| Sujet: Evie Leblanc - I just can't be loved Ven 4 Mar - 22:31 | | Evie Sophie Leblanc let's die together, mi amor Nom Leblanc, son père lui a laissé ce nom aux consonances sans équivoque. Plusieurs croient même avoir affaire à une française. Elle comprend le français, mais elle est incapable de le parler correctement. Prénom Evie et Sophie. Son deuxième prénom vient de sa marraine la sœur de son père. Date et lieu de naissance 23 octobre à Vancouver au Canada Âge 24 années bien remplis Nationalité Elle a la double nationalité Canadienne et Américaine. Origines Son père est un canadien français, alors que sa mère est une californienne pure souche. Elle considère donc ses origines comme étant les mêmes que ses nationalités. Statut matrimonial Célibataire, mais elle ne se sent plus libre et légère depuis quelques temps déjà. Orientation sexuelle Hétérosexuelle Job ou Activité Coursière pour un traiteur. Disons que ce n'est pas ce qu'elle aurait souhaité, mais elle devait payer son loyer et ça fait le travail depuis trois ans. Elle cherche toujours une emploi plus intéressant, mais elle ne semble pas trouver ce qui l'intéresserait vraiment. Date d'arrivée au ParkingLe 6 juillet 2011 En cas de suppression, acceptez-vous que votre personnage soit scénarisé Oui Groupe De ceux qui vivent, Crédits January Blues. | feat Bridget Saterlee Quand et comment avez-vous emménagé au Parking ?J'avais 19 ans, je venais d'obtenir mon diplôme et des parents qui souhaitaient me voir intégrer un collège. Mais ce n'était pas ce que je désirais. J'ai donc fait mes valises et je les ai déposées au parking le 6 juillet. Je n'avais que quelques vêtements, des livres et mes économies, mais j'avais la tête pleine de rêves. Je croyais me trouver un emploi en bas de l'échelle pour une organisatrice d'évènements et que rapidement je me ferais un nom. La vérité fut toute autre. Maintenant le 6 juillet représente une autre année de perdu dans ce trou. Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? Le parking, on ne l'appelle pas comme ça pour rien. C'est comme un présage. Venez-vous y installer, vous allez y rester. C'est comme si on y laissait toutes ces personnes qui ne serviront plus pendant un instant. C'est comme un purgatoire où tu toucheras le fond. Tu crois que parce que tu viens d'un bon milieu ça ne te touchera pas? Tu as tort. Tu viens d'un milieu défavorisé, alors tu crois que tu ne feras que progresser? Tu as tort également. Il n'existe personne au Parking qui n'ait rien à cacher. C'est ça l'énigme du Parking et de ses habitants. Personne ne se connait réellement. Quelle est votre réputation au sein du quartier ? On dit que derrière mon visage d'ange et mon sourire se cache une bête sauvage, une tempête d'émotions. On dit qu'on tombe souvent sur mon bon côté, mais qu'il vaut mieux se tasser si on croise mon côté impulsif et colérique. On dit que je suis un coup de vent, je peux vous caresser le visage ou vous faire tomber par terre. On dit que dans mes yeux on peut voir le prochain orage qui se prépare, mais qu'on y voit également de la naïveté qui croit encore en ses rêves. Que malgré les affirmations, ils se cachent, mais ont toujours été présents. On dit qu'il est facile de se laisser entrainer par ma tornade, mais qu'elle est souvent beaucoup plus destructrice que ce que l'on croit. Disons simplement qu'avoir du répondant ça n'aide pas toujours. Malgré tout, on dit qu'il est agréable de passer du temps avec moi. Parce que la plupart du temps, on me voit comme étant amusante et aventurière. Parce que la plupart du temps, on voit les bons côtés et on met de côté les vilains défauts. Par-dessus tout, on dit de moi que je me laisse emporter trop facilement par mes sentiments qu'ils soient positifs ou négatifs. Une chose est certaine, on ne s'ennuie pas un instant. |
• Elle est née à Vancouver, mais ses parents ont beaucoup déménagé. Ce qui fait qu'elle n'est pas restée plus que 6 ans dans la même ville. • Ses parents ont adopté un garçon alors qu'elle avait huit ans. • Elle s'entend bien avec son frère, mais déteste ses parents. • Elle a été acceptée à l'université en communication, mais elle a résilié son inscription et est déménagée à New-York à ses 19 ans. • Evie n'est pas une grande buveuse, ni une grande adepte de la drogue, mais elle se laisse parfois emporter quand ça lui chante. Bon, elle est loin de se considérer une experte, elle doit avoir consommé cinq fois dans sa vie, gros max. • Sa plus grande peur est de rater des occasions. Elle profite de la vie le plus qu'elle peut tant qu'elle est jeune, elle fera des plans plus tard. • Elle n'est pas le genre de personne qui regrette ses gestes. Dans toute sa vie, elle ne regrette qu'une seule chose, mais elle se dit que c'est parce que c'est encore trop récent. • À toutes les années, elle part en road trip au travers l'Amérique. • Elle aime bien passer du temps seule pour cuisiner, chanter à tue-tête et danser. • Elle aime les tatous, mais elle n'a encore jamais osée aller s'en faire faire un. Elle a peur de ne pas être capable d'endurer la douleur et de poser problème au tatoueur. • Elle a une passion pour le dessin et adore s'asseoir en hauteur pour tracé les paysages, mais ce qu'elle dessine le plus souvent ce sont des yeux. Elle n'est jamais satisfaite, ils ne sont jamais parfaits selon elle. • Elle adore les antiquités. L'histoire qui leur ai rattachée ainsi que leur apparence magnifique avec tous leurs petits défauts. • Elle a mille et un centre d'intérêt et est incapable d'en maintenir un par elle-même plus qu'un an. Elle fait tout par passe. Elle a donc eu une passe photographie, puis ça a été la sculpture, puis l'écriture, puis elle s'est dévouée au yoga. C'est parfois difficile de la suivre avec tous ses changements. • Elle aime la musique de plusieurs styles différents. Elle peut autant écouter du Metalcore que de la musique pop et des chants grégoriens. • Elle aime particulièrement les comédies musicales, il n'est pas rare de l'entendre chanter La Vie Bohème. Rent reste un des films qui la fait le plus pleurer. En fait, à peine elle entend les premières notes de Seasons of Love qu'elle se met à pleurer. • Evie devient enragée lorsqu'elle pleure devant les autres. Pour elle, c'est une véritable humiliation, alors souvent quand elle a envie de pleurer elle va se fâcher contre la personne pour éviter les pleurs. Malheureusement, elle fait souvent les deux en même temps, du coup, ça la fâche encore plus. Elle a beaucoup de difficultés à se laisser pleurer devant quelqu'un et a laissé l'autre personne la consoler. C'est probablement la plus grande marque de confiance qu'elle a envers quelqu'un. • Le père d'Evie lui parle parfois en français et elle comprend très bien, mais elle n'arrive qu'à lui répondre en phrase simple. Elle s'est promis qu'un jour elle l'apprendrait correctement. • Evie aime avec tout ce qu'elle a. Quand elle aime quelqu'un elle ne peut pas s'empêcher de se sentir impliquée et de tout faire pour cette personne. Elle s'est plusieurs fois retrouvé dans de mauvaises relations à cause de ça. Elle donnait tout, mais au final y perdait sa santé. • Elle est d'une excellente écoute malgré tout. Elle donne souvent d'excellents conseils pour éviter aux autres de répéter ses erreurs. • Plus jeune, elle se croyait très intelligente, c'est en grandissant qu'elle s'est rendue compte qu'elle est dans la moyenne, qu'elle est juste du genre à trop analyser les choses. • Elle a un petit côté, ok un gros côté Naïf, elle croit que les autres ne vous blesse jamais intentionnellement et que tout le monde tente d'être quelqu'un de bien et de venir en aide aux autres. Elle veut croire que l'humanité est profondément bonne. Ils me regardaient avec ses yeux accusateurs. Qu'est-ce que j'avais accomplis ces cinq dernières années? La vérité? Rien. Je n'avais rien accompli sauf avoir réussi à m'éloigner d'eux. Je n'aimais pas mon emploi. Je n'avais plus de petit ami. Mes amis semblaient tous se retourner contre moi. J'avais passé le dernier mois à endormir la peine, à me surmener pour éviter de penser. Je vivais comme un robot, je souriais sans vraiment le ressentir. Chaque rire me poignardait dans le cœur, mais tout ça. C'était cent fois mieux que de retourner avec eux. Ils voulaient que je quitte cet immeuble qui était devenu ma maison. Le lieu où finalement je n'étais plus si seule. Au moins, maintenant j'étais vraiment seule, ce n'était pas juste le vide que je ressentais en leur présence. Au moins, ici j'avais une chance d'un jour trouvé ce que je voulais faire. Au moins, ici j'étais à ma place. Je ne comprenais pas pourquoi ils étaient là maintenant alors qu'ils avaient été absents depuis ma huitième année de vie. Qu'est-ce qui avait changé? C'étaient-ils soudainement rappelé que j'existais et qu'à un moment j'avais eu besoin d'eux? Malheureusement, il était beaucoup trop tard. Quand on grandit seule, on apprend qu'on ne peut compter sur personne et que seulement les actions nous montrent qui tient réellement à nous. Trop de fois déjà, j'avais commis l'erreur de me contenter de peu. À chaque fois, j'y avais sacrifié une partie de moi, à chaque fois j'avais alimenté le volcan en moi. « Vous croyez vraiment que je vais retourner à Seattle avec vous? Vous réalisez que ça n'a jamais été chez moi là-bas?» Ils semblaient croire que juste parce qu'ils avaient parcourus les kilomètres qui séparent New-York et Seattle, j'allais redevenir leur petite fille de cinq ans adorable, aimante et facilement manipulable. Ils avaient perdu le privilège d'être mes parents la journée où ils avaient cessé de me traiter comme tel. Le jour où ils ont décidé d'être les parents d'un inconnu au lieu des miens. Le jour où ils ont amené l'enfant d'un irresponsable pour l'élever, au lieu d'élever leur propre enfant. « Vous savez qu'un jour vous allez le perdre lui aussi, qu'un jour il va comprendre que vous avez fait tout cela pour vous donner bonne conscience, que vous avez fait tout cela pour me remplacer. Parce qu'à quelque part, votre sang n'était pas assez bien pour vous. Vous réalisez seulement que je ne me rappelle pas d'un seul moment où vous m'avez dit que vous étiez fier de moi? Désolé de vous l'annoncer, mais qui je suis, c'est qui j'ai réussi à construire sur la base d'argile que vous m'avez laissé. Tout ce que je suis, c'est simplement comme ça que j'ai réussi à survivre et vous savez quoi? Vous n'aimez peut-être pas ce que vous avez devant les yeux, mais moi oui. J'aime qui je suis, j'aime voir qui je suis devenue sans vous dans ma vie. J'ai peut-être des problèmes, mais ces peines valent cent fois l'idée de vous avoir dans ma vie. Jamais je ne quitterai cet endroit avec vous. Ici, c'est probablement la seule stabilité que j'ai eu dans ma vie si on oublie votre constante réprobation. Ici, c'est chez moi et la personne que je suis, est la seule personne qui compte pour moi dans cette pièce. Vous pouvez donc retourner d'où vous venez et me laisser décrépir ici. De toute manière, vous m'avez prouvé mainte et mainte fois que c'est mon seul véritable talent.» Comment avais-je pu les laisser entrer? Je n'aurais même pas du leur dire où je vivais. Ça m'aurait épargné d'avoir les joues en feu et tous mes muscles tendus. J'avais chaud. J'avais l'impression que la noirceur en moi allait se déchainer s'ils ne partaient pas. N'avaient-ils rien appris des années que l'on avait partagé? Une fois que la colère m'emporte il n'y a plus grand-chose à faire. Rien ne pourra calmer la tempête, rien sauf le temps. La nuit est calme, douce, mais plus pour longtemps. Ce soir, je l'oublie pour de vrai, ce soir est la première soirée de ma nouvelle vie. Ce soir, je vis à nouveau. Ce soir, j'arrête de l'attendre. Soyons honnêtes, il ne reviendra pas. Soyons encore plus honnêtes, il n'est jamais venu… « Hey attendez-moi!» Criais-je traversant la rue sans attendre que les voitures soient toutes passées. Je suis à pied, elles vont s'arrêter. Je leur souris, ce soir on rit sans avoir mal, ce soir on recommence à rêver et demain je vais me trouver un vrai job, parce que j'ai plus à offrir que cette merde. Parce que je suis plus qu'une tornade. Parce que je suis plus forte et plus déterminée que n'importe qui d'autre. Pour une fois depuis plusieurs semaines, je souris pour moi, seulement pour moi. Puis, on m'offrit un joint avant d'entrer. Ce n'était pas dans mes habitudes, mais pourquoi pas? Je savais très bien que ça ne m'en prenait que très peu, alors il ne suffit que de trois bouffés pour avoir la tête qui tourne comme déconnecté. J'avais toujours trouvé cette sensation étrange. Surtout que je «sentais les auras», je ne voyais pas comment l'expliquer autrement, mais je peux sentir les autres se frotter à moi alors que personne ne me touche juste parce qu'ils passent non loin de moi. C'est à la fois fascinant et irritant. Je tentai de me concentrer, mais ça ne marcha pas vraiment alors je parti à rire. Je tournai la tête et hallucina Tommy. Ce n'était pas nouveau. J'avais l'impression qu'il était toujours avec moi. Pour une fois, la colère s'était reposée. J'étais consciente qu'il n'était pas là, mais j'aurais aimé qu'il le soit, qu'il voit qu'il me manque, qu'il voit que je suis perdue sans lui, mais la vérité c'est qu'il en aurait probablement rien à faire. Ça ne m'avait pas empêché de vouloir qu'il fasse semblant une autre soirée. J'aurais voulu retrouver ma confiance aveugle en lui. J'aurais donné n'importe quoi pour une autre bagarre. Pour lui crier dessus une autre fois. Pour qu'il m'embrasse à nouveau pour me faire taire. Je m'ennuyais tellement de lui que j'en venais à regretter sa putain de tronche indifférente. Je m'ennuyais même de me sentir coupable de le mettre dans la merde. Mais qu'est-ce que je faisais encore? Je pensais à lui, mais en vérité j'avais surtout envie qu'il s'ennuie assez de moi pour qu'il franchisse la pièce ou plutôt pour qu'il vienne cogner chez moi un jour. Mais qu'est-ce qui cloche chez moi? Pourquoi il ne m'aimait pas comme cette petite conne de Charlotte? Qu'est-ce que cette… fille avait de plus que moi? « Un shoot de tequila?» Dis-je regardant mon amie. Il fallait se changer les idées, s'amuser, se mettre dans le trouble, vivre à cent à l'heure au lieu de ressasser le passé. Maintenant plus personne ne serait blessé si je me retrouvais dans une situation douteuse. J'enchaînai les shooter et fini par tituber. Je sortis donc prendre une bouffée d'air. « Hey! Toi! Oui la blonde avec la robe rouge! J'adore tes souliers, mais tu n'as pas mal aux pieds? Tu es troooop courageuse!» Dis-je pointant mes souliers plats. J'atteignis enfin l'air frais et je m'assi sur le bord du trottoir les jambes dans la rue. Je remontai mon chandail découvrant mon ventre pour que l'air frais caresse ma peau m'aidant à retrouver un peu de sobriété. Puis, je me relevai d'un coup et alla chercher mes amis. « J'ai eu l'idée du siècle! On va se faire tatoué!» Dis-je simplement trop enthousiaste. Je connaissais une place qui devait être ouverte. Je voulais marquer le début d'une nouvelle vie. Ils me regardaient tous croches, mais j'étais décidée. « Moi j'y vais avec ou sans vous!» Dis-je me retournant pour partir. De toute manière, cette soirée avait assez durée. On était dans un état lamentable. Puis, ce n'est pas comme si ça ne faisait pas longtemps que je voulais un tatou. Ce n'est qu'une fois arrivé là-bas que j'eus un doute. J'avais toujours cru que Tommy serait avec moi quand j'oserai enfin dévierger ma peau. Mais j'étais seule… Soit, je n'avais jamais eu besoin de personne de toute manière. Sauf que je n'avais même pas franchis le seuil de la porte, que je vomis sur mes pieds. « Et bordel!»
Moi c’est Jessa. J’ai 21 ans et je suis étudiante à l’université et je travaille dans une boutique de vêtements.Je suis donc plutôt occupé de jour, mais je pourrais me connecter le soir plusieurs fois par semaine. Je tâcherai de poster le plus régulièrement possible, donc rp au moins une fois par semaine. J'habite Ottawa, mais je viens de Montréal. Du coup, si vous avez toujours des cours d'anglais et que vous avez besoin d'aide. Je suis là! Je suis spéciale et j'aime ça. Les jokes plates ça me connait! Du coup, ne soyez pas surpris si je me trouve drôle et que vous non. Par exemple, juste la dernière phrase de l'histoire vient de ce vidéo et j’éclate de rire à chaque fois que je lis ou dis :«Et bordel»
Dernière édition par Evie Leblanc le Dim 6 Mar - 2:10, édité 6 fois |
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