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Anonymous
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MessageSujet: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyMer 25 Mar - 12:54
jillian poppy rivers
let's die together, mi amor
Nom Rivers, mais ce n'est pas spécialement un ruisseau qui coule. Plutôt une grosse flaque d'eau. Mais c'est surtout un nom qui n'a jamais eu pour effet une identification énorme, jamais le gamin il s'est rattaché à ça. Rivers. Ça aurait pu être Peters, Jacks, ou Smith. C'était pareil. Rivers ça veut rien dire, ça veut plus rien dire. Prénom Jill, c'est là que ça devient plus intéressant. Jill, ça glisse sur la langue. C'est simple, on s'en souvient. C'est lui. C'est quelque chose de très excitant, mais ça lui correspond bien dans l'fond. Jill c'est un peu vulgaire et vraiment très commun. Jillian, c'est juste une formalité. Un nom sur un papier. Il en a pas grand chose à foutre, Jill, des formalités. Poppy, c'était juste sur un coup de tête. Parce que Jillian c'est tellement facile que Poppy, ça sonne comme de la folie. Et le coquelicot, c'est une fleur sauvage. Qui fane au moment où elle est cueillit.    Date et lieu de naissance Il aime dire qu'il est né à Bristol le gamin. Même s'il n'y a jamais foutu les pieds, c'est là qu'il aurait du naître, en fait. Mais lui, sa sœur et sa mère il y sont jamais retournés depuis qu'ils sont nés. Il est né dans le bronx, en fait. Et il y mourra peut-être, il finira toujours par revenir.Âge Ça a eu 24 ans il y a quelques mois déjà, c'est pas pour ça que c'est plus mature ou quoi que ce soit. L'âge c'est juste un chiffre un peu abstrait qu'on met sur un visage, comme un indice des choses qu'il reste à faire.  Nationalité Il se croit britannique, vraiment britannique. Parce que maman l'était, parce que papa l'était sûrement aussi. Il est pas d'ici, il en est sûr. Il appartient à là bas et il y retournera un jour.  Origines Seulement britanniques pour lui. Statut matrimonial Jill c'est un gars plutôt libre et qui a la fâcheuse tendance à pas être très fidèle et à souvent se retrouver dans la merde. Il quitte pas les gens Jill, c'est lui qu'on quitte. Toujours et ça sera toujours comme ça. Il disparait simplement, le temps qu'on comprenne qu'il en a marre. Il laisse pas de messages, il est pas régulier, il rentre pas diner. La vérité c'est qu'il en a pas grand chose à faire, dans le fond. Orientation sexuelle Passons. Il est pas bien difficile. Job ou Activité Il fait pas grand chose, en fait. Groupe Ceux qui vivent spoaflaws écrire ici.  

Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? Il sait pas. Parce qu'il a toujours été là. Et que Maia dit qu'il mourra ici aussi donc il se pose pas vraiment la question. Il aime croire que c'est parce que son père leur avait pris un appartement, à lui, sa mère et sa soeur pour les rejoindre, dans quelques années, quand tout ira mieux. Mais il semblerait qu'il ne l'a jamais fait.
Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?C'est toute sa vie. Son enfance, son adolescence, sa vie d'adulte. Jill sort rarement hors du parking, ses relations se résument au parking. Il méprise pas les autres, ceux qui en sont en dehors, mais c'est pas pareil. Ils comprennent pas comment c'est, les autres. Ses voisins, Jill les trouve tous absolument géniaux. Ce sont des personnages, des histoires. Même si l'immeuble craint un peu, Jill l'aime. Et le parking aime Jill.
Quelle est votre réputation au sein du quartier ? Jill c'est vraiment le mec à emmerdes. Celui qu'on retrouve dans tous les problèmes, dans toutes les histoires. Mais c'est aussi celui qui s'en tire toujours, tout seul. C'est aussi le mec qu'on vient voir quand on a envie de souffler. Il fait parti des murs, c'est chez lui. On vient le voir quand on veut s'amuser. C'est un mec comme les autres mais dans un même temps, y'en a pas deux comme lui.


feat aaron taylor-johnson
Il a la particularité de parler avec un accent britannique, très prononcé. Alors qu'il est né dans le Bronx. C'est resté, de sa mère, de son père qu'il n'a jamais connu. C'est juste comme ça, et ça l'amuse.   C'est le psy de l'immeuble, il peut écouter tout le monde parler, sans jamais en avoir marre. Parce que les gens ont besoin de parler et qu'il est là pour eux.   Il ne met jamais les mêmes chaussettes, mais qu'est-ce qu'on sent fout.  Il est pas du genre à être très net dans le fond. Plutôt à avoir des fantasmes tordus, à toujours penser que son père sera là pour lui. Mais ça, personne ne le sait. Parce que la plupart des gens ne voient que ce qu'il y a en surface. Un Jill qui rit.    Il peut passer son temps à boire du café. Même s'il se pense britannique, le thé, c'est pour les baltringues. Il a tatoué sur l'omoplate " God save the queen " il en est fier, bien sûr. Jill est bordeline, il passe d'un extrême, à un autre, sans jamais, jamais prévenir. Du rire aux larmes, toujours. Ses cheveux sont la chose la plus étranges à son sujet. On raconte qu'il a déjà perdu ses clés dedans.   Ne.Jamais.Lui.Parler.De.Son.Père.


Les rayons du soleil couchant miroitent sur les vitraux bleutés, formant de larges formes de couleurs sur le bois de l’arbre. Ses doigts fins pianotent contre les planches, s’enroulent autour de ses mèches de cheveux chocolat. Il attend, le sourire aux lèvres, les lèvres rouges, le rouge aux joues. La lueur de ses yeux est fixée sur ses petites chaussures cirées rouges cerise, de bout des doigts elle tente de camoufler l’égratignure qu’elle s’est faite au genou en grimpant à l’arbre. Elle attend encore un peu, impatiemment. « Ils ne devraient plus tarder » songe-t-elle. Ils ne sont jamais très longs. Ses mains enfantines agrippent la paire de jumelles laissées par Uncle Jean. « Elles ont vu le monde entier, prends en soin.  » Disait-il. Il les pose sur ses yeux. Les verres  kaléidoscopes fractionnent sa vision en une multitude de cristaux de lumière. Ses sourcils bruns se froncent à mesure qu’elle examine le périmètre. « Protéger le Royaume » se répéta-t-il pour lui-même. Comme pour se donner du courage, pour se persuader. Il se relève de sa cachette, rattrape son équilibre qui manquait de la quitter pour monter sur le petit escabeau fait de bois. Il n’est pas assez grande pour pouvoir atteindre le point de surveillance, les garçons le peuvent mais lui reste délibérément trop petit, même perché sur la pointe des pieds, seuls ses cheveux peuvent apercevoir le judas de verre à travers lequel on surveille le royaume. L’escabeau est bancale, il pose ses pieds de part et part de la planche pour équilibrer son poids. D’un geste vif, il repousse ses boucles épaisses qui lui barrent la vue et visse à nouveau les jumelles sur ses yeux. Son regard vagabonde sur le territoire divisé en carrés irréguliers bleus, verts, rouges. Rien à vue. Le Royaume est hors de danger. Il fixe son principal indic et prédateur pour les ennemis ainsi que plus fidèle compagne, Beckie. La chienne est endormie sous la douceur du mois de Mai, les feuilles du cerisier faisaient office d’ombre. Il observe quelques instants son ventre se soulever calmement au rythme de ses respirations. C’est le seul sourire accroché au coin des lèvres qu’il redescend de l’escabeau qui craque sous sa flexion. Ses pieds joints touchent le sol et il se relève d’une souplesse incroyable. Papa va finir par venir.

Les larmes coulent, son corps se soulève par des secousses, des sanglots. Il sent une main chaude passer sur ses joues, les essuyer à mesure qu'elles tombent. « Il est pas venu. » Sa petite voix est cassée, celle d'un enfant perdu, celle d'un enfant qui a attendu, toute une journée, dans le froid, les jambes nues, qu'un fantôme, n'arrive enfin et l'emmène avec lui. « Il viendra, Jill, il finira par venir, ne t'inquiète pas. Tu lui ressembles tellement, tu sais ? Quand je te regarde, c'est lui que j'ai l'impression de voir. Il lui faut un peu de temps et il viendra pour toi. Il t'attend et il t'aime. » Les mains de sa mère passent dans ses boucles. Il se penche vers elle. Elle a l'air fatiguée, ses traits sont tirés, mais elle sourit quand même. Il ravale les larmes, se blottit contre elle. Elle dégage une chaleur qui lui est pas commune, il sent battre contre son propre cœur, le sien. Il y a son souffle dans son cou, ses mains dans son dos. Il a l'impression que jamais, jamais il ne la lâchera. « Je te promets qu'il va venir Jill, mon petit Jill. Il pense souvent à toi, il ne me parle que de toi. Et il t'aime tellement, il t'aime si fort...» Les secousses que sévissait sa poitrine se stoppent, un peu. Sa respiration se calme. Ce n'est plus des grandes averses de tristesses, simplement des goûtes de rosée qui perlent au coin de ses yeux. « Jill. Qu'est-ce que tu fais avec elle ? » Une voix, fluette pourtant, vient briser cet instant de tendresse à peine retrouvé. Il se relève, brutalement. Il fait tomber ses pupilles bleues dans celles de la petite fille en face de lui. Il est en faute, il le sait. Elle lui a dit plusieurs fois, de ne pas se faire amadouer par les étrangères. « Maia, ma chérie...» Elle serre les poings. Elle lui avait déjà dit à elle aussi, de ne pas l'appeler comme ça. « Qu'est-ce que tu lui as dit, encore ? Qu'il allait revenir c'est ça ? Qu'il allait revenir pour le prendre avec lui ? Jill. Tu sais qu'il en strictement rien à foutre, il t'aime pas. Il ne nous aime pas. » Ce sont de durs mots dans un si petit corps, tellement de rage qui s'échappent d'épaules si frêles. Elle refuse de baisser les yeux, elle lui tient tête. « Va dans ta chambre maintenant. »

Sa main est humide sur son visage, il la sent le soigner, poser les pansement sur sa peau meurtrie. « Putain, t'as quinze ans et t'es encore capable de te foutre dans une merde comme celle là. Jill, merde, tu croyais quoi en te mesurant à des mecs comme ça ? On est dans le Bronx mon gars. Il te faudra combien de temps pour le comprendre ? Eh puis...Rhah ! Tu m'énerves ! » Il ne peut pas s'empêcher de rire. De la voix époumoner comme ça pour quelque chose qu'il ne comprendra jamais. Parce qu'elle comprend pas que c'est tellement drôle, de comprendre juste avant de se prendre un poings, qu'on est dans la merde et qu'on aurait vraiment du rester chez soi. Ou alors de courir tellement vite à en perdre haleine, tout ça parce qu'on a eu la sublime idée de défier les mecs qui vendent du crack sur le bord de la route. Peut-être parce qu'elle a jamais été un ado de quinze ans dans le Bronx, après tout. « T'inquiète pas pour ça Maia, quand je partirais pour Bristol et que...» Jill s'arrête, d'un seul coup. Parce qu'il a entendu le cri de détresse Au fond du coeur de sa soeur lorsqu'il a prononcé le nom de la ville interdite. Il baisse les yeux lui aussi, parce que cela fait des années qu'ils en parlent, sans jamais arriver à un accord. « Jill...Recommence pas avec ça s'il te plait. On en a déjà parlé. » Elle fait mine de grimacer en lui essuyant le sang sur sa joue, mais Jill sait que c'est parce qu'une douleur lui tord le ventre. Il sait qu'il va y retourner, un jour, il finira par y aller. « On s'entendra jamais là dessus Maia. » Elle le regarde, soupire, et fini par baisser sa garde. Lâche le coton qu'elle tenait entre ses doigts et attire son frère contre elle. Ils sont allongés, là, sur le canapé qui tombe en bottes, dans cet appartement miteux, il sent les ressors qui rentrent dans ses flancs, mais il ne dit rien. Jill attrape la main de sa soeur, celle qui n'a que trois années de plus que lui mais qui est si importante, si forte. Robuste contre tout. Avec lui, contre tout. « Tu sais qu'il ne viendra pas. Il n'est jamais venu. Ca sert à rien de l'attendre pour rien, tu te fais des faux espoirs et tu finiras simplement par être dessus. Notre vie est ici, Jill, elle n'a jamais été en Angleterre. Tout ce que je vois moi là, c'est un ado qui essaie de se construire par rapport à son père qui en a jamais eu rien à cirer de son gamin. Franchement, personne n'attend de toi que tu lui ressembles, crois moi. » Jill sent sa gorge se serrer un peu plus, son coeur descendre encore plus bas. « Tu n'es pas lui, Jilly. Tu s'sras jamais lui. Mets toi ça dans le crâne. » Leur étreinte est forte. C'est toujours dans des cas comme celui là que Jill se sent à l'abri de tout. Avec tellement de force qu'il a l'impression que rien ne pourra les toucher, tous les deux. « Il murmure, au creux de son cou. « J'ai tellement besoin de toi Maia. »

Jamais Jill n'avait senti son coeur sentir aussi fort dans sa poitrine. Il serait les dents, les poings et les yeux pour ne pas voir ce qui était entrain de se passer. « Mais qu'est-ce qu'elle fait ? Mais qu'est qu'elle a ? » hurle alors, à pleins poumons, Rose dont la voix étranglée traduit l'inquiétude. Tous secouent la tête et Jill est incapable de voir, à travers les larmes qui brouillent sa vue, sa soeur pliée de douleur. Mais elle ne saigne pas, il ne voit pas de plaie. Tout ce qu'il sent, c'est un mal intérieur. Un mal qu'il ne comprend pas. Parce qu'il n'a jamais été dans la tête de Maia. Il sent les mains des autres, qui lui disent de se pousser, de laisser les gens qualifiés faire leur boulot. Une heure, il était parti une heure ce matin. Comme toutes ces heures où il n'avait pas été avec elle. Cet heure n'avaient rien de différent des autres, pas plus que ces journées entières où il n'avait pas été là, sans lui dire. Mais cette heure avait été celle de trop visiblement. Il n'avait rien fait de spécial, il était simplement retourné avec les autres, eux quatre, comme toujours. Comme il le faisait depuis des années. Et voilà.
Lorsqu'il se réveille, sa bouche à la goût du café pas bien fait, de la cigarette fumée dans la hâte, dans l'attente des résultats. C'est Rose et les gars qui le réveillent, d'un coup pas très doux de la main sur l'épaule. Il se lève rapidement. C'est un espèce de brouhaha dans ses oreilles, qui sifflent très fort. Il arrive dans la chambre de sa soeur, le coeur sous le bras. Un mec en blouse, pas très grand, les épaules chargées de responsabilités qui l'accueille. « Monsieur Rivers. Bonjour, je suis Dr. Clarkson. Votre soeur a t-elle fait des crises d'angoisse comme des celles-ci auparavant ? » Le regard vissé sur la poitrine de sa soeur, qui se soulève timidement, Jill fait non de la tête. Non, il n'avait jamais remarqué. Ou alors il n'avait jamais fait attention. Peut-être parce qu'il avait été trop idiot, trop naïf pour voir que, à vingt sept ans, sa soeur pouvait tout encaisser comme cela. Maia avait toujours eu l'air aussi forte, pourquoi est-elle tombait, d'un coup, comme ça. Les voilà encore, les averses de tristesse qui s'étendent sur ses joues. D'une main pas franchement très rassurante, le médecin le regarde, plein de considération. « Jill...Je peux vous appelez Jill ? Ca va aller. Elle a été mise entre de bonnes mains. » Un grand silence. Il y a alors des gens mieux qualifiés que lui pour s'occuper de sa propre soeur ? « Le docteur Faher-Castell est...» Mais il n'a pas le temps de finir sa phrase. « Ah ? Parce que sous prétexte d'un pauv' con a eu un diplôme et que, en plus il a un nom composé de baltringue, c'est sensé me rassurer ? » Clarkson répond rien, parce qu'il a rien à répondre. Leurs regards se concentrent tous les deux, sur le corps de Maia. Sur ses yeux clos, sur sa poitrine qui se soulève. Doucement. « Je sais que ça peut peut-être vous surprendre Jill, mais je pense que votre soeur à besoin de vous. » Mais Jill ne savait pas s'il aurait suffisemment de force pour deux.

 

jules
passe ta souris !
hello  ho moi c'est jules et j'ai dix-huit ans. j'avais un autre personnage avant mais j'avais jamais été vraiment motivée, alors je reviens avec un nouveau, jill  Crying or Very sad j'espère qu'il vous inspira autant qu'il m'inspire moi What a Face je suis, comme nemo/primo en internat donc ma présence est parfois un peu réduite ! love you  :l:


Dernière édition par Jill Rivers le Mar 31 Mar - 13:15, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyMer 25 Mar - 12:56
I love you

je recherche pleins de liens, donc n'hésitez pas quoi ho
jill c'est l'gars que tout le monde connait et qui a une fâcheuse tendance à se foutre dans les emmerdes donc c'est tout à fait possible de trouver des trucs super super farfelus, vraiment MDR
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyMer 25 Mar - 13:05
Re-bienvenue alors :l: mon petit Aaron est arrivé au Parking que depuis un mois, donc pour le lien je pense que ce sera plus simple de faire une rencontre direct en rp HEHE Je viendrais squatter ta fiche de liens !

T'étais qui avant ? FAN
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyMer 25 Mar - 13:23
hello you ROBERT ROBERT ROBERT MOUSTACHE on se connait :hihi: ARROWluvCharlie
et yé souis toute ouie pour des liens DAFUQ HEIN

BIENVENUE HAWW
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyMer 25 Mar - 14:10
bienvenue BRILLE
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyMer 25 Mar - 14:52
Bienvenue ** J'adore ton avatar!
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyMer 25 Mar - 22:27
HELLOOOOOO BEAUTIFUL BOOOOOY ROBERT
On en parle du GIF de ton profil ou...
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyJeu 26 Mar - 0:27
bienvenue parmi nouus LOVE
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyJeu 26 Mar - 0:33
Reeee HELLO (si toi aussi tu t'appelles Jules, tape dans tes main DANCE ) coeur
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyVen 27 Mar - 4:13
Bienvenue
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyVen 27 Mar - 10:44
Bienvenue. HAN
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptySam 28 Mar - 15:49
Rebienvenue parmi nous HAWW
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyMar 31 Mar - 17:36
ton perso, je l'aime pas Mad voilà. Surprised
mais on peut bien s'entendre en tant que rpgistes sinon HEH
bienvenue CUTE
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyMar 31 Mar - 19:09
le nom composé de baltringue t'emmerde capiche ? MEH
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  EmptyMer 1 Avr - 12:24
J'aime beaucoup ta plume, ton perso et ton vava. Je veux avoir des emmerdes avec toi NIARK

Rebienvenue donc et j'ai hâte de tout lire CUTE
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MessageSujet: Re: jill - la comédie humaine    jill - la comédie humaine  Empty
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