un peu plus. Pour son deuxième prénom, Percy, il paraît que c'est celui de sa grand-mère maternelle. En réalité elle ne l'a pas connu et soupçonne depuis toujours que ce soit le nom du chien des voisins... Date et lieu de naissance le vingt trois novembre mille neuf cent quatre vingt onze, dans la banlieue d'Austin, au Texas Âge vingt trois ans Nationalité américaine Origines Aucune, dit que dans la famille Anderson, on n'était pas trop arbre généalogique et photo de famille. Du coup elle ne sait pas grand-chose de ses ancêtres. Statut matrimonial On la dit célibattante, on dit qu'elle a des moeurs légères, mais ce n'est pas vrai. Elle aime aimer et être Aimée Joan, elle s'attache vite Joan, elle le regrette aussi vite. Et elle oublie dans les bras d'un autre. Orientation sexuelle hétérosexuelle, la question ne se pose pas Job ou Activité quoi de plus gratifiant que de promener les "toutou" des riches habitant de Manhattan ? Enfin, c'est pas trop mal payer, et puis c'est pas le boulot le plus difficile qu'elle ai eu à faire... En attendant, elle danse de temps en temps dans un bar du Bronx, toute occasion de danser est bonne à prendre. Groupe de ceux qui rêvent Type de perso inventé Crédits Applestorm sur bazzart Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? oui, mais je ne pense pas qu'il y en aura Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? Il y a presque six mois, la moitié d'une année. Elle est arrivé du Texas avec son pick-up pourri, elle chercher un endroit pour vivre, et avec le peu d'économie qu'elle avait, c'est le Parking qui s'est offert à elle. Elle n'a pas fait la difficile Joan, elle a pris ce qu'on lui offrait, après tout, c'est toujours mieux que de vivre dans sa caisse... Une petite annonce, une coloc, un appart, et une nouvelle vie qui s'offre à elle. Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? Disons que cet univers n'est pas si différent du sien. Enfin, de son ancien. Disons qu'elle s'est sentie rapidement chez elle. Disons que la saleté, la misère, elle y est habituée. Disons qu'elle y a rencontré des personnes incroyables qui lui ont fait aimer le Parking. C'est sa maison maintenant, celle quelle chérie, celle qui l'a accueillie comme si elle avait toujours du vivre ici. Disons qu'elle a emménagé récemment, mais qu'elle fait déjà partie des meubles, des murs, comme si elle faisait maintenant partie des fondations. Quelle est votre réputation au sein du quartier ? Elle a longtemps été la petite nouvelle, celle à l'accent prononcé, celle qui aime danser sur le toit, dans l'escalier, a la laverie, et au sous-sol. Et puis elle s'est fondu dans la masse, elle a pris sa place, elle est devenue l'une des voisines que l'on aime croiser, parce que rien ne la rend mauvaise, parce qu'elle peut sourire à longueur de journée, et parce qu'elle s'accroche à son espoir comme une moule à son rocher... Elle est de celle qui aime vivre, et qu'on aime voir danser. | feat Ashley Smith Elle est plutôt discrète sur son passé, elle en parle peu, mais s'il y a une chose qui ne trompe pas, c'est son accent du Sud. Cet accent Texan, qui respire le soleil, rappel la chaleur. L'accent un peu rocailleux, la voix un peu cassée. • Elle est arrivée au Parking avec un vieux pick-up. Le genre d'engin mécanique qui crache un nuage de poussière avant de démarrer... Et quand il démarre. Mais elle y tient, il appartenait à son frère, et elle a traversé la moitié du pays avec. Il est toujours là, bien rangé au Parking.• Elle a un frère ainé, Billy. Et bien qu'ils n'aient pas le même père, n'osez pas lui dire qu'il est son demi-frère. Ils ont toujours été très proches, jusqu'à ce qu'il aille en prison il y a deux ans de cela. Depuis ils communiquent par lettres, toutes les semaines, et elle ne raterait ce moment pour rien au monde • Joan elle aime les garçons. Tous les garçons. Surtout ceux au coeur abîmé, a la vie difficile, a l'esprit tordu. Ceux qui sont déglingués, qu'on besoin d'aide, et elle se prend pour Mère Theresa, Joan, elle veut les aider. Faire sa BA, se sentir utile, et c'est son coeur qu'on abîme.• Joan s'était par la meilleure élève à l'école. Elle séchait souvent les derniers cours de la journée, parce que rester assis sur une chaise toute la journée ce n'était pas fait pour elle. Mais elle n'est pas stupide Joan, elle est débrouillarde, autodidacte, tout ce qu'elle sait, elle l'apprit seule. Et elle sait que ce ne sont pas les diplômes qui font le savoir.• Joan elle aime la vie, même quand celle-ci lui en fou plein la gueule. Joan elle s'accroche à ses espoirs, un peu trop même. Joan elle se dit tout le temps que "tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir", et elle oublie trop souvent que "l'important ce n'est pas la chute, c'est l'atterrissage". • Joan elle rêve depuis son plus jeune âge de danser. D'en faire son métier, de fouler les planches de Broadway, d'être acclamé, salué et félicité pour son talent. Elle s'accroche un peu trop à ce rêve, et elle considère que toute occasion de danser est bonne à prendre, même quand il s'agit d'excités ces regards lubriques qui vous salissent • Joan elle mange comme un ogre. Paraît qu'il vaut mieux la voir en peinture plutôt qu'a tablé. Joan elle est gourmande et elle adore tenter de cuisiner pleins de trucs. Joan elle est bonne colocataire. Pas trop envahissante, toujours prête à rendre service, mais Joan elle ne parle pas trop d'elle, elle déteste ça.• Elle est courageuse Joan. Et travailleuse. Ça lui fait pas peur de cumuler les petits boulots. Et puis de toute façon st pas comme si elle avait vraiment eu le choix. Elle n'est pas née du bon côté de la balance Joan, et l'argent a toujours été un problème. Alors quand il faut travailler encore plus, elle travaille. Et quand faut vendre son corps pour plus d'argent, elle le vend. •Et sinon Joan elle utilise Colgate pour ses dents du bonheur, elle chausse du 39, elle fait du 95 C, elle adore regarder Friends, et déteste les séries policières. •
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« Ressent des pulsions lancinantes. Une douce chaleur qui t'emplis l'ventre. Découvre un monde aux saveurs enivrantes » Banlieue d'Austin, Texas. 2014 Il est là. Dans cette pièce, dans ce lit. Dans ce motel minable, ou tout ici lui rappel sa condition, des rideaux sales, à la moquette usée, aux mobiliers d'une hygiène douteuse. Jamais elle n'aurait pensé finir un jour dans un endroit comme celui-ci. Elle sait comment elle est arrivée ici, elle a accepté, mais elle aurait du mal à dire quel enchaînement la mener à dire oui. Et à cet instant elle a envie de hurler, de crier, de pleurer, de rejeter ce corps qui s'acharne sur le sien. Elle ouvre les yeux. Putain de reflet qu'elle se prend en pleine gueule. Son visage crispé, cherchant à tout prix la jouissance d'un instant. Elle détourne le regard, observe ce plafond, croisement de dalles autrefois blanches, aujourd'hui jaunis par la fumée des cigarettes qui ont été fumées à cette fenêtre. Son râle de plaisir la ramène à la raison. Raison ou déraison. Est-elle obliger de faire semblant ? Maintenant qu'elle a eu ses quelques billets, maintenant qu'il ne lui doit plus rien. Son regard bleu se repose sur lui. La quarantaine, les cheveux grisonnants, une barbe de quelques jours. Ses rides s'accentuent quand son visage se crispe. Elle essaie de deviner son métier, sa condition, le visage de sa femme. Surement une belle femme, que le temps a abîmée. Parce que le salaud c'est lui, le temps. Celui qui fait, et qui défait, mais surtout qui détruit. C'est surement lui qui a abîmé ce couple qui s'effrite, qui « oblige » cet homme à aller voir ailleurs... Ouais, il doit se sentir obligé de faire ça, et après tout, c'est toujours mieux que d'aller violer des gosses. De toutes ses forces elle le déteste. Elle l'imagine père de famille, des gosses un peu plus jeunes qu'elle. Savent-ils que leur père baise une fille à peine plus âgée qu'eux . Savent-ils qu'il trompe leur mère impunément . Elle continue d'observer son visage, ses traits marqué, ses petits yeux fermés. Elle ne se serait surement jamais retourné sur un homme comme lui. Il n'a pas bien l'air méchant, surement un un gentilhomme, celui qui donne une pièce aux mendiants quand il en croise un. Ouais, le bon croyant, la grenouille de bénitier qui consacre tous ses dimanches à l'église. Le modèle type du gars bien. Alors pourquoi elle le déteste autant ? Pourquoi il ne lui inspire que dégoût, haine, et humiliation ? Cela a surement un rapport avec le fait que ses cuisses soient en train de frotter les siennes, que son corps appuyé sur le sien l'enferme, que sa main enserre son sein, y laissant des traces rougeâtres. Est-ce que ça lui fait mal ? Elle ne saurait le dire. Après tout qu'est-ce que la douleur. Celle de vendre son corps, ou de devoir le faire... Banlieue d'Austin, Texas. 2005 Elle descend du bus, remonte l'allée, faisant crisser sous ses chaussures la gravelle abimé, fatigué et poussiéreuse. Quoique la journée s'éteigne, que le soleil descende lentement vers son lit, la chaleur est toujours là, bien présente. Étouffante, empoisonnante, elle emplit vos poumons et vous donne des envies de fraicheur. De piscine, d'océan, de glaçon et de tout ce qui rime avec l'été. Elle remonte péniblement les derniers mètres qui la sépare de la maison familiale. Y'as une belle voiture devant le portail qui tombe en ruine. Pas de celle qui est de luxe, mais une bien belle et bien chère quand même. Elle la regarde un moment, elle essaie de l'identifier, elle fouille dans sa mémoire, à la case « mec de maman », mais elle n'a aucun souvenir d'une voiture pareille. Elle pousse la porte d'entrée, seul le bruit de la télé dans le salon résonne. Elle y aperçoit deux ombres, collé l'une à l'autre, se tripotant, mélangeant salive et sentiment. Elle affiche une grimace de dégout avant de tourner les talons vers la cuisine. Elle y trouve Billy, les pieds sur la table, un joint entre les doigts. « Encore un nouveau ? Il a l'air plutôt friqué celui-là », son ainé hausse les épaules, concentré dans la conception de ce petit cône. « J'suis sûr qu'il est super-endetté, ça va pas durer », elle hausse les épaules à son tour, tout en se servant un verre de jus de fruit. Ouais il doit avoir raison Billy, ça durera pas, du moins pas plus de quelques semaines, quelques aux mois si la chance est avec eux. Enfin la chance... Chance ou malchance plus tôt. Ça dépend du mec qu'elle trouve et qu'elle ramène. Y en a eu des biens, des très bien même, qui auraient fait un bon père, pas trop con, pas trop bizarre, assez stable, du moins toujours plus que la mère. Pi y'en a eu des plus étranges, des plus loufoques, ceux qui sont abimés et qui abime tout ce qui touche. Y en a qui voulaient revoir, qu'il aurait bien aimé prendre pour père, pour repère, et puis ils sont partis aux aussi, les laissant seul. Et ainsi va la vie, ils se sont rattachés l'un à l'autre, sont devenus un repère l'un pour l'autre, un phare dans l'horizon... D'étranges sons leur parviennent du salon, des souffles, des respirations rauques, fortes, qui font trembler les mures. Puis des gémissements, bien distinct. Ça couvre même le bruit de cette putain de télé. Elle fait dos au salon, n'osant se retourner pour y voir sa mère sur ce canapé, elle boit silencieusement son jus de fruit tandis que Billy allume son cône. Il souffle sa fumée, fronce les sourcils. Cette odeur divine emplit la cuisine. Il se lève. « Viens on va manger chez McDo' ! », elle ne se fait pas prier, elle attrape son sac, pose son verre, et quitte la petite maison familiale. Elle a une putain de dalle, et refuse d'en voir plus pour ce soir... Banlieue d'Austin, Texas. 2014 Elle se redresse sur ce lit qui grince, attrape ses vêtements éparpillés sur le sol et s'empresse de les remettre. Il est hors de question qu'elle reste une minute de plus dans ce motel pourri. Elle sent déjà ses yeux sur elle, sur sa peau encore nue, sur ses formes encore trop exposées à son plaisir. Il se rhabille aussi, lentement. Qu'est-ce qu'elle va faire maintenant ? Elle s'était promise de ne plus recommencer, de dire non, de refuser, de ne plus jamais le faire, et puis... Et puis y'as eut Billy, qui avait besoin de tune parce qu'il est en taule, et puis c'est tellement simple de se faire quelques billets en une soirée. Elle n'avait jamais connu cela avant. Autant d'argent pour à peine quelques heures de travail. L'appel de l'argent facile a eu raison d'elle, elle n'était plus faible que ce qu'elle pensait, évidemment... Évidemment, qu'est-ce qu'elle imaginait ? Qu'il suffirait d'une fois, d'une seule fois et que tout irait mieux après . Et qu'est-ce qu'elle va faire maintenant, elle a l'air maligne avec sa culotte entre les mains, assise sur ce putain de lit. Et si elle le croise. Si elle le croise dans le quartier, dans la rue. Une vague d'angoisse, de haine l'emplit, prête à se déverser. Il se penche sur le lit, fait courir sa main dans son dos, ose déposer un baiser sur son épaule. « Alors... C'était comment ? » Elle se lève rapidement, continue d'enfiler ses vêtements. Elle pose son regard sur lui. Elle ignore son prénom. Et au fond c'est surement mieux comme ça, elle n'a pas besoin, ni envie de mettre un prénom sur ce visage. Une trentaine d'années, un peu «Tanguy», du genre à vivre encore chez ses parents, à laisser sa mère choisir ses fringues et ranger sa chambre. Un peu timide en apparence, puis, pas tant que ça... Comme tous les autres, elle essaie de le détester, elle s'y force. Parce que merde, il faut un coupable, et parce que porter ce lourd poids toute seule lui est impossible. Alors ce soir, ce sera lui le coupable. Elle analyse sa question. « Oh surement le meilleur orgasme de ma vie... », sa voix est monocorde, sans joie, elle n'essaie même pas de faire semblant. On dirait plutôt du cynisme. Une mauvaise réplique cynique qui le blesse. Il plisse les yeux. « Tu mens... », décidément, on ne peut rien lui cacher... Elle lève les yeux au ciel et soupire. Elle ne pensait pas devoir faire la conversation après s'être fait sauter...Décidément, elle cumule les jobs, la voilà psychiatre maintenant... « Ce n'est pas ce que tu voulais entendre ? », elle arque un sourcil, ce qui donne à son visage pourtant si doux un air de «vipère ». Elle a oublié sa gentillesse, son amabilité, elle devient méchante en sa présence, et ce « tournant » ne lui plaît pas. Il se redresse, enfile ses chaussures, de vieilles baskets qui ont fait leurs temps. « Je te trouve bien effronté », il se redresse, enfile sa veste, y fourre ses mains et en retire une enveloppe qu'il jette sur le lit. « je te rappelle que t'es qu'une pute... », il lui jette un dernier regard avant de quitter la place. L'enveloppe contient quelques billets, suffisamment pour en envoyer la moitié à Billy, et quitter cette putain de ville, ce putain d'État. Laisser toute cette merde derrière elle, l'oublier, appuyer sur le bouton reset, recommencer ailleurs, loin d'ici.
monkey control.passe ta souris ! J'dois recommencer ? Aller, j'y vais, j'adore parler de moi :hey: Je m'appelle Mélody, je vis à Rouen, en Normandie, dans notre belle France. J'ai 22 ans un quart. Et j'adore me faire de nouveaux amis, alors si tu veux être mon ami, envoie moi un MP
Dernière édition par Joan-Jane Anderson le Ven 3 Avr - 10:11, édité 24 fois |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Lun 30 Mar - 23:17 | | Toi. t'es belle. |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Lun 30 Mar - 23:19 | | jj c'la plus cool re-bienvenue |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Lun 30 Mar - 23:24 | | |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Lun 30 Mar - 23:31 | | Elle est belle quand elle sourit pas Rebienvenue petite folle |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Mar 31 Mar - 0:26 | | Rebienvenue ! |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Mar 31 Mar - 9:00 | | |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Mar 31 Mar - 9:42 | | comment t'es beeeeeeelle. rebienvenue trop mignonette petite blonde |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Mar 31 Mar - 10:17 | | |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Mar 31 Mar - 10:52 | | daaah, j'adore le prénom. rebienvenue ici |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Mar 31 Mar - 12:26 | | Re-bienvenuuuue |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Mar 31 Mar - 12:40 | | rebienvenue |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Mar 31 Mar - 14:15 | | Elijah, s'toi qui est beau Natalia, t'as la plus cool des colocs alors Siam, voui Saez, ce génie ravis que tu ai remarqué ! Jaime, hé oh, t'arrête ou elle te mort Vilain ! Eddie, oh oui je veux, la team du bonheur On se fera un trône, et on leurs cassera les dents à ceux qui se moquent J'te garde un lien au chaud alors Et je suis ravis de voir que tu aime Ashley autant que moi, c'est tellement rare. Elias, merci l'ami ! J'ai hâte de voir le jeux de mots que tu fera sur ce prénom Cain, lui donne pas raison toi Merci Yasmin, Emy, Aaron et Joaquin
Dernière édition par Joan-Jane Anderson le Mer 1 Avr - 14:16, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Mar 31 Mar - 18:38 | | rebienvenue |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. Mer 1 Avr - 10:23 | | Bon apparemment c'est rebienvenue mais j'ai rien suivi Bon courage pour ta fiche et bon choix de vava oui |
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| Sujet: Re: Joan-Jane ▬ dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. | | |
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