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Anonymous
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MessageSujet: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 15:51
Anouch  Basmadjian
let's die together, mi amor
Nom Basmadjian, typiquement arménien, un nom de famille pas toujours facile à porter, c'est vite lourd les fautes de prononciation ou d'écriture constantes. Prénom Anouch, là encore, typiquement arménien, tes parents y sont pas allés de main morte. A ce qu'il parait ça signifie « douce, lumineuse et parfumée », en soit aucun rapport avec toi. Date et lieu de naissance Le 26 novembre 1989, dans le Bronx, on peut pas dire que t'as beaucoup bougé dans ta vie. Âge Déjà 25 ans, les années se ressemblent tellement que tu les vois plus passer. Nationalité C'est parfois difficile à croire pour certains, mais américaine, même si ça s'entend pas comme ça. Origines Là ça devient plus clair : arménienne de pure souche. Statut matrimonial La réponse varie selon les jours, t'as certainement l'une des relations les plus bancales et moisie du coin, mais en couple. Orientation sexuelle A 100% hétérosexuelle. Job ou Activié Femme de ménage, c'est pas glorieux, t'aurai voulu mieux faire, PIRE, t'aurai pu mieux faire, mais t'as choisi le mauvais chemin. Du coup tu te retrouves à décrasser les immeubles délabrés du quartier, et c'est pas jouasse tous les jours. Groupe De ceux qui survivent. Crédits Foolish Pleasure.  

Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? J'ai dû emménager il y a environ 4 ans. J'ai toujours habité dans le Bronx, mais auparavant c'était plus loin dans le quartier, avec mes parents et ma soeur. Aujourd'hui j'habite avec mon mec, dans un F2 miteux. Ca s'est fait plus ou moins sur un coup de tête, il a trouvé l'appart, je squattais beaucoup chez lui, jusqu'au jour où il m'a carrément demandé d'emménager avec lui. J'ai dit oui sans vraiment réfléchir, c'était certainement la pire décision que j'ai prise jusqu'à présent.
Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? J'en pense que ça m'fait chier. Au début, j'dis pas, c'était sympa, parce que c'était nouveau et surprenant, mais maintenant ça commence vraiment à me taper sur les nerfs. C'est le concours de celui qui sera le voisin le plus casse burne, c'est ces petits merdeux sans but dans la vie qui zonent dans les escaliers et se croient surpuissants, c'est la concierge qui pense qu'elle a le droit d'empiéter sur la vie de tous les locataires comme si elle avait construit cette saloperie d'immeuble.. Bref, c'est la merde.
Quelle est votre réputation au sein du quartier ? Honnêtement je sais pas trop, je cherche pas à savoir en fait. J'pense que je dois être cataloguée comme "la meuf qui tire tout l'temps la gueule et qui se fait taper sur la tronche par son gars". Si c'est le cas, c'est pas flatteur, mais c'est plutôt perspicace. Au fond, j'en ai pas grand chose à foutre de ma supposée réputation, j'pense pas qu'y'en ai un ou une apte à me juger ou à me regarder de haut par ici. On va dire que c'est le seul bon point du coin : on est tous dans le même cas.  



feat Phoebe Tonkin
Il n'est pas difficile de comprendre qu'Anouch est arménienne, ses parents ont débarqués aux Etats-Unis quand la mère était enceinte, pour offrir à leur fille une vie meilleure. Néanmoins, ils restent très attachés à leur pays natale, et Anouch est donc très fière de ses origines. Elle parle arménien aussi bien que l'anglais. Elle a vécu une enfance paisible, n'a jamais manqué de rien, a toujours été bonne en cours, personne n'aurait pu prédire sa descente aux enfers. Elle a une petite soeur de deux ans sa cadette. Elle y tient comme a la prunelle de ses yeux, et même si elle n'est plus en contact avec ses parents, elle prend des nouvelles de la petite très régulièrement. Elle avait commencé des études de droit, avant d'abandonner et se retrouver femme de ménage pour payer le loyer et la bouffe. Elle fume comme un pompier. C'est la seule chose qui la détend véritablement, il lui faut sa dose de nicotine fréquemment, elle fume au moins un paquet par jour, si ce n'est plus lors des journées difficiles. Par contre, elle ne touche ni à la drogue, ni à l'alcool. Victime lorsqu'elle passe le pas de la porte de son appartement, elle est toute autre lorsqu'elle est dehors. D'un tempérament bien trempé, elle ne se laisse pas marcher dessus. Elle-même ne comprend pas ce qui la rend si faible une fois qu'elle se retrouve face à son copain. Elle n'a eu qu'une relation dans sa vie : celle qu'elle entretien actuellement. Elle plait pourtant, elle le sait, elle le voit, mais elle connait son copain depuis le lycée, et n'a pas eu "l'occasion" d'entamer quoi que ce soit avec quelqu'un d'autre. De toute façon, malgré tout, elle l'aime, son connard, mais parfois elle a l'impression de ne pas avoir assez profité alors qu'elle aurait pu. Elle n'est jamais sortie du Bronx, elle y a vécu toute sa vie, et vu comme s'est parti, va la finir ici également. Elle rêve pourtant de découvrir d'autres horizons. Vous la verrez toujours bien camouflée sous ses vêtements, ne laissant pas apparaître beaucoup de peau, même en été. Les divers bleus et contusions marquant son corps l'empêchant de se découvrir trop. Malheureusement, le signe de la maltraitance quotidienne peut parfois s'admirer sur son visage, et là, difficile de le cacher. Dans les pires moments elle a déjà songé à en finir avec tout ça, être enfin débarrassée de cette vie misérable. Mais elle n'a pas la volonté nécessaire, et se rappelle toujours à quel point il est égoïste d'envisager un tel acte.
Développe en un minimum de 400 mots l’histoire ou une anecdote déterminante dans la vie de ton personnage.

« Tu vas vraiment partir comme ça ? » Tu vois la colère, la déception, et la tristesse dans son regard. Tu le dit pas parce que t’es trop fière, mais bordel, ça te fais mal aux tripes tout ça, t’aurai voulu que ça se passe autrement, t’aurai voulu qu’ils soient heureux pour toi. « Ouais. » T’as pas vraiment envie de débattre, t’as pas envie de parler, tu veux juste boucler ta valise le plus vite possible et te barrer d’ici. « Mais c’est UN CON, combien de fois on va devoir te le dire pour que tu comprennes ? » Ah ça, on peut dire qu’effectivement, tu l’auras entendue souvent la tirade du copain de merde. C’est vrai qu’il est pas parfait, c’est vrai qu’il t’as fait pleurer plusieurs fois, mais c’est comme ça que ça marche, non ? Personne n’a de relation parfaite de nos jours, et puis, il t’as pas demandé d’aller habiter avec lui pour rien, il t’aime vraiment, tu peux pas laisser passer ça, il faut au moins que tu tentes le coup. « Je connais le refrain, te fatigues pas. Tu comprendras dans quelques années. J’y vais, fais attention à toi, je suis pas très loin si besoin. » Tu prends ta valise, tes sacs, t’agrippes la tête de ta petite sœur, un bisou sur le front, et tu sors de l’appartement. Pas un regard pour tes parents, pas un mot, rien, vous vous quittez comme ça, ça te déchire mais c’est pas grave, il se rendront compte qu’ils avaient tort avec le temps, et tout redeviendra comme avant.

Recroquevillée dans la douche, le bruit de l’eau couvre tant bien que mal celui de tes sanglots. Il a recommencé, le salaud. Il t’avait promis pourtant, il t’avait promis qu’il allait faire des efforts, qu’il allait mieux se comporter, et ça fait depuis que t'es là, ça fait un an qu'il te le promet. Mais t’es rentrée un peu trop tard, il avait déjà dégommé un peu trop de cannettes, putain, tu le fais exprès toi aussi ou quoi ? Tu sais bien pourtant comment il est, tu sais qu’un rien l’énerve, c’est pas vraiment de sa faute, c’est un impulsif, il est pas méchant dans l’fond, il se rend juste pas compte. Il se rend pas compte qu’il est un peu trop fort, qu’il te fait mal, que ta peau marque bien trop facilement sous ses coups. Au fond, c’est après toi-même que t’en as, tu te dégoutes, autant physiquement que mentalement. T’es faible, t’es putain de faible ma grande, regarde, regarde tes bleus, regarde comment tu fermes gentiment ta gueule, regarde comment tu pleures dans ta salle de bain, les muscles endoloris. Comment t’as pu en arriver là, sombre merde ? « J’suis désolé An’, je voulais pas, vraiment, tu l’sais que je voulais pas te toucher. » Voilà par quoi tes gémissements sont interrompus, la complainte habituelle. Et même si tu veux pas l’entendre, tu l’écoutes, et tu peux pas t’empêcher de te sentir mal pour lui. Il a l’air tellement triste derrière la porte, t’as juste envie d’ouvrir, de lui dire que c’est pas grave, que c’est déjà pardonné. « S’il te plait, m’en veux pas, j’suis désolé putain, j’voulais pas. Mais j’t’avais dit de rentrer plus tôt, j’t’avais dit que j’avais besoin de toi, et t’es pas rentrée, et j’avais besoin que tu sois là, et ça m’a rendu fou. Parce que j’t’aime An’, et j’sais pas c’que tu fais quand t’es dehors, avec tous ces chiens qui trainent, j’sais pas, mais j’t’aime, faut m’croire. » Il pleure, il tambourine à la porte quand il mentionne les « chiens », il te fais de la peine. S’il te fait du mal, c’est parce qu’il tient à toi, au fond c’est beau, non ? Tu coupes l’eau, tu sors de la douche, et t’ouvres la porte. Il te contemple de haut en bas, regarde avec effroi toutes ces marques sur ton corps dénudé, comme toujours, comme s’il découvrait tout ça pour la première fois. Il les connaît bien pourtant, c’est lui l’auteur de ce tableau malsain après tout. « J’suis désolé. » Les yeux encore bien trop humides, les membres encore bien trop douloureux, tu le prend dans tes bras, encore une fois, tu pardonnes. Vos gémissements de douleur laissent alors place à ceux de plaisir, et tu t’abandonnes dans une étreinte passionnée. Tu vas mieux, jusqu’à demain, jusqu’à ce qu’il recommence.

La fatigue te submerge. Tu manques de t’endormir sur ton balais décrépis. Il doit être dans les alentours de 7h, il te reste une cage d’escalier et c’est bon, t’as fini. Sachant que tu dois être partie à 8h, t’es dans le timing. Trois heures de ménage tous les matins, de 5h à 8h. T’as deux petits blocs du Bronx à faire. Ca va, honnêtement, y’a bien pire comme job, mais c’est usant, et puis tu méritais tellement mieux. Un peu après ton arrivée au Parking t’as laissé tomber tes études de droit, t’étais bien partie pourtant. Mais l’autre crétin t’as bien fait comprendre que c’est pas en étant étudiante que vous auriez de quoi bouffer et payer le loyer. C’est sûr que c’est pas lui qui allait ramener le blé à la maison, alors c’est toi qui t’en charge, comme une conne. Ca fait combien de temps que tu supportes tout ça maintenant ? Quelque chose comme 4 ans non ? Ca y’est, tu réalises enfin que t’as merdé ? Que t’aurai dû écouter tes parents et ta sœur ? Ben ouais, mieux vaut tard que jamais tu m’diras, mais t’es coincée maintenant. Coincée dans ta petite vie de merde. T’es dans la pire routine du monde, t’alterne entre ton boulot à la con et ta vie de couple décadente. Il te tape toujours dessus, l’autre trou d’balle. Et tu te laisse toujours faire. C’est plus tout à fait comme avant néanmoins, tu la sens, maintenant. Tu sais, cette vague de chaleur dans ton corps quand il lève la main sur toi, quand il s’excuse en pleurant, quand tu le laisse te baiser comme si tout se passait bien. Tu la sens la rage, l’envie de tout faire sauter, sa gueule en premier. T’y a pensé déjà, à le tuer. Mais putain, manquerait plus que tu finisses en taule. T’y a pensé aussi, à te barrer. Mais t’irais où ? Puis tu ferais quoi ? Puis c’est pas ton petit salaire de femme de ménage qui va t’offrir un grand départ. Alors tu restes, t’attends. Un signe, un miracle, un truc qui viendrait chambouler ton existence. Mais t’es pas dans un film, tu peux toujours l’attendre ton signe, il va pas tomber du ciel. En plus, y’a toujours cette petite partie de toi, cette petite partie complètement stupide, qui s’accroche encore à son bourreau. Syndrome de Stockholm un peu. Tu sais qu’il va te mener à ta perte, ça va te tuer cette histoire, littéralement, suffit d’un coup mal placé, et t’es finie ma pauvre. Mais la violence c’est un peu devenu ton repère, tu connais plus que ça, même si tu tombais miraculeusement sur un mec gentil et attentionné, t’y croirai pas. T’es ancré dans ce cycle d’abus permanent, et tu te vois pas en sortir.  

manchee
passe ta souris !
Bonjoooooour. HELLO
Alors alors, moi c'est Chloé, 19 ans au compteur, habitante du nord est de la France, fervente adoratrice de bière bon marché, de séries en tout genre, et grande adepte de la procrastination.  PERV
Et voilà, une fois qu'on sait ça à mon sujet on connait l'essentiel, AU PLAISIR CAMARADES !  SUPER


Dernière édition par Anouch Basmadjian le Dim 15 Fév - 20:56, édité 11 fois
Anonymous
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 15:53
Phoebe POTTE
J'adore le pseudo ROBERT

Bienvenue chez nous :PERV:
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 16:04
Phoebe! CUTE ça c'est du bon goût demoiselle! Bienvenue au parking HEHE
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 16:07
Bienvenue, et bon courage pour ta fiche FESSE
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 16:13
Le pseudo est juste magistral ! waw BAVE2
Bienvenue parmi nous ma belle !
Anonymous
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 16:18
Quel beau peuple. ho
Merci à tous. I love you
Anonymous
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 18:18
Bienvenue I love you
Anonymous
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 18:26
Bordel ce pseudo qui déchire tout FAN

Bienvenue, j'ai très très hâte de lire la suite POTTE
Anonymous
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 18:44
Arménienne, ça ça tue ho
Puis bon Tonkin quoi AS
Bienvenuuuuue ! DE CEUX
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 18:58
Bienvenuuue jolie demoiselle. DE CEUX NIARK
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 19:05
Cet accueil de malade. CUTE
Merciiiii. HELLO
Anonymous
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 19:22
Joli pseudo, ça promet ** bienvenue HAN
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 20:59
Merci bien. SLURP
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 22:04
Bienvenue parmi nous jolie Phoebe !

Et bienvenue au club des nanas battus par leur mec ! Un lien commun avec ma Viv' bien qu'elle ait fui cet amour destructeur ! Il nous faudra un lien !
Anonymous
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear EmptyDim 15 Fév - 22:19
VALIDEE !


T'es parfaite POTTE

Félicitations ! Tu emménages officiellement au sein du Parking! Tout d’abord, laisse-nous te remercier de t’être inscrit et surtout, d’avoir mené ta fiche jusqu’au bout ! A présent, nous espérons de tout cœur que tu te sentes ici comme chez toi alors si quelque chose ne va pas, si quelque chose te passe par la tête, n’hésite pas à poster dans les Suggestions ou encore nous envoyer un petit MP (évite cependant d’écrire un MP à la concierge, elle n’est qu’un PNJ). Quoiqu’il en soit, tu connais la musique : pour bien démarrer ton jeu, poste ta fiche de liens ainsi que ton portable et n'oublie pas d'aller recenser ton appartement puis roule ma poule ! DANCE

PS: Pense à bien remplir tous les champs de ton profil, c'est mieux !
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MessageSujet: Re: anouch - guts over fear   anouch - guts over fear Empty
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