| Sujet: daisy - born to die Mar 28 Juin - 23:29 | | (Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) Quatre ans. Quatre ans de plus passé près de lui avec ses envies ambivalentes de le garder pour elle et de partir. Les envies de foutres le camp par moment, mais elle revient parce qu’elle ne sait pas vivre sans lui. Il accepte la caboche détraquée comme elle accepte la sienne. Rien qu’eux. Rien que leur monde dans lequel elle se complait. Les corps à voler. Les corps à mutiler devant l’œil curieux de la caméra et les siens. Avide de plus. L’art des corps dépossédés des démons, des âmes immondes.
(Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?) Elle sait mentir. Elle sait faire semblant. Passer pour la belle gueule, la gentille. Les envies de les frapper parfois, eux et les bruit. Eux et leur manière de vivre. Endroit qu’elle commence à connaître trop bien après quatre ans à y errer. Elle ne va pas vers eux, pas souvent, pas tous le temps. Que quelques personnes, mais les autres qui la rendent folle. Elle qui aime le silence, mais jamais elle ne le trouve ici.
(Quelle est votre réputation au sein du quartier ?) Elle n'y porte pas attention, les mots des autres dont elle se fou complètement. Que les siens qui importent. Que leurs mots à eux. Surement la blonde parfaite, l'ange gardien pour le fou dans l'appartement. Ils ne savent que les apparences, que la poupée blonde, que la poupée de porcelaine. Ils ne savent pas la crasse, les envies morbides au fond du crâne, les fascinations malsaines et l'art parfait qu'ils créer à deux. Rien que les apparences. Ils ne savent rien.
(NOM) Dolarhyde. Pour effacer le passé, la vie refait autre part dans la ville délabrée. Les atrocités du père qu'elle veut oublier, mais qui restent ancré dans la caboche. Patronyme changé. (PRÉNOM) Daisy. Mais le prénom changé entre les lèvres de celui qui ressemble trop à son paternel, sa moitié jamais oublié. Désirée qu'elle a adopté à cause de lui. (ÂGE) Trente-quatre mensonges inventés. Trente- quatre corps mutilés. Trente- quatre voyeurismes pour la violence abusive, pour les films tournés. trente-quatre ans. (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) Budapest au mois de mai. La ville pour les souvenirs à oublier, mais les traces qu'elle suit d'une façon différente, les corps mutilés pour de l'argent, fascination pour la souffrance, oeil critique et idées malsaines dans la caboche à l'envers. Les corps crevés parfait, sans âme dégoûtante pour les détruire, corps parfait à ses yeux. Art. (OCCUPATION OU ACTIVITÉ) Zoologiste. Les animaux qu'elle aime. Pas aussi sales que les humains. Les poils à caresser, les espèces à étudier. Officieusement, passionnée de cet art immonde, de la mort à donner. Près de lui. Avec lui. (NATIONALITÉ) Américaine depuis adolescente, la ville quittée pour ne plus entendre parler du paternel, pour ne plus voir les images d’horreurs passer aux nouvelles. (ORIGINES) Hongroises. Rien pour ne le démontrer, le patronyme changé, que la langue parlé, que le visage pour montrer les différences. (STATUT CIVIL) Pas d'attache, que lui a aimer de cet amour malsain, que lui pour laisser les souvenirs du paternel à vif au fond de la caboche. Les couples stupides, les amours volages. (ORIENTATION SEXUELLE) Les hommes pour la posséder. Les femmes trop fragiles, trop faciles. Elles ne lui plaisent pas. Que les corps à admirer, mais les hommes pour la posséder, les hommes à manipuler. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING) il y a quatre ans avec lui. (REPRISE DU PERSONNAGE) nop. (GROUPE) ceux qui vivent. (TYPE DE PERSO) scénario de ma grenouille adorée. (CRÉDITS) amiante & tumblr.
PSEUDO : belzébuth. PRÉNOM : . ÂGE : 26 ans. PAYS : canada. FRÉQUENCE DE CONNEXION : le plus souvent possible. COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : bazzart. j'me suis laisser tenter. COMMENTAIRE OU SUGGESTION : j'vous aimes. c'le dernier là. AVATAR : Billie Piper
Désirée Dolarhyde KISS ME HARD BEFORE YOU GO Les notes qu’elle reconnait dès le premier son. C’est dans son sang depuis longtemps. Les mélodies qu’elle reconnait du premier coup et dont elle peut nommer les notes, le ton. Ancré au fond du crâne et elle a une facilité pour la musique. Le piano qu’elle aime jouer. Les touches pour filer sous les doigts. Jamais de cours pour apprendre la théorie que cette oreille parfaite qui lui permet de claquer ce qu’elle entend. La mélodie dans les cris des victimes, les pulsations du cœur au fond des veines comme musique à ses oreilles. (oreille absolue) La vie qu'elle a fui. Budapest loin derrière, mais le paternel aimant qu'elle n'a jamais pu oublier. Malgré la haine de la mère. Malgré la rage dans les paroles. Daisy, elle n'a jamais pu oublier l'amour qu'il a su lui porter. Les bras rassurant. Le temps qu'elle perd, les lettres qu'elle envoie, mais les réponses jamais reçu. L'homme fort. L'homme de la maison, mais les vices au fond du corps, l'âme corrompue, comme les autres, comme ceux qui crèvent pour la caméra. (paternel jamais oublié) Elle a besoin des hommes rudes, des corps forts pour la prendre. Elle. La femme forte. Elle et sa caboche à l'envers. Elle. La femme indépendante. Besoin de violence pour prendre son pied. Les femmes trop fragiles, les femmes trop graciles pour allumer le feu de désir au creux des reins. (hommes forts) Dans le carmin qu'elle ne plonge jamais les mains, les autres à diriger. Elle tient la caméra, elle observe à travers l'oeil de la machine. Les fascinations pour les corps brisés, dénués de cet âme immonde. Les corps parfaits pour l'art. Les corps plus beaux à ses yeux lorsqu'ils sont vides de vie, de ses âmes putrides, de la folie des gens. (les mains propres) Elle l'aime de trop, sa grenouille, sa moitié. Elle ne se pose pas de questions, elle ne veut pas voir plus loin. C'est simple. Leur vie. Leur monde. Leurs fantaisies. Elle l'entraîne dans les délires, elle lui met les limites lorsqu'il perd le contrôle, mais elle les brise le moment d'après, elle les passe sans broncher. Sa moitié, son âme adoré, celui qu'elle n'a jamais jugé. Parfois, elle le déteste. Cette envie de foutre le camp, de se détacher de la vie, mais elle reste là. (demi-frère) Passion pour elle. Ce qu'elle fait dans le noir, dans le sombre. Ce qu'elle partage avec lui. Les victimes qu'elle trouve pour briser, ceux dont les âmes sont trop crasses, trop crades. Elle cherche, elle sait manier les mots pour attirer dans les filets, pour faire venir la victime, pour la manipuler entre les doigts. (snuff movies) Les mains qui demandent, les mains qui touchent lorsqu'elle parle, lorsqu'elle s'approche, lorsqu'elle aime à sa façon. L'amour. Elle ne comprend pas cette notion. Elle ne cherche pas à la comprendre. (tactile) Elle ne résonne pas comme les autres. Les valeurs qu'elle ne comprend pas. Les clichés qu'elle n'assume pas. Les familles qu'elle n'aime pas. Homme. Femme. Enfants. Ce n'est pas ce qu'elle veut. C'est quelque chose qu'elle n'a jamais compris. Elle ne se voit pas avoir la vie parfaite. Trop tard pour ça. Trop loin pour se poser. L'amour qu'elle ne sait pas bien donner, pas selon la société. (caboche à l'envers) Les mots qu'elle dévore, les mots qu'elle aime un peu trop et le temps qu'elle passe pour le perdre lors de seconde perdu, lors du temps trop long. Les livres rares qu'elle aime, ceux qui ne sont pas appréciés du grand public. Les idées tordues qu'elle trouve parfois entre les mots. Les idées qu'elle vole pour reproduire derrière la caméra amateur. (bibliophile) Eux qui n'ont pas le même esprit que les humains, moins sales et moins tordus. Elle passe trop de temps au boulot, les phalanges plongés dans les fourrures trop douces, les billes pour observer les dangereux et les félins qu'elle aime. L'air gracile. Le corps royal. Métier qui contraste avec le passe-temps officieux, avec les films dégoutant à son actif. Le nom de code qu'elle emploie. Que la grenouille préférée pour savoir la réelle identité. Que lui pour en savoir plus. Que lui pour tout savoir. (amour des animaux) Son corps qu'elle connait. Son corps dont elle n'a pas honte. La nudité qui ne la gêne pas. Pas la sienne. Pas celle des autres. Trop de peau qu'elle laisse parfois à vue en se baladant entre les murs de l’appartement ou qu'elle ne cache pas lorsqu'elle se prend la tête avec un des voisins.(sans pudeur) Les mots de trop qu'elle n'aime pas. Les mots futiles qui ne servent à rien. Les silences qui ne la rendent pas mal à l'aise. Le silence qu'elle aime entendre et le temps qu'elle passe en solitaire à le contempler. à l'écouter. Ça lui plait. Autant que ça lui déplait d'entendre les autres et le bazar, d'entendre et leur incapacité à aimer le silence, l'absence de ce bruit qui rend fou. (le silence) Ce quelque chose qu'elle ressent, ces lumières qu'elle arrive à capté autour des corps. Ça l'aide à comprendre, à choisir les mauvais, les malsaines. Cet autre sens qu'elle possède. Celui de trop ressentir. Trop empathique par moment, mais elle sait fermer ce don, s’empêcher de ressentir pour ceux qui ne le mérite pas. (les auras) Les autres qu’elle a finis par trouver fade. Ceux qui tentent d’être différent, mais les même au final. Que peur pour attirer l’attention. Que peu pour animer le corps et les passions. La grenouille qu’elle aime de trop, de cet amour déviant qu’elle ne réserve qu’à lui. (lassitude des autres) Rien qu’elle n’aime sentir filer entre les doigts. L’appartement parfaitement rangé, les objets qui possèdent une place en particulier. Derrière lui qu’elle repasse trop souvent pour y remettre l’ordre et peu souvent qu’elle perd pied entre les doigts d’un autre. Peu d’homme pour la posséder, pour la faire planer. Que les gamins manipulables, que les fous qui n’impressionnent pas. Ceux à tuer. (obsession du contrôle)
Dernière édition par Désirée Dolarhyde le Mer 29 Juin - 0:44, édité 2 fois |
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