Sujet: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Jeu 7 Jan - 19:10
Judhaël"Judas"Miskimmin
Tracer dans l'air des louanges amères, au creux du ciel, geste éphémère
Nom T'as un nom un peu bizarre, un nom qui sent pas l'ici, qui sent l'ailleurs, tu sais pas trop d'ailleurs, d'où ça vient, comment ça marche, t'es pas trop attaché aux noms, aux conneries du genre, t'es pas trop identité, reconnaissance mais pourtant, tu l'as souvent entendu raisonner là, par-ci, dans les rues, sombres ou éclairées, dans des voix tremblantes, des voix que tu n'oublieras pas, ton nom qui claque sur la langue, Miskimmin, Prénom Tu te demandes encore comme on a pu t'appeler comme ça, d'ailleurs tu ne sais même pas qui a choisi mais ce prénom est trop connoté, tout aussi étranger que ton nom, t'as l'impression d'être un souverain perdu, caché, déchu, t'as l'impression d'être celui qui a craché sur toute sa vie, t'as l'impression d'avoir le nom d'un traître, à moitié, t'en es peut-être pas si loin mais tu te souviens de Judhaël, crié comme ça, crié fort, crié dans l'ombre et tu te souviens de Judas utilisé trop souvent, Date et lieu de naissance T'es le produit du rêve américain, de ce rêve qui s'étend encore et encore, loin, qui se fait conquérant du monde, dominateur de l'Homme. T'es né par ici, dans le Bronx, t'es un enfant de la cité, du quartier, un enfant qui a connu les choses qu'il ne faudrait pas voir, qu'ils disent, mais toi ça va. A ce qu'il paraît que t'a vu le jour dans les années quatre-vingt-dix, certains diront que t'as de la chance, toi tu n'sais pas, c'est écrit par-là, que t'es né le vingt juillet mille neuf cent quatre-vingt-dix, quelque chose du genre, Âge T'es un vieux qu'ils te disent, t'as plus le temps pour ces conneries, plus le temps de perdre ta vie, t'as plus le temps de courir après le temps, plus envie, tu ne sais pas, t'es pas si vieux, pas si moche t'es pas encore trop fripé, tu crois et les seuls rides qui se dessinent sur ton visage sont celles de l'anxiété, du haut de tes vingt-cinq ans, t'es plus un enfant mais toujours pas un grand , Nationalité T'es un ricain, un vrai, t'es comme ça, t'es pas d'ailleurs, t'as pas envie, y a que ton pays qui compte, malgré tout, malgré ce qu'on peut en dire, malgré ce que tu en lis, c'est le pays qui t'a vu naître, celui qui t'a élevé alors quoi de plus ? T'as le sens de la patrie, toi, c'est tout, Origines A ce qu'il paraît que t'as des origines de loin, des origines qui puent l'mouton, un truc du genre. Tu sais que ta mère t'a raconté des choses de son enfance en Irlande mais tu sais qu'elle n'est pas restée longtemps, pas assez pour que ses souvenirs soient vrais, alors tu ne sais pas, tu ne parleras que de l'Amérique, Statut matrimonial T'as pas la joie de vivre, pas eu la vie facile, t'es divorcé mais c'est compliqué à expliquer, c'est dur à dire, tu sais même pas comment tu t'es retrouvé devant l'autel, des convictions un peu absurde, un jeu, une histoire pour faire semblant, un truc qui brise des coeurs, mais pas le tien, ils te l'ont dit, t'as pas d'coeur, pas d'sang, pas d'tête, t'es rien, t'es vide, t'es comme un pierre dans laquelle on peut shooter sans lr vouloir, t'es le caillou qui part un peu trop loin, qui ne fait pas de ricochés, t'es celui que personne n'aime, Orientation sexuelle T'as pas d'orientation sexuelle, t'aimes pas ça le sexe, alors on t'appelle asexuel, on dit que t'es bizarre, que t'es pas normal, mais tu sais quand même aimer, tu sais ce que c'est l'amour et le coeur qui bat vite et qui fait mal et qui se tort dans la poitrine, tu sais ce que c'est qu'aimer, autant les femmes que les hommes et tu les aimes d'un amour inconditionnel, un amour qui blesse, Job ou Activié T'aimes pas trop parler de ton travail, tu ne sais même pas si on peut appeler ça un travail, mais tu t'occupes de la pelouse des morts, tu fais attention à leur royaume, t'es là pour qu'ils se sentent bien, pour que les revenants soient heureux dans leurs piaules ; ils appellent ça fossoyeur, t'appelles ça se moquer du monde,Groupe T'es de ceux qui vivent, Crédits Amiante pour l'avatar, Thomas Dutronc - Louanges amères pour la citation ; The Garden - Devour pour la chanson dans l'histoire
feat adam wiseman
Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? T'as pas toi, personnellement, emménagé ici. Tu sais pas si tu peux appeler ça un héritage familial, une connerie du genre, mais voilà que t'es là depuis vingt-cinq ans maintenant. Que tu te tapes les mêmes couloirs, le même ascenseur, la même vue qui fait peur, les mêmes rues sales, les mêmes choses encore et encore et toujours et pour l'éternité sûrement. C'est un hasard tu crois, si vous êtes arrivés là, si tes parents ont couru pour fuir tu ne sais quoi, tu ne te souviens pas. Ils étaient pas vraiment du genre à te raconter leur vie, ils étaient pas vraiment du genre à te parler tout court, parce que c'est comme ça, parce qu'on ne partage pas tous des moments tendres et agréables avec ses géniteurs, vous étiez pas trop souvenir, pas vraiment accroché au passé, c'est à peine si vous essayiez d'attraper le futur.
Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? Les voisins, c'est un truc qui est là pour t'emmerder mais en même temps, ça peut dépanner. C'est des morceaux de vie rencontrés, offerts, des gens qui vous approche et qui semble vous apprécier, vous détester, vous cracher dessus ou peut-être juste vous ignorer. Toi, tu ne sais pas. Y a de tout par-ici, on peut en voir l'évolution, la dégradation, les Hommes sont comme ces murs et t'as comme l'impression que le bâtiment se voit changer à chaque pas que les autres fonds, comme un enfant qui grandirait, ça s'adapte ou peut-être est-ce le contraire et que vous vous adaptez à ces murs trop serrés ? Tu ne sais pas, mais t'as pas beaucoup d'avis sur grand chose, t'es pas certain de suivre le mouvement.
Quelle est votre réputation au sein du quartier ? T'es celui qui aimait traumatiser dans les rues sombres, qui aimait embêter ceux qui n'était pas tes idéaux, qui n'étaient pas comme on te l'avait appris, qui n'étaient pas ce que tu devais aimer, apprécier, choyer. T'es le crâne lisse qui faisait régner la terreur, qui essayait de rendre le monde meilleur mais t'es aussi celui qui a du partir, fuir, courir, parce que ça n'allait plus, celui qu'on frapperait quand il s'approche trop près, celui qu'on battrait à chaque pas qu'il fait. T'es celui qui aime trop fort, qui aime en bleu, qui aime en poing et t'es celui qui a fini par être abandonné, qui n'a plus de famille. T'es celui dont la femme a préféré partir que de ressembler à une toile trop bleue, dont l'enfant a suivi parce qu'il était trop petit, parce que t'étais trop con, parce que t'avais trop d'alcool dans le sang, t'es celui qui se retrouve seul, qui des fois se bat dans les rues pour le plaisir du bitume froid sur la joue, pour le plaisir de l'asphalte qui râpe la peau. T'es le loup qui a quitté la meute au prix d'une liberté bien trop cher payée.
T'as pointé le bout de ton nez dans un hôpital miteux, t'es à présent certain que c'est un miracle que tu n'aies rien choppé, ni même ta mère. Comme si le bon dieu s'était dit que l'on devait te garder en pleine forme, vivant. T'étais pas un de ces gosses que l'on destinait à la mort et tu as braillé tellement fort quand tu es sorti de ton cocon qu'à peine né, tu cassais déjà les couilles. Tu peux dire que tout était normal chez toi, en quelques sortes. T'as toujours connu cette odeur nauséabonde de pauvreté, qui fait du mal, qui secoue l'estomac. T'as toujours connu les autre murs miteux, la vie trop dure, la neige sale, le soleil qui rend le bitume brûlant. Tu te souviens de tes pieds sur l'asphalte brûlant alors que ça tapait sur le haut de ton crâne et ta mère qui te répétait de ne pas faire ça parce que tu pouvais tomber malade. T'as l'impression que ton foyer n'était pas si mauvais, plutôt aimant, mais il y a toujours des problèmes, des choses qui se perdent, qui explosent. Il y a toujours des secrets que l'on ne veut pas révéler et qui finissent par faire tout éclater ; comme ta mère qui aimait faire la salope, comme ta mère qui s'était dit que ce serait sûrement cool de ramener tout le quartier dans son pieu, histoire de. Elle n'avait pas d'excuse, simplement que ton père était fou, que ton père c'était le genre de mec qu'on ne pouvait pas quitter parce que sinon, il sortait le flingue et butterait tout le monde. T'as jamais vu ton père comme ça. A tes yeux, il est un héros, un vrai. Un héros qui bombe le torse et qui se montre fier. Toujours bien habillé, le crâne lisse, le sens de la justice. C'est lui qui t'a élevé, qui t'a tout appris. C'est grâce à lui que tu as su t'en sortir, que tu as su bien choisir ton entourage. Tu ne faisais que marcher sur ses traces, tu n'étais que son ombre. Tu lui ressemblais beaucoup trop et ça faisait peur à tout le monde. Tu t'es retrouvé le crâne lisse toi aussi, d'abord à emmerder les petits étrangers de ton quartier, t'étais gentillet. D'abord les mots puis les poings. Comme on dit, qui vole un oeuf vole un boeuf et tu ne t'es jamais arrêté. Tu t'es laissé embobiner, tu t'es engouffré dans cette connerie mais c'était tout ton monde, toute ta vie. C'était ce que tu étais, ce que tu es. C'est une partie de toi, t'es comme ça. Tu crachais sur ceux « qui n'ont rien à faire ici », ceux qui ne sont pas dans leur pays parce que toi tu te disais plus américain qu'eux, comme si ce pays t'appartenait ; puis bien vite ça s'est aggravé, comme une maladie, comme la gangrène, ça s'est propagé. Ton cerveau a été bouffé, cramé ; t'as pété une durite, t'as cru à une sorte d'élite, à ces mensonges qu'on raconte. T'as cru à cette chose qu'on te faisait lire dans les livres, de le livre et tu t'es dit ; pourquoi pas ? Pourquoi ne pas accepter cette idée, cette façon de penser, pourquoi ne pas croire à d'autres promesses qui font miroiter des choses absurdes ? T'as comme vécu toute ton adolescence dans le mensonge, un truc qui y ressemble. T'avais les yeux rivés sur ton petit monde comme si rien d'autre n'existait. T'avais pas conscience des choses, conscience du vrai monde ; celui dans lequel tu évoluais n'était qu'une idylle, qu'une idée, qu'un sombre rêve dans une réalité bien plus sombre encore. T'étais un peu Alice aux Pays des Merveilles, perdu, égaré, émerveillé, immature, influençable. T'étais un pantin de bois et de toi, on faisait ce qu'on voulait ; ils avaient bien compris ça, eux.
On t'a toujours trouvé un peu bizarre. Tics, manies, habitudes auxquelles tu ne dérogerais pour rien au monde, t'étais un peu l'enfant à part qui essayait de s'intégrer ; peut-être pour ça que tu as choisis une certaine « élite », un clan difficile, restreint, là où personne n'est en quelque sort différent. C'était peut-être pour toi quelque chose de rassurant, d'agréable. T'aimais bien te dire qu'on t'aimait comme tu étais, comme tu le voulais. T'es le genre de gosse qui rêve à la gloire, aux applaudissements, qui rêve qu'un jour on le retienne, qu'un jour on se souvienne de ce que tu as fait, qu'on le dise, que ton nom raisonne encore même après ta mort. Tu voudrais être un héros, un vrai, celui qui accourt contre le mal ; mais ton idée du mal étais erronée, tu t'étais trompé. Puis au final, tu n'as jamais vraiment été comme tout le monde. A l'adolescence, y a les hormones qui se font, qu'ils disent. D'un coup, tu deviens un homme, un vrai et t'as envie des femmes -et seulement des femmes, parce qu'ici on est pas des tapettes. On a envie de baiser, ou de faire l'amour, tu ne sais plus trop. On a envie de faire des choses, on se sent attiré, aveuglé, peut-être même qu'on tombe amoureux. Pour de vrai et on saurait presque ce que c'est ; mais t'étais pas vraiment certain de savoir ce que l'attirance voulait dire. T'as jamais trouvé ça très agréable, tu n'as même jamais ressenti l'envie de te retrouver dans un lit ; tu faisais semblant en disant que oui, bien sûr, elle est bonne cette nana là avec son cul trop gros et ses seins faux. Tu ne te sentais pas comme les autres ; encore moins, peut-être beaucoup trop différent alors tu n'as rien dit, jamais et c'est peut-être mieux comme ça. Le premier jour où ton coeur loupa un battement, elle était belle. Trop belle. On aurait dit une image, une photo comme les couvertures de magasines, on aurait dit un fantôme. Tu la vois encore, briller, fort, très fort. Trop fort. Tu la vois t'éblouir et tu te rappelles avoir pensé juste elle. C'est ce qui s'est passé. Ce ne fut qu'elle pour un moment. Échanges houleux, vous étiez voués à l'échec, vous le saviez. Elle n'acceptait de toi rien de tout ce qui te faisait ; tu n'étais pas toi avec elle mais tu l'aimais. On dit qu'on peut tout faire par amour, tellement qu'au final ça nous bouffe, tellement qu'au final ça nous tue. Tu sais que tu aurais fini mort. Un jour, elle t'a demandé la vie. Elle avait envie de porter sa contribution à cette terre pourrie. Vous étiez jeune, trop jeune. Vous aviez peut-être vingt ans, sûrement vingt ans même et peut-être que ce gosse n'aurait jamais du naître. C'est le genre d'enfant qu'on fait pour se dire que ça va réunir le couple, que ça va arrêté. Mais t'étais pas très gentil comme gars, t'avais l'alcool facile, les poings volages ; t'avais pas trop l'idée du respect, ou peut-être que tu avais la tienne d'idée, tu ne sais pas trop. Mais t'aimais repeindre ta femme, parce que c'est ce qu'elle était non ; ta femme. Pas pour longtemps, elle t'a tout brisé, tout cassé. Il est né, elle est partie peu après ; elle s'est dit que c'était le coup de trop, que maintenant que tu lui avais donné ce qu'elle voulait, elle pouvait partir, loin, très loin de toi et que jamais tu ne reverrais cet enfant qui porte tes yeux, qui porte sur son visage tes traits, qui a de toi dans son corps ; tu ne le reverrais jamais parce qu'elle ne veut pas. Parce que tu n'as pas le droit. Parce que tu n'es pas celui qu'elle croyait, parce que tu n'es qu'un con, parce que t'es pas un bon homme, parce que t'es comme la mort et il faut te fuir le plus vite possible, courir tant qu'il en est encore temps.
Le dernière fois que ton coeur a loupé un battement, ce n'était pas pour des cheveux longs. C'est de là que vient Judas. T'es le traite, le mec qui aime aussi les mecs. T'es la pédale, la tapette, la tantouze, t'es celui qui aime mettre des bites dans le cul ou celui qui aime défoncer des estomacs, t'es celui qui bouffe de la merde, celui qui sert de récipient à foutre. Tu en as entendu des choses, tu en as entendu des conneries, tu as entendu tout ce qu'ils pouvaient te dire ; t'as entendu ce que toi aussi tu avais pu dire et tu ne sais pas si ça t'a fait du mal ou du bien, tu ne sais pas si tu étais blessé en colère, tu ne sais pas si c'est ce qui t'a fait comprendre qu'il fallait fuir ou si c'était les coups que tu tu t'étais reçu pour un oui ou pour un non. Ils auraient pu te tuer, qu'ils t'ont dit, parce qu'on aime pas les pédés qu'ils ont répété plusieurs fois ; mais t'as eu un peu de chance. Il faut que tu fasses attention à où tu traines, il faut que tu fasses attention à là où tu mets les pieds parce qu'on ne veut plus de toi, parce que tu risques de goûter un peu plus souvent au bitume, parce que tu sais que tu risques d'être surnommé hématome, parce que ce n'est pas comme ça que ça se passe ; pas si facilement. T'avais pas le droit de tomber amoureux de ton semblable, tu n'avais pas le droit d'aimer quelque chose comme ça ; on te l'avait interdit, ils te l'avaient interdit, ton père te l'avait interdit ; mais tu ne sais pas, tu n'as pu rien y faire. T'as pas choisis ; ton coeur il a battu fort fort et puis c'est comme ça. Tu ne saurais l'expliquer et de toute manière ; c'est ta seule façon d'aimer. Mais voilà quelque chose de bien paradoxale pour l'enfant que tu étais ; ça t'a un peu embrouillé et maintenant, tu ne sais plus où tu en es. Perdu, paumé, t'es là et tu vis ; t'as plus trop de but, tu l'as perdu. T'es coincé dans tes idées, t'es pas très gentil mais t'essayent de faire semblent, de plus cracher sur les gens ; ils appellent ça la rédemption, tu demanderais presque pardon.
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Dernière édition par Judhaël Miskimmin le Lun 11 Jan - 17:47, édité 5 fois
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Jeu 7 Jan - 19:30
Re-biennvenu mon poussin
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Jeu 7 Jan - 19:32
Qu'il est chou, celui-là ReBienvenue au Parking
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Jeu 7 Jan - 19:34
Moooh rebienvenue officiellement du coup
Lizz Moen
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Jeu 7 Jan - 20:09
Re-bienvenue
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Jeu 7 Jan - 22:15
Palabra mi amor Re, t'es carrément...
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Jeu 7 Jan - 22:56
comment il a l'air trop beau, le jude rebienvenue !
Makayla Jefferson
« Ta future BM »
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MA RENOMMÉE DE MERDE :
Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Ven 8 Jan - 18:29
Miskin ! (pardon). Rebienvenue chez toi !
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Sam 9 Jan - 4:56
re-bienvenue par ici j'aime ce que tu as déjà écrit et puis, ton avatar est
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Sam 9 Jan - 12:16
re t'es trop canon comme ca
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Sam 9 Jan - 13:36
(RE)Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Dim 10 Jan - 0:28
Moooooh coucou vous, trop chou J'aime Leo, j'suis sûre que je vais aimer ton second perso aussi ! Par contre, j'ai essayé de prononcer le nom de famille et... lol. Et j'aime bien Judas, ça pète. SINON. J'ai une réclamation à te faire :
Judas a écrit:
ORIGINES A ce qu'il paraît que t'as des origines de loin, des origines qui puent l'mouton, un truc du genre.
LES MOUTON ILS PUENT PAS, OK ?
Rebienvenue
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Dim 10 Jan - 1:03
Ayayayaya. Merci beaucoup, vous êtes adorables.
@Alvar Mouton ; JE SUIS DÉSOLÉE MAIS QU'ELLE IDÉE DE S'APPELER MOUTON AUSSI. Merci.
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Dim 10 Jan - 1:17
J'ai que d'bonnes idées moi monsieur Suis en train de te répondre
De rien
Al Kelley
« révolé sa mère. »
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▹ AGE : 20 ans, l'âge batard, trop vieux pour garder un pied dans l'enfance, trop jeune pour ta récente paternité.
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▹ TAF : Dealer local du Parking et environs proches, il est également l'associé de Deirdre Haynes au garage 8Ful.
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MA RENOMMÉE DE MERDE :
Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines Dim 10 Jan - 10:32
Rebienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Judhaël | Paysages désolés qui circulent dans nos veines