|
|
| Sujet: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? Mer 8 Nov - 2:17 | |
Kenyon Rhodes
"We meet again, old friend, look how they got you where they want you."
(NOM) Rhodes. Tu as souhaité porter le patronyme de celle qui t’a mis au monde, parce qu’à tes yeux, ça ferait tâche d’être associé à un homme qui visiblement en avait rien à cirer de ta piètre existence. En effet, cela aurait fait l’effet d’une de ces marques au fer rouge, irréversible. (PRÉNOM) Les registres officiels affichent les prénoms suivants : Kenyon, suivi de Earvin. Toi, tu t’es toujours présenté par ton prénom usuel, et ce que ce soit dans la vie de tous les jours ou face à un employeur. Sans cesse tu omets de mentionner ton second prénom, même s’il figure sut tes pièces d’identité, car « ça fait trop blaireau », comme tu le dis si bien. (ÂGE) Vingt-cinq misérables années que tu as passé à zoner, en quête des jours meilleurs. En vain. (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) Tu es un pur produit du Michigan. Detroit, la dangereuse. Ce berceau que tu n’as jamais réellement quitté, duquel tu portes sans arrêt un amour inconditionnel. En effet, tu es chéri par la ville depuis le 13 Août 1992. (OCCUPATION OU ACTIVITÉ) Un jour tu es vendeur dans une de ces boutiques branchées de la Grosse Pomme, un autre tu offres de tes services auprès du coiffeur/barbier du coin pour ajuster quelques contours. Tu touches à tout ce qui est susceptible de renflouer tes poches et de remplir le frigo, accessoirement, d’une part parce que tu n’es jamais parvenu à maintenir ton petit derrière vissé sur les bancs de l’école, mais aussi parce que la stabilité t’effraie. Rien n’assouvit ta soif de blé sur du long terme, mais tu n’es pas non plus arrivé à laver tes mains salies par tes déboires passés. Alors tu patientes, en espérant que la vie t’offre un dessein plus glorieux. Car pour l’instant, elle te rit au visage. (NATIONALITÉ) Américain, à contre cœur. (ORIGINES) Jusqu’à preuve du contraire, c’est du sang ébène qui coule dans tes veines, tel un ruisseau. La « madre » ne t’as jamais franchement éclairé sur la question, mais tu t’entêtes à te découvrir de nouvelles saveurs. D’une manière, tu aimerais affirmer un peu plus ta marginalité au fil du temps, et ainsi apporter ne serait-ce qu’un peu de sucre dans cette amère existence qui te brûle la peau. (STATUT CIVIL) RAS. Tu accumules les histoires sans lendemain, et tu t’arranges pour qu’aucune de tes conquêtes infortunées ne se souvienne de ton existence, aussi insignifiante soit-elle. Ton cœur n’est pas à prendre : il ne l’a, à vrai dire, jamais été. (ORIENTATION SEXUELLE) Vers la femme et sa force de caractère. Tu ne peux que fondre devant leurs courbes voluptueuses et leur attitude un tantinet agaçante. Mais tu les aimes comme ça, tu aimes lorsqu’elles te tapent sur le système. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING) Courant 2014, tu ne sais plus trop. (GROUPE) De Ceux Qui Rêvent.
« Se faire sucer, ce n’est pas tromper. »
(Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) Une dispute, c'est tout ce dont j'arrive à me souvenir. Certainement futile, mais sans doute plus que d'habitude, puisque cela m'a poussé à claquer la porte de chez ma mère. J'étais retourné crécher chez elle après l'échec cuisant de mes études supérieures. À vrai dire, je lui ai dissimulé la véritable raison pour laquelle je ne souhaitais plus retourner à l'école. C'est vrai, je ne connais aucun parent qui serait plus que ravi d'apprendre que son unique enfant cumule les emmerdes et échoue lamentablement à faire acte de présence durant les périodes d’examen. Alors je lui ai menti délibérément, en feignant une dépression : et il va sans dire que je jouais très bien la comédie. J'ai donc passé près de six mois à vider ses provisions de céréales, à faire exploser son compteur électrique et à approfondir les creux déjà apparents sur son canapé en cuir vieilli. Mon retour au bercail a d'abord ravi ma mère, qui s'était efforcée sans succès de m'empêcher de prendre le large. Mais plus les jours passaient, moins elle parvenait à cacher sa déception et s'arrangeait pour me la faire savoir chaque fois que je la rejoignais à table pour le petit-déjeuner. Ce fut sans doute l'ultime goutte d'eau, puisque je me rappelle maintenant avoir plié bagages et emprunté la première bretelle d’autoroute en direction de la Grosse Pomme. Et me voilà ici, au Parking, dans cette boîte à chaussure dont j'ai à peine les moyens de financer. Disons donc simplement que je suis une de ces âmes vagabondes, en perpétuelle quête de renouveau. (Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?) Ils me laissent indifférent. Il faut dire que mon caractère quelque peu misanthrope et casanier sur les bords ne contribue en rien à me familiariser avec les autres habitants. Mais lorsque je me force à quitter mon antre, je tente non sans une pointe de retenue à socialiser avec la populace. Mon mode de vie auparavant fort nomade a laissé librement place à la sédentarité, c'est pourquoi je laisse libre cours aux voisins de m'aborder, ou non. Toutefois, je dois dire que l'environnement même du Parking dégage cette chaleur qui ne m'avait jamais vraiment atteint lorsque je vivais avec ma mère. Cette effusion de vie sauvage et de cosmopolitisme est certes stimulante, mais me donne néanmoins le tournis. Ces gens qui ne se préoccupent que de l'instant présent et qui ne s'inquiètent pas de ce que le destin leur réserve, c'est ma came. Mais la plupart du temps, je reste en retrait et j'observe ce grégarisme sans pareil, simplement parce que ma salive et mon temps sont trop précieux pour être gaspillés, au même titre que la nourriture.
(Quelle est votre réputation au sein du quartier ?) Si je prête ne serait-ce qu'une infime partie de mon attention à ce que les murmures racontent, on dirait que je suis « ce gars-là ». Ce gars dont on ne sait trop rien, ce gars qui, depuis le troisième étage dans lequel il veille tard et se lève tôt, vous guette du coin de l’œil sans pour autant vous adresser le moindre mot. Ce gars qui, tel le petit poucet, sème ses croquis et autres gribouillis dans le hall de l'immeuble, sans prendre le temps de se retourner et de les ramasser. De cette manière, ce gars-là vous laisse entrer indirectement dans le méli-mélo de ses pensées les plus obscures. Vous avez déjà entendu son prénom, trop souvent massacré, mais n'avez presque jamais entendu le son de sa voix, pourtant vibrante et quelque peu cuivrée. Souvent, je suis le gars du troisième étage qui cuisine un peu trop épicée pour votre goût, et qui par conséquent diffuse des parfums et saveurs allant de l'Afrique de l'Ouest aux West Indies, en passant par les cajuns de Louisiane. Enfin, je suis aussi ce gars au caractère bien trempé, qui entrebâille sa porte d'entrée muni d'une batte de base-ball. Ouais, je suis « ce gars-là ».
PSEUDO/PRENOM : Alma ÂGE : 21 (Savage) PAYS : Celui de Manu et Brigitte. FRÉQUENCE DE CONNEXION : 4, voire 5/7j. COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : Un petit oiseau m’en a parlé (en vrai j'étais déjà ici y a un petit moment de cela, mais faute de temps j'ai négligé mon perso ) REMISE EN JEU Nope, sorry. (TYPE DE PERSO) Inventé. (CRÉDITS) @Gigi et Tumblr (@beckhvms). COMMENTAIRE OU SUGGESTION : Mucho love à vous déjà. AVATAR : Odell Beckham Jr.
Nous sommes de ceux
Dernière édition par Kenyon Rhodes le Jeu 9 Nov - 15:30, édité 3 fois |
|
| Sujet: Re: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? Mer 8 Nov - 2:18 | | Raconte moi une histoire..."You wanna walk around with them or you wanna walk with God ? Make up your God damn mind." Une. Kenyon. Detroit. US. Trois noms qui n’auraient certainement pas de sens pour quelqu’un de l'extérieur, mais qui évoquent beaucoup plus à tes yeux. Yeux de lion, yeux de lynx, ces yeux qui, lorsqu’ils entrent en contact avec ceux d’une âme errante, vont consumer toute compassion à ton égard. Deux. Ouais, toi t’as pas envie que les gens te prennent en pitié. Parce que pour toi, la vie n’est qu’une vulgaire chienne qui te pisse dessus quand bon lui semble. Alors tu l’ignores, tu la snobes. Tu l'évites sous toutes ses formes, et tu restes tapi dans l’ombre, parce que y a que ça qui anime cette faible lueur qui tente sans grand succès de réchauffer ton petit cœur fragile. Paradoxal, certes, mais y a que comme ça que tu parviens dompter cette vie infernale. Trois. Kenyon le fou. T’es un téméraire, et le vent d’hiver échoue toujours à faire ressentir des frissons à tes globes de feu. L'adrénaline, tu la consommes sans modération, et ton courage se révèle sous toutes les formes possibles imaginables : liquide, végétale, en fumée. Il est toxique, indigeste et nauséabond, mais tu t’en délectes. Parce que Kenyon fait ce qui lui chante, Kenyon roule à cents à l’heure, et Kenyon nique la société. Quatre. Kenyon le sale gosse. C’est les grands du bas des blocs qui t’ont donné cet état d’esprit. Ceux qui vivent au jour le jour, qui n’ont rien à perdre, puisque tôt ou tard, la vie le leur rendra. Alors tu les admires, tu les contemples, tu les adules. Un peu trop d’ailleurs, aux yeux de la mama. Elle est très pieuse, mais toi, tu n’as pas réussi à vouer à Dieu le même amour inviolable que tu voues au quartier, au grand désarroi de maman ours. Alors elle prie, parce qu’elle craint pour ta vie. Vie que tu as longtemps passé à traîner dans les cages d’escalier, avec tous ces petits chiens de la casse qui n’attendent que le prochain coup de cette sirène rouge et bleue pour retourner dans leur niche. Cinq. Kenyon l'enchaîné. Cette sirène trop familière, qui résonne dans ta boite crânienne telle un générique de série populaire. T’en as les tempes qui cognent, parce que les souvenirs sont trop douloureux. Pour maman, pour toi. Pour maman parce que ce n’est jamais bien drôle de devoir aller chaque week-end au parloir. Et de fondre en larmes, en interrogeant la vie sur tes intentions, aussi futiles furent-elles. Pour toi, parce que là-bas, t'étais comme un lion en cage. Tu tournais en rond, entre ces murs qui t’oppressaient, et effectuais les mêmes routines. Et Dieu sait à quel point tu as une sainte horreur de la routine. Six. Kenyon le sentimental. Pour elle aussi, c'était l’enfer. Mais elle, on en parle pas, elle est taboue. Tu t'étais efforcé d'annihiler son visage d’ange de ton cerveau, mais chaque fois que tu recevais une de ses lettres à la fourrière, tu replongeais. Le trou de six pieds de profondeur qu’elle avait creusé dans ton cœur en béton te bouffait de l'intérieur, tel un ulcère incurable. Tu l’as jamais vraiment aimé, elle n’a jamais vraiment été tienne. Tu te le répétais sans cesse, à elle aussi. Elle a fini par y croire, mais pas toi. Elle s’est faite la malle, et elle t’a laissé sur le trottoir. Tu n’étais pas amoureux, ça non, t'étais juste accro. Comme une nympho l’est pour la bite, toi tu l'étais pour elle. Mais tu n’étais pas amoureux. L’amour c’est pour les faibles, les vulnérables. T’es juste affaibli, mais pas faible. Sept. Kenyon le stéréotype. Toi, t’es le gars du fond de la classe qui n’en plaçait jamais une. Too cool for school. Le gars à qui on rêverait de partager les moindres détails de sa vie trépidante, mais qui intimide. Tu la ramènes rarement, laissant tes quelques regards assassins parler pour toi. Quand tu l’ouvres, c’est Bagdad : tes mots sont des cocktails Molotov qu’il est plus que sain d'éviter. Tu boxes avec les mots, t’es le Mike Tyson de la prose. Ton cynisme agace, mais aussi fascine. Tu souris uniquement quand c’est nécessaire, mais t’aimes ça toi, sourire. Tu souris à ta mère, tu souris aux inconnus, tu souris aux clients, tu souris à la vie, mais tu ne parles pas. Tu considères la salive au même titre que la nourriture : elle ne se gaspille pas. Huit. Kenyon le gourmand. Tu trimes sans relâches depuis que t’es enfin parvenu à changer la donne et à remixer le destin. T’as soif de reconnaissance, t’as faim de blé à se mettre dans les poches, mais tu veux aussi pouvoir te sustenter avec de l’argent facile. Alors tu prends trop souvent les mauvaises décisions, mais trop souvent aussi, les mauvaises personnes sont susceptibles de t’entraîner dans leur chute. Substances illicites et personnes pas très fiables font la paire, et ton avidité s’ajoute à l’équation pour au final obtenir un mélange explosif. Tu gères ta part du business tapi dans l’ombre, sans rien demander à personne : mais des fois seul dans ta chambre, quand t’y penses, tu te dis que c’est un peu trop risqué, et que tu pourrais replonger dans ce cercle vicieux à tout moment. Mais la plupart du temps, ces pensées lugubres s’envolent aussitôt telles une nuée de fumée, et ça te fait sourire. ️ Nous sommes de ceux
Dernière édition par Kenyon Rhodes le Jeu 9 Nov - 15:29, édité 3 fois |
|
« révolé sa mère. » ▹ AGE : 20 ans, l'âge batard, trop vieux pour garder un pied dans l'enfance, trop jeune pour ta récente paternité.
▹ APPART : #1411 (F3) avec tes pioupious.
▹ TAF : Dealer local du Parking et environs proches, il est également l'associé de Deirdre Haynes au garage 8Ful.
| Sujet: Re: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? Mer 8 Nov - 8:50 | | Bienvenue parmi nous Ce perso promet d'envoyer du lourd ! |
|
| Sujet: Re: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? Mer 8 Nov - 17:24 | | Bienvenue |
|
▹ AGE : vingt sept ans de béton et d'abus, jamais comptés, jamais célébrés. que des cases sur le calendrier (seize avril)
▹ APPART : homeless, partie le coeur au ventre, des monstres à ses chevilles, revenue avec des morceaux de vérité qu'il faudra recoller.
▹ TAF : rien d'autre que la médiocrité sous les ongles, des doigts maintenant saignés d'avoir trop gratté les cordes de fer d'un instrument-béquille.
▹ AVATAR : freja beha erichsen
| Sujet: Re: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? Mer 8 Nov - 18:08 | | le titre je connais pas l'avatar, mais le choix est excellent bon courage pour ta fiche et bienvenue |
|
▹ APPART : #801 - 8e étage
▹ TAF : étudiante en langues étrangères.
▹ AVATAR : Nadine Leopold
| Sujet: Re: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? Mer 8 Nov - 18:54 | | bienvenue parmi nous |
|
▹ APPART : #910, neuvième étage
▹ TAF : Batteur au sein du groupe Fakir
| Sujet: Re: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? Mer 8 Nov - 20:30 | | Bienvenue parmi nous J'adore le début de ta fiche |
|
| Sujet: Re: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? Jeu 9 Nov - 15:25 | | |
|
| Sujet: Re: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? Ven 10 Nov - 0:49 | | Ce perso a l'air tellement cooool ! J'aime vraiment et l'avatar Hâte de stalk tout ça Bienvenue ici |
|
| Sujet: Re: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? Ven 10 Nov - 18:42 | | Bienvenue à toi ! Bon courage pour ta fiche |
|
▹ AGE : Vingt-sept années que je foule la Terre et je ne l'ai toujours pas faite exploser.
▹ APPART : #1006/ dixième étage
▹ TAF : Pickpocket. Je vous fais les poches pour vivre. Parfois, je passe aussi dans votre appartement, si je flaire un bon coup. Je suis polyvalente, comme fille.
▹ AVATAR : Alexandra Park
| Sujet: Re: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? Sam 11 Nov - 23:02 | | God, t'as la carrure du mec qu'on a pas envie d'emmerder Bienvenue parmi nous et pour les magouilles, tu peux m'appeler à n'importe quelle heure |
|
« Soldat de la Tsarine » ▹ TAF : Agent de sécurité du Red Light | Protecteur des meilleurs (Blackson, Coalman, Kourakine, Williamson)
| |
| Sujet: Re: Kenyon + Tu m'appelles "mon Trésor", est-ce que c'est pour mon coeur ou pour mon argent ? | | |
|
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
© NOUS SOMMES DE CEUX | Optimisé sous Google Chrome et Firefox. Merci de respecter notre travail, nos idées ainsi que celles de nos membres.
|