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| Sujet: joniya ♡ starboy Ven 20 Jan - 16:08 | | Joniya Scottenfant rue, enfant perdu. (NOM) scott. comme des millions de personnes issus de ce bas monde. (PRÉNOM) joniya. seul marque d'originalité de sa petite vie. un prénom aussi imprononçable qu'inoubliable. (ÂGE) vingt-et-une année de torture et d'égarement. (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) trois mars, à los angeles. pays, ville lointaine. (OCCUPATION OU ACTIVITÉ) il a su se convertir en petit photographe indépendant. il ne gagne pas d'argent, il n'en a pas besoin, mais ça l'aide à passer le temps. (NATIONALITÉ) américaine, bien que son physique laisse penser tout le contraire. (ORIGINES) sud-coréenne, mais qu'est-ce qu'il s'en fout. (STATUT CIVIL) amoureux comme jamais il ne l'a pu l'être. amoureux d'un homme. un seul et unique. (ORIENTATION SEXUELLE) il a autrefois aimé les femmes et leurs courbes avantageuses avant de tourner la veste et préférer les bras d'un homme. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING) janvier 2016 (GROUPE) NOUS SOMMES DE CEUX QUI SURVIVENT. « Une petite phrase dite par votre personnage » (Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) une année. une longue et pénible année qu'il est présent entre ces murs. le parking a été une sorte de refuge à son arrivé ici. le premier pied à terre, un lieu soit disant temporaire qu'il ne cesse de le voir grandir, de le voir sombrer dans sa solitude. (Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?) joniya reste plongé dans sa solitude. les autres, il n'y fait pas réellement attention, du moins, tant qu'on ne le prend pas en chasse pour diverse raison. il observe les autres, silencieux, parfois il se mêle à certains d'entre eux, ceux qui arrivent à attirer sa confiance, sa curiosité. (Quelle est votre réputation au sein du quartier ?) il est dit que joniya est un pauvre garçon malheureux. il est aussi dit qu'il est louche, trop louche pour qu'on l'approche et qu'on prenne conscience qu'au final, il n'a rien de mauvais, il est juste torturé. bien souvent, c'est le garçon dont on a pas envie de s'approcher, parce qu'il ressemble à ce genre de garçon trop bestial, ténébreux et violent. PSEUDO/PRENOM : cosmic arrow ÂGE : 22 PAYS : fr FRÉQUENCE DE CONNEXION : 4/7 COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : bazzart REMISE EN JEU non (TYPE DE PERSO) inventé (CRÉDITS) tumblr & self COMMENTAIRE OU SUGGESTION : écrire ici AVATAR : jeon jung kook © Nous sommes de ceux
Dernière édition par Joniya Scott le Sam 21 Jan - 21:00, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Ven 20 Jan - 16:09 | | Raconte moi une histoire...Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. ⊹ beaucoup ne possèdent ni parents, ni enfants, ni famille et pourtant, certains d'entre eux vivent largement mieux qu'avec la luxure, la chaleur d'une famille ou que sais-je encore. contrairement à ce que l'on peut penser à son sujet, joniya n'a rien d'envieux. beaucoup parlent de lui comme étant un fils à papa, pourris gâté jusqu'à la moelle, alors que d'autre connaisse sa véritable vie. issue de la bourgeoisie, il est clair qu'il a grandit sans aucun problèmes, que ce soit financier, caprices, plaisirs et autres. malheureusement pour cette enfant là, une mère manquait à sa vie. abandonné à la naissance par cette dernière, l'enfant c'est retrouvé forcé de vivre seul avec son paternel, prenant l'acte de cette femme pour un acte de lâcheté, d'abandon. il n'a jamais voulu parler d'elle et aujourd'hui encore, ce sujet est sensible chez lui. vivant aux cotés d'un père tyrannique, perfectionniste et bien trop adroit dans ses pompes, joniya dû suivre les pas de son paternel, forcé d’obéir à ce dernier comme étant dans l'obligation de prouver à son père que lui n'était pas comme elle. que lui pouvait réussir là où cette femme avait échouée. il ne baissera jamais les bras et aujourd'hui encore, il se bat pour ne pas flancher, bien que la tâche s'avère être de plus en plus compliqué face à un père si fermé d'esprit. son parcours scolaire n'a jamais été un fardeau, bien au contraire, papa lui a fournis les meilleurs enseignants possible et à domicile, histoire de ne pas perturber l'enfant. dans cette maison aux allures de château, joniya apprit progressivement à parler plusieurs langues, en plus de ses matières pour ses études, cependant, son paternel visait bien plus haut pour son enfant, voulant faire de lui son futur héritier. joniya avait dans l'obligation de savoir toujours plus que autrui, même si cela le conduisait parfois à de forte crise de migraine, le forçant même à ne pas dormir tant qu'il n'avait pas terminé de lire ou d'apprendre un sujet bien précis. ce vieil homme voulait façonnait l'enfant à son image, se doutant malheureusement pas que ce petit homme serait bien différent des années après. mr. scott avait tout offert à son enfant, bien que très peu affectif envers ce dernier. il recherchait la perfection là où il ne fallait pas, usant parfois de l'absence de sa mère pour faire pression mentalement sur son propre enfant, lui signalant qu'il finirait comme elle si il ne faisait pas ce que le vieil homme lui disait. joniya avait peur. joniya craignait et craint encore son cher père.
chapitre 2 ; i don't give shit, i dont give fuck ⊹ parfois, des cris, des pleurs, des coups retentissaient dans la maison familiale. âgé de seulement quatorze ans, le jeune adolescent restait cloîtré dans sa chambre, glissant sa tête sous l'oreiller pour ne pas avoir à attendre la violence de son père s'abattre sur l'âme et le corps de sa douce belle mère. remariés depuis quelques mois, le couple battait sérieusement de l'aile depuis quelques temps, et pour cause, la patriarche Scott était devenu un peu trop gourmand de la chair fraîche, trompant sa nouvelle femme avec une fille plus jeune qu'elle et cela, tous les soirs. la grande dame avait compris l'infidélité de son mari lorsqu'elle le vit sortir d'un restaurant de la ville aux bras d'une gazelle un peu trop vulgaire à son gout. les suivants avec attention, elle arriva sur les lieux d'actions de son époux qui n'était autre qu'un simple hôtel. inutile d'expliquer la suite. cette chère dame a fait part de son mécontentement à Mr.Scott qui n'a pas trouvé mieux que lever la main sur cette dernière. l'adolescent retranché dans sa chambre entendait malgré lui les mots, les gestes, les gloussements de sa belle mère. à ce moment là, Joniya savait très bien que les mains de son père serraient la nuque de cette femme jusqu'à lui couper la respiration. la nuit fut longue, mais le jeune homme finit par trouver le sommeil et cela, malgré les bruits et le ramdam qu'il y avait eu. à son réveil, l'enfant se sentait impuissant, faible, honteux de ne pas avoir aidé la femme qui était censé partager la vie de son père. était-elle morte ? vivante ? se vidait-elle de son sang en plein milieu du salon depuis la veille ? heureusement non. elle avait simplement prit la fuite durant la nuit, laissant Joniya seul face à son paternel. encore une qui abandonne. les jours passaient, ta vie devenait un véritable gouffre où il était impossible d'en sortir. ton père faisait de toi son nouveau punching ball. si quelque chose n'allait pas, c'est sur toi qu'il passait ses nerfs et donc, une fois par semaine, l'adolescent que tu étais prenait ce qu'il y avait à prendre. parfois ça n'était que de simple brûlure de cigare qui venaient orner ton torse, d'autre fois c'était tes cotes qui prenaient et parfois, il venait à te pousser là où personne ne l'avait fait jusque là, te faire sortir de tes gonds, pour en suite te frapper toujours plus fort, mais tu résistais, difficilement, mais tu résistais. chaque jours où l'air remplissait tes poumons, tu te maudissais, tu le maudissais lui, alors pour ne pas abandonner, pour ne pas le laisser gagner, chaque soir, tu venais à te faire ton propre bien par le billet du mal. le long d'une lame bien aiguisée, tu venais à ouvrir la peau de tes avant-bras. la brûlure soudaine que t'offrait cette lame lorsqu'elle ouvrait ta peau était semblable à un signe de soulagement, d’apaisement, de liberté. au fil des jours, les marques étaient beaucoup plus imposantes, beaucoup plus visible, ce qui évidemment attira l'attention du vieux Scott qui ne se fit pas prier de corriger son enfant avant de finalement le traiter comme un moins que rien, l'abandonnant à son tour en le livrant dans un centre de repos. prenant son fils pour un dérangé, il le laissa derrière lui, obligeant ce dernier à se droguer aux médicaments que pouvait lui prescrire le centre. à partir de ce jour, Joniya savait que tout était perdu, mais que pourtant, il ne repartirait pas sans rien.
⊹ l'air frais chatouillant ton fin visage, tu aperçois le soleil entre deux nuages annonçant une pluie certaine d'ici quelques minutes. tes yeux se dirigent lentement jusqu'à cette voiture aux vitres d'une couleur sombre, fumée, de façon à ne pas reconnaître qui est à son bord. un chauffeur t'attend, te débarrassant par la suite de ton sac qui ne comportait que quelques vêtements, rien d'important en soi. tu grimpes à l'intérieur du véhicule, t'installant à l'arrière avant de prendre conscience de la présence de ton paternel. un silence s'installe, tu appuies ta tête contre cette fenêtre, regardant le paysage sans y prêter une réelle attention, puis vient ce poids soudaine sur tes cuisses. tu abaisses alors tes yeux et les déposes sur un dossier. un soupir t'échappe. tu sais de quoi il s'agit, mais tu n'en veux pas. malheureusement, tu n'as pas le choix. ta liberté était dans ce dossier. assumer ta destinée ou finir enfermé une nouvelle fois dans ce centre. c'était ça le deal. suivre le chemin de papa, ou finir dans un trou de souris, traité comme un malade. saisissant le stylos qui se glissait sous tes yeux, tu signas les papiers sans faire réellement attention, rejetant par la suite le dossier sur les genoux de ton paternel avant d'appuyer à nouveau ta tête contre cette vitre. au fond de toi, tu es conscient de l'enfer dans lequel tu viens de t'embarquer. tu réalises alors à ce moment là que ta vie n'est plus la tienne, mais celle de ton paternel. il n'y a que lui qui possède des droits sur ta personne. toi ? tu n'as droit à rien, seulement à obéir et à te taire, subir à nouveau, comme il y a quatre ans. tu as seulement dix-neuf ans, mais tu as conscience que ta vie ne sera pas un long fleuve tranquille. alors tu sombres, tu sombres à nouveau, mais cette fois-ci de façon plus discrète. à l'abri des regards, tu consommes drogues et alcool, devenant ainsi la nouvelle traînée des beaux quartiers. la prostitution ? c'est tout comme, mais l'argent en moins. c'est avec finesse et discrétion que tu te frayes un chemin dans un monde destruction, de déboire et d'instabilité. devant papa, tu te contente d’obéir, d'être présentable lors des vernissages, glissant ta plus belle veste de costard sur les épaules, charmant les plus belles demoiselles de la soirée, faisant ainsi croire que tu étais en recherche d'une potentielle future femme. papa ne connait pas l’existence de ton homosexualité, alors tu forces ta soit-disant hétérosexualité, aux yeux de ce derniers, connaissant l'avenir que l'homme te réserverai si il venait à apprendre cela. tu n'avais plus de vie, plus de réel contrôle. tu te laissais alors sombrer, peu à peu.
chapitre 4 ; ride on forever, ride out together. ⊹ "ta dernière feuille, pour ta dernière dose d'herbes. abrité sous un porche, au sommet de l'immeuble d'une chaîne télé nationale. c'est tout vêtu d'un costard noir bleuté que tu prends ta pause avant ton prochaine enregistrement. voilà maintenant presque deux ans que tu es sous influences de la drogue. trompant ton paternel comme jamais tu avais pu le faire jusqu'à présent. tu prônais une présentation irréprochable, quittant par la suite les studios en limousine, changeant tes vêtements pour enfiler quelque chose de plus décontracté. dévoilant tes multiples agressions sur tes avants-bras, le visage marqué par la fatigue, mais surtout traître, dévoilant à la place de simple mot à quel point tu avais pu consommer liquide, poudre et autre mélange fort. te mêlant à la foule, à la populace des bas quartiers, tu t'enterres dans un entrepôt désaffecté où la musique gronde. tu veux juste oublier le temps de quelques coups de reins, le temps d'une ligne, d'un verre. tu veux oublier que tu es ce petit présentateur et fils à papa que tout le monde, ou presque reconnait pour avoir été vu à la télé. certains ne tienne pas rigueur de la personne que tu es réellement, tu arrives parfois à te fondre dans la masse, cherchant perspicacement un endroit où te fournir. un dealer différent chaque semaine, un coup différent chaque soir avant de glisser une lame différente sur ta peau chaque jour. c'était ça ta vie aujourd'hui. enchaîné, prisonnier d'un avenir incertain, d'un avenir chaotique, froid, douloureux, destructeur. tu veux détruire cette personne sans qui tu ne serais pas de ce monde aujourd'hui. tu veux détruire la seule et unique personne qui détruit ta vie chaque jour à cause d'un foutu contrat. tu veux détruire ton père, comme il a détruit ta mère, ainsi que ta propre vie.
⊹ il a quitté l.a, puis amsterdam. un an à amsterdam. un an à fuir, aimer, saigner. un an de calvaire et pourtant, cachant une parcelle d'amour. l'amour. joniya le fuit. aujourd'hui, il ère sur les terres new-yorkaises, fuyant celui qui pourrait certainement lui offrir le bonheur à l'état pur. un bonheur si pur que cela l'effraie, car au final il n'a connu que ça. le chaos, la violence. son corps racontant cette histoire triste et douloureuse. il ne parle plus, ou alors très peu. il se contente de passer le pont de brooklin pour effectuer quelques clichés lorsque les journées ne sont pas glaciale. les amis ? il n'en a pas. pas énormément du moins. il a confiance en personne, puis après tout, il ne veut personne. personne sauf kasper, mais encore une fois, il le fuira, même si il était devant lui., même si c'est ce qui le rendra heureux, il le fuira, car après tout, il ne sait pas si le paternel les observes, les fait suivre ou bien plus encore. car oui, joniya a du sang sur les mains, du sang de son géniteur. battu à mort, ou presque, il a prit la fuite après avoir passé la nuit chez kasper. bien ou non, il n'en sait rien, il n'a jamais su. il se contente de respirer, passer le temps. parfois il boit. parfois il boit trop. tellement qu'il arrive à peine à ouvrir la porte de chez lui. parfois, il dort devant sa porte, gémissant dans son sommeil car des rêves, il n'en fait plus. des rêves ? il n'en a plus. il ne croit plus au destin, à l'avenir ou à ce qu'il y a de meilleur, car après tout, le meilleur, il ne fait plus parti de sa vie. le meilleur, il le fuit.
© Nous sommes de ceux
Dernière édition par Joniya Scott le Sam 21 Jan - 21:06, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Ven 20 Jan - 16:11 | | ce prénom, cet avatar vous allez me tuer à faire débarquer autant de bg bienvenue |
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| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Ven 20 Jan - 16:17 | | |
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| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Ven 20 Jan - 16:22 | | bienvenue parmi nous |
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▹ AGE : vingt sept ans de béton et d'abus, jamais comptés, jamais célébrés. que des cases sur le calendrier (seize avril)
▹ APPART : homeless, partie le coeur au ventre, des monstres à ses chevilles, revenue avec des morceaux de vérité qu'il faudra recoller.
▹ TAF : rien d'autre que la médiocrité sous les ongles, des doigts maintenant saignés d'avoir trop gratté les cordes de fer d'un instrument-béquille.
▹ AVATAR : freja beha erichsen
| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Ven 20 Jan - 16:48 | | eukay, mais mais mais ce pseudo, cet avatar, je meurs. bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Ven 20 Jan - 19:00 | | Bienvenue et bon courage pour ta fiche! |
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| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Sam 21 Jan - 1:36 | | tiens tiens, mais qui voila comme bouille bienvenue ! bon courage pour ta valid |
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| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Sam 21 Jan - 1:37 | | junkookie (je suis officiellement morte de love trop trop hâte de vous stalk avec kas ) bienvenue par ici |
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▹ APPART : 1203, douzieme étage
▹ TAF : étudiante en sciences anthropologiques le jour, trafiquante la nuit et serveuse les weekends
| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Sam 21 Jan - 1:49 | | Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Sam 21 Jan - 12:40 | | Bienvenue parmi nous ! |
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| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Sam 21 Jan - 21:00 | | merci à tous, vous êtes des amours |
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« Soldat de la Tsarine » ▹ TAF : Agent de sécurité du Red Light | Protecteur des meilleurs (Blackson, Coalman, Kourakine, Williamson)
| Sujet: Re: joniya ♡ starboy Sam 21 Jan - 21:47 | | Validé(e) ! Félicitations, tu rejoins le Parking ! Félicitations ! La Concierge a bien étudié ton dossier et a décidé de t'attribuer un appartement au sein de son précieux immeuble ! Il a beau commencer à décrépir, elle l'aime son Parking alors si tu veux un conseil: ne tue jamais personne sur la moquette des couloirs parce que sinon, c'est toi qui va y passer ! En attendant de t'installer, pense à bien remplir ton profil et t'inscrire sur les listings:
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| Sujet: Re: joniya ♡ starboy | | |
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