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Anonymous
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MessageSujet: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyDim 23 Aoû - 21:58
Murphy "West" Murdock
We live in cities you'll never see on screen
Not very pretty
But we sure know how to run things
Nom Murdock, Prénom Murphy, Date et lieu de naissance 13 février 1985, Âge trente ans, Nationalité américaine, Origines irlandaises; son patronyme et son accent parlent pour elle, Statut matrimonial oiseau migrateur, Orientation sexuelle rien ne vaut un beau mâle, Job ou Activité infirmière aux urgences, professeur de boxe thaï à ses heures perdues, Date d'arrivée au Parking il y a presque six ans, le 24 décembre 2009,  Groupe ceux qui survivent, Type de perso scénario parfait, Crédits moonstone,  Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? oui.

Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? Cette putain de neige qu’elle détestait. Il en tombait des tonnes ce soir-là, six ans plus tôt. De la neige en gros flocons mousseux, le genre qui fait ouvrir la bouche aux gamins, le nez vers le ciel, la langue qui pend. Et elle, le bonnet enfoncé jusqu’au nez, débarquée comme une zonarde de son autobus, à se demander pourquoi elle avait abandonné Austin pour de la putain de neige. Elle savait pas où aller. Elle n’avait jamais su où aller. Elle s’était laissée couler dans les artères de la ville, corps étranger qui cherchait où se greffer. Et puis elle était tombée sur ce coup de poing dans le paysage, ghetto polychrome qui clignotait en guirlandes à un dollar. Elle avait flotté de groupe en groupe, parce que dans le Parking Noël ça se fête autour d’une palette qui brûle, une bière à la main, la radio qui grésille dans un coin. Et pendant que la ville battait au rythme des rires d’enfants et des lumières flashs des enseignes publicitaires, elle avait ressenti la chaleur rassurante de la solidarité des marginaux. Alors elle avait posé son sac, et elle avait accepté une bière dans un sourire.
Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? Le Parking c’est le genre d’ambiance qui vous rentre dans la peau. On n’habite pas l’endroit, c’est l’endroit qui nous habite qu’un vieux lui avait un jour lâché. Elle s’en foutait de sa philosophie façon Jack Daniel’s, mais dans le fond le vieux avait pas tord. Elle avait jamais posé ses valises aussi longtemps. Le Parking il vous absorbe, les gens vous accrochent le cœur, et sans pouvoir lutter, vous devenez un satellite comme un autre de ce système solaire qui croule. Le Parking c’est une famille, un clan qui se déchire et qui s’aime à la folie, une meute à la hiérarchie en vrac, une tyrannie hippie où il fait bon taper sur le voisin pour lui prouver son amour. Le Parking c’est son point d’ancrage, c’est là où elle courra toujours en cas de danger. Le Parking c’est un dédale qui vous protège, qui perd vos démons au détour d’un couloir et d’un visage familier. Le Parking, c’est la maison, la vraie, celle vers laquelle on revient toujours.
Quelle est votre réputation au sein du quartier ? Trop blonde pour être honnête, trop brute pour être méchante. Un accent irlandais à couper au couteau, un sourire de bimbo et une dégaine de membre de gang. Le chat sauvage dont on ne sait trop s’il va attaquer ou ronronner. Elle est celle qu’on arrive pas à classer, celle à qui on sourit par peur de se prendre un coup. Celle qui tape sur tout ce qui bouge mais refuse de se taper tous ceux qui se bougent. Celle qu’on aime avoir de son côté quand ça chauffe. Celle qui vous décoche une droite pour un regard, mais qui vous ramasse quand vous pouvez plus vous relever. Celle tout en extrêmes, qui oscille d’un bout à l’autre. Noir ou blanc, oui ou non, sourires ou poings.



feat Scarlett Johansson
Elle est née à Detroit. Ville malade de sinistrose, lourde des peines d’une classe ouvrière qui ploie sous la crise. Son père bossait comme huit, sa mère se coupait en quatre. Ils ont tout fait pour eux. Eux, ce sont leurs enfants, six marmots faits par amour et par dépit. Une fille, cinq garçons. La première a dressé les suivants. Alors forcément, l’agressivité, West, ça la connaît. Surtout celle des autres, parce que la sienne bouillonne, s’accumule, déborde en grands coups d’une folle furie qui ne s’apaise qu’au contact de ses poings contre une arcade sourcilière, un menton, une tempe. Et puis un jour est venu Marco. Cheveux de jais, regard de braise, corps de soleil. Elle avait seize ans et les hormones en vrac, il avait vingt-cinq ans et bon goût. Elle lui est tombée dans les bras la bouche en avant. Ça a été beau, furieux, passionné. Il lui avait promis monts et merveilles, elle n’eut que mort et vermeil. Tout s’acheva aussi vite que ça avait commencé. Il s’enfuit dans la nuit, écrasant son cœur de la cruauté de son rire. Elle sombra dans la décrépitude d’un désespoir amer. Et survint alors ce qu’elle n’aurait jamais imaginé : cette famille qu’elle portait à bout de bras depuis qu’elle était en âge de monter sur le tabouret pour atteindre les armoires, cette fratrie qu’elle nourrissait et éduquait depuis qu’elle savait utiliser une cuisinière, ces parents qui lui avaient abandonné leur foyer depuis qu’elle pouvait langer son cadet, tous s’arrêtèrent et la relevèrent. Comme tout déchet humain qui se respecte, elle eut sa période cachets et goulots de bouteille. S’en sortir lui a demandé du sang, de la sueur et des larmes, mais aujourd’hui elle est hors du marasme, et telle une Mère Theresa des junkies et des opprimés, vient en aide à ceux qui veulent en sortir mais ne le savent pas encore. Fatiguée de Detroit et de sa sinistrose chronique, elle décida le lendemain des quinze ans de son plus jeune frère de s’arracher de cette ville qui la rongeait. Un sac de sort et un ticket d’autocar plus tard, elle débarquait comme une première communiante à Chicago, la bouche en cœur et les rêves en effervescence. Puis Chicago la lassa, et d’autocars en rêves, d’autoroutes en envies, elle s’arrêta ça et là, où le hasard et ses caprices la portaient. Elle venait grossir les rangs de ces nobodies qui peuplent les grandes métropoles et font de l’Amérique une terre de liberté et d’injustices. Confort de l’anonymat, liberté de n’être attachée à personne. Bagarreuse irrécupérable, elle tape parce qu’elle ne sait pas comment communiquer autrement. Les discours c’est pas son truc, ça l’a jamais été, avec son accent irlandais et son niveau de langue digne d’un membre de gang de film hollywoodien. Alors elle tape pour s’exprimer, tantôt férocement, tantôt tendrement. Les nuances sont à chercher dans ses coups et pas dans ses mots. Ses faiblesses aussi, caparaçonnées sous une agressivité à fleur de peau et une dégaine de brute un peu trop jolie, qui dresse les mâles à grand renfort de coups. Elle est plus irlandaise qu’américaine. Accent rond et haché qui donne à l’anglais une dimension jamais atteinte, elle a grandi dans une communauté forte et unie, qui fêtait plus violement la Saint Patrick que le Independence Day. Fière et susceptible, elle a aussi reçu en héritage de ce sang celtique une ténacité à toute épreuve. Un Irlandais gueule fort, ne se plaint jamais, et passe à travers tout ce que ce crétin de karma peut bien mettre sur sa route. Elle s’appelle Murphy parce que ses parents voulaient un garçon, et étaient persuadés qu’en y croyant fort, ils y arriveraient. Et ce fut elle, rose et hurlante, fille qui n’aurait pas du en être une. Ils la baptisèrent Murphy, comme la loi, prénom aux senteurs irlandaises et sans réellement de genre. Garçon ou fille, Murphy ça va à tout le monde. Ce prénom elle le déteste du plus profond de son âme. Alors quand on lui demande son nom, ici dans le Bronx, elle répond West. C’est là d’où elle vient, expliquer davantage serait trop long. Rares sont les personnes qui comptent vraiment. De ceux à qui on s’attache si fort qu’on serait prêt à beaucoup de choses pour eux. Il y a son chien, qui la suit partout. Il y a son meilleur ami, grand polonais à la sale gueule qui sait tout d’elle et qui aime tout d’elle. Et puis il y a Jo. Il y a pas de mots pour expliquer ce qu’ils sont l’un pour l’autre. Eux-mêmes ne savent même pas trop ce qu’ils représentent l’un pour l’autre. Il l’a ramassée un jour, en sang et en colère, sur son escalier. Depuis ils se lâchent plus, se tournent autour et tournent autour du pot, se taquinent et s’apaisent, s’agacent et s’apprivoisent. Lui peut pas savoir, mais il est tombé dans sa vie pile au moment où elle perdait les pédales. Où l’autre avait refait surface, et qu’elle avait cru qu’il allait la briser encore une fois. Il y a pas de mots pour Jo et West. C’est comme ça. Infirmière aux urgences du Calvary Hospital, elle est aussi prof de box thaï quand ses gardes le lui permettent. La boxe thaï c’est sa dope, sa thérapie, son échappatoire. Toute sa haine, sa douleur et son agressivité se vident sur un sac de sable ou un adversaire consentant. Elle la pratique depuis des années maintenant, depuis qu’elle est arrivée au Parking, depuis que son corps et son cœur n’en pouvaient plus de cette haine en elle qui bouillonnait. Un mois après être arrivée au Parking, elle trouva sur un terrain vague le cadavre glacé d’une chienne pitbull, battue à mort. Et dans la portée qui gisait à côté de sa mère, presque aussi froide qu’elle, une petite forme bougeait encore, une force vitale refusait de s’éteindre. Elle passa des nuits à le nourrir à la main. Et la petite boule de poil qu’elle avait arraché à la mort sur un terrain vague grandit, et devint Big Foot, grand pitbull bleu. Trente kilos de muscles et d’amour brut qui la suivent presque en permanence dans l’immeuble depuis six ans. Un garde du corps qui écarte nombre de trop téméraires, quand ses regards et ses poings à elle ne suffisent plus. Chacun veille sur l’autre,  chacun protège l’autre, chacun soutient l’autre. Et s’il est un être vivant sur cette planète auquel elle ne porte qu’un amour pur et absolu, de celui dont elle avait juré qu’elle ne l’éprouverait plus, c’est sans doute son armoire à glace sur quatre pattes.


Au nom du Frère
Elle les regrettait. De Detroit elle ne gardait rien, sinon le souvenir morne de la douleur, sinon les cicatrices qui craquelaient son cœur. Detroit avait fait d’elle la sauvageonne, la bagarreuse, la grande gueule qui voulait prouver au monde qu’elle pouvait encaisser les mêmes coups qui l’avaient brisée des années auparavant. De Detroit elle gardait des remords, des doutes, des peurs. Detroit c’était son sang et sa malédiction, son berceau et son caveau. Mais dans l’océan de son oubli, il était un souvenir qui flottait, irradiant de cette chaleur froide des bonheurs perdus. Cinq noms, cinq visages, cinq âmes qui lui avaient glissé entre les doigts. Ils étaient son sang. Modelés dans le même moule déformé que le sien, par une ville en perdition et une communauté soudée et oppressante. Cinq irlandais, face rouge sur cheveux oranges, sourires tordus et regard doux. Elle n’oublierait rien. Ni leurs premiers pas, ni leurs colères, leurs combats, leurs erreurs, leurs blessures, leurs amours, leurs défaites, leurs reproches, leur soutien. Ils étaient ceux qui avaient recueilli son dernier regard, alignés sur le trottoir, fixant l’autocar qui s’en allait. Ils l’avaient modelée autant qu’elle les avait éduqués. Ils étaient ses frères, et sa plus grande perte.

Du Fils
Elle aurait dû être un fils. Elle aurait dû être celui qui défendrait leur mère sur le chemin du travail. Celui qui serait le bras droit de leur père. Celui qui réparerait la Harley à bout de souffle de son vieux. Celui qui tabasserait le sale gamin du coin qui emmerdait ses cadets. Celui qui parlait fort, buvait sans craindre l’ivresse et donnait des poings pour tracer sa route jusqu'au bar. Celui qui s’en laissait pas compter et draguait seulement celles qui lui plaisaient. Celui qui saurait tout faire, tout résoudre, tout arranger. Celui qui ne serait pas un de ces faibles Italiens, ou un de ces froids Ruskov. Celui qui serait le vrai Irlandais, qui chercherait au bout de la route l’approbation dans le regard fier de son paternel. Elle aurait du être un fils. Et elle fut une fille. Alors elle devint ce qu'on attendait d’elle. Elle parla fort, tapa dur, but sans compter. Elle protégea ses cadets, répara la moto, défendit sa mère. Elle devint le roc, la furie, le phare. Sans peurs et sans faiblesses, jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus, jusqu’à ce qu’elle s’écroule. Alors elle respire, s’échoue un moment, le temps de lécher ses blessures et durcir plus encore sa carapace. Et elle repart. Encore. Toujours.

Et du Sain d’Esprit
Avance-t-elle doucement vers la sagesse ou le Parking n’est-il qu’un camaïeu de folies sauvages et marginales ? Sont-ils tous fous, ou est-ce le monde qui est trop sage ? Elle n’a même pas envie de savoir. Le Parking est devenu son îlot. Les visages qu’elle croise sont devenus ses gens, cette famille élargie et décrépie qu’elle aime à la folie. Elle a secoué la hiérarchie le temps de trouver sa place. Elle a trouvé Big Foot. Elle a rencontré Jo. Est-ce que le Parking est le bout du chemin, l’endroit qui l’arrêtera, qui l’accueillera, qui la fixera ? Elle s’en fiche. Le Parking c’est sa joie et son drame. Ce sont des nouveaux visages et des fantômes qui reparaissent. Des erreurs du présent et du passé. Des drames et des joies. De l’espoir, aussi, de l’espoir dément, de l’espoir désespéré, mais de l’espoir commun. Le Parking, c’est sa place.

kementari
passe ta souris !
Hey  :l: Moi c'est Lucie, 21 ans. Bibliovore, cinéphile, étudiante entamant sa navigation en Master en Relations Internationales. Oh, et Belge aussi. C'est nous qui avons les meilleures bières, les meilleures frites, et le meilleur chocolat, cherchez pas.  HEHE  Et le record du pays resté le plus longtemps sans gouvernement. Like a boss. Tolkieniste classée comme cas désespéré. Rpgiste en perdition, fatiguée des city où on t'ignore parce que ton avatar ne plaît pas. Voyageuse apprentie. Distraite sans espoir. Et juste assez désorganisée pour être saine d'esprit !

Amour et tagadas  CUTE


Dernière édition par West Murdock le Mar 25 Aoû - 0:02, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyDim 23 Aoû - 22:09
Oh god ScarJo OMG :l: super méga choix de scénario mrrrr FAN bienvenue !
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyDim 23 Aoû - 22:10
Bienvenuuuuuuue :l: on va pas t'ignorer nous tu vas voir :l:
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyDim 23 Aoû - 22:12
laisse pas trainer tes petites culottes sur le canap de jo’, ou j’mets de la mort au rat dessus. BLBLBLBL
(bienvenue quand même HEHE )
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyDim 23 Aoû - 22:12
J'suis parfaitement d'accord pour ce qui est des frites, de la bière et du chocolat (mais n'oublie pas les gauffres !) Ce scénario est l'un de mes préférés :l: Bienvenue !
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyDim 23 Aoû - 22:23
MA WEEEST FAN DE CEUX ANGE La plus kick ass de toutes les kick ass SADIQUE

je ne suis pas responsable pour Ange UH

J'aime trop ton petit paragraphe perso. Je sens qu'on vas bien s'entendre GEEK

Si je peux faire quoi que ce soit, ma boîte MP t'es en partie dédiée (Ange a propriété sur l'autre partie) MIAOU
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyDim 23 Aoû - 23:00
Ce scénario, cet avatar BAVE BAVE


Bienvenue jeune panda ! :l:
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyDim 23 Aoû - 23:23
bienvenue avec scarlett HAN HAN
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyDim 23 Aoû - 23:51
Bienvenue au Parking :l:
Aliah Williamson
Aliah Williamson
http://www.nous-sommes-de-ceux.com/t5331-aliah-vouloir-vivre-par
▹ DISPONIBILITE : Non
▹ MESSAGES : 1557
▹ INVESTISSEMENT : 18

▹ AGE : Vingt cinq ans
▹ APPART : #522 elle n'est plus seule, la présence d'un homme dans l'appartement
▹ TAF : Infirmière diplômée
▹ AVATAR : Anna Speckhart
▹ DC : Lizz & Drill



MA RENOMMÉE DE MERDE :
MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyLun 24 Aoû - 0:43
Bienvenue :l:
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyLun 24 Aoû - 9:04
Bienvenue parmi nous HAWW
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyLun 24 Aoû - 19:14
Je suis pas d'accord, les suisses on du meilleurs chocolats que les belges Surprised
Bienvenue quand même MDR
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyLun 24 Aoû - 19:59
Bienvenue parmi nous ! :l:
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyLun 24 Aoû - 20:32
Vous êtes trop gentil les gens :l:

earl, merciiii :l:

aaron, han c'est gentil POTTE Parce que sincèrement je crois que j'ai coulé sur trois city différents juste parce qu'au fond personne en a rien à faire de ma tronche de newbie :bouh: Mais De Ceux ça fait un moment que je lui tourne autour, alors vous risquez de m'avoir dans les pattes jusqu'à nouvel ordre HEH

ange, je laisse mes petites culottes où je veux HEH :YEAH: va falloir apprendre à partager, parce que Jo ça va être mon mien aussi maintenant NIARK (merci quand même :YEAH: )

ariane, LES GAUFFRES, j'avais oublié les gaufres, honte sur mwa, honte sur ma vache :bouh: J'vais aller en manger une pour la peine HUM T'es Belge aussi en fait ? Et oui ce scénario est une telle merveille HAN

jo, mon précieuuuuux HEHE les coups vont pleuvoir, brace yourself MIAOU Et comme tu peux le voir, j'ai déjà commencé à prendre mes aises dans ta boîte MP :hihi:

isa, ScarJo est magnifique hein ROBERT Et ce scénario mamaaaa je ne le répéterai jamais assez OMG Merciiii (les pandas c'est le bien)

iron, silver, aliah, daniel merciiiiiii :l:  :l:

frey, soit tu as jamais goûté le chocolat belge, soit tu es un nationaliste suisse :bouh: Non, allez, mais quand même, notre chocolat est meilleur BLBLBLBL Mais je t'aime quand même :l:

hunter, merciii :l:
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book EmptyLun 24 Aoû - 21:11
Je suis pas Belge, mais j'ai une pote qui l'est et j'ai passé presque un mois chez elle :hihi: (inutile de préciser que j'me suis empiffrée tous les jours aux baraques à frites ARROWluvCharlie )
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MessageSujet: Re: WEST + they judge me like a picture book   WEST + they judge me like a picture book Empty
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