| Sujet: janis, ghosts can't hurt you. Dim 12 Avr - 21:12 | | janis achilles gansey the people you love become ghosts inside of you, and like this you keep them alive, Nom cokes, une addiction, pourtant je fais pas dans le trafic, ni de poudre ni de coeur, Prénom janis, achilles, Date et lieu de naissance un 16 juin, ici même à new york, j'ai jamais bougé de cette ville, Âge vingt six ans, je sais pas pour combien d'année j'en ai encore à tirer mais.., Nationalité américain sur papier, dans le coeur et dans le crane, Origines beaucoup trop, américain ça signifie aussi mélange de culture et de nationalité, j'ai jamais cherché à savoir d'où je viens, Statut matrimonial ma femme s'est fait exploser la cervelle, je crois que ça fait de moi un veuf, Orientation sexuelle le sexe ça donne des gosses, non merci, Job ou Activité je fais croire aux gens que, parce que je vois encore mon ex, je suis capable de lire l'avenir, les cartes et ce genre d'attrape couillon. parait que si on y croit assez fort ça marche, alors j'y crois, j'y crois pour deux. puis mon chez moi fais office de salon de coiffure dans l'immeuble, ça s'appelle l'entraide, c'est comme ça que ça fonctionne ici. Groupe de ceux qui vivent, Type de perso inventé Crédits nineties. Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? non. Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? il y a sept ans, quand mon ex femme et moi avions décidé de vivre ensemble. on vivait chez nos parents, pas trop loin, dans le bronx aussi, alors parking, ça ne nous a pas vraiment dépaysé, au contraire, on s'y est même fait plutôt vite. avec son boulot de coiffeur à domicile elle a attiré la sympathie de la plupart de nos voisins en allant les coiffer régulièrement et pour une sommes moins important que le salon en bas de la rue. Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? hum, pour la plupart se sont mes clients, je peux pas en dire du mal. les ménagères, les jeunes filles, les mecs de gangs.. j'ai repris le boulot de ma femme et c'est moi qui m'occupent de leur soucis capillaire, alors je vais pas cracher dans ce qui me ramène du fric. pour la plupart, ils sont bien sympathique. le reste, c'est comme partout, y a des cons et l'on n'y peut rien. Quelle est votre réputation au sein du quartier ? j'essaye de pas trop écouter ce qu'on dit mais .. je sais que j'ai longtemps été vu comme un mari merdique abonné aux infidélités. maintenant en plus d'être un mari merdique je suis un père merdique. on rajoute une couche ça fait pas de mal hein ? puis le fait que ma femme ait foutu le bordel dans l'immeuble en décidant de se suicider à coup de pistolet dans le crane, ça aide pas trop. je sais que les gosses me surnomment madame irma a cause de mes dons de voyance (mais ils ne se gênent pas pour passer halloween avec moi par contre). | feat clément chabernaud il s’est marié en 2010 avec son amour de jeunesse, jeanne, rencontré au collège. ils se sont construit l’un dans l’autre, leur personnalité ainsi que leurs rêves. on parlait de janis & jeanne, jamais l’un sans l’autre. mais derrière cette apparence de couple idyllique se cachait une réalité bien moins plaisante ; les sauts d’humeurs de jeanne et les infidélités de janis, les non-dis, les fautes inavoués, les disputes et les verres brisés. • des leurs unions est né un petit garçon, aspen, en 2012. il est donc papa d’un enfant de quatre ans, aujourd’hui placé en famille d’accueil. • à la naissance de son fils, sa femme a fait une très grosse dépression qu’il n’a pas su gérer. ses infidélités se sont fait plus répétées, ses absences plus nombreuses, les disputes plus violentes.. jusqu’à ce qu’elle décide de se tirer une balle dans le crâne, juste devant lui. • le suicide de sa femme a été un véritable traumatisme. ses nuits sont remplies de cauchemar et d’insomnie qu’il gère à coup de somnifère, quant à ses journées, elles sont ponctuées d’hallucination et de cachets. • à la mort de sa femme, aspen a été placé après enquête de service sociaux. le témoignage de voisins le décrivant comme un mari peu présent, violent, autoritaire, et alcoolique ont joué à sa défaveur. par la suite, la découverte de ses troubles psychologiques, son refus de se soigner et son manque de revenu régulier ont joué à sa défaveur. son petit garçon est donc placé en famille d’accueil, il n’a le droit qu’à deux heures de visites surveillés par un éducateur toutes les trois semaines. il n’en manque aucune, mais ne cherche pas encore à retrouver la garde de son fils. • il voit le fantôme de son ex femme en presque permanence avec lui (le jour, le soir..) ; des hallucinations visuelles, auditives et sensorielles qu’il est persuadé être réelles. il se pense donc médium, et même s’il pense n’être capable d’avoir un lien qu’avec les morts, il n’hésite pas à affirmer pouvoir lire l’avenir dans les lignes de la main et ce genre de chose. • il gagne sa vie sur des mensonges. il a une petite clientèle régulière (des ménagères principalement, parfois des ados pour “tester”) qui demande ses services divinatoires. il y croit dur comme fer, et ça suffit à être convainquant. • sa femme était coiffeuse à domicile, à sa mort, il a repris une partie de sa clientèle présente dans l’immeuble. il a un bon coup de ciseau, et parfois il fait ça gratuitement pour les gamins de l’immeuble ou en échange de petit service, il fonctionne beaucoup par le troc. • il a toujours eu une vie sexuelle assez intense, pourtant il préfère la compagnie et les conversations au sexe. janis est quelqu’un de très romantique qui a une vision sacralisée de l’amour, du mariage et de ce genre de chose. • il garde son alliance sur une chaîne autour de son cou, et a le prénom de son fils tatoué entre deux côtes.
|
this isn’t a ghost story. it’s a love story, Ton fantôme est encore venu me visiter cette nuit. Je ne m’habitue toujours pas à cette pseudo présence, à l’odeur de ton parfum qui remplie ma chambre si soudainement, à la froideur de ce souffle dans ma cou, à la douceur de ses lèvres contre les miennes.. Je garde les yeux ouverts par peur de le faire disparaître. Et je pleure. Je pleure sur ce que nous avons été, sur ce que nous aurions dû être, sur ce que nous ne sauront jamais. Mes bras serrent le fantôme d’un corps que j’ai autre fois chéri avec tant de passion que ce vide si soudain me réveil encore chaque nuit. Combien de temps déjà ? Combien de jour encore ? “Bientôt”. C’est ce qu’il me murmure à l’oreille. On dirait toi. On dirait ta voix. Le même ton chantant à la fois plein de reproche qui me fout des frissons dans tout le corps. Je m’endore, étouffé et épuisé par le torrent de larme que je ne cherche même plus à me retenir de verser. - Citation :
- “4 Avril // 15h30.
25 Avril // 15h30. 16 Mai // 15h30. 6 Juin // 15h30. …” “ Tu crois qu’Aspen va bien ?” C’est ce que ton fantôme me demande à chaque fois que je suis dans cette foutu salle d’attente. Je tape du pied en me rongeant les doigts. “Bien sur qu’il va bien”. Ca a l’air de le rassurer, et il se tait. Comme toi. Avec sa petite moue pas très satisfaite mais assez pour ne pas enchérir. Bien sur qu’il va bien. Il va bien mieux dans cette famille d’accueil qu’avec moi. C’est ce que j’essaye de me dire. “ T’es sûr hein ?” “ Oui Jeanne, je suis sûr.” Je l’ai appelé par ton prénom, s’il te plait, ne m’en veut pas. Ton fantôme a souri, satisfait. T’aurais pas souri toi. Tu m’aurais dit que je ne sais rien sur rien, et tu m’aurais lancé un des magasines qui trainent en plein visage. L’attente est toujours interminable, c’est seulement quand l’éducatrice revient me chercher que je me sens libérer d’un poids. Enfin. Je dois traverser un long couloir pour aller dans la salle de jeu, et ton fantôme m’a suivi à la trace, calquant ses pas sur les miens. Je ne lui ai pas demandé de partir, je n’ai pas pû te faire ça. Je hais cette pièce ; celle grande salle de jeu où l’on réunit enfant et parents pour des retrouvailles qui se veulent naturelles. Mais ça ne marche pas comme ça. On peut pas mettre un gosse face à des cubes et faire venir ses parents et croiser les doigts pour que l'alchimie prenne. Aspen se tourne immédiatement vers la porte quand elle s’ouvre -comme tous les enfants, sauf que cette fois, c’est bien pour lui-. Il a des boucles blondes maintenant, et quelques dents en moins que laisse voir son grand sourire. Je crois que je l’intéresse plus que ses cubes qu'il abandonnent pour courir vers moi. Je me met à genoux et tend les bras, il vient s’y blottir sans poser de question. “ Eh, bonjour petit bonhomme.” Petit bonhomme de quatre ans maintenant. Cette pensée me déchire le coeur, presque autant que la sensation de ses bras autour de mon cou qui serrent tellement fort pour me supplier de ne plus le quitter. Si seulement petit bonhomme.. si seulement. Mon regard se tourne vers une éducatrice, “ Est-ce qu’il ..?” Elle secoue la tête pour dire non, et je sers mon petit bonhomme contre moi, encore plus fort (toi t’as disparu, tant mieux). Alors Aspen, qu’est-ce qu’il ne va pas ? Pourquoi tu ne parles toujours pas ? Allez, dis moi ? “ Parce que t’es pas là, Janis.” Ah tien, t’es revenu. Je ne perds pas mon temps à répliquer à ton fantôme. C’est mon moment avec mon fils. Je ne te laisserai pas le gâcher avec nos disputes de couples. C’est toi qui n’en a jamais voulu. C’est toi qui a décidé que ce serait fini. C’est toi qui nous a abandonné, tous les deux. C’est toi, c’est de ta faute. - Citation :
“Spinning like a ghost on the bottom of a top, I'm haunted by all the space that I will live without you.” Bien plus facile de se tirer une balle dans le crâne, Que d’assumer une famille.
stylespleenpasse ta souris ! indécision totale au niveau de l'avatar/pseudo et co, donc ne vous étonnez pas si je change en cours de route si non camille, 18ans, accessoirement cosme medeiros (puis aleko strovanov non non je ne l'oublie pas)bisous sur vos fesses
Dernière édition par Janis Gansey le Mer 15 Avr - 16:10, édité 19 fois |
|