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MessageSujet: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMar 6 Sep - 15:46
(Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) froide nuit estivale où une silhouette longiligne agrémentée d’une crinière blonde s’est avancé, tout sourire. « big bad world est tombé » qu’il a chuchoté. ce garçon, mads ne l’avait vu qu’une fois mais jamais elle n’aurait pu oublier l’échange houleux qu’ils avaient partagé. mads qui le toise, rétorque un « j’sais » avant de tourner les talons. mais il la rattrape, lui explique en détails la manière dont l’entreprise factice a été démantelé. madaline n’accueille son récit qu’avec amertume, ayant certes perdu ses bourreaux mais aussi son boulot. la voilà donc qui expose les faits, et c’est avec une gentillesse déstabilisante que nate propose de lui trouver un toit. « y’aura rien à payer », il assure, ce sera à sa charge à lui. alors mads, même si elle refuse de le pardonner pour les paroles empruntes de naïveté qu’ils avaient partagé dans le cabinet, elle accepte. c’est ça ou finir à la rue. et depuis, ça fait trois semaines.

   (Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?) mads, elle hausse nonchalamment les épaules. les voisins, c'est les voisins. c'est les inconnus, les gens qu'elle voit le matin quand elle s'étire langoureusement devant la fenêtre en sirotant une tasse de thé hyper sucrée. l'immeuble, putain, il est bien. mads, elle a jamais connu un immeuble aussi joli. paraît qu'il est basique, mais mads elle l'aime cet immeuble. c'est le symbole de sa liberté, le symbole d'une vie loin des idées arrêtées, loin des trafiques endettés. mads, elle chérit sa vie ici en espérant que demain, elle soit toujours assise dans son bain et non dans la foule de désespérées avec leurs bambins.

   (Quelle est votre réputation au sein du quartier ?) mads, c'est une pute. tout le monde le sait, elle s'en cache pas ; elle sait pas, d'façon, s'en cacher. mads, c'est l'innocence sauvage, l'incompréhension cachée dans les prunelles. c'est la gamine à l'état brut, l'étrangère qui comprend pas tout, la naïveté faite femme. mads, c'est la bonne poire qui montre les dents, la sauvageonne qu'il vaut mieux éviter de houspiller. parce qu'elle a des failles dans son éducation mads, ça se voit, elle réagit pas comme tout le monde... et parfois, elle gueule, parfois, elle frappe. parce qu'elle a peur de rien si ce n'est de retomber dans la crasse qu'elle a quitté.

(NOM) arkhendar. ça claque contre le palais, goût métallique sur le bout de la langue. c'est guttural, c'est violent, c'est moche. (PRÉNOM) madaline. mais madaline, c'est doux, et madaline, c'est un secret. alors pour tout le monde, c'est mads. (ÂGE) dix-huit ans, ça fait mal au palpitant. (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) douze juin mille neuf cent quatre-vingt dix-huit. (OCCUPATION OU ACTIVITÉ) pendant des années, y'a les cuisses qui se sont écartées, la peau violentée, la fleur fanée. maintenant, y'a nate qui tente de se faire pardonner en la couvrant de cadeaux, en la faisant arrêter. mais paraît qu'on sort jamais de ces emmerdes dans lesquelles on est enlisé. (NATIONALITÉ) polonaise. mensonges qui ont bercé l'enfant de devenir américaine. (ORIGINES) toujours polonaises. (STATUT CIVIL) célibataire, la solitude qui comble le myocarde troué. (ORIENTATION SEXUELLE) y'a que dans les bras des hommes que madaline oublie les bleus au cœur causés par d'autres. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING) il y a trois semaines, soit dans les environs du 20 août. (GROUPE) de ceux qui vivent.

PSEUDO/PRENOM : collide. ÂGE : vingt-deux ans. PAYS : belgique.  :l:  FRÉQUENCE DE CONNEXION : sept sur sept. COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : par nate.  :l:  (REPRISE DU PERSONNAGE) oui.  Crying or Very sad  (TYPE DE PERSO) semi-scénario ; scénario pas posté de nate.  :hihi:  (CRÉDITS) AMIANTE pour le codage de la fiche & pinterest & favim. COMMENTAIRE OU SUGGESTION : très beau.  coeur  AVATAR : delilah parillo.
MADALINE « MADS » ARKHENDAR
je veux un destin. n'importe lequel.
ce soir là, la nuit a créé des millions de surpiqures blanches dans le ciel. ça brille de mille feux, cristaux de swarovsky embrasant les cieux. dans le lit de madaline, y’a que ses prunelles claires qui sont visibles. le fin tissu du drap aux senteurs florales recouvre son petit nez ; elle a treize ans et demi et la vie infinie. mais madaline, ça fait presque une heure qu’elle se cache sous les couvertures… parce qu’y’a des voix, des voix inconnues et bourrues, qui retentissent dans le salon. elle pose ses mains sur ses oreilles pour tenter de s’endormir, en vain ; elle les entend toujours, en pleine négociation marchande. « je vous en offre mille. » scande une voix grave et profonde, écho meurtrier rampant le long de ses cordes vocales. « mille-cinq. » essaie de marchander la marâtre. « mille deux. » et les enchères continuent jusqu’à tomber sur le juste prix. « très bien. dans ce cas, mille trois cent cinquante. » et les chairs se frôlent dans une poignée de main qui scelle le destin. « nous viendrons chercher madaline demain. » et les chuchotements qu’elle perçoit, les chuchotements qu’elle n’entend pas. elle se lève, marche à pas furetés pour coller son oreille contre la porte en bois qui mène directement au salon. rien. néant. « marché conclu. à demain. » elle salue avec gaieté. la lourde porte en bois verni de l’entrée s’ouvre – grincement métallique – et se referme dans un bruit sourd. madaline se laisse tomber sur le sol, impuissante : on l’a vendue.

le lendemain est arrivé, jour fatal. et deux hommes en costume sont arrivé lorsque maman a crié son nom. madaline a descendu les marches lentement, dernier jour d’une condamnée. « oui ? » elle demande, opales analysant avec attention la carrure et le visage sculpté de ses bourreaux aux yeux voilés derrière des lunettes opaques. « madaline chérie… ces messieurs doivent t’emmener quelque part. tu seras sag… » elle murmure tout en douceur, bien vite coupée par la tempête madaline. « je les suivrai pas ! maman, garde moi, je ferai tout ce que tu veux ! » elle pleurniche, s’accroche à la veste de la matrone. « ne t’inquiète pas, tout ira bien. on se voit ce soir, mon cœur. » elle chuchote avec tendresse en caressant la chevelure blonde. alors madaline, crédule gamine, elle se fait berner. elle suit les deux hommes dans la voiturette des années soixante-dix et s’éloigne sous le soleil levant.
c’est la dernière fois qu’elle les aura vu, dernières paroles dissimulées dans un mensonge qui l’aura dévorée, façonnée. et pour quoi ? de l’argent. que le monde est cupide, que le monde est stupide…

[…]

le sol tangue. sur le ponton, la blonde voit ses contrées s’éloigner. y’a de grosses larmes qui coulent le long de ses joues nacrées, y’a la tristesse et la trahison combinées qui vont éclater le palpitant en un milliard d’éclats dorés. y’a l’innocence entachée au fond du myocarde écartelé, souillée. elle s’endort à même le sol crasseux et humide, refusant d’aller se réfugier dans la partie cachée du bateau de peur de s’y noyer, ne plus jamais recouvrer la lumière de l’astre solaire. régulièrement, elle est bousculée, piétinée… ce n’est qu’un léger aperçu de sa vie à venir : une existence engluée dans la misère. au bout de longues heures qui lui ont paru durer une éternité, y’a de nouvelles côtes qui se dessinent à l’horizon, flirtant avec la surface placide de l’eau. madaline, elle comprend rien à ce que gueulent les marins. « aaaah, l’amérique ! vivement que je retourne voir ma femme ! » baragouine l’un d’eux, remarque aussitôt reçue par des éclats de rire rauques, minois affichant un air libidineux que madaline ne connaîtra que trop bien dans les années à venir.
bientôt, la coque vient frôler un pont de bois où il ne tarde pas à s’arrimer. « on est arrivé. » déclare l’un des hommes ayant piégé la gamine. il l’attrape par le bras avant de la soulever, la bloquant de ses larges biceps. elle se débat quelques instants avant d’arrêter, consciente de l’inutilité d’un tel geste ; il lui faut garder ses forces. il la balance sans ménagement dans une voiture aux vitres teintées et la fillette ne peut s’empêcher d’afficher de l’admiration quand, collée aux fenêtres, elle aperçoit la grosse pomme qui scintille. les immeubles dévorés par les publicités, les grandes avenues bondées, y’a l’excitation qui s’empare des restes nécrosés de son palpitant déchiré. y’a l’espoir de s’être fourvoyé, l’espoir que ce ne soit qu’un voyage surprise pour son anniversaire qui fait apparaître un sourire sur ses lèvres. mais bien vite, les belles rues commerçantes sont effacées pour n’afficher que des rues dégueulasses et bien moins passantes. alors la fillette se laisse retomber dans son siège, espoir éclaté. aujourd’hui, c’est son anniversaire… et tout ce qu’elle gagne ? un immeuble miteux où luisent des lettres en néon rose formant un mot qu’elle ne comprend pas. temple of desires.

[…]

« on peut pas la faire bosser pour le moment, elle est trop jeune. » elle entend une femme furieuse siffler. « on peut pas officiellement » – il insiste sur le mot – « mais pour des gros clients… » quelques instants de silence avant qu’elle n’entende le tissu frotter, l’ombre afficher une main levée. « c’est une excellente idée, mon cher. tu vois, quand tu veux ? » elle se gausse avec une manière terrifiante. évidemment, mads n’a rien compris : elle est polonaise et n’a que quelques notions d’anglais. pourtant, y’a un horrible pressentiment qui subsiste dans sa cage thoracique.
et le suspens ne se fait même pas attendre. y’a un homme de ceux qui l’ont acheté qui s’approche d’elle, l’attrape sans ménagement et déclare dans la langue natale de la gamine un « déjà, on va t’apprendre l’anglais. » avec un sourire carnassier. il l’entraîne avec lui dans une pièce exiguë où s’ensuit une véritable séance de torture. le bourreau tente de lui inculquer des bases qui ne veulent pas rentrer ; de toute façon, madaline ne veut faire aucun effort. et puis, à force d’acharnement, y’a des mots qui commencent à avoir une signification… mais cet être cruel prend un soin particulier à ne lui apprendre que du vocabulaire décadent. tous les mots qui pourraient lui être utiles si elle voulait s’échapper sont laissés sur le côté, on ne s’intéresse qu’au principal. fais-moi jouir, chatte, queue… la fillette revient dans son studio le moral au plus bas et complètement lessivé. elle a le droit de se reposer pendant environ une heure avant qu’on ne frappe à sa porte. « oui ? » elle demande, plus par habitude que par réelle envie. « prépare-toi chaton, tu commence dans quelques minutes. » ronronne la femme à la voix criarde entendue plus tôt dans la journée. on lui apporte un kimono à la douceur de satin qui la ravi un instant puis un homme – un de ceux qu’elle n’avait jamais vu – arrive et lui attrape le bras. à force d’être prise sans ménagement, y’a la douleur qui commence à prendre couleur sur sa peau diaphane, bleu-comète qui éclot. on l’amène dans une chambre où trône royalement un lit et où attend un homme, de dos. la porte se referme, agneau piégé entre les griffes d’un loup. l’homme bedonnant lui fait face et entreprend de la déshabiller pour la contempler quelques longues minutes.
et enfin, il s’empare d’elle, la fait sienne dans une étreinte charnelle en la privant de sa liberté d’offrir à un homme digne d’elle sa fleur aujourd’hui fanée.
c’est officiel : madaline est une prostituée et devient mads pour les intimes.

[...]

le temps a passé. c’est dans sa dix-huitième année qu’elle a croqué. « mads, on sort aujourd’hui. » y’a son palpitant qui bondit dans sa poitrine. on sort rarement ; toujours pour aller voir des clients importants. mais elle est toujours préparée physiquement avant une telle rencontre. on l’oblige à aller prendre un long bain, à s’épiler, à se maquiller. on la prévient ; là, rien. « on va où ? » elle demande avec naïveté. « chez l’doc. » il répond à travers la porte. elle hausse les épaules, fini de brosser sa longue chevelure aux reflets solaires. depuis son arrivée il y a quatre ans, the room comme elle s’amuse à l’appeler – son studio miteux – elle a acquis… une coiffeuse. c’est toujours ça, elle tente de se rassurer en se souriant dans le miroir. n’empêche qu’il ne se passe pas un jour sans qu’elle n’espère sortir de cet enfer. si elle est habituée aux gens et à son emploi du temps, à son boulot, elle n’en retire aucun plaisir… juste de la souffrance d’être piégée dans une condition qu’elle n’a pas désiré. elle avait la vie devant elle, madaline, la vie pour faire ce qu’elle voulait… et on lui a volé.
lorsque l’heure est arrivée, y’a un homme qui arrive et l’escorte dans le hall d’entrée. y’a quelques filles qu’elle a l’habitude de croiser mais mads, elle parle jamais vraiment avec les autres. paraît qu’elle a un statut à part, alors les autres médisent dans son dos. quand c’est comme ça, mads met son cerveau en mode polonais et cesse de comprendre les insultes. on l’emmène jusqu’à une voiture – une berline, toujours. ça donne du fric de bosser dans un réseau de prostitution apparemment… surtout quand les putes n’en voient pas la couleur et sont séquestrées – puis jusqu’à un laboratoire. « tu vas aller passer un test pour le sida. rien de méchant : un piqure et on revient te chercher. » elle hoche la tête, sourire fleurissant sur ses lèvres. elle a peut-être une chance de s’échapper… elle sort de la voiture, accompagnée par son garde-du-corps – garde-fou plutôt – et arrive devant la porte où l’attend une silhouette longiligne aux cheveux délavés par le soleil. elle passe à côté de lui en l’ignorant royalement et il la suit à l’intérieur. « et la politesse, dans votre pays, ça existe pas ? » il demande. madaline avance encore avant de lui faire face et de le jauger. « i don’t speak english. » elle répond avec du dédain dans les yeux. non mais j’y crois pas… il pense sérieusement que c’est sympa de vendre son cul ? elle hurle mentalement, le sang bouillonnant dans ses veines. en tout cas, il ne répond pas plus et lui désigne une chaise. « on doit attendre. » il déclare, peut-être plus par habitude ou pour lui-même que pour elle. elle soupire, patiente quelques instants. mais mads, elle arrive pas à calmer la rage qui brûle dans son corps. « vous pensez vraiment qu’être drôle ? » elle chuchote avec un brin d’agressivité. son anglais n’est pas parfait mais compréhensible. « d’attendre ? non, pas franchement. » il répond sans comprendre, visiblement. et mads, elle explose : « mais vous être complètement idiota ?! » elle accuse en se levant. et c’est à ce moment parfaitement bien choisi que son nom est appelé… mads. elle lève les yeux et se dirige vers la laborantine où l’on prélève du sang. « vous aurez les résultats dans la semaine. ils arriveront chez Big Bad World. » elle annonce avec un sourire. mads répond de la même façon avant de regagner la salle. ses prunelles se posent sur le blondinet séduisant, toujours avec la même arrogance et la même sauvagerie. « fini. bye. » elle lâche avant de s’approcher de la porte. « salut. » il rétorque avec colère.
on ne fait pas mieux comme première rencontre… n’est-ce pas ?

[...]

mads, elle n’a rien compris. Big Bad World a été démantelé et, avec lui, son réseau de prostitution. elle est emmenée avec les autres en prison pour racolage mais est rapidement libérée : elle parle à peine la langue et n’était absolument pas consentante, comme le prouvent leurs sources. quand elle sort du poste de police, y’a le blondinet qui l’attend. « hey. » il la salue. elle fait comme à l’accoutumé et passe à côté sans le détailler, sans s’arrêter. il la rattrape avec un « attends ! » en lui bouchant le passage. madaline essaie de le contourner mais il refuse de la laisser passer. elle s’arrête alors, les talons claquant sur l’asphalte avec impatience. « quoi il y a encore ? » elle demande, agacement visible sur son minois. « je suis désolé… je savais pas. » devant le regard nimbé d’incompréhension de la blonde, il ajoute. « pour big bad world, la prostitution… j’pensais que… que c’était une association. qu’ils étaient cools. » elle soupire, passe une main dans sa crinière dorée. « tu pensa mal. » elle répond avec une pointe de tristesse. elle ignore pourquoi mais elle est incapable d’être aimable avec cet homme… comme avec les autres américains. elle ne devrait pas être ici mais encore en pologne, avec sa famille, une vie convenable, des études terminées… y’a de l’aigreur qui picore ses papilles gustatives. « je suis désolé ok ? » elle hausse les épaules. « ok. qu’est-ce que change dans ma vie ? » elle demande, toujours amère. il réfléchit quelques instants, hésitant, et se lance. « ça change tout si tu viens habiter dans mon immeuble.[/color] » en voyant qu’elle allait protester, il ajoute. « pour me faire pardonner, je te paie un appartement… et tout ce qui va avec. » elle considère son offre quelques instants et tend la main. « je croire que ça se faire comme ça ici… avec la main. mais j’accepte. » elle répond avec un petit sourire, prête à en profiter.
ça fait trois semaines qu’elle vit au parking et la relation qu’ils entretiennent est plus houleuse que jamais. mads suit à la lettre son plan, essayant par tous les moyens de lui faire perdre patience tout en obtenant tout ce qu’elle désire. et pour la première fois depuis de longues années, madaline, elle recommence à croquer à pleine dents dans une nouvelle définition du bonheur.


• madaline, elle a pas été éduquée convenablement. arrivée aux usa à ses quatorze ans, on a utilisé sa naïveté pour la manipuler. alors parfois, mads, elle a des réactions disproportionnées, enfant sauvage arrivé dans la ville avec des coutumes qu'elle ne comprend pas. • ses parents l'ont vendue à des hommes se cachant sous une entreprise du nom de Big Bad World. ils avaient désespérément besoin d'argent et rien à offrir en échange... et c'est mads qu'ils avaient demandé pour alimenter leur réseau de prostitution. madaline, elle les a jamais pardonné et elle ne cesse de rêver de les retrouver pour se venger. • la blonde, c'est le chaton qui ronronne sous les caresses, c'est le lion qui rugit quand on s'approche trop près. elle est provocatrice mais réservée, douce mais brutale. elle ne sait jamais comment se comporter, oscillant avec une tendance lunatique d'un comportement à un autre. la gamine est marquée par une vie semée de doutes, palpitant martelé de coups de couteaux dès la naissance. elle reste persuadée que la meilleure manière d'obtenir ce qu'elle désire, c'est avec son corps. très tactile, elle continue d'utiliser l'épiderme de sa peau pleine de jeunesse comme une arme, ne voit rien de mal à l'idée de tuer. et surtout, mads, elle a peur de s'attacher, d'aimer. elle n'est tendre qu'avec de rares élus, ne laisse personne s'approcher du palpitant qu'elle garde jalousement. et elle regarde tout avec curiosité, gamine essayant de dompter un monstre légendaire : la vie. • madaline, elle se maquille pas souvent. elle a les lèvres d’un rose délicat naturellement et ses longs cils blonds sont charmants ainsi ; elle n’apprécie pas franchement de disparaître sous des couches de fond de teint et d’asphyxier ses prunelles sous des tonnes de mascara. • elle raffole des sucreries. des sucettes, des bonbons ou un truc bien calorique imbibé de chocolat, il n'y a pas meilleur moyen pour obtenir son attention, son intérêt et sa coopération. • 
   



Dernière édition par Mads Arkhendar le Ven 9 Sep - 0:11, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMar 6 Sep - 15:55
oh lala, toi, on a envie de te faire un câlin ho I love you
bienvenue avec ce personnage qui claque JAIME
Al Kelley
Al Kelley
« révolé sa mère. »« révolé sa mère. »
http://www.nous-sommes-de-ceux.com/t2900-al-o-la-bombe-a-retarde
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▹ TAF : Dealer local du Parking et environs proches, il est également l'associé de Deirdre Haynes au garage 8Ful.
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMar 6 Sep - 16:45
Bienvenue parmi nous HAWW
Je trouve Delilah tellement choupie BAVE
Coma Keating
Coma Keating
« la cicatrice. »
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▹ AGE : la vingtaine qui pointe le bout de son nez, et coma est étonné d'être parvenu jusque là sans crever.
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▹ TAF : il a fait plein d'trucs, coma. passeur de drogues depuis tout gosse, il connaît le trafic comme sa poche, mais il a raccroché, pas longtemps avant d'se faire embarquer. il a essayé de bosser pour deirdre mais il a jamais été très doué, il a même pas pu finir le lycée. maintenant il fait c'qu'il peut pour pas crever, il se sent comme un étranger.
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMar 6 Sep - 16:46
mais que tu es belle CUTE
Aliah Williamson
Aliah Williamson
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMar 6 Sep - 17:18
Bienvenue parmi nous BRILLE
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMar 6 Sep - 17:27
Bienvenue à toi :l:
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMar 6 Sep - 19:18
La belle blonde :l: :l:

Bienvenue, bon courage pour ta fiche
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMar 6 Sep - 20:28
Bienvenue bella :hihi: :l:
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMar 6 Sep - 20:37
merci pour vos jolis messages. :l:

tomy, viens, je t'en prie. :PERV:
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMer 7 Sep - 2:45
Dix-huit ans et déjà fanée ?! Qu'est-ce que l'on va bien pouvoir faire de toi ...
Bienvenue quand même NIARK
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMer 7 Sep - 3:27
Bienvenue :l:
Jolie mademoiselle que celle-là I love you
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMer 7 Sep - 4:15
bienvenue. I love you
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMer 7 Sep - 4:32
Bienvenue toi MIAOU
t'es bien belle FAN
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyMer 7 Sep - 19:10
Je connaissais pas l'avatar elle a l'air magnifique FAN !
Bienvenue parmi nous :l: !
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. EmptyJeu 8 Sep - 12:10
vous êtes trop des amours ici. OMG

guan, haaan adrianne est trop jolie, ça me fait trop plaisir de la voir jouée. CANDICHOU je trouve qu'elle a un truc de fou. BRILLE

les commères, euuuh... rien ? NIARK

je me dépêche de finir tout ça. JAIME juste je me demandais : ça dérange si je fais un mixte histoire/points d'anecdotes ? ho y'aura forcément les 400 mots mais juste quelques points en dessous pour expliciter certaines choses, pas les quinze par contre. ho
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MessageSujet: Re: mads - embras(s)er.   mads - embras(s)er. Empty
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