| Sujet: jax + this is a story of a wanker Mar 10 Nov - 18:23 | | Jackson Jeremiah Peters Je jure que mes intentions sont mauuvaises. Nom Peters. Court, simple efficace, on peut pas faire plus simple. PrénomAlors là coco t'as le choix. Mes vieux se sont tapés un petit délire le jour de ma naissance, en donnant la même lettre à mes deux prénoms. Tu peux donc m'appeler "JJ" comme tu peux m'appeler Jackson, Jack ou Jax. Fait toi plaisir. Date et lieu de naissance 31 mai dans le bronx Âge vingt cinq ans. Nationalité américaine Origines D'après ma mère quand mon père avec encore des cheveux la légende raconte qu'il était roux, pour se dédouaner il racontait qu'il avait des origines irlandaises. Perso' je les cherche encore. Statut matrimonial donneur abusif de sperme, dédicace au rouleau de pq sous mon lit. Orientation sexuelle hétérosexuel; pourquoi y'a t-il une autre option? Job ou Activité livreur de pizza, j'entends déjà les rageur se moquer mais en vrai rien de mieux pour vendre de la dope qu'en étant livreur de pizza. Dans le quartier on appelle ça le " supplément JJ " je peux t'assurer que cette pizzeria minable fait du bénéfice sur mon dos. Date d'arrivée au Parking il y'a trois ans, pour fuir l'oppression maternel qui envahissait le bronx, et l'appartement des Peters. Crédits alaska Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? oui Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? Cela va faire un peu plus de trois je pense. Disons que c'était la suite logique des choses. J'en pouvais plus de ma mère, de la flopée de ploucs qu'elle nous ramenait, alors qu'a l'époque niveau plouc avec Charlotte on était servit. Et puis j'avais toujours rêvé d'habiter loin du cocon familial. Tommy et moi avons sauté sur l'occasion, c'était l'occasion rêvée. Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? Pas grand chose à vrai dire, je dors souvent quand ils sont debout, et je suis debout quand ils dorment. Mais vous devriez plutôt leur poser la question à eux. J'aurais tendance à les faire un peu chier apparemment. Quelle est votre réputation au sein du quartier ? Je t'invite à aller parler à la vielle Jenkins elle te dira sans doute un truc du genre - oh Peters, le branleur du septième quel salopiaud ! - Hélàs je pense pas que se soit la seule à penser ça, mais bon, que voulez-vous? | feat aaron paul Perturbateur Oui Jax a toujours été considéré comme un élément perturbateur aussi bien dans le système scolaire où il était la hantise des professeurs, que dans le milieu familiale où il n'a jamais cessé de tourmenter les membres de sa famille, ainsi que les copains de sa mère. Réveils en fanfare, colle ultra forte pour remplacer le gèle de son petit frère. En somme le genre de mec qui mérite de claque, mais qui au final à un bon fond, il suffit juste de le trouver.
Insouciant Alors oui Jax est le second de la fratrie, il a donc, ainsi que Carl une part de responsabilité dans l'éducation de ses cadets. Ou du moins il se devait de leur montrer l'exemple. Sauf que cela ne s'est jamais vraiment passé comme ça. Au contraire, c'est Teddy qui devait se coltiner le trajet à trois heures du mat' pour aller chercher son enfoiré de frère, qui avait trop picolé. Charlotte qui devait payer les 40 dollars de caution pour le libérer de gardav' parce que monsieur était en état d'ébriété et nu sur la voie public. Non Jax n'est pas responsable, et n'est pas prêt de le devenir.
Auto-destructeur Le temps passe, et mine de rien le bonhomme commence à se faire -vieux- enfin vingt six ans c'est rien, mais si il continue comme ça, il risque de gros ennuie. Parce que la picole, la défonce et la baise sans protection c'est sympa à dix huit ans, mais à vingt six ? Ses proches commencent à se poser des questions. Ils s'inquiètent pour sa santé. Car ouais sa conduite devient de plus en plus risqué, ses limites rétrécissent de manière constante.
Grande gueule Jax n'a certainement pas la langue dans sa poche et sera le premier à vous dire la vérité. Demandez à sa famille. Le problème c'est que ce trop plein de franchise, et cette impulsivité passe encore à la maison, mais dehors c'est une autre histoire.. Les Peters ainsi que Tommy on souvent du chercher JJ aux urgences, car il s'était attaqué à un plus gros poisson. Quand on vous dit que ce gamin aime s'attirer des ennuis.
Tommy Sans doute la plus grosse tête de noeud qu'il n'ai jamais rencontré. Le mec est vraiment trop propre sur lui pour vivre côte à côte avec les Peters et encore moins quand il s'agit du plus débile de la fratrie. Bien que différents ses deux là, sont inséparables malgré tout. Engueulades, bastons, problèmes familiaux, ruptures. Ils ont tout vécu ensemble, on évolué ensemble - Si on peut appeler ça une évolution pour Jax - Qu'importe. Ils sont colocs depuis quelques années maintenant, on du mal à se supporter, mais seraient prêt à crevé pour l'autre si l'occasion s'en faisait ressentir.
Grandir ? Jax est distant de toute notion qui peut résider dans ce monde. Il n'a cure des différents conflits du Moyen-Orient, de l'inflation du pétrole aux états-unis. Toutes les informations qui bourrent le crâne du terrien lambda, qui l'angoisse au plus haut point n'effleure même pas la conscience de Jax. Non. Il n'est pas concerné par toute cette merde. Par contre les dessins-animés le dimanche matin sont sacrés !
Fratrie Dans la famille Peters il y'a quatre enfants. Le quatuor se compose de Carl, Jackson, Teddy et Charlotte. Il ne le montre peut être pas tous les jours, voire jamais. Mais la vie de Jax serait des plus insignifiantes sans eux, c'est sûr. Et même si ils ne partagent pas beaucoup de point commun, car tout ce beau monde à sa personnalité bien particulière, Jax les aime bien. Ce sont ses -têtes de bites - à lui comme il dirait.
Filles Jax est sans aucun doute un je m'en foutiste qui ne porte pas grande attention à ses relations avec les autres. Hormis avec les membres de sa fratrie et Tommy. Son rapport avec la gente féminine n'a jamais été bien complexe à comprendre. Il les faits boire, les baise, leur appelle un taxi une fois l'affaire réglée et répète ce schéma chaque week end.
Egoiste ? Instinctivement quand on pense au défauts de Jax on pense soudain à - emmerdeur, violent, impulsif, franc, bruyant - mais il y'en à un autre dont lui seul à conscience, l'égoisme. Car oui, selon lui il a toujours fait preuve d'egoisme avec ses proches. C'est bien ça le pire. L'exemple le plus flagrant ..?
..Max Max c'est Max. Difficile de la définir autrement en fin de compte. Ils se sont rencontrés au collège, promis à un avenir brillant, mais elle s'est laissé embarqué dans les aventures de Jax. Au final la gentille Maxyne découvrit les bien faits de l'alcool, le sexe et divers coctail de drogues. Sauf qu'elle ne s'est jamais arrêté, elle n'a jamais su trouver ses limites, et ses abus était de plus en plus fréquent. Jusqu'au moment de l'overdose.
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- Un joyeux bordel. - Ouais, c'est sans doute comme ça que je résumerai les vingt six premières années de ma vie. Faut avouer que je l'avais bien cherché. Comme le disait souvent ma sainte-mère - Jackson c'est à croire que tu aimes t'attirer des ennuis ! - Finalement cette phrase est sans doute la chose la plus intelligente que mon idiote de mère n'ai jamais prononcé. Il est vrai que, pour une raison qui m'échappe encore, je me retrouve sans arrêts dans des histoires pas possibles. Pourtant, ma mère avait raison, j'aime ça. Sans doute car c'est dans ces moments là que je me sens vivant, le plein d'adrénaline m'a toujours attiré. Alors oui, peut être qu'un jour je me retrouverai en prison ou inerte dans l'Hudson, mais bon qui vivra verra.
Tout ce bordel à commencé dès l'enfance. Je suis né à New York dans le Bronx. A défaut de savoir élevé leurs enfants monsieur et madame Peters savaient parfaitement comment les concevoir. C'est pour cela que dans la fratrie on est quatre : Carl, moi, Teddy et Charlotte. C'est quand j'avais trois ans que tout est parti en couille. Mon père a mit les voiles et de là ma mère a commencé à nous ramener tout et n'importe quoi. Du moteur violent à l'artiste totalement défoncé au amphétamines en passant par le gars à l'odeur de clodo on a tout vu. Autant vous dire que le repère familiale était loin d'être le lieu le plus épanouissant pour des gamins. C'est pour cela que j'ai très vite commencé à traîner dehors. Au début il n'y avait rien de bien méchant, mais bon le Bronx c'est un peu comme la jungle, il fallait que je me débrouille, me fasse respecter. C'est comme ça que j'ai pensé mes premières arnaques en compagnie de Tommy. Cette tête de noeud est comme un frère pour moi. Lui et moi avons tout vécu ensemble; même si cet abruti n'est absolument pas du genre à faire des conneries c'est avec moi qu'il prit sa première cuite; sa première défonce. Alors oui, instinctivement on pourrait dire que j'ai une mauvaise influence sur lui, mais c'est absolument faux. Il a besoin de moi comme moi j'ai besoin de lui.J'étais beaucoup plus proche de mon faux frère que de mes vrais frères. J'ai jamais été trop famille, nos relations ne sont pas basé sur des -jet'aime- non très peu pour nous. C'est pas que je les aime pas, loin de là, c'est juste qu'on est pas plus proche que ça, tout simplement.
Qu'on se le dise, j'étais un fouteur de merde. Non pas que j'étais le mec craignos du quartier qui faisait du racket, non. J'étais le gentil branleur. Il m'est arrivé de nettoyer la cuvette des toilettes avec la brosse à dent du copain hippie de ma mère ou alors de mettre des clous au pied du lit de son autre copain, le jazzman. Rien de bien méchant, j'aime juste taquiner les gens. Enfin dans ces cas précis c'était pour les faire fuir. Car ouais je dois en avoir plus d'une dizaine sur mon tableau de chasses, ma mère ne m'a toujours pas pardonné d'ailleurs. Nos relations conflictuelles sont en parti du à la merde que j'ai foutu entre elle et ses anciens mecs. Mais un soir c'était aller beaucoup trop loin. A cette époque elle sortait avec Charles, un mec craignos, il puait la tise toute la sainte journée. Ce mec ni moi ni personne ne pouvait le sentir. Ce soir là, Carl était au travail, Teddy au cinéma et Charlotte chez l'une de ses potes. J'étais passé à l'appartement pour me changer pour je ne sais plus qu'elle raison. Sur le pas de la porte j'entendis des cris, des pleures. Je fronçai les sourcils et entrai dans l'appartement. C'était bagdad. Les meubles étaient renversés, il y avait des verres explosés sur le sol. La cuisine était dans le même état. J'eu un léger rictus en voyant la scène - Charlotte va avoir du mal à ranger ce merdier - pensai-je à haute voix. C'est alors que je vis ma mère à la fenêtre entrain de fumer une clope. - C'est quoi ce bordel? - lui demandai-je. Quand elle se retourna, mon sourire s'effaça immédiatement. Elle avait les deux yeux au beurre noirs, des traces rouges sur le cou. Elle secoua sa tête de droite à gauche en signe de négation. - Le fils de pute. - dis-je en donnant un violent coup de pied envoyer la chaise de l'autre côté de la pièce. Je partis dans la chambre de ma mère, il n'y avait personne. C'est alors que j'entendis l'eau de la douche couler. Ce connard avait même pas pris la peine de se tirer. Je fis irruption dans la pièce, le sortis de sa douche, et le roua de coup. Mes poings s'écrasèrent contre son visage, qui devenait de plus en plus ensanglanté. Ma mère me demanda d'arrêter, mais je la bousculai d'un revers de la main. Ce connard n'avait que ce qu'il mérite. Après un passage à tabac en bonnet du forme Charles était allongé, nu, inerte sur le sol. Le sang emplissait sa bouche. Ce qui suivit relevait du paranormal. Ma mère prit le téléphone, appela le samu, puis décréta que son petit ami venait de se faire violenter chez elle par un intrus. Malgré tout elle prenait sa défense. - J'ai bien entendu ? - demandai-je. Elle m'intima d'aller me faire foutre, m'expliquant que je devais partir avant que la police ne le fasse. Qu'elle aimait son Charles, que je n'avais pas à me mêler de sa vie personnelle. Je crachai au sol. Arborai un sourire en coin - va te faire foutre. -. Je sortis claquai la porte en route, et ne revint jamais chez ma mère.
J'étais alors dans la merde la plus total. J'avais un petit travail en tant que barman dans le Bronx, mais rien qui me permettait d'avoir un appartement à moi tout seul. Le seul moyen c'était de me mettre en colloc' avec quelqu'un et cette personne était toute choisie, Tommy. Quelques jours plus tard on s'installa ensemble. J'étais prêt à mener une nouvelle vie. Le seul soucis c'est que mes conneries qui était jadis des petites blagues d'adolescent prenaient des tournures plus graves. C'est comme ça que Tommy et moi nous sommes retrouvés à voler le sac d'une bourge de Manhattan. Le soucis c'est qu'on s'est fait pincer et que c'est Carl qui a payé pour moi. Trois ans ferme. Oui ma vie est un sacré bordel.
Pendant toute cette période. Il y'a eu plusieurs filles certes. Des plans cul pour la plupart. Des filles sans intérêt quelconque. Des filles vaines, qui ne valent pas la peine d'être connue, juste de passer dans mon lit. Mais au milieu de ces filles il y'en avait une. Maxyne. Max c'était une fille à part. Le genre de fille que tu ne peux oublier. Une fille avec du caractère, qui à des projets, qui aspire à beaucoup mieux que de finir sa vie avec un mec comme moi. Pourtant je m'accroche. C'est sans doute de l'égoisme. Car elle mérite sans doute mieux que moi, j'ai très certainement une mauvaise influence sur elle, peut être même que je finirai par la détruire. J'en suis conscient , mais je n'arrive pas à la laisser vivre sa vie. Je suis un connard, certes. Mais tout connard à besoin de connaître l'amour au moins une fois. On s'est rencontré au collège. Elle venait d'une bonne famille. C'était la fille parfaite, drôle, intelligente, elle était promis à de grandes études. Mais Jax est passé par là. Je lui ai fait fumer sa première clope, son premier joint. Puis elle a peu à peu adopter mon mode de vie. Sauf qu'elle n'a jamais su dire stop. C'est devenue une putain de junkie. Se faisant sauter par tout ce qui bouge. S'injectant n'importe quoi dans les veines. Tous les espoirs auparavant placées sur elle s'évaporèrent avec le temps. Ce soir là, nous étions chez moi. Tommy était je ne sais où. J'avais de la dope que j'avais acheter la veille. Je me penchai sur la table pour prendre mon rail avant de renifler un grand coup et de m'allonger dans mon canapé. Lorsque vint son tour, elle renifla un bon coup, avant de tomber au sol, inerte. Elle ne bougeait plus. Je pris panique et appela les urgences. Verdict : Overdose. Mais elle s'en est sortit, et s'est promit de ne plus jamais toucher à cette merde. Elle voulu tout recommencer à zéro, reprendre son avenir en main, tant qu'il était encore temps.
Dernière édition par Jackson Peters le Ven 13 Nov - 16:45, édité 6 fois |
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