TC 2 - Le marché de Noël.

—On fera p'tre quelque chose à l'Entrepôt pour fêter ça avec les gars. Mais Noël en Serbie, c'est le 07 Janvier alors y a le temps. Ouai une histoire de calendrier religieux, c'est compliqué. Mais ça te donnera un aperçu. Y a surtout beaucoup de Rakija et de vin chaud.
Elle me raconte ses Noël qui étaient sans doute plus une corvée qu'une fête. Je ne me suis jamais vraiment soucier du 25 décembre mais je crois que j'aimerais bien en faire autre chose pour nous deux. Je désigne les boules de Noël à la jeune vendeuse. —On va en prendre deux.

J'ai dans l'idée de les accrocher en passant dans le sapin que la concierge a foutu dans le hall. A défaut d'en faire un nous même. Et puis, j'sais pas, j'me sens l'humeur d'un bon samaritain aujourd'hui et cette fille là, elle a l'air d'être un peu dans la dèche, comme la majorité des gens du Parking. Pourtant elle est généreuse à s afaçon et je prends le sucre d'orge avec un sourire amusé. —Merci.

Je commence à être encombré avec mes marrons grillés, la bière, le sucre d'orge...J'accroche ce dernier dans l'encolure de mon pull, le lutin du Père-Noël a une gueule de tueur cette année. J'acquiesce à l'intention de la jeune femme. —ouai, on habite tous les deux au parking. De loin j'aperçois la silhouette d'une autre blonde que je connais et j'ai un sourire en la voyant. Toute la résidence se promène au marché, c'est sympa. Je l'appelle de loin —Salut Kim !

@Nina Kovacs @Barbie Bush @Kimberley Robins

Quand elle entend qu’on l’appelle, Kim surprise essuie rapidement et discrètement ses yeux avant de se retourner. Elle reconnaît alors la silhouette du slave plus loin et il n’est pas seul. Aussitôt elle chasse ses idées sombres et affiche un sourire de circonstance pour aller à la rencontre du couple. Son regard bleu jauge la jeune femme, avec un sourire aimable et elle s’adresse à elle autant qu’à Slavenko avec son habituel naturel : Hey bonsoir Slavenko ! Je ne m'attendais pas à te rencontrer ici. Madame ! C'est ton épouse je suppose ? Je suis ravie de vous rencontrer, moi c’est Kimberley. Dans le même temps, elle retire son gant pour lui serrer la main.

Elle les dévisage alors tour à tour, découvrant un couple heureux et amoureux et poursuit avec le même entrain qu’elle retrouve l’espace d’un instant. Vous êtes venus faire quelques achats ? Elle pense dans le même temps au cadeau de Slavenko qu'il a choisi avec soin pour son épouse, mais bien sûr elle ne dira rien à ce sujet, parce qu’elle ne veut surtout pas gâcher la surprise. La jeune femme est très jolie, et elle comprend mieux pourquoi Slavenko avait envie de lui offrir de jolis dessous.

@Slavenko Kovacs, @Nina Kovacs

puis elle sourit aux deux en face d'elle, parce qu'elle a pas eu énormément de clientelle depuis qu'elle avait instalé son stand, juste des gosses qui jouent avec les boites à musique sur le rebord de la table, puis les parents qui refusent de la leur acheter. puis elle en a donné deux, du coup, parce que y'avait un petit garçon et une petite fille qu'étaient trop mignons, mais les parents voulaient rien payer, du coup elle les a données, ouais. c'pas une grande perte, en soit, elle pourrait en refaire une fois rentrée à la maison, en fait. on va en prendre deux. puis elle hoche la tête et elle en prend deux au hasard sur la table, et les insère minutieusement dans une poche puis dans un sac en plastique. vous voulez mettre les bières avec ? qu'elle dit en pointant le sac qu'elle avait dans les mains.
et puis il sourit quand elle lui tend le sucre d'orge, et ça lui fait plaisir parce qu'elle l'a fait sourire et que c'est cool, parce que y'a pas tout le monde qui sourit à noël. joe il sourit pas, à noël. parce que joe il croit pas en dieu, nan, il croit pas en dieu. mais barbie elle croit en joe, et ça lui suffit. merci. elle sourit en hochant la tête.
ouais, on habite tous les deux au parking. elle ouvre en grand les yeux pendant qu'elle l'écoute parler, parce que c'est marrant de retrouver des gens qu'habitent pas si loin que ça en fait dans un endroit peu commun à l'ambiance du parking tel que le marché de noël. parce qu'elle s'apprêtait pas à voir des gens du parking, nan. pas du tout.
puis elle le voit qui fait signe à une blonde un peu plus loin, une blonde du style super jolie avec le maquillage parfait et tout, la blonde qu'on voit dans les magazines, puis elle sourit, parce que c'est le genre de nanas que barbie rêvait d'être, quand elle était petite. mais elle était pas devenue une nana comme ça. elle était devenue barbie. pauvre, pauvre barbie.

@Slavenko Kovacs @Nina Kovacs @Kimberley Robins

Elle fronce le nez, arque un sourcil. Parce que je suis invitée, si vous faites ça à l'Entrepôt ? Comment dire, il y a plein de raisons pour lesquelles ce serait surprenant... C'est une femme, elle n'est pas serbe et... Ah, ouais, elle ne fait pas partie du Klan, aussi. Après, il est fort probable qu'elle ait mal interprété les termes "ça te donnera un aperçu". Peut-être qu'il voulait juste dire "quand tu verras les photos". Au fond, ce n'est pas très grave, ça lui paraîtrait normal de ne pas être invitée. Ca lui fait surtout penser qu'ils ne parlent pas assez de la Serbie, des traditions, ce genre de choses. Il faut dire aussi qu'ils ont assez peu de temps à consacrer à des conversations normales. Un léger sourire prend place sur ses lèvres quand il désigne les deux boules de Noël qu'ils semblent être en train d'acheter, signe qu'il apprécie malgré tout la fête même s'il n'a pas pour habitude de la fêter, du moins pas comme ça.

Elle perd son sourire, cela dit, quand il hèle une espèce de Barbie blonde à la gueule de poupée. Nina, elle est pas du genre envieuse envers les autres femmes, du genre à les regarder pour se comparer et tout le bordel. Non, ça c'est pas elle. En revanche, elle se découvre du genre possessive, depuis qu'elle traîne entre les bras du slave. Et la poitrine -sans doute siliconée- de la blonde allume automatiquement un voyant dans son esprit. Le type de voyant qui dit est-ce qu'il a couché avec elle ?. Elle s'approche, grand sourire accroché aux lèvres, et retire son gant pour lui serrer la main. Elle grimace légèrement de se faire appeler Madame, pas encore habituée, et lui serre la main malgré tout. Nina. Sa main libre est toujours accrochée au bras du slave, et instinctivement elle le presse un peu plus fort entre ses doigts.

A sa question, elle désigne les sacs que Slavenko porte déjà et hoche la tête. Surtout à boire et à manger, en fait. Elle les regarde tour à tour, se colle sur la figure un sourire de circonstance et demande, l'air de rien : Vous vous connaissez d'où ?

@Slavenko Kovacs @Kimberley Robins

— Ben ouai... ça me semble évident que Nina soit invitée pour la fête. C'est ma femme.

—Oui merci. Ce serait sympa... J'acquiesce volontiers à la proposition de la jeune vendeuse de mettre les bouteilles avec les décorations dans un sac, que je donne à Nina parce que j'ai besoin de mes deux mains pour d'abord payer la jeune femme et ensuite enfin décortiquer les marrons en train de refroidir. —Tu veux bien m'aider zlato moje ?
Au moment où je fais tomber les pelures au sol, Kim nous rejoint et nous salue avec sa bonne humeur habituelle. Je souris aux présentations, couvant Nina d'un regard de propriétaire heureux tandis qu'elle s'accroche à mon bras. — Ouai, on se balade et on achète des bricoles. Je tends le sac de marrons vers la blonde dont la tenue de mère Noël avec son mateau rouge et blanc m'amuse. —Tu veux gouter ? Avant de répondre à la question de Nina —On s'est rencontré à la salle de boxe. Kim voulait prendre des cours de self-defense mais le propriétaire n'était pas là pour la renseigner. On s’est fait une petite séance. Je m'adresse à Kim avec une lueur amusée dans le regard. —T'as pas eu besoin de t'en servir depuis j'espère ? Et t'as finalement pu t'inscrire au fait ?

@Nina Kovacs @Kimberley Robins @Barbie Bush

Kim en s’approchant, remarque le signe de la jolie vendeuse derrière son stand et le lui rend avec un sourire qui éclaire son visage, avant de se tourner vers le couple. Elle ne remarque pas l’attitude et la grimace de la femme de Slavenko mais par contre, prend note du nom charmant qu’elle vient de lui annoncer. Nina ? C’est très joli ! Oui Kim et sa passion éternelle pour les prénoms et les surnoms. Elle hésite un instant à lui demander s’il s’agit d’un surnom mais n’en fait rien, laissant les présentations se faire.

Quand cette dernière lui dit qu’ils ont surtout acheté à manger et à boire, Kim réalise qu’elle n’a rien prévu de particulier pour ce soir. Mais de toute façon qu’importe puisqu’elle restera seule chez elle. Alors elle se dit qu’elle devrait en profiter elle aussi pour manger des trucs tout prêts ici où justement elle est loin d’être seule. Aussi accepte-t-elle volontiers l’offre de Slavenko en piquant un de ses marrons qu’elle tient délicatement dans sa main pour commencer à le défaire de sa crosse.

Quand Nina lui demande comment ils se sont rencontrés, là Kim perçoit tout de même la pointe de jalousie et se dit qu’il est plus sage de laisser Slavenko répondre à la question. Ce qu’il fait sans se démonter et ce qui fait sourire Kim. Oui de la boxe ! C’était amusant, même si je n’ai pas la carrure qu’il faut, c’est certain. Enfin en attendant, tu m’as quand même donné de bons conseils. Kim fait un léger geste du genou très explicite avant de rire un peu. Et non, je n’en ai pas eu besoin, heureusement. Par contre je me suis renseignée par la suite et ils ne donnent pas ce genre de cours là-bas. Il me faudra voir ailleurs. Ce qui amène une moue empruntée sur le visage de Kim. Mais bon elle trouvera bien quelque chose. Il le faut.

A présent elle grignote distraitement son marron, tout en admirant les petites boîtes à musique sur le stand de la fille et en découvre une vraiment très jolie avec un coupe de danseur sur une patinoire. Oh celle-là est vraiment très jolie ! Je vous l’achète lance-t-elle sur un coup de tête. Avant de remonter la clef de la boîte à musique qui fait s’égrener une jolie mélodie. Kim soupire et se perd un instant dans ses souvenirs quand elle allait patiner avec les amis … Non, elle ne doit plus penser à ça. Je vous dois combien ? demande-t-elle à la charmante vendeuse, affichant un sourire poli sur son visage triste.

@Slavenko Kovacs, @Nina Kovacs , @Barbie Bush

Elle arque un sourcil, pas franchement convaincue. Sérieusement ? Qu'est-ce qu'une nana dans ce genre foutait dans une salle de boxe ? Et depuis quand le slave s'improvise professeur particulier ? Sans rire, c'est quoi cette histoire ? Donc maintenant il va falloir qu'elle s'inquiète même quand il va faire du sport, parce que toutes les bimbos blondes qui passent par là ne peuvent pas s'empêcher d'aller l'aborder. Génial. Ouais, c'est ridicule, mais ça la gonfle d'imaginer cette fille en brassière et short trop court en train de cogner dans un sac, et Slavenko dans son dos qui fait semblant de lui dire comment se positionner correctement. Elle va y aller avec un bidon d'essence et une allumette, à la salle de boxe, ça va vite régler le problème ! C'est pas une question de carrure. On peut être taillée comme une brindille et savoir se défendre. Elle commente dans un sourire, comme si elle l'encourageait alors que c'est pas le cas. C'est juste un avertissement dissimulé, du genre j'ai l'air menue et mignonne mais approche-toi encore du slave et je te coupe les deux mains. Adorable, Nina. Une petite voix en elle crie même victoire quand elle déclare qu'il lui faudra fréquenter une autre salle. Parfait, fais donc ça. Il doit y avoir pas mal d'endroits pour prendre des cours de self-défense, dans le Bronx. Dans un quartier pareil, pas étonnant que les gens ne se sentent pas tranquilles.

Elle la regarde qui s'avance vers le stand qu'ils viennent eux-même de quitter pour s'extasier devant une boîte à musique. Du regard, elle parcourt les autres stands, s'arrête un peu au hasard sur celui d'un homme qui propose des trucs à bouffer. Oh, regarde, il fait du pain d'épices ! Elle s'exclame d'un ton enjoué avant de se diriger vers le stand en question, style je suis attirée comme un aimant je peux pas rester là. Elle adore le pain d'épices, Nina, mais là elle a juste besoin de s'éloigner de la blonde qu'elle est encore en train d'imaginer en sueur dans les bras du slave.

@Slavenko Kovacs @Kimberley Robins

J'ai un petit rire au mouvement de Kimberley —Ouai ouai, t'as bien retenu ce coup là ! Ça reste le plus efficace mais oublie pas la diversion d'abord. Elle m'avait fait rire Kim avec son enthousiasme délirant et son humour décalé. J'acquiesce aux paroles de Nina, c'est que ma femme est une petite furie quand elle s'y met, au risque que je la retrouve dans un sale état. Mais elle s'est un peu calmée parce qu'elle sait que je déclenche des vendetta si on lui fait du mal et que c'est un cercle vicieux. J'ajoute pour Kim —J'crois qu'ils donnent des cours au Centre Social. Il me semble avoir vu une affiche en allant là-bas. Renseigne-toi.

Comme Kim regarde une boite à musique, Nina aperçoit du...pain d'épices et va visiblement en acheter dans un enthousiasme surprenant et louche dont je ne suis pas totalement dupe. Je salue Kim pendant que Nina se précipite vers le stand. —Bye Kim, faut que j'y aille et Joyeux Noël. Je rejoins rapidement Nina à qui se souris non sans une touche narquoise. —Tu veux en acheter ou c'était juste pour t'éloigner ? Parce que ça se trouve, elle n'aime même pas ça le pain d'épices !

@Nina Kovacs @Kimberley Robins

Elle peine un peu à rester concentrée sur le stand, son regard dérivant constamment derrière elle pour voir s'il se décide à lâcher la blonde. Ou si elle se décide à le lâcher. Non, sa jalousie n'est pas complètement irrationnelle, pas du tout. Fort heureusement pour lui, il finit par la rejoindre. Une minute de plus et elle lui imposait une semaine d'abstinence. Bon, soyons sérieux, elle n'aurait jamais tenu une semaine, mais au moins 24 heures. Elle accueille son humour douteux d'un regard noir. Non, j'aime vraiment le pain d'épices. Ce qui n'est pas un mensonge, même si généralement ça ne déclenche pas cette réaction excessive. Et toi, depuis quand tu donnes des cours particuliers aux bimbos de la salle de boxe ?

Bon, c'est peut-être pas cool de réagir comme ça étant donné qu'il l'a présentée comme sa femme, tout ça... Mais il a bien failli casser la gueule d'un type qui voulait juste lui offrir un verre, à Las Vegas, alors question jalousie il n'a aucun reproche à lui faire. Elle achète du pain d'épices, qu'elle paie elle-même juste pour l'emmerder et tourne déjà les talons. Parce que c'est ridicule de déclencher une dispute pour si peu mais qu'elle peine un peu à faire taire la colère mêlée de possessivité qui lui hérisse la peau.

@Slavenko Kovacs

— Humm... Elle aime le pain d'épices, ok je note. Ainsi que se remarque franchement jalouse, tigresse. Ok ça m'excite de la voir comme ça:, furieuse, griffes sorties, pour moi. Et du coup je peux pas m'empêcher d'avoir un sourire béat qui ne doit pas franchement arranger l'humeur de Nina. — J'étais à la salle de sport et elle m'a pris pour un employé de la salle. Que veux-tu, on voit tout de suite que j'ai le style d'un pro. Mais bon comme le proprio était pas là, on s'est entraîné un peu ensemble, voilà tout. Oui c'est vrai ça aurait été Whoopy Goldberg qui m'aurait demandé de lui montrer une prise ou deux je l'aurais surement envoyé chié. Le fait que ce soit plutôt Pamela Anderson à la grande époque m'a rendu plus conciliant. Hé ! je suis un homme !

Je fronce les sourcils en voyant Nina payer et s'écarter à grand as, ok j'ai pas été malin mais qu'elle s'éloigne m'agace. J'oscille à présent entre amusement et colère. J'attrape Nina par le poignet assez brutalement pour la stopper et l'attirer à moi en la faisant butter contre mon corps. Je me fous des regards surpris ou inquiets sur nous. Je soutiens son regard noir — Tu veux que je te baise sur le stand de Bretzels pour qu'elle sache bien que je suis à toi ? Déjà, pour commencer, je l'embrasse passionnément, un baiser langue au fond de la gorge, possessif, devant tout le monde. — T'en veux encore, petite furie ? Ou on rentre à la maison pour continuer ? Jebote Nina, c'est fou ce que tu me plais quand t'es jalouse comme ça. Zelim te.

@"Nina Kovac"

Il semble heureux, sincèrement fier de sa réaction, mâle viril satisfait d'avoir une louve prête à mordre pour ses beaux yeux. Et bon sang, ça a le don de l'agacer encore plus. Parfait, je cherchais des cours de self-defense de toute façon. Moi aussi j'vais me pointer à la salle pour aborder le premier inconnu venu. Là, clairement, son agacement va à l'encontre de la blonde. Pour qui elle s'est prise, sérieusement ? Elle n'a pas vu l'alliance à son doigt ? Ça veut dire chasse gardée, ma belle, tu touches pas. Enfin, il a du gentiment se laisser faire, regard plongé dans le décolleté. C'est sûr que de ce côté-là, elles ne jouent pas du tout dans la même cour, toutes les deux. Enfin, ceux de Nina sont vrais.

Elle grogne quand il l'attire brusquement à lui, laisse échapper un rire. J'ai pas besoin que tu me prennes devant tout le marché de Noël pour qu'elle sache que t'es à moi. Crois-moi, si elle t'approche de trop près, elle va vite le comprendre. Elle a jamais été de nature douce et patiente, Nina, suffit de voir toutes les fois où elle s'est battue, où elle a déclenché des bastons aussi. Mais là, quand il s'agit de Slavenko, ça atteint clairement un niveau au-dessus. Elle ne peut malgré tout pas s'empêcher de s'adoucir légèrement quand elle voit que la situation n'a pas vraiment l'effet escompté. Il ne s'énerve pas, ne se justifie pas... Non, il transforme tout en fureur sexuelle. Pour changer. Elle enroule ses bras autour de son cou, vient chercher ses lèvres une nouvelle fois. J'en veux encore. Ramène-moi. Heureusement, le Parking n'est pas loin.

@Slavenko Kovacs

Bien sur j'ai un grondement quand elle provoque ma jalousie en parlant d'aborder des inconnus. Même si je sais qu'elle le fait exprès et pourquoi, ça marche quand même et ça me contrarie doublement. Je ronchonne — Non, je te donnerais des cours si tu as besoin. T'as déjà un professeur de corps à corps sous la main.

Seul son petit rire et son baiser langoureux ramène un sourire sur mon visage même si mon regard reste aussi noir, où se disputent un mélange de colère, de désir et de contentement narcissique à l'idée qu'elle soit jalouse. Ravi de ce revirement qui la fait frémir contre moi, je l'attrape fougueusement par la taille et rugit dans son cou quand je l'embrasse avant de la reposer. — Alors rentrons à la maison ! Je lui tiens fermement la main comme si elle allait changer d'avis ou fuir et je l'entraine hors du marché de Noël vers la résidence.

@Nina Kovacs