Développe en un minimum de 400 mots l’histoire ou une anecdote déterminante dans la vie de ton personnage.

13 ans, 13 ans c'est ce que j'ai eu droit comme bonheur en famille, jusqu'à la disparition de ma petite sœur, elle avait quitté nos vie d'un seul coup d'un seul, un soir où nous étions sortie toute les deux, je m'étais arrêté pour regarder une vitrine de Noël sur l'un des grands boulevard de New York et Alicia n'était plus à mes côtés. Je n'ai jamais sus ce qu'il s'était réellement passé. Un kidnapping? Elle s'était trop éloigné de moi? J'en sais rien toujours est'il que je n'avais plus de sœur quand je rentrais à la maison le soir, et plus rien n'était pareil a présent. Ma mère m'en voulait, mon père avec qui j'étais si proche avant faisait le tampon entre nous deux. Autant dire qu'il ne fallut pas longtemps pour que je me retrouve en pension et que je me débrouille seule.

J'ai finis mes études avec un bon niveau un excellent niveau même j'avais reçut une bourse pour aller étudier à Harvard cette prestigieuse université mais j'avais l'ombre d'Ali sur la conscience et la liberté dont je jouissais à l'université m'a fait déraper, sexe, drogue alcool et les premiers vrais amours ceux qui font mal ceux qui vous déchire, parce qu'on ne se comprend pas parce qu'on n'accepte pas ses sentiments. Parce qu'on a beau vouloir tourner la page, ça revient toujours au galop, il revenait toujours au galop. Ce grand tatoué totalement perdu et perché avec qui j'avais passé des heures au lit à parler, à fumer, à baiser. Ça aurai dus être parfait, ça aurai pus être parfait s'il avait simplement accepté les sentiments qu'il avait pour moi, mais non il avait peur de l'engagement préférant fuir, changer de trottoirs quand on se croissait, emmener une autre fille au bal sans me prévenir. Et pourtant à chaque fois j'avais réussis à lui pardonner. Essayant de faire de lui un ami même si au fond de mon cœur je ne voulais que son corps et sa vie. Attiré l'un par l'autre, mais jamais vraiment ensemble au final, s'était ça le plus difficile. C'est de cette façon que j'ai commencé à souffrir d'un complexe d'abandon. Alors j'ai voulus l'oublier dans les bras des filles et des garçons, j'en ai trouvé un mais lui aussi à disparu et là tout à dérapé. Finis les joints, finis les fioles de vodka dans le sac. J'trainais maintenant les bouteilles avec moi, les sachets de poudre et de cachetons pour oublier, pour tous les oublier. J'ai eu quelques amis pour m'aider à remonter la pente mais je suis jamais redevenue la même. Dépression, anorexie, addictions changement radical de style de vie, sans jamais pour autant avoir voulus y mettre fin.

Alors j'suis partit j'ai tout quitté, tout plaqué comme ils l'avaient tous fait avec moi, sans prévenir personne, et c'est sans prévenir que je suis rentré à N.Y, mais là aussi tout avait changé, ma mère n'était plus là, elle était morte, j'avais un frère de deux ans mon aîné. S'en était trop, j'ai même pas passé deux jours avec eux, préférant arpenter les ruelles sombres. J'ai commencé à dealer pour gagner ma croûte, puis sans vraiment savoir comment j'me suis retrouvé dans un bar à servir des verres a ceux qui sorte du taff. Ça fait deux ans je fait ça maintenant, j'essaye d'oublier ma vie d'avant, cette vie en noir et blanc.

Pour mettre de la couleur j'ai pas vraiment trouvé de recette c'est pas comme les mojitos et autres sex on the beach que je passe mes soirée à faire, mais y à cette labrador que j'ai recueillis qui était un peu comme moi je trouve, qui cherchais un sens à sa vie, un voie à suivre, elle m'a suivit pendant des mois faisant les même trajet à mes côtés à croire qu'elle était la réincarnation de quelqu'un ou de quelques choses je sais pas, mais j'avais trouvé un elle un rayon de soleil.