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▹ AGE : cinquante-deux piges le salopard et c'est vrai qu'il est bien conservé même si ça le fait râler d'entendre ça.
▹ TAF : figure emblématique du clan Ó Súilleabháin. boss intransigeant, boucher comme ils disent, vendeur de viande fraîche.
| Sujet: AMBROSE - you were never really here. Sam 16 Déc - 13:31 | | Ambrose Ó Súilleabháintoutes mes pensées naissent durant les nuits d'ivresse. (NOM) Ó Súilleabháin, partie infime de la gangrène qui se propage autour d'eux. Continuité d'un règne sur un royaume fait de cendres et de rancœurs passées, parfois invisibles à l’œil nu. Bordel magistral et sordide qui ferait claquer des dents à ceux qui le connaissent. (PRÉNOM) Ambrose, prince devenu roi, héritier de la couronne de folie que portait son père. Assimilé aux défauts d'un homme dont l'ombre l'étouffait depuis sa naissance. On prononçait rarement son prénom jusque peu ; il n'était que le fils de. Ce que l'on oublie de dire, c'est que l'homme qui doit encore se prouver quelque chose n'a pas de limites, pourrait se montrer être le pire des pires. (ÂGE) quarante-trois ans, il est le premier d'une longue portée de gamins que l'on considérait pour des princes et des êtres à part pour être certain qu'ils se prennent pour des demi dieux. Élevé par un père impitoyable, poussé dans ses retranchements par une mère aussi courageuse que n'importe quel homme, il porte aujourd'hui la sagesse de la quarantaine, accompagnée d'un démon qui ne cesse de vieillir au fond de lui et en vouloir toujours un peu plus. (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) 10 novembre 1974 dans l'hôpital du Bronx, il était bondé d'Irlandais ce jour là. Tout le monde attendait dans les couloirs, tournait en rond en se rongeant les ongles. Ambrose, arrivé un mois et demi trop tôt leur a fait croire qu'il ne pourrait pas survivre à cette réalité impitoyable. Resté en couveuse, pendant plus de deux mois, l'hôpital est devenu un abris à Irlandais à qui on ose pas annoncer les horaires de visites par peur de se voir finir égorgé dans un coin. (OCCUPATION OU ACTIVITÉ) figure emblématique du clan Ó Súilleabháin. Il est le nouveau boss, le digne descendant de celui que l'on craignait. Arrivé récemment au trône, l'homme soupçonne certains de ses fidèles de vouloir sa peau pour de vieilles rancœurs dont on ne sait se détacher. Imperturbable face aux problèmes émotionnels du clan, Ambrose ferme les yeux sans jamais leur tourner le dos, pensant au plus profond de lui que toute cette connerie finira par leur passer. C'est de son regard impassible qu'est né le pire : la traite des êtres humains, véritable vache à lait qui a su renflouer les comptes du clan en une courte année et qui continuera de les élever au dessus du reste. (NATIONALITÉ) américain sur les papiers, irlandais dans les veines. Ce pays là n'est qu'un champs de bataille, un grand jeu impitoyable où il jouera toutes ses cartes. (ORIGINES) Ses parents lui ont bourré le crâne pour ne pas qu'il oublie. Ambrose représente donc aujourd'hui le parfait Irlandais, sans compter cet accent là que son père lui a transmis. Il porte les mimiques et les gestes du salaud lui servant de guide. Malgré sa mort, Daire subsiste encore dans chacun de ses fils. (STATUT CIVIL) ses yeux bleus sont comme des rêves dans lesquels on plonge pour en ressortir plein de promesses. Ambrose dégage naturellement un sentiment de sécurité et d'amour qui vous happe alors que lui n'espère rien, ne désire rien. Loup solitaire qui se complaît dans sa liberté sentimentale. (ORIENTATION SEXUELLE) ses mains sont comme du papier de verre sur les douces courbes féminines qu'il entraîne dans ses draps pour les enivrer le temps d'une nuit. Ensuite, plus rien ne se passe, il les oublie (faut-il encore qu'elles traversent un jour sa tête). La femme n'est qu'un objet à ses yeux, un pion dont il se sert pour assouvir ses besoins. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING) il a la sensation de n'avoir connu aucun autre paysage, de l'avoir arpenté de long en large. Ambrose n'a connu que ça : cet îlot de désolation. (GROUPE) de ceux qui vivent. « l'ivresse / musique ambiance, clic. » (Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) la sensation de n'avoir jamais rien vu d'autre, l'impression d'être dans une prison de vices dont on ne peut se sortir. La toile du Parking s'est refermée sur son âme, faisant de lui un parfait petit soldat impitoyable. Ambrose est né dans cet univers là pour ne plus jamais en sortir. Il se complaît à vivre dans les dernières miettes d'existence de son père et de semer le trouble dans les rues annexes. Il a déménagé une fois, de l'étage quatorze au dix pour prendre son appartement à lui ; même configuration, seulement le décor et le numéro qui change. (Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?) Partir ailleurs, ce serait tout recommencer, tout reprendre à zéro alors que son empire se trouve ici. La toile est peut-être usée, tâchée de couleurs sombres mais l'immeuble est son unique stabilité. Chaque détail peut partir en sa faveur ou se retourner contre lui ; Ambrose ne laisse rien au hasard, ne donne sa confiance en personne, même pas à cette gamine avec qui il a passé la plupart des heures de son enfance. Tout juste s'il sait offrir un regard sans avoir l'impression de se donner un peu trop. Ses voisins, s'ils ne lui rapportent pas de l'argent ou du plaisir l'indiffèrent. (Quelle est votre réputation au sein du quartier ?) Des rumeurs. Des légendes. Des mythes. Que l'on ne cherche pas à monter ou démonter, des histoires parfois sombres, si sombres que l'on ne veut pas y croire. Fermer les yeux sur la merde ce monde est plus simple parce qu'accepter qu'un monstre puisse vivre à nos côtés, c'est accepter qu'un autre puisse entrer dans notre vie sans qu'on le sache et détruise le peu de choses que l'on possède. La mauvaise réputation d'Ambrose lui vient en grande partie de son père mais aussi de lui-même. Tout est flou concernant son sujet, la seule certitude reste sa tendance à traîner dans les draps les plus sales. Mais bizarrement, il est de ces hommes que l'on pardonne d'être ignoble et qui parvient même à nous dégager une certaine sympathie. Ambrose est un démon enfermé dans une coquille fait de chair et de traits angéliques qui lui sauvent trop souvent la mise. PSEUDO/PRENOM : floki ÂGE : 23 ans. PAYS : france. FRÉQUENCE DE CONNEXION : régulière. COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : // REMISE EN JEU En cas de suppression, acceptez-vous que votre personnage soit scénarisé ?c'est Azur qui vous le dira (TYPE DE PERSO) inventé ou scénario de @Azur Efstathios (CRÉDITS) tumblr, ben hill. COMMENTAIRE OU SUGGESTION : ok je poste une fiche vide comme une sale bête mais je dois y aller AVATAR : Ben Hill ️ Nous sommes de ceux
Dernière édition par Ambrose Ó Súilleabháin le Sam 23 Déc - 1:50, édité 7 fois |
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▹ AGE : cinquante-deux piges le salopard et c'est vrai qu'il est bien conservé même si ça le fait râler d'entendre ça.
▹ TAF : figure emblématique du clan Ó Súilleabháin. boss intransigeant, boucher comme ils disent, vendeur de viande fraîche.
| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Sam 16 Déc - 13:31 | | Raconte moi une histoire...Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. 1/ Son père, son héros, son idole, son exemple de vie lorsqu'on ne cherche pas à creuser, à chercher la véritable identité de ses sentiments. Ambrose était juste étouffé par lui, par ce charisme plus grand qu'une armoire à glace. C'est con à dire mais il a été soulagé de le voir mourir. C'était pas de la haine, juste un poids qui s'enlevait sur ses épaules. Le poids de ne plus être obligé de devoir rendre des comptes, de se surpasser à longueur de temps et de devoir être le meilleur. Aujourd'hui, même si Daire est plus là, Ambrose continue de se mettre la pression à longueur de temps mais il a quand même la sensation d'être libéré. Libéré de cette force invisible qui le reliait à l'admiration folle qu'il avait pour lui. C'est dingue de voir ce qu'un père peut apporter à un môme. Dingue de voir que l'influence qu'il a un jour eu sur lui tiendra jusqu'au bout sans jamais s'émousser. C'est comme ouvrir la porte d'une cage à un lion enfermé depuis des années, il finirait par revenir chez lui et s'allonger dans son faux paysage tropical. 2/ C'est bien quand tu te fais la promesse de pas devenir comme ton père que tu le deviens. Môme, Ambrose racontait à ses frères et sœurs qu'il aurait du cœur et de la compassion, qu'il réagirait jamais comme son paternel qu'il appelait le taré à l'époque. Sauf qu'entre entre temps, les choses ont changé ; il a jamais vraiment été un homme d'engagements et de promesses. Pour se réconforter, il dit avoir essayé. Calme en apparence, il est aussi moisi que son vieux au final. Y a que ses yeux qui diffèrent. Ce sont des imposteurs qui te font croire qu'il y a quelque chose de tendre là-dessous. 3/ Il a dans la tête un branchement qui se fait uniquement la nuit, lorsqu'il entre dans ses songes. Un branchement qui vibre dans tout son corps et qui le fait se réveiller sans se réveiller. Petit, on le retrouvait au petit matin à dormir dans le placard à balais ou sous la table de la cuisine. Parfois, il lui arrivait de gueuler, de faire vibrer les murs et rien ni personne pouvait le calmer. Sa mère fermait les volets qui donnaient tout droit sur le balcon et partait se coucher avec la peur au ventre de le retrouvé écrasé dans la rue d'en bas. Cette rue qu'elle a toujours détesté (les chiens y pissent, les hommes bourrés aussi). Mais heureusement son père était là pour dire que c'était des conneries ; un somnambule ça peut pas se mettre en danger. Jusqu'au jour où en tombant dans les escaliers, il s'est démis l'épaule. 4/ Enfant tourmenté, il a rencontré Bax. Haut comme trois pommes à l'époque. Ambrose avait déjà de la braise dans le regard et le voir n'a fait qu'éveiller un feu de joie dans ses pupilles. Certains disent qu'ils sont devenus comme les deux doigts de la main ceux là. Paraît qu'un lien invisible et indestructible peut les unir sans jamais flancher mais ça, c'était bien avant que la vie s'en mêle, que les actes des autres leurs mettent du plomb dans l'aile. Ils se sont appréciés comme des mômes qui peuvent oublier que le monde a ses fissures. Il sent bien, Ambrose, que l'atmosphère n'est plus la même, qu'une fois le dos tourné, les sentiments qui les tenaient attachés l'un à l'autre deviennent translucides. Il pourrait essayer de comprendre, de sauver le navire de leur amitié mais il en a perdu l'envie ou alors l'intérêt, ou peut-être les deux. Qu'importe, il laisse les incompréhensions et la rancœur prendre l'eau en se disant que peut-être, une rustine de nostalgie calmera l'hémorragie. 5/ Le prince s'est retrouvé en taule, une fois. Pas à cause du clan d'irlandais qu'il pouvait plus voir à l'époque ou de tout ce qui pouvait l'entourer. A cause de lui-même, rien que de lui. Il avait envie de se prouver quelque chose à l'époque, de dire à son père qu'il avait le droit de contrôler une part de sa vie s'il le voulait. Alors, il a cassé la vitrine d'une bijouterie, a volé des trucs au hasard et a recommencé encore et encore, jusqu'à ce qu'on le choppe. Et à chaque fois c'était la même hantise ' est-ce que ce sera pour ce soir ?' ça lui a demandé six cambriolages pour finir à la barre du tribunal et prendre quatre ans de prison. Là-bas, il a rien appris, rien du tout. Seulement parlé à un psychologue qui faisait mine d'être son ami. Ambrose a commencé à lire, aussi, parce que le temps est un trait droit comme l'horizon quand on est enfermé tous les jours de sa vie à ne rien faire. A sa sortie, sa mère l'attendait, une nouvelle petite soeur qu'elle tenait entre ses bras. Elle lui a dit, ' tiens, c'est Sybil' en lui flanquant le nourrisson dans les mains. Ça lui brûlait les lèvres de lui dire qu'on était pas Irlande, qu'il en avait rien à branler de tout ça mais un fils face à sa mère perd immédiatement ce qui fait de lui un homme. Elle te ressemble. Et point, ils sont rentrés, Conor les attendait dans la voiture pour les conduire dans un restau du coin et fêter son retour à la vie. Le reste de la famille était porté disparu ce jour-là. 6/ Il se souvient pas de la première fois ou plutôt du moment où il est devenu accro à l'adrénaline que dégageait ce flingue qu'il tenait entre les mains. Dans l'ombre de Daire, Ambrose s'est laissé entraîner dans les turpitudes de son père, sans un mot, sans ciller ; persuadé qu'auparavant il ne pourrait appuyer sur la gâchette sans avoir les tripes retournés. Ce qu'il a découvert cette nuit là ressemblait au vide. Dans son âme faisait écho le bruit d'une balle quittant sa cage alors que ses sentiments désertaient un à un. Il sait faire le vide Ambrose, chasser ce qui fait de lui un être à part entière pour ne plus rien ressentir. C'est ce qui peut parfois le rendre si dangereux. Derrière son masque et son passé de môme rebelle se cache le reflet de son père. Il est bien formé finalement, prêt à semer le trouble et la peur autour de lui. Parfait cliché. Daire avait tout prévu, depuis le début : Ambrose prendrait la relève, il avait lu ça dans ses yeux et après une vie à essayer de se convaincre du contraire, ce n'est qu'une fois le père mort que le fils se dit qu'il avait raison. 7/ Cette fille est venue le voir. Elle a eu le cran de toquer à sa porte, le ventre rond, la mine fatiguée mais un sourire au milieu de ses cernes. Elle lui a demandé s'il se souvenait d'elle et il a haussé des épaules en guise d'un oui qui se perdait dans leurs souvenirs charnels. Elle lui a dit qu'elle était enceinte de lui. Passé trente ans, t'as certainement envie de te construire une famille pour prendre en maturité et en crédibilité mais lui n'a fait que la repousser, ne rien vouloir entendre. Quand il garde l'image de Daire en tête, si y a bien un truc dont il a jamais eu envie, c'est ça : être père. Dans sa tête, il n'y a pas pire métier, pire mission. Ce môme, certainement qu'il ne connaîtra jamais son père et une part de lui ne peut s'empêcher d'en être pleinement satisfaite. Lui, Ambrose, préfère embrasser les filles un peu trop jeunes pour lui plutôt que changer des couches. 8/ Le goût des lèvres de Jada hante encore les siennes parfois. Jada, la pseudo fille de Bax qu'il n'a jamais vraiment pris au sérieux. S'il s'est laissé entraîner le temps d'un flirt, c'est à cause de l'interdit qu'elle dégageait. Si son ami venait à apprendre la chaleur des caresses qu'il lui a donné ce soir-là, certainement que leur amitié se casserait la gueule pour de bon. Il voudrait bien voir, Ambrose, à quoi ressemblerait le monde entre deux frères qui se retournent l'un contre l'autre. Et si le lien des deux hommes ne tenait plus qu'à une fille ? En vaudrait-il encore la peine ? 9/ Une vie à baigner dans le vice et l'illégalité l'ont formé à ne plus être étonné de quoi que ce soit. Enfant blasé de naissance devenu homme que plus rien ne peut émouvoir. Il est le maître d'un royaume fragile, flanqué dans un trône que certains rêvent parfois de brûler. S'il donne l'air d'être aveugle et trop sûr de lui, Ambrose n'est rien de plus qu'un animal farouche dont la confiance envers ses hommes s'amenuise un peu plus chaque jour en oscillant entre paranoïa et lucidité. Physiquement, l'homme reste impassible ; parce qu'un chef, ça ne doit pas faiblir, pas douter. Un jour viendra où il devra se battre pour sauver sa place et sa peau. Il le sait. mais quand ? Demain ? Dans un mois ? Une semaine ? Hier ? ️ Nous sommes de ceux
Dernière édition par Ambrose Ó Súilleabháin le Sam 23 Déc - 1:42, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Sam 16 Déc - 13:58 | | La beauté est très présente bonjour Je vais t’apprécier autant que je peux qu’avec les yeux Et trop heureuse que ce soit toi qui prenne ce batard, je l’ai fait pour toi de toute façon, c’était ton destin BREF TROP HATE DE FAIRE DU FEELS AVEC TOI (et que tu te maries à Aurore merci bsx ) Re chez tooooi |
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« Pétales brûlés » ▹ AGE : vingt ans, la cervelle pétée, le cœur accroché au quartier. A l'autre révolé.
▹ APPART : Le 106, premier étage. Voisin un peu trop sage.
▹ TAF : Secrétaire au garage, poitrine masculine. Capitaine de son naufrage, vendeur de farine.
▹ DC : Kendall Eden, la dévergondée.
| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Sam 16 Déc - 16:00 | | C'est quoi cette fiche vide J'en connais une qui va arriver pour te ken tu vas rien comprendre c'est pas l'autre papi qui va me retenir, ni Aurore d'abooooooord Bienvenue mon futur mari n'est-ce pas |
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▹ AGE : vingt sept ans de béton et d'abus, jamais comptés, jamais célébrés. que des cases sur le calendrier (seize avril)
▹ APPART : homeless, partie le coeur au ventre, des monstres à ses chevilles, revenue avec des morceaux de vérité qu'il faudra recoller.
▹ TAF : rien d'autre que la médiocrité sous les ongles, des doigts maintenant saignés d'avoir trop gratté les cordes de fer d'un instrument-béquille.
▹ AVATAR : freja beha erichsen
| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Sam 16 Déc - 17:08 | | bon, remplis ça que je puisse ship moa (c'est la faute a Whit, elle m'a converti) #aurose nah, sans blagues, courage pour ta fiche, ce perso promets et pas bienvenue, t'es à la maison |
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▹ AGE : cinquante-deux piges le salopard et c'est vrai qu'il est bien conservé même si ça le fait râler d'entendre ça.
▹ TAF : figure emblématique du clan Ó Súilleabháin. boss intransigeant, boucher comme ils disent, vendeur de viande fraîche.
| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Dim 17 Déc - 12:55 | | Bax, la beauté c'est toi, moi je fais que t'embellir. merci pour bb Ambrose, tu sais comme j'suis tombée amoureuse dés le premier instant hâte que tu me brises le cœur espèce de traite (mais crois pas que tu t'en sortiras sans rien non plus hein ) (on verra pour Aurore, elle est pas mieux que toi ) Art, cette fiche vide c'est la flemme mais ça va j'suis en train de la combattre vaillamment. j'pense qu'elle ferait mieux d'écouter tonton Bax quand même à tes trente ans on pourra peut-être se marier Sway, non mais Whit, comment elle fait trop agence matrimoniale en fait j'vais avoir la pression maintenant. (mais c'est vrai que #aurose sera perf) merci |
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| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Dim 17 Déc - 14:09 | | Pouloulou, le nom de merde mais la beauté des gars quoi Et Ambrose est née le même jour que moi IRL alors du coup j'ai un droit sur son pénis (quoituconnaispaslarègle?) Bienvenue ou re-bienvenue, je ne sais plus et des bisous |
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▹ AGE : cinquante-deux piges le salopard et c'est vrai qu'il est bien conservé même si ça le fait râler d'entendre ça.
▹ TAF : figure emblématique du clan Ó Súilleabháin. boss intransigeant, boucher comme ils disent, vendeur de viande fraîche.
| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Dim 17 Déc - 14:20 | | alors toi si tu veux mon pénis ça commence mal NE PAS ME RECONNAITRE LA je suis outrée #dramac'est Vinci de la team scorpion j'avais oublié que t'étais née le 10, j'pense à toi inconsciemment |
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| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Dim 17 Déc - 14:34 | | Merde j'suis une gourde J'me disais bien que ton pseudo me disait un truc Arrête de penser à moi et file moi ton pénis |
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▹ APPART : Tu habites là où l'on veut bien de toi, faute d'avoir de quoi payer un loyer complet...
▹ TAF : Tu aurais aimé poursuivre tes études mais hélas, tu as du faire un choix et ta santé a été prioritaire, tu fais donc des petits jobs par ci, par là et quand c'est vraiment la dèche, tu chantes au coin d'une rue.
▹ DC : Al, Mishatte et Ace
| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Dim 17 Déc - 14:52 | | Rebienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Lun 18 Déc - 6:24 | | Re-bienvenue à toi, je suis joie joie joieeee qu'Ambrose soit à toi, comme le dis Whit, c'était ta destinée J'ai hâte hâte hâaaate de rp avec toi. ce début de fiche, j'en veux plus, merci ( #Aurose vaincra. ) |
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| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Ven 22 Déc - 18:48 | | Heureuse de te voir enfin, Ô grand Maître ! Hâte de te servir dignement |
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▹ AGE : cinquante-deux piges le salopard et c'est vrai qu'il est bien conservé même si ça le fait râler d'entendre ça.
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| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Sam 23 Déc - 1:44 | | |
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« NITROMÉTHANE » ▹ APPART : Squatte le 508.
▹ TAF : Transporteur / Garagiste / Combattante et pilote clandestine
▹ DC : Mimi, Niilo, Neslihan, Natacha.
| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Mar 26 Déc - 11:15 | | |
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| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. Mar 26 Déc - 11:16 | | C’est parfait |
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| Sujet: Re: AMBROSE - you were never really here. | | |
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