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MessageSujet: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 18:03
(Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) Jamais. Toi tu ne vis pas à l'intérieur des grandes tours, mais dans leur ombre, collé au sol, ange aux ailes brisées qui s'est écrasé bien trop tôt. Mais ça fait quelques mois que tu traînes dans les parages : après avoir repéré les coins à éviter, là où les deals se font et où les clients attendent en tremblant, impatients d'avoir leurs doses, t'as su te dégotter un endroit tranquille où tu ne risques rien. Il y a quelques cartons, une vieille couverture qui te réchauffe durant la nuit et des poubelles pas trop loin en guise de garde-manger dans les grands jours de disette. Tout le monde ne donne pas toujours une petite pièce, alors tu as appris à composer avec ce que les rues peuvent t'offrir.

(Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?) Quelques mois et tu les connais déjà tous par coeur. La petite vieille avec sa canne, qui a emménagé il y a peu, le grand baraqué qui revient à des heures tardives, quand la nuit est installée depuis longtemps, les prostituées qui sortent quand le crépuscule arrive et cette femme qui revient toujours tâchée de cambouis et de suie. Tu connais leurs horaires, tu sais lesquels sont les plus généreux et quels regards t'évitent sciemment : ils te sont familiers, ils sont presque de ta famille parce qu'ils sont les seuls à peupler ton univers. Des visages que tu as appris à mémoriser parce que tu n'avais que cela à faire. Mais eux ne te connaissent pas : c'est dans l'ordre des choses, on passe devant toi, on te donne parfois une pièce, rarement un billet, mais on ne retient pas ton visage, parce que toi, tu ne sers à rien dans le paysage sinon à leur rappeler ce qu'ils risquent s'ils déconnent un peu trop.

(Quelle est votre réputation au sein du quartier ?) Tu n'en as pas : t'es assis là quelques heures par jour, avec ton carton devant toi demandant un peu d'argent, et la plupart du temps tu furettes dans les poubelles ou tu t'arranges pour faire quelques poches dans les grandes avenues où la foule est tellement compacte qu'on remarque à peine ta main baladeuse. T'es le SDF, l'outsider, le mec qu'on oublie sitôt qu'on l'a dépassé.

(NOM) Vinckers, vague résonnance d’un autre ailleurs, d’origines sombres dont tu ignores tout. Le père était grand, baraqué, d’un roux presque étonnant pour un homme à la peau aussi hâlée. Toi t’as hérité des cheveux de ta mère. (PRÉNOM) Ysten (ÂGE) 19 ans (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) NY, 17 août 1997. (OCCUPATION OU ACTIVITÉ) Sans abri depuis 3 ans maintenant. Tu as tes habitudes, ton train de vie, tes manies. Tu survis, ça te suffit amplement. (NATIONALITÉ) Américain (ORIGINES) Américain même si t'as jamais connu ta mère. Mais tu supposes qu’elle était du coin. Par contre, ton père, c’est autre chose mais t’as jamais creusé. Il ne parlait pas, t’insistais pas. Point barre. (STATUT CIVIL) Célibataire, marié à la rue, divorcé du monde. (ORIENTATION SEXUELLE) Pansexuel. Homme, femme, tu t'en fous. Il te faut juste l'étincelle pour tomber amoureux, ce quelque chose que tu trouves au fond du regard de l'autre, qui te séduit, t'envoûte. Cette fragilité dans le caractère qui te réveillera. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING) Il traîne dans le coin depuis quatre mois déjà. Le quartier n'est pas trop agité et personne ne l'ennuie ici, du coup il y a fait son nid. (REPRISE DU PERSONNAGE) En cas de suppression, acceptez-vous que votre personnage soit scénarisé ? Non, j'ai mis trop de moi en Ysten. (GROUPE) De ceux qui vivent (TYPE DE PERSO) inventé  (CRÉDITS) AMIANTE  

PSEUDO : Voodoo  ÂGE : vieille, terriblement vieille PAYS : France FRÉQUENCE DE CONNEXION : 7/7j COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : j'étais déjà présente COMMENTAIRE OU SUGGESTION : Je vous adore  AVATAR : Miles McMillan
YSTEN
La lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil

Enfance. La tienne fut solitaire, entre une mère aux abonnés absents qui n’avait existé que le temps de te mettre au monde et de fuir cette vie dont elle n’avait jamais voulu, et ce père qui travaillait. Toujours. Les jours de semaine, les week-ends, à chacun de tes anniversaires, à Noël, Pâques, pendant les vacances. Il travaillait pour toucher des miettes qui finissaient dans le loyer du minuscule appartement, la nourriture en boîte, l’essence de la voiture et quelques bouteilles afin de calmer son angoisse à lui d’adulte. Une angoisse latente, infernale, qui rendaient ses yeux vides à chaque fois qu’ils se posaient sur toi. Peu importait. Tu étais un poids, il n’existait pas, et vos deux solitudes se sont croisées sans jamais réussir à se rencontrer.

Caractère. T’as un caractère de merde, qui t’a valu plusieurs renvois de l’école et une dent en moins alors que tu n’avais que 11 ans. Bagarres infernales, crocs acérés de l’enfant qui se veut adulte trop tôt, violence des mots et pouvoir du regard. T’es une boule d’amertume qui se cherche un but dans la vie, un espoir auquel s’accrocher. Tu n’admets pas les refus, tu supportes en silence les coups du sort, mais la colère bouillonne, omniprésente, dévastatrice. Personne n’a jamais réussi à canaliser cette soif de vivre absolue dont tu débordes sans savoir vers quoi la diriger.

Le foyer. T’as 10 ans quand il meurt. 10 ans, c’est jeune pour devenir orphelin, c’est jeune pour connaître l’enfer des foyers. Aucune famille d’accueil n’a voulu de toi après ton tout premier essai : tu avais frappé l’homme parce qu’il avait des gestes déplacés. On ne t’a pas cru, on a mis cela sur le traumatisme de la mort de ton père, on t’a fait avaler des couleuvres pour justifier l’injustice d’un monde pitoyable. Tu t’en foutais, du moment que tu ne retournais pas là-bas. Le dortoir était sinistre mais moins que le regard vide de ton paternel ou le sourire malsain de ce type. Ça t’a suffi durant un temps.

La rue. C’est la rue qui t’a élevée, Mère de tous les lépreux que la ville rejetait en masse pour tentait de se décontaminer. Tu as connu la faim, la soif, le froid. Le regard des autres, si lourd sur tes jeunes épaules. A 16 ans tu as fui le foyer : tu n’en pouvais plus, ce n’était pas bon pour toi tous ces gens qui décidaient à ta place ce que tu devais faire de ta vie, où tu devais dormir et ce que tu devais manger. Ces gens qui ne te regardaient jamais et ne voyait qu’un dossier derrière toi : tu n’existais pas réellement pour eux… Tu t’es enfui, t’as largué les amarres et abrégé ta peine de plusieurs années : t’es libre. Mais tu crèves de froid dans ces rues immenses. Les poubelles ne suffisent pas toujours et tes mains ne sont pas toujours aptes à te protéger des mauvaises rencontres. Mais t’as réussi à préserver ton corps, c’est l’essentiel. C’est peu de chose, mais c’est la seule qui t’appartienne réellement.

Le sexe. Pas d’amour, pas de relation sérieuse : dans la rue, c’est hypothétique ce genre de choses, surtout pour un gamin. T’apprenais à survivre, mais à laisser s’exprimer ton cœur. Mais il y a eu quelques moments de chaleur humaine, tout de même, quand la solitude devenait trop pesante. Une jeune fille encore plus paumée que toi, enfuir de chez ses parents. Un mec plus vieux que tu as pris : tu prends toujours, tu n’as jamais laissé personne toucher à tes fesses. T’as l’impression que c’est la seule chose que tu pourras garder, qui t’appartienne en vrai. Une dignité mal placée, soit, mais c’est tout ce que tu possèdes. On t’a proposé parfois de l’argent mais tu as refusé en bloc, avant de frapper quand c’était nécessaire pour préserver ta liberté.

Philosophie. Survivre est devenue une priorité. C’est moche à dire, surtout à ton âge. Le reste ne compte pas.

Amis. A compter sur les doigts d’une seule main, parce qu’au final, chaque quignon de pain se défend avec un acharnement notoire. Y a peu de place pour les amis dans la rue, et tu sais que la plupart des sourires hypocrites qui se dessinent sur les visages des passants ne sont là que pour dissimuler des pervers en puissance.

Corps. Le tien a faim, froid et grelotte la plupart du temps, à peine vêtue de son manteau de peau, insuffisant pour les longues nuits glaciales de l’hiver. Mais il est beau ce corps délié, beaucoup trop maigre mais pourvu de cette énergie folle qu’on appelle la vie. Tu en débordes, tu en exultes, mais bordel, qu’est-ce que tu as faim !

Avenir. C’est dingue à 19 ans seulement de se dire que tu n’as aucun avenir. T’as pas de diplôme, tu sais à peine lire et t’as aucun talent. T’es juste un SDF parmi les autres déchets que la ville recrache par paquets entiers… C’est moche une vie gâchée de la sorte. Ça fait presque peur.

Vol. Quand la faim devient absolue, tu pars dans les grandes avenues et tu fais les poches. Rapidement, de façon indolore, tu attrapes un porte-monnaie et tu t’arranges pour en grapiller les billets avant qu’on ne te surprenne. C’est une combine qui fonctionne bien et ça te permet de manger quand vraiment tu es au bout.

Morale. C’est con : à vivre dans la rue, on pourrait penser que tu n’en as aucune. Mais tu sais que si tu oublies cela, tu serais pareil aux bêtes errantes qui survivent aux côtés des humains. Et tu ne veux pas sombrer définitivement, alors si tu voles, tu t’en veux, t’es bourré de remords. Tu ne vendras jamais ton corps, tu ne supporteras pas de toucher à quelque chose de sale. T’es droit. T’es sûrement trop con d’ailleurs pour être autre chose.

Parking. Ça fait trois mois que tu évolues du côté du Parking : la zone est plus tranquille et tu as repéré où se situaient les échanges de drogues et autres reventes illégales, du coup tu sais où tu peux passer la nuit tranquillement sans personne pour t’ennuyer. T’es jamais retourné en foyer, même ceux pour sans abri, parce que tu n’arrives pas à leur faire confiance. Ils t’ont massacré étant enfant, que feraient-ils de toi désormais ? ils peuvent faire pire, ils en sont capables alors toi, t’es très bien dans la rue, tu ne demandes rien de plus. Tu récupères un peu d’argent en mendiant sur les grandes avenues, tu revends ce que tu trouves dans les poubelles et parfois, tu dérobes dans les magasins ou tu fais les poches. Le moins possible évidemment parce que tu ne veux pas atterrir chez les flics, mais parfois, l’exigence de l’estomac fait preuve de loi.

Les Autres. Tu as tellement l’habitude de tous les voir passer, indifférents, inaccessibles, que toi tu les observes tranquillement, t’attardant sur quelques visages parfois plus beaux que les autres, ou plus étranges. De toute façon ils ne te voient pas ou détournent le regard, alors tu sais que le tien, aussi léger qu’une plume, ne doit guère les ennuyer. Tu fais partie du décor, tu en as conscience. Et tu as fini par bien les connaître : celui qui sort le matin à 5h pour partir au boulot, celui qui boite parce qu’il lui manque une jambe, celui qui a fait une tentative de suicide parce que les ambulances sont venues, les garçons et filles de la nuit qui ne rentrent qu’au petit matin et cette petite vieille avec sa canne, qui peste avec élégance… Tu les connais tous par cœur, ils font partie de ta vie même si eux ignorent totalement que tu fais partie de la leur.


Lui. Il y en a bien un qui se détache du lot : il en faut un, toujours. Qui n’est pas vraiment pareil, qui se distingue, qui a accroché ta rétine et refuse de la lâcher. Il a même tourné son visage vers toi et t’as souri. Ouais, il t’a souri. T’as rien répondu, tu n’as pas l’habitude d’un tel coup d’éclat : tu t’es contenté de le regarder, de poser ton regard acéré sur ce rayon de soleil inattendu, et… t’arrives plus à décrocher le regard. C’est foutu, t’es hameçonné. Tu guettes ses sorties, tu l’observes de loin. Mais il n’a plus jamais souri, tu te doutes qu’il ne te voit même plus : faut dire que tu n’es jamais dans son champ de vision.


La fin du chemin ? Les pluies torrentielles annoncent l’été : chaque année c’est la même chose. Et chaque année tu pries pour trouver un abri plus solide, qui te protégera davantage. Tu t’es fait chasser de celui que tu avais trouvé par un gaillard plus costaud : t’es pas le genre à te laisser faire mais lui avait des arguments contre lesquels tu n’as pas pu lutter bien longtemps. Alors t’es là, recroquevillé contre le mur en espérant qu’au moins, il cassera le vent froid, et tu grelottes sous la pluie furieuse. Repenser à ton rayon de soleil t’aide un peu mais ça suffit à peine à chasser le froid de plus en plus mordant.
La pluie s’arrête soudain, du moins sur ta tête : tu relèves le visage et tu l’aperçois, parapluie en main et regard inquiet posé sur toi. Tu déglutis, sidéré : tu rêves, n’est-ce pas ?






Dernière édition par Ysten Vinckers le Lun 11 Juil - 18:33, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 18:14
TOI AUSSI T'ES TOUJOURS AUSSI HOT ! OMG Twisted Evil

Vous m'énervez à me faire baver comme ça c'est maaaaal ! HAN mâle ? Rolling Eyes

:hihi:
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 18:30
:hihi:
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 18:41
Faut que tu cèdes, Angelo, c'est tout Cool

Mais c'est vrai que t'es cool toi CAÏN LE CAÏN
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 18:41
HOT HOT HOT
ah merde, jme suis trompé de perso. Surprised
jme disais bien que t'avais les cheveux longs NIARK
Rebienvenue Sagouin. et amuse-toi bien avec ce petit nouveau Emo (fais attention à toi, j'ai envie d'te faire une coupe :/ )
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 18:51
*tire la langue à Freddie* Faudra m'attraper pour me faire une coupe ! SADIQUE

*saute sur Angelo et Jem* Je vous zaime vouuuuuuuus HAWW HAWW
Aaliya Abelson
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▹ TAF : Palefrenière la journée, les bottes dans la paille et le crottin, à en avoir des cloques aux mains de manier le balai et la fourche, mais le bonheur indiscutable d'oeuvrer au bien-être des chevaux pour quelques heures de monte comme rémunération qui persiste dans son coeur. Fille de joie, catin des beaux quartiers New-Yorkais une fois que la nuit a enveloppé la ville -et son âme. En recherche d'autres horizons, pour se défaire de la prostitution.
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 19:09
Rebienvenuuuuue BRILLE
Encore un perso de fou, et cette plume. CANDICHOU BRILLE Hâte de stalker. :hihi: (Lyam t'a à l'oeil, jeunot. HEIN MIAOU)
Aliah Williamson
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 19:15
Re-bienvenue CUTE
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 19:16
Merci Aliah :l:

Comme j'ai hâte de confronter Ysten et Lyam !! On va se faire des rp de fifous :hihi:
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 19:37
Bienvenu toi :hihi:
Il paraît que t'es tout seul dehors Crying or Very sad
Faut pas rester seul voyons Crying or Very sad
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 19:56
*ronronne en voyant son soleil*

DE CEUX CANDICHOU DE CEUX CANDICHOUDE CEUX CANDICHOU DE CEUX CANDICHOU DE CEUX
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 20:01
* regarde d'un air intrigué et pose un verre de lait chaud avant de s'écarter *
:l:
Makayla Jefferson
Makayla Jefferson
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyLun 11 Juil - 23:35
TU ES VALIDÉ ! BIENVENUE !


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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. EmptyMar 12 Juil - 11:59
BRILLE BRILLE BRILLE BRILLE

le temps que je me réveille pour voir que t'avais fait un TC eh ben ! HAPPY LOVE
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MessageSujet: Re: Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo.   Ysten V - Je préfère m'en tenir à Freud, c'est plus rigolo. Empty
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