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| Sujet: Azur (+) echoes of silence Sam 27 Aoû - 17:45 | | (Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) Parents morts, babioles vite vendus pour recommencer ailleurs, loin des quartiers de ces bourges qui dilapident leur fric aussi vite qui rentre. Az qui a pas eu le choix de suivre son frère et de s'enterrer dans le Bronx, de se voir déjà mourir là bas et de voir le décor changer. Les briques trop rouges, les murs trop délabrés. Bronx qu'elle aime pas, Bronx qu’elle vomit, Bronx qu'elle veut pas et qui veut pas d'elle.
(Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?) Az qui déteste ce quartier, cet immeuble, qui le cache pas vraiment, grimace quand quelque chose est pas assez dans le luxe pour elle, a honte de la vie qu'elle mène maintenant, elle parle pas vraiment à ce qu'elle croise, baisse la tête et fonce dans ses rêves, qu'elle préfère à la réalité. Expose un sourire quand la tête lui plait, rien de plus. Elle apprécie peu les airs de ghetto, les ruines qu'elle foule de ses pieds qui tremblent, n'a pas l'habitude des murs aussi fins que du papiers, n'aime pas les têts de ces mecs à l'air dangereux, peur que ça se passe encore ici, qu'on vienne la buter, elle, son frère, que ça se finisse ici, encore.
(Quelle est votre réputation au sein du quartier ?) Azur aux yeux trop bleus, Azur au sourire qui brille, rarement, mais ça éclaire les journées des gens les plus tristes. Azur à l'air de Reine, lève un peu trop le menton pour faire croire que rien ne l'atteint. Celle qui ne parle pas, dont le timbre de voix est inconnue, peut-être rien qu'un soupire où on entend l’aiguë agaçant. Celle qui a les mains bandées, qui baisse les yeux, les fermes pour ne rien voir, celle qu'on croit marier, déjà maquer à un gars, qui ne détrompe pas les rumeurs, n'a pas le temps pour ça. La blonde qui s'accroche toujours à Alix, toujours elle, qui traîne à son bras comme un pot de colle, qui ne sourit qu'à elle, qui lui murmure plus rien. Azur la bourge, la connasse qui te regarde de haut alors qu'elle est plus rien.
(NOM) Ca a l'odeur de la mort, la déchéance d'une famille qui brillait trop, Efstathios, y'a plus rien que des murmures sur leur dos, les hurlements qui ont résonné une dernière fois le jour où leur tombe s'est creusée. A plus l'air d'une malédiction pour Az qui s'évertue à l'oublier, grimace quand on le répète un peu trop devant elle. (PRÉNOM) Azur, loue la passion d'une artiste pour une couleur, allégorie de solitude, caresse les langues les plus innocentes, n'a aucune signification pour elle, rien qu'un bleu fade qui tombe en lambeau.(ÂGE) seulement 17 années à se noyer dans une cage au vieux relent de billets, aspirateur à la place du nez, vulgarité au bord des lèvres, provocation sur l'épiderme. (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) 15 septembre 1999 à New York(OCCUPATION OU ACTIVITÉ) fermer sa gueule, observer, tout, s'en foutre, branler le papier d'un crayon, trembler, cacher la peur, ignorer les cauchemars, les cours dans l'fond de la classe, les oublier, les mecs qu'elle prend pas, la fermer encore, hurler dans le silence, faire face à sa laideur. (NATIONALITÉ) américaine depuis toujours, fière ou non ça ne l'intéresse pas vraiment (ORIGINES) la mer est trop bleue et les maisons trop blanche, Grèce qu'elle n'a jamais vu, dont elle se fiche un peu trop..(STATUT CIVIL) Az qui n'aime personne, aimerait pourtant, a peur du contact trop rapproché, crise panique, cœur qui s'affole quand elle pense ne plus avoir le contrôle, handicape ses relations. Rien qu'un seul gars, une fois dans sa vie, il l'a vite lâché, aucune symbiose. (ORIENTATION SEXUELLE) se cherche encore, n'a pas encore déterminée si le rire de ces filles un peu perdues, si les corps qu'elles dévoilent lui tordent l'estomac, y'a eu que des mecs, toujours qu'eux et leur connerie. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING) y'a une semaine à peine, connait personne, son frère qui prend déjà ses aises, son regard nerveux qui l'intrigue (GROUPE) de ceux qui survivent
PSEUDO/PRENOM : VILAINE. - Whitney ÂGE : 19 ans PAYS : France FRÉQUENCE DE CONNEXION : tout le temps, non stop normalement COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : on va dire que ça passe (REPRISE DU PERSONNAGE) nope. (TYPE DE PERSO) inventé. (CRÉDITS) AMIANTE pour le codage de la fiche COMMENTAIRE OU SUGGESTION : fuck. AVATAR : Scarlett Leithold Azur Efstathios JE SUIS BRISÉE ET LE RESTERAI TOUJOURS. JE RÉARRANGE CES BOUTS DE MOI POUR DEVENIR QUI J’AI BESOIN D’ÊTRE TEL OU TEL JOUR. JE PEUX ÊTRE DES TAS DE FILLES DIFFÉRENTES, MAIS AUCUNE D’ENTRE ELLES NE SERA JAMAIS MOI.
(+) SILENCE. Il ne reste rien qu'un vide, dans sa gorge, le néant. Tout s'est éteint depuis cette nuit où elle a trop hurlé, où elle a fait saigner son cœur, où y'a plus rien eu d'autres que les craquements sinistres, que le carmin qui tapissait le sol, comme les corolles qu'aimait peindre sa mère. Az perdue dans sa bêtise, sa culpabilité, voit son monde s'écrouler pour devenir un tableau noir, aveugle de douleur, d'innocence déchirée, elle a plus rien qui marche normalement, même pas sa voix, écrit parfois quelques mots sur un carnet pour se faire comprendre, fait pas beaucoup d'efforts, se fait passer pour muette, folle, handicapée, ça n'a plus d'importance, elle greffe ses maux sur le papier, espère qu'on la comprendra, comme l'enfant en manque d'attention, parce que personne ne voit, qu'elle tombe, chute, trébuche, jusqu'à se fracasser le crâne, pour oublier, effacer, recommencer.
(+) MÉLODIE MELANCOLIQUE Endormie en son sein, la passion morte née, la création d'une mélodie sortit du cœur lorsqu'elle pouvait encore frôler les touches d'un piano, pas un prodige, juste une droguée d'un instrument qui laissait libre cours à ses envies. Jeune innocente qui divaguait dans la musique trop douce, qui crevait de ne jamais être assez bonne. Les nuits à saigner contre un piano, à frapper sa frustration contre le clavier, sans jamais relâcher, à inquiéter ses parents, à gronder contre sa faiblesse, la passionnée impuissante face au mur, tente sans cesse de l'achever, jouer sa haine, sa colère, sa joie. Ne fait plus rien de plus que de chialer sur un rêve qu'elle n'atteindra plus. Mains détruites, encore insensibles à certains endroits, ne reste rien des doigts qu'elle a aimé faire courir sur le piano, plus rien que des os fracassés et des muscles déchirés, témoins des hurlements qu’elle a poussé sans cesse, des gémissements épuisés et l'odeur du sang qui persiste, qu'elle a encore l'impression d'avoir la bouche, les mots trop flous de son frère, les deux coups de feu, balle dans la tête, plus rien d'autres que des cadavres qui pèsent sur ses ambitions.
(+) JAY, Jay qu'elle aime trop, pas assez, jamais, tout le temps. Symbiose imparfaite, branlante, comme ce qu'elle ressent. N'a jamais compris sa violence, froide, presque douce envers elle, comme une poupée qu'il peut casser, reconstruire puis briser encore sous le poids de ses mots, de ses mains qui s'aventurent trop loin. Az qui veut s'éloigner, revenir quand y'en a trop qui traîne autour de lui, l'amour qui prend trop le pas sur tout. Agaçante, elle est celle qui s'accroche à lui, cherche à le faire exploser, joue l'insolente pour voir la colère apparaître, glacée, mordre la peau des mains qu'ils posent trop sur elle, expose comme des douceurs aux autres, Azur qui perd toujours le contrôle quand elle la sent mordre, la jalousie mal placée, celle qui n'a rien à foutre là, qui n'a presque plus rien de simplement fraternel. Ambiguïté contre nature qu'elle chasse parfois, se force plus quand elle est épuisée de lutter, de voir qu'elle a aucun pouvoir. Az qui s'énerve en silence du pouvoir qu'il exerce toujours sur elle, de la possessivité qui l'étouffe, lui donne l'envie de toujours jouer, à voir jusqu'où il ira, rien qu'une gamine qui cherche son frère en surface, le jeu qui est devenue malsain, Azur qui détrompe plus les allusions douteuses, Az qui ne voit même pas ce qui se trame chez sa meilleure amie pour son frère, Az qui ignore toujours tout, pour que ça fasse moins mal, repousse sa colère jusqu'à ce qu'elle explose en lambeaux.
(+) PRINCESSE d'un royaume en ruine, elle croit encore trôner en reine, l'insolence personnifiée même dans le silence, les regards qui méprisent, les caprices qu'elle ne hurle plus, fait savoir de gros mots gribouillés sur le carnet qu’elle tient toujours, de pieds qui frappent le sol, claquement de portes. Azur qui se croit encore la jolie blonde que tout le monde aimait trop, n'aime plus les murs qu'elle arpente qui jure avec ses vêtements qui coûtent trop cher, inconsciente de ce qu'elle trimballe sur elle, de l'attention qu'elle attire un peu trop, pas pour ce qu'elle veut, jeune naïve qui cherche encore l'obscurité pour s'y perdre, qui crache son fric à qui le veut bien, méprise ces gars fringués en bon marché, ces filles aux styles inexistants. Ne laisse plus un mot s'échapper, son regard qui parle pour elle, attire les foudres de certaines, jeune précieuse qui croit que tout lui est dû, qu’elle aura tout, encore, tout de suite. Princesse ghetto qui s'y croit toujours trop, clope au coin des lèvres, rien qu'une alliance en or qui persiste à son doigt en guise de bijoux et ce collier à la perle topaze qui se perd entre ses seins, ses jupes trop courtes et ses yeux toujours cernés de noir, elle tente de s'intégrer et de mépriser, d'attirer l'attention comme une enfant qui en manque, qui se ment à elle-même, n'a plus aucun sens des limites, perd pieds sans que personne la rattrape.
(+) NUITS FAUVES Y'a déjà eu trop de sang qui a coulé, rien qu'une soirée trop normale aux allures de familles parfaites. Rien qu'une Azur aux anges qui finit par vriller, plonger dans un cauchemar. Parents au crâne troués, le carmin qui s'écoule sur leur visage qui ne souriront plus. Azur, plus qu'une masse blonde tâché par l'odeur de la mort, le corps qui tremble et les hurlements qui ont cessés depuis longtemps. Az qui n'est plus, morte ce soir là où ça a basculé, où elle a plus eu aucun contrôle et que les bottines ont martyrisées ses doigts délicats. Elle l'a plus sentit son frère près d'elle, amorphe de douleur, plus morte que vive, rien d'autre que la douleur, l'envie d'hurler mais plus la force. Azur qui a oublié, pourquoi eux, qui ne reconnaît plus les visages de ses bourreaux aux airs trop sombres, leur visage trop flous dans son esprit, persiste rien de plus que quelques bribes de phrases et les supplications.
(+) LE CARNET Il traîne toujours entre ses mains cassées ; sous son bras, brasser l'air de son marqueur noir pour y déposer des mots, quand le regard ne suffit plus, qu'on la comprend plus alors Az écrit quelques bribes de phrases, dessine parfois, c'est plus simple pour s'exprimer, elle aime les regards intrigués, moins ceux qu jugent alors elle fait semblant, semblant d'être débile, d'être folle, laisse le sifflement de la pointe de son marqueur noir glisser sur le papier pour qu'elle puisse hurler, aussi, sans se forcer à ouvrir la bouche. Plus l'envie de parler, juste qu'on la comprenne. Elle a trop hurlée, trop criée, trop jurée, ne dit plus rien pour tenter de forcer son frère, les autres, tous à la comprendre sans qu'elle est à l'ouvrir. Juste fermer sa bouche, croiser un regard et qu'on y voit sa douleur, le poids qu'elle traîne et qui la trébucher, manque toujours de tomber pour jamais se relever.
(+) LES MECS Az qui les aiment trop, qui les aiment de loin, de trop près, toujours son frère pas loin, qui guette pour repousser. Elle qui se fait plus subtil, ne jette que des regards, des sourires faussement timides, ils l'ont toujours aimés pour son fric, pour ce qu'elle dévoile trop, jamais pour elle. La fille aux billets pleins les poches, la catin dans sa prison dorée, ça murmure encore derrière elle au lycée, elle fait rien pour arrêter les rumeurs, n'en a pas envie. Qu'ils parlent, elle n'écoute plus. Les mecs viennent, tous, intrigués, joueurs, juste cons. Y'en a eu qu'un seul, elle l'a même pas aimé, ne sait pas ce que ça fait ça, il a fui, vite, voyant que ça collait pas, l'a lâché avec respect mais l'a lâché quand même. La symbiose pas présente, l'alchimie inexistante, elle s'est sentie sale, mal, bête. N4a plus eu envie de relation sérieuse, espère malgré tout que ça finira par lui arriver, cherche le bonheur, fouille, creuse, sans jamais rien trouver.
(+) L'ANGOISSE Toujours, les cauchemars. Deux âmes qui errent dans leur appart avec le même secret, l'odeur de la mort qui colle à la peau et les esprits de leur parents qui planent encore. Azur qui s'est pas remise, encore cabossée par ce qu'elle a vu, cauchemar digne de ces films qui la faisait trop kiffer. Elle aime plus ce genre de violence Az, devenu peureuse, idiote, sursaute au moindre bruit trop violent, ne trouve refuge que près de Jay, Jay qui comprend, qui voit les mêmes, qui ressent la même chose, qui hurle pas toujours qu'il est hanté lui aussi. Az qui s'éveille souvent la nuit, qui s'étouffe, ça pèse sur sa poitrine, appuie et appuie encore jusqu'à ce qu'elle est plus possibilité d'hurler, comme ce soir là. Elle pleure en silence, jamais trop de bruits pour pas qu'on voit que ça fait encore mal, qu'elle est pas si invincible, qu'elle est plus rien depuis leur mort.
Dernière édition par Azur Efstathios le Mar 30 Aoû - 12:44, édité 4 fois |
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▹ AGE : vingt sept ans de béton et d'abus, jamais comptés, jamais célébrés. que des cases sur le calendrier (seize avril)
▹ APPART : homeless, partie le coeur au ventre, des monstres à ses chevilles, revenue avec des morceaux de vérité qu'il faudra recoller.
▹ TAF : rien d'autre que la médiocrité sous les ongles, des doigts maintenant saignés d'avoir trop gratté les cordes de fer d'un instrument-béquille.
▹ AVATAR : freja beha erichsen
| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Sam 27 Aoû - 18:08 | | hello t'es belle. ce perso promets pas bienvenue, t'es chez toi |
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« révolé sa mère. » ▹ AGE : 20 ans, l'âge batard, trop vieux pour garder un pied dans l'enfance, trop jeune pour ta récente paternité.
▹ APPART : #1411 (F3) avec tes pioupious.
▹ TAF : Dealer local du Parking et environs proches, il est également l'associé de Deirdre Haynes au garage 8Ful.
| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Sam 27 Aoû - 18:28 | | Salut, jte : . La bise |
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| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Sam 27 Aoû - 18:33 | | |
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« révolé sa mère. » ▹ AGE : 20 ans, l'âge batard, trop vieux pour garder un pied dans l'enfance, trop jeune pour ta récente paternité.
▹ APPART : #1411 (F3) avec tes pioupious.
▹ TAF : Dealer local du Parking et environs proches, il est également l'associé de Deirdre Haynes au garage 8Ful.
| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Sam 27 Aoû - 18:34 | | Non toi pas |
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| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Sam 27 Aoû - 18:54 | | Oui J'fais ce que je veux |
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« Ta future BM » ▹ TAF : Médecin légiste dans le commissariat du coin
▹ AVATAR : Taraji P. Henson
▹ DC : Geert Grote Lul, Ô dada lie
| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Sam 27 Aoû - 20:11 | | Bon allez, du coup je te aussi Rebienvenue |
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▹ APPART : #910, neuvième étage
▹ TAF : Batteur au sein du groupe Fakir
| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Sam 27 Aoû - 22:17 | | |
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| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Sam 27 Aoû - 22:30 | | tout le monde me fait des bb, je suis au paradis Sway moh toi aussi t'es belle merci Al owi garde moi un lien au lieu de faire le thug Badz j'te aussi vous battez pas les deux, j'pref quand vous vous roulez des pelles Lola trop d'amour sur cette fiche faisons pleins de bb entre blondes Guan j'te aussi, soyons fous merci Ben tant de douceur dans toute cette tension sexuelle je te aussi ! Du love |
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| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Sam 27 Aoû - 23:23 | | Bienvenue belle demoiselle |
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| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Dim 28 Aoû - 7:14 | | Merci Aodhan |
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| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Dim 28 Aoû - 11:15 | | |
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| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence Dim 28 Aoû - 18:28 | | la jolie Scarlett bienvenuuue |
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| Sujet: Re: Azur (+) echoes of silence | | |
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