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Anonymous
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MessageSujet: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 14:47
(Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) qu'un appartement pour la double vie. pour lui. lorsqu'il n'a plus envie d'entendre les reproches de la femme. la vie qu'elle connait, les vices qu'elle sait, mais la peur qui la ronge. la peur de le perdre. les risques qui sont grand. l'appartement qu'il visite souvent, parce qu'il est là le protéger, le préféré. parce qu'il est là le gamin trouvé. âme charitable pour prendre le garçon sous son aile, en faire son préféré au sein des âmes débauchés. qu'un monstre pour former un fou. il est mal vu par les autres, mais il s'en fou demetrio. il ne saurait le repousser. l'éloigner. trop important à ses yeux. plus qu'il ne le voudrait. fils adoré, parce que la femme n'a pu que lui donner une poupée parfaite. il est de sa famille, mais quelque chose trouble l'esprit  depuis des années. il ne cesse de le refouler.

(Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?) il s'en fou. ce n'est qu'un endroit comme un autre. il paie l'appartement de luxe au gamin, il a les moyens. il n'a pas envie de le voir dans un endroit pourri, il n'a pas envie de le voir dans un endroit qui ne lui convient pas. trop d'importance pour qu'il n'assume pas, trop d'importance pour qu'il le laisse en plan. il ne sait plus les nuits passés dans cet appartement, dans la chambre qui lui est réservé depuis que l'oiseau à quitté le nid. qu'une illusion. une cage dorée. trop de manque pour le troubler. la caboche amochée et les soins qu'il lui a donné. l'enfant. maintenant, il n'est plus l'oiseau fragile d'antan. il est le superbe, mais le sien. la clé qu'il garde sauvagement.

(Quelle est votre réputation au sein du quartier ?) le volage, qui vient quand ça lui plait. des femmes à son bras, mais pas souvent. fidèle, de temps en temps. l'homme trop mature pour traîner dans cet endroit, surement. il n'écoute pas ce que les autres disent, il ne fait que veiller sur lui, laisser son regard traîner sur le visage qu'il connait trop bien. l'oiseau qu'il n'a pas envie de laisser s'envoler. le père pour lui. surement. il en sait rien au fond. pour lui, c'est le chaos des sentiments. l'homme fou. l'homme pas saint pour traîner entre les murs de l'immeuble, c'est ce qu'il est. le carmin au mot, les pantins à ses pieds, la camés pour demander la drogue fabriqué, les crimes à multiplier.

(PRÉNOM) Demetrio.  (NOM) Genovese les conneries pendant l’enfant. Le sang italien dans les veines et l’accent qui traîne encore au fond de la gorge, contre la langue. (ÂGE) quarante-six crasses accumulées. Quarante-six coups dans le dos. Les traits marqués par l’âge qui ne cesse d’avancer. La cinquantaine qui approche trop. Quarante-six scènes de crime trafiquées. Quarante-six lignes de poudre données. (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) New-York. La ville qu’il connait trop, les recoins pour savoir sur le bout des doigts. Mois de janvier.  (OCCUPATION OU ACTIVITÉ) La mafia pour maison. La famille Genovese tant redoutée pour les crimes accumulés. Les fraudes. Les drogues. Les corps camouflés. Le parrain de la famille. Lui pour tirer les ficelles. Lui pour régner en maître. Études en psychologie du comportement pour mieux les tuer, pour mieux prédire les mouvements. (NATIONALITÉ) américaine. La ville qui est sienne. La corruption au creux des mains. (ORIGINES) italienne et américaine. (STATUT CIVIL)  la femme comme trophée, la femme adorée pour lui donner l’enfant adoré. La femme fade, mais celle dont il tente de se contenter. Les pensées malsaines pour germer au fond des pensées. (ORIENTATION SEXUELLE) les femmes. sa femme, normalement. les corps qu'il prend de temps en temps, mais rien pour l'allumer réellement. les envies au fond du crâne, les envies qu'il n'assume pas, les envies pour le dégoûter. les sentiments pour lui. pas le droit. comme son fils, son protégé. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING) depuis des années. depuis une dizaine d'années, mais ce n'est que l'appartement secondaire, la vie pour se libérer de la maison familiale. (REPRISE DU PERSONNAGE) non. (GROUPE) de ceux qui vivent. (TYPE DE PERSO) inventé.(CRÉDITS) tumblr.

PSEUDO : DIEU PRÉNOM : ... ÂGE : 27 ans. PAYS : sur ta tête. FRÉQUENCE DE CONNEXION : trop souvent. COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : bazzart. COMMENTAIRE OU SUGGESTION : c'est long attendre un mois (a) AVATAR : matthew mcconaughey
Demetrio Genovese
UNE CITATION PLUS OU MOINS LONGUE ICI
« Tu fais quoi ici gamin?» La fumée entre les lèvres, le goût de cendre au fond de la gorge alors qu’il s’approche du corps sur le banc. Les phalanges qui s’enfoncent au fond des poches alors que les billes sombres dessinent les traits tirés. Il ne sait pas donner l’âge, il ne sait pas deviner. Pas encore paternel. Pas encore de gamin à s’occuper. L’état qui n’est pas bon. Les vêtements qu’il doit garder depuis des semaines, des mois. Il n’en sait rien l’italien. Les camées à ses pieds. Les conneries accumulées. Les trafics pour posséder la ville salie par les conneries. La famille Genovese qui prend de l’expansion et les membres pour le suivre les yeux fermés, peu importe la merde qu’il leur laisser entre les mains, qu’ils doivent assumer. Les assassinats. Les guerres. Le blanchiment d’argent. La pornographie. Les trafics multiples.
Il prend une place sur le banc, laisse la fumée lui ronger les poumons. Il souffle. Il laisse le gris filer entre les lèvres. « Elle arrête pas de me dire que ça finira par me tuer, mais honnêtement, je ne pense pas que c’est ce qui arrivera. Ça sera autre chose.» Quelqu’un pour lui enfoncer un poignard dans le cœur. Il attend. Il attend la mort atroce, il la sait. Comme les autres avant lui.
La famille de trafiquants. La famille de déviant. Deux pères pour le dresser. Deux fous pour le dégouter. Deux êtres immondes auxquels il ne veut pas ressembler. Ils ont fini par crever à cause de l’argent qu’ils devaient, à cause de la merde qu’ils semaient. Les monstres détestés.
Le sang de l’arnaque dans les veines. Le nom connu par les membres. Les rangs qu’il a fini par gravir. Les rangs qu’il a fini par monter et le rôle de parrain qui lui a été donné vers la trentaine. Les crimes trop parfaits. Les missions menées à bien et la place restituée, la place demandée. La main qu’il tend. « Viens.» Un toit qu’il va lui donner. Son toit. Il s'en fou de ce que la femme dira. Elle n'a pas le choix. Elle n'arrive pas à donner un gamin. « Je te sors de là, mais tu dois faire ce que je te dis sans poser de question.» Le souffle. Le monstre qui demande. Le monstre qui prend, qui quémande. Un homme dans les rangs. Dressé pour tuer. Dressé pour les crimes à venir. Le sien. Son enfant. Son gamin maintenant.

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La lame qui menace. La lame qui file contre la peau alors que le souffle se mélange à la peau. Il règne, mais les mains qu’il aime plonger dans le carmin. Fascination pour le pourpre qu’il aime tant, la peau souillée. « T’as pas intérêt à revenir fouiller dans mes affaires encore une fois.» La main à la gorge. La main libre qui attrape la croix au cou, un baiser qui vient poser sur cette dernière. Trop croyant. L’église qu’il visite plusieurs fois par semaine. Quelques mots soufflés en italien. « Tu iras voir ton patron pour lui faire de message, mais t’auras pas besoin de parler.» Les doigts qu’il enfonce au fond de la gorge, la langue qu’il extirpe de la bouche. La lame pour s’enfoncer dans la chair, le sang pour gicler au visage. Le corps qui se tend. Il tente de se débattre. Ça le grise. Les sensations qui pulsent dans les veines, le sourire qui file sur les lèvres alors qu’il laisse le morceau de chair s’écraser au sol. « On le laisse là. Efface les preuves.» Un regard à celui qui lui sert d’assistant et il file.
Il s’en va. Il va retrouver le gamin. Il va retrouver son précieux enfant dont il s’occupe trop souvent. La tendresse qu’il ne se connait pas. Les doigts pour caresser la chevelure, mais la poigne pour se faire ferme l’instant d’après. La peur d’être comme eux, les paternels détestés, trop stupide pour ne pas se faire crever.

La porte qu’il pousse. L’heure tardive. Le sang qui traîne encore sur la peau. Le gamin qu’il forme pour devenir prédateur. Le gamin à modeler. Une bière qu’il attrape. Il entend les pieds glisser sur le plancher. Une année. Une année qu’il gravite autour de lui. Son fils illégitime. Son fils trouvé. La femme qui n’a rien dit, la femme qui se contente d’agir comme la mère. «Tu fais quoi debout?» Le regard qu’il tourne, le rouge encore au visage. La douche qu’il doit prendre. C’est ce qu’il est à ses yeux. Un enfant. « J’arrive pas à dormir.» Il ne sait pas le passé. Ils ne l’ont jamais abordé. Ça n’a pas d’importance à ses yeux. Il avale une gorgée de plus et s’approche, les doigts pour passer dans la chevelure. « C’est bon. Je suis là. Va dormir.» La douche qu’il prend, le rouge pour filer à l’eau, le regard sur le liquide qui s’enfuit dans les tuyaux. Il le retrouve. Il se pose sur la chaise près du lit. Il veille sur le petit.

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« Tu devrais pas le garder. C’est pas la première connerie qu’il commet ce Merlin, faudrait le faire disparaître.» Blague de mauvais goût. Le pouls qui accélère, la mâchoire qui se contracte. Cette envie de lui enfoncer les doigts au fond des yeux. Il n’aime pas que les autres remettent son autorité en jeu, ses décisions. La mâchoire qui se contracte. Il ne comprend pas. Cette pulsion qui le prend quand les autres parlent de lui. Les phalanges qui s’enroulent autour de la gorge et le dos qui se plaque au mur. « Ça serait plus saint si tu la fermais et tu me laissais gérer sans passer des commentaires inutiles.»  Les doigts qui se font présents, qui se font imposant. Les iris qui se confrontent. Le souffle de l’autre qui se coupe. La lame qu’il prend entre ses doigts et qui vient caresser l’épiderme. Sourire narquois sur les lèvres. « T’as encore envie de remettre en doute mes ordres?» La lame qui s’attarde dans la peau du visage, le carmin qui file contre la lame et le souffle qui s’échoue sur la peau de l’autre. Il n’aime pas les doutes. Il règne en maître, la terreur qu’il sème dans les caboches.
La lame s’échoue à la gorge. Peau qu’il convoite. Peau qu’il demande. Le carmin qui gicle. Le pourpre a visage. Il se tourne, la lame entre les doigts. Les yeux qui scrutent. Les yeux qui demandent. « Quelqu’un d’autre à quelque chose à ajouter?» Le corps qui s’échoue au sol. Un cadavre de plus dans le sillage.

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Surement une connerie. Une erreur. Il ne peut pas être de lui. Des doutes qui s’enfoncent au fond du crâne parce que l’âge concorde, le temps concorde. La femme trompée. La femme bafouée pour être remplacée par celle qui réside encore à ses côtés. La parfaite pour lui. La parfaite dont il ne se lasse pas, même si les courbes semblent fades parfois. Il l’aime. De cet amour qu’il ne comprend pas. Les pas s’impriment dans le sol alors que les phalanges s’enfoncent dans le fond des poches. Il a besoin de savoir s’il est réellement le sien ou cela n’est que simple coïncidence. Amir. « J’ai besoin que tu saches s’il est de moi ce gamin. J’espère que non. Cela serait une honte et je veux en avoir le cœur net.» Les activités qui ne lui plaisent pas, les préférences qu’il ne comprend pas et cette erreur ne peut simplement pas être de lui. Pas son sang. Pas sa chaire. Il ne l’accepte pas Demetrio. « Tu fais ça le plus rapidement possible et tu gardes ça pour toi.» Quelques billets qu’il tend. Il n’a pas envie que le bruit s’échappe, il n’a pas envie que les autres sachent que cet enfant pourrait être de lui. Garder sous silence.

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Les iris qui se confrontent un moment. Il le connait depuis longtemps. Les années qu’il ne compte plus. « J’ai besoin de toi. » Le papier qu’il tend et qui vient se terminer entre les phalanges de l’italien. Demetrio, il laisse son regard se poser sur le nom, sur l’adresse. Une passion qu’il entretient depuis des années. Faire couler le carmin. Les cadavres semés, les cadavres accumulés. Des services qu’ils se rendent. Des morts pour des femmes. Le papier se glisse au fond de la poche alors qu’il fait un pas pour se rapprocher, sourire carnassier pour étirer les lèvres. « Tu devrais venir avec moi Francesco. Je pourrais te donner quelques trucs. Tu ne sais pas ce que tu manques.» Ça le grise. Ça l’allume. Les morts. Le carmin entre les doigts. Les frissons pour passer sur la peau, pour le posséder. La paume qui se pose contre l’épaule et le regard qu’il attrape. Commerce depuis des années. Relation entre eux. Cette confiance aveugle qu’il pose en lui. Les autres qui le recommandent de ne plus le servir, de ne plus l’aider. Demetrio qui salit les mains pour lui, pour le plaisir. Le travail n’est jamais mieux faire que par soi-même. Franco qui ne cède pas, qui ne cède jamais aux demandes lancer. Qu’il vienne. Qu’il contemple l’horreur. Qu’il contemple la beauté de la mort. Le refus qu’il essuie une fois de plus et les phalanges qui se serrent contre l’épaule. « La prochaine fois, je t’y attire dans te le demander.» La main qui relâche le bras et il contourne le corps pour trouver la sortie, pour s’enfuir.
La prochaine fois.




Dernière édition par Demetrio Genovese le Mar 24 Mai - 16:33, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 14:53
HEIN HEIN HEIN
Père indigne. Surprised FUCK
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 14:54
Oh c'est toi le fils indigne OMG T'es déviant ANGRY Dégage BANANE
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 15:29
re-bienvenue LOVE
Geert van Aanhout
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MA RENOMMÉE DE MERDE :
MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 15:30
Tu seras pas validé avant demain coquin va HEIN
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 15:31
(dasha) merci. :l:
(geert) c'pas grave, j'vais attendre, tant que matthew me file pas entre les doigts HEHE
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 16:03
Bienvenue HELLO
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 16:03
Re :l:
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 16:05
Merci les filles CUTE
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 16:05
Ton avatar, je OMG

Re bienvenu :l:
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 16:06
Merci sexy Bob JAIME
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 16:19
je t'offre mon corps quand tu veux avec cet avatar HOT HOT HOT
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 16:21
(sio) je l'aime bien ton corps, alors ca me va Twisted Evil
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 16:25
Re-bienvenue ! Ce personnage est vraiment formidable j'ai hâte de le voir en jeu !

Ne t'inquiète pas je change l'avatar de mon scénario tout de suite DANCE
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die EmptyMar 24 Mai - 16:26
omg t'es beau OMG re :l:
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MessageSujet: Re: demetrio - born to die   demetrio - born to die Empty
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