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Anonymous
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MessageSujet: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 11:34
Junon Aurora Walsh
Moi je fuyais l'amour parce que j'avais trop peur, oui trop peur d'en mourir
Nom Walsh, Prénom Junon, oui, tes parents font partis de ceux qui aiment les prénoms symboliques, porteurs de sens, de ceux qui piochent dans la mythologie pour ça, alors qu'ils n'ont même jamais lu aucun mythe. Mais toi, toi tu détestes ce prénom, alors tu dis à tout le monde de t'appeler Jun', Ju', ou encore June, Date et lieu de naissance 16 juin, dans le Bronx, probablement dans le lit d'un vieil appartement du Parking, peut-être même dans un placard, Âge 19 ans, Nationalité américaine, Origines américaine, ni ta mère ni ton père n'ont jamais quitté les Etats-Unis. Peut-être ont-ils de lointain parents étranger, mais ils s'en fichent et toi aussi, Statut matrimonial tu sais pas où te situer dans ton statut, tu sais pas si t'es en couple, célibataire, libertine, t'en sais rien t'es juste perdue, Orientation sexuelle t'es de ceux qui n'aiment que leur propre sexe, de ceux qui aiment les filles plus que tout, Job ou Activié tu bosses dans un fast-food, t'es celle qui lit les commandes et prépare les sandwich, tu pue la friture à la fin de la journée, l'odeur est gravée dans ton corps mais au moins t'arrives à vivre, Groupe de ceux qui vivent, Crédits snape.  

   Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? T'y as toujours vécu toi, le Parking tu connais que ça, ton univers se limite à ce vieil immeuble branlant. Tes parents t'ont toujours raconté qu'avant ils vivaient dans une maison convenable mais qu'à cause du renvoi de ton père, vous avez très vite commencé à manqué d'argent et que la seule solution était de déménager ici. Ils te disait toujours qu'un jour vous y retourneriez, dans cette maison, pour mener une vie décente. Toi cette histoire t'y crois pas, t'y as jamais cru, pour toi t'as grandi au Parking et c'est tout c'qui compte.
   Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? T'en peux plus de tout ça, de ces voisins bruyants, de ces cloisons extra-fines qui ne laissent pas une place à l'imagination, de ces cris, de ces murmures, de cet immeuble laid, monstrueux, qui tombe en ruine, cet immeuble dont tu te demandes souvent pourquoi il tient encore en place. Et pourtant tu l'aimes oui tu l'aimes le Parking. Pas forcément parce que t'y es née, pas forcément parce que t'y as grandi, pas forcément parce que parmi ce tas de fumier t'as réussi à trouver des perles. Non tu l'aimes parce qu'il est comme toi.
   Quelle est votre réputation au sein du quartier ? T'es la gouine, celle que les gamins pointent du doigt en disant de ne pas t'approcher, au risque de devenir une tapette. T'es celle qui n'a pas honte de s'afficher avec des filles, qui lance un regard de défi à quiconque critiqueras. T'es celle qui parle trop fort, qui rit trop fort, qui crie trop fort. T'es celle dont la moindre émotion se reflète sur le visage, t'es celle que tout le monde évite quand ton regard brille de rage, celle que tout le monde se permet de saluer, quand il pétille de joie. T'es la fille instable oui mais pas méchante.



   
feat Charlotte Free
Instable psychologiquement oui, t'es le genre de nana qui peut passer des rires aux larmes, des larmes aux cris, le tout en à peine quelques secondes. T'es pas une déesse toi, oh non, loin de là, t'es plutôt comme un feu de cheminée, que la moindre brindille suffit à rallumer. Quand t'es dans tes mauvais moments, t'es un vrai petit diable, désagréable, colérique, vaut mieux pas te chercher. Mais quand tu te sens bien ta compagnie est plus qu'agréable, tu plaisantes, tu t'amuses, tu profites de ta vie. La peur, ce sentiment que tu connais, trop bien même, cette émotion oppressante qui te prend quand tu restes seule trop longtemps. Tu n'y arrive plus, à dormir sans aucune compagnie. Ton apparence qui te montre comme un chaton inoffensif, cache le caractère d'une tigresse, qui parvient sans mal à camoufler ta réelle fragilité. Comme une branche chétive, ton coeur menace de se briser en deux au moins coup de vent. Vivre c'est tout ce que tu veux. Heureuse ou pas tu t'en moques, pour un peu que tu vives.   Malgré ton prénom la mythologie t'aimes pas ça, tu trouves ça malsain, tu détestes en entendre parler. T'as pas de rêve mais t'as une passion, oh oui une sacré passion. La danse c'est te manière de respirer, de t'évader, la danse c'est la seule et unique chose que t'as. Tu mourrais si on devait t'en priver. Fan de cuisine indienne, il suffit de te donner du poulet tandoori pour que tu sautes dans les bras de n'importe qui. A la base t'as commencé la clope parce que tu trouvais ça cool, d'en fumer une petite devant l'immeuble, mais maintenant t'es accroc. Pathétique chose, incapable de résister à ses désirs. T'es pas une voleuse toi non. T'emprunte c'est tout. T'emprunte sans l'accord de l'autre. Mais tu rends toujours, ou tu rembourses au moins. Quand t'étais plus jeune et que tu chapardais dans les boutiques, t'avais un carnet où tu notais tout, pour pouvoir leur rendre l'argent plus tard. Maintenant tu touches plus aux commerçants par contre. Mais quand quelque chose disparaît chez tes amis, ils savent toujours que c'est toi. L'engagement c'est pas pour toi, l'amour t'y connais rien, t'es effrayée, t'es perdue quand t'es dans une relation. T'as jamais réellement été en couple toi. Et pourtant t'as beaucoup à donner, mais ça tu l'ignores totalement, tu te le caches, par peur. La peur de faire mal, la peur d'avoir mal, la peur de mal t'y prendre. T'es juste une sacré trouillarde, Junon.
   
   
t’es née comme une fleur oui,
une fleur poussant sur un tas de fumier


Tes parents étaient pauvres. Unis dans la misère, un couple maudit dès le départ. Ils ont tout de suite eu le coup de foudre. Lui, travaillant avec acharnement comme serveur dans un restaurant miteux, elle pauvre et sans domicile, qui tentait de fouiller dans ses poubelles. Ils ont très vite commencé à se voir régulièrement, à sortir ensemble. Et puis elle est tombée enceinte. Et puis elle a emménagé chez lui, dans son vieil appartement du Parking. La grossesse a été horrible, t’as beaucoup fait souffrir ta mère. Elle sortait presque plus du lit, passait son temps à gémir, les mains posées sur le ventre, le regard vide. Ils avaient pas d’argent pour prendre soin d’elle, pas d’argent pour qu’elle cesse d’avoir mal. Pas d’argent, pas d’assurance, pour qu’elle accouche convenablement. Il y avait une sage-femme dans l’immeuble, elle a accepté de s’occuper d’elle gratuitement. Comme une rien du tout, t’es née sur le lit de tes parents, atterrissant dans les mains de cette femme qui s’est occupée de tout du début à la fin. Ta mère aurait pu en mourir, souffrant de ne pas avoir de soins suffisants, et pourtant elle a tenu bon. C’était une battante ta mère. Tu tiens ça d’elle. Elle s’est accrochée et elle a fini par s’en remettre. Et c'est elle qui t'a donnée ton nom. Junon. Comme la déesse. Comme si t'étais une déesse, capable de de se sortir de la misère pour mener une vie heureuse. Pour elle ce prénom était synonyme de joie.

une rencontre au soleil,
comme une étincelle dans ton cœur


T’avais dix ans t’étais pauvre mais heureuse. Ta mère s’était trouvée un petit job, rien de bien grandiose, mais vos revenus s’étaient améliorés. Et tes parents t’aimaient. T’étais leur princesse. Mais t’étais aussi une épine dans leur pied. Alors tu t’enfuyais. Tu passais tout ton temps dehors, pour pas traîner dans leurs pattes, pour pas les déranger. Tu visitais le Parking, t’apprenais à te diriger, tu découvrais les lieux, les mémorisais. Ça devenait ton terrain de jeu. Un jour il faisait beau, il faisait chaud, tu traînais dehors au soleil, gigotant sous les rayons, comme un chaton. Et puis une ombre est venue cacher ta lumière. Tu t’es redressée, indignée, et elle a rigolé devant ta réaction. Au début surprise, t’as fini par rejoindre son hilarité. Elle t’a tendue un gâteau. Le gâteau de l’amitié. Et puis elle s’est installée à côté de toi et vous vous êtes prélassée ensemble dans la chaleur de cet après-midi. En silence, vous avez savouré l’instant. Et le soir venu vous vous êtes quittées. Le lendemain vous êtes revenues. Même lieu, même heure. Chaque jour. Sans rien dire, vous vous retrouviez et vous attendiez ensemble. C’est après sept jours que vous avez enfin commencé à discuter, apprenant à vous connaître, découvrant tout l’une de l’autre. Plus rien ne pouvait vous retenir, vous laissiez enfin les mots sortir après avoir été retenu pendant une semaine. Vous êtes très vite devenues amies. Puis meilleures amies. Puis inséparables. Tu pleurais sur son épaule quand ça allait mal et elle te rendait tout le temps la pareille quand elle avait un souci. Vous étiez des sauveuses l’une pour l’autre.

tu voulais aimer à en crever,
au lieu de ça tu crevais de trop aimer


Quatorze ans. L’âge auquel t’as appris pour ton homosexualité. T’as toujours su que t’étais pas normale, tu sortais avec des garçons mais ils t’attiraient pas, ils te plaisaient pas, c’était pas eux le souci. C’était toi. T’avais pas ces papillons dans le ventre, quand t’étais en leur présence, y avait pas ce quelque chose qui rendait tes yeux pétillants et faisait trembler tes jambes. Par contre elle, elle l’avait. Naomi, elle s’appelait. Elle était belle Naomi. Et toi t’es tombée sous son charme, comme une mouche attirée par la lumière, t’as voleté jusqu’à elle pour tenter de partager sa chaleur. Et elle t’a brûlée. T’étais jeune, t’étais naïve, tu savais pas comment aimer. T’aimais trop fort, avec trop de passion. Mais elle, elle était pas intéressée. Et pourtant tu t’accrochais, t’espérais, tu rêvais qu’elle soit tienne un jour. Tu lui faisais la cour avec ardeur, sans rien laisser paraître, agissant dans l’ombre. Et puis un jour tu lui as dit en face. Et tu t’es pris le retour de bâton, plus brutal que tout c’que t’aurais pu imaginer. Elle t’aimait pas, elle pouvait pas t’aimer, elle était pas gay, elle. T'as beaucoup souffert ouais, t'as souffert à en crever, alors depuis t'as peur, t'as peur d'aimer à nouveau. Et suite à ton râteau, t’es tombée dans la déprime, tu ronchonnais en permanence, éclatait dans des crises de rage sans prévenir. Mais malgré ton sale caractère elle, elle était toujours là. Ta meilleure amie. Le soleil de ta vie. Elle t’a soutenue, elle t’a accompagnée quand t’as commencé à boire. Elle est restée à tes côtés jusqu’à ce que t’aille mieux, jusqu’à ce que tu tournes la page. Elle t’a accompagné partout, dans tout ce que tu faisais. C’est à cette période que t’as commencé à fumer, l’entraînant dans ta chute. Pour la remercier, t’aurais aimé lui offrir l’univers, le monde entier, mais tout c’que t’avais à lui donner, c’était ta merde.

t’aurais pu vivre comme ça pour l’éternité,
t’oubliais juste que tout a une fin


T’aimais tes parents. Tu les aimais beaucoup. Pourtant à dix-huit ans t’en pouvais plus, tu voulais t’envoler, t’enfuir loin d'eux, mais tu pouvais pas, t’avais nulle part où aller. Alors tu passais tout ton temps avec ta meilleure amie. Pour toi, ce n’était qu’amical. Quoique plus que ça. Mais rien de sexuel. Pourtant un jour elle s’est approchée de toi. Et tu savais. Tu savais c’qu’elle avait en tête. Tu pouvais pas tu voulais pas. Mais t’en avais marre. Marre d’être seule. Marre de cette vie de merde. Alors quand elle a posé ses lèvres sur les tiennes, tu lui as rendu son baiser. T’as passé tes bras autour de son corps. Tu l’as serré contre toi, avec l’énergie du désespoir, comme si vous pouviez fusionner l’une avec l’autre, comme si tu voulais que ça arrive. Mais ça se finit toujours de la même manière, tu le savais à ce moment-là et tu le sais encore aujourd’hui. T’as regretté le lendemain. Beaucoup. T’as voulu fuir elle t’a vue, elle a crié et t’as hurlé. Le ton est monté immédiatement, avec la fureur d’un lac déchaîné et t’es partie en claquant la porte. Cette même porte que t’as finalement rouvert le soir-même, le regard vide, le corps tremblant, le cœur froid comme de la glace. Elle t’a serré dans ses bras, t'a murmuré des mots doux. Et c’est là que tout a changé pour de bon. Vous vous entendiez bien. Vous vous adoriez. Mais vous n’étiez pas faites, pour devenir plus que des amies. Vous n’étiez pas faîtes pour être en couple, pas faîtes pour entretenir une telle liaison. Votre relation est devenue électrique, autodestructrice, vous vous aimiez, mais ne pouviez pas vous empêcher de faire des étincelles, de vous disputer, de vous battre pour tout et pour rien. Et pourtant, malgré toutes les fois où tu voulais mettre fin à tout ça, malgré toutes les fois où tu partais, enragée, t’es restée avec elle. Une délivrance, c’était tout ce que tu demandais, tout ce qu’elle pouvait t’apporter, tout ce qu’elle faisait semblant de t’apporter. Parce que la vérité était tout autre. Elle n’était pas ta liberté, non, elle était ta drogue, la prison dans laquelle t'es entrée de ton plein gré. Et tu l’as fermée toi-même à clef, le jour où t’as quitté l’appartement de tes parents, pour emménager dans un studio avec elle.

Depuis tu sais pas, tu sais plus. Tu sais plus où t'es es, tu sais même plus qui tu es. La seule chose que tu sais c'est que parfois tu fermes les yeux, tu laisses la musique t'emporter et tu danses. Tu danses et t'oublies tout. Tu danses et tu te sens heureuse. Tu danses et tu sais que, peu importe c'qu'il arrive, tant qu'on te laisse ça, tu survivras à tout.

   
Pamperika
passe ta souris !
Hey hey moi c'est Pamperika, 19 ans, pro des selfies.  SELFIE (désolée, je voulais juste pouvoir caser cet émoticône) J'suis en fac de lettres modernes du coup y a des périodes où je pourrai me connecter tous les jours, d'autres beaucoup moins. Mais globalement je devrai passer régulièrement. Ca faisait longtemps que je m'étais pas inscrite sur un nouveau forum, encore moins d'où je connais personne, donc j'avais carrément peur au début (surtout que vous êtes nombeux) mais il me tentait tellement que j'ai fini par craquer.  ho


Dernière édition par Junon Walsh le Sam 14 Mar - 21:52, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 11:40
Bienvenue ! HAWW

Ton titre est juste magnifique ! POTTE
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 11:53
Bienvenue BRILLE
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 11:55
Bienvenue sur le forum jolie blondinette LOVE
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 12:03
Merci à vous trois.  BRILLE

Et issam oui j'ai craqué devant cette phrase, surtout que j'adore saez. ho
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 12:06
Welcome HELLO
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 12:40
Charlotte POTTE T'es belle, et j'adore le pseudo, le titre ... Bref, t'es parfaite SIFFLE

Bienvenue HAN
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 12:50
Bienvenue ! J'aime beaucoup ton pseudo, ton titre et ton avatar CUTE
Bon courage pour le reste de ta fiche ROBERT
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 13:11
Bienvenue :l: BRILLE
Anonymous
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 13:39
Charlooootte. mi amor. tu veux bien m'épouser ? ho
Bienvenue. DE CEUX
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 14:37
charlotte BAVE j'aime tellement cette fille, super choix d'avatar FAN

bienvenue parmi nous LOVE

Anonymous
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 15:25
Merci beaucoup à tous pour l'accueil. CUTE
Ça fait plaisir de voir Charlotte aussi appréciée, comme ça fait un moment que je e suis pas inscrite sur un forum occidental j'avais un peu peur j'avoue. Mais du coup j'suis contente de voir qu'elle plaît. HAN (et que le pseudo aussi pour certains ROBERT)

Et Dalila bomba bien sûr que j'veux bien t'épouser. SALIVE
Anonymous
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 15:56
oh une copine de lettres modernes !
bon courage pour le reste de ta fiche. FAN
Anonymous
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 18:41
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche!
Anonymous
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi EmptySam 14 Mar - 19:04
Merci à vous deux ! :YEAH:
Et oui Emy, nous pourrons partager les bonheurs de la lettre moderne. MOUSTACHE
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MessageSujet: Re: junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi   junon - tu voulais l’univers et moi j’avais que moi Empty
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