| Sujet: Dawn - Give me your worst attention. Mar 14 Juil - 19:02 | | Dawn Turner I've come here to stare. Nom Turner Prénom Dawn Date et lieu de naissance Un 11 Octobre, à Oxford. Âge 23 ans Nationalité Anglaise Origines Française Statut matrimonial Célibataire, c'est bien moins drôle sinon! Orientation sexuelle Ne faisons pas de descrimination mes chéris... Job ou Activité Danseuse dans un cabaret burlesque...Non, ne dis pas que c'est "vulgaire", on dirait ma mère ! Date d'arrivée au Parking Il y a un an Groupe De ceux qui rêvent Type de perso Inventé Crédits Moi-même (ava) Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? oui. Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? Voila un an que je suis ici, dans le Bronx. Autrement dit le bas de la chaîne alimentaire New-Yorkaise. Mais j'adore ! Je ne serais pas venue ici volontairement sinon, de mon plein gré. Et oui, le béton et les gens qui squattent à tout les étages, pour l'instant, c'est ce qui me fait tripper. Mais en bref, j'ai débarqué avec quelques cartons en apportant le moins de babioles anglaises possible. Nouveau départ, alors je me devais de faire les choses bien tout de même ! Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? Aaaah, bah le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on est loin des hauts plafonds, et de l'argenterie ! Mais aucun doute, le béton et les rampes d'escaliers rouillées, ça me correspond vachement plus. Quant à mes chers voisins, j'en adore certains, puis il y en a d'autres pour qui je me retiens de leur cracher à la face... Mais bon, c'est ce qui fait le parking ! On ne s'y ennuie jamais. Quelle est votre réputation au sein du quartier ? Je suis...la bizarre. Celle qui ne fait aucun sens. Mais je comprend. Après tout, je suis très extravertie, je croque la vie à pleines dents, et il n'est pas rare de me croiser habiller "à la cool", limite en survet'. Pas féminine du tout quoi. Mais lorsqu'on sait qu'à la nuit tombée, je revêtis des p'tites tenues légères pour me trémousser dans un cabaret (disons les choses clairement hein), on s’aperçoit quelque peu du contraste, oui. | feat Cara Delevingne Voyons mes agneaux ! Je ne vais tout de même pas tout vous révéler à la première demande ! Une femme doit garder sa part de mystère après tout … Mais bon, aujourd’hui, c’est mon jour de clémence, je vais donc faire une brève exception • Commençons par les banalités. Ma couleur préférée ? Le vert, n'importe lequel, SAUF le vert anis. Je vomis le vert anis. • Mon pêché mignon, les macarons à la praline. Je les adore ces gens-là. • Question mode, je suis une mordue des chaussures. Même habillée comme un sac poubelle bon marché, un pied bien habillé donne tout de suite du caractère. • Mon animal préféré est le poulpe: plus c'est moche, plus j'adore. • La Vodka est mon amie • C'est cette amie qui m'a fait prendre mon premier cours de russe, dans des circonstances où je l'avais un peu trop cotyée.• Je mourrais pour la cuisine turque ! • On dit que j'ai un caractère espiègle. • J'adore Soho, temple du fun et de la débauche.• Et je terminerai pas le fait que je déteste l'odeur du sandwich au paté pas frais dans le TGV.
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Mon nom est Dawn Turner, mais la version officielle est Dawn de Mussy. J’ai changé de nom comme j’ai changé de vie. Autrement dit, là où moi je vois désormais un paradis, ma famille y verrait probablement un enfer de première catégorie. Et bien je n’ai qu’une chose à dire dans ce cas : Welcome to myself in the Hell !
Bon, je vous sens légèrement perdu là mes chéris, donc reprenons depuis le début voulez-vous ? Bien. Actuellement, j’ai 23 ans et je viens de quitter mon Angleterre natale pour m’installer dans le quartier le plus miteux de la Grosse Pomme New-Yorkaise : j’ai nommé, le Bronx. Out les châteaux anglais, vive les murs de briques, et c’est le pied ! Pourquoi suis-je partie me direz-vous ? Il est vrai que la plupart des gens ne saisissent pas vraiment les raisons qui m’ont poussé à me réfugier au Bronx pour y trouver les milles et unes merveilles de ma vie. Mais pas de panique, je vais vous expliquer tout ça. Alors asseyez-vous bien, vous risqueriez d’en tomber sur le cul ! (Sans mauvais jeu de mot, bien entendu). Bien, alors disons que j’ai grandis à Oxford, dans une maison de famille Lord avec domestiques et chaperon, dès que l’âge se présentait. Et oui, je descends d’une famille ou lorsque l’heure du goûter des petits de Mussy sonne, ce n’est pas une barre de chocolat qu’on leur donne (ça non, ça pourrait tâcher la nappe en soie), mais du thé, servi dans des tasses en porcelaine, que l’on apprend à boire dès notre plus jeune âge, en prenant bien soin de relever le petit doigt. Ma sœur Alice, elle, a tout de suite prit le protocole au pied de la lettre, ce qui en devenait presque agaçant je dois dire. Elle en était fière et s’en amusait. Moi j’en avais plus que marre de ces leçons de savoir-vivre, qui selon moi étaient le summum du ridicule : « Laves-toi les mains entre chaque repas », « Sois à la maison avant 16h », « mets la main gauche devant la bouche quand tu éternues, et garde la droite pour dire bonjour », « ne traînes pas des pieds, tu vas rayer le parquet », « ne t’assoies pas par terre, mais prends un coussin en flanelle » et j’en passe ! Je ne comprenais pas comment on pouvait adhérer à ce genre d’éducation, à tel point qu’étant petite, je pensais avoir été adoptée. J’ai toujours eu un côté détaché de tout ça, à tendance rebelle. D'ailleurs, j'ai gardé ce petit aspect garçon manqué de ma personnalité, qui a toujours été une abomination sous le toit de mes parents. (C'est dingue hein ?!!) J’étais tellement différente de ma sœur et de mes parents. Je n’avais jamais eu envie de vivre comme ça, ni enfant, ni ado, ni lorsque j’étais étudiante. Bon certes, j’avais l’argent, les beaux vêtements, et des repas à base de truffes tout les dimanches mais, sans vouloir passer pour la pire des égoïstes jamais connue dans ce monde, ça ne me suffisait pas, et l’hypocrisie des gens ne faisait qu’accroitre mon envie de m’éloigner. Cette envie se transforma en certitude lorsque mes parents m’annoncèrent mon inscription dans je ne sais quelle université privé d’Oxford, où toute la haute bourgeoisie anglaise tout juste majeure se retrouverait pour parler dentelle et magret. Là, c’en était trop. Pendant vingt ans je m’étais pliée à leurs règles absurdes, continuant de me dire que ça ne durerait pas, que tôt ou tard j’aurais l’occasion de partir. Mais cette inscription m’avait bien fait comprendre que ma famille n’était pas du même avis. Sans doute prévoyaient-ils de me faire devenir la petite fille riche, adepte des associations caritatives, faisant la lecture aux pauvres tout les samedi ? Voyons, ce n’est parce qu’ils avaient eux, une vie si peu intéressante, que j’étais forcée de subir le même sort ! De plus que moi, les lettres et les langues mortes, je m’en contre-fichais ! Non, moi ma passion, c’était la danse. Alors à l’âge de 20 ans, je les ai tous envoyé boulé. Comme ça me démangeait depuis tant d’année. C’est la que j’ai atterri à Londres où l’on m’a fait découvrir les fabuleux plaisirs de Soho. Pubs, Théâtres, et soirées masquées peu fréquentables, il y régnait une forte mixité sociale, au sein de laquelle je m’étais très vite associée. Commençant à prendre goût au monde du spectacle, j’ai décidé que j’allais vivre de ma passion, me lancer sur scène, dans la danse et la luxure. Mais comme il y a un chat noir dans toutes les histoires, mes parents ont fini par apprendre par je ne sais quel moyen tordu l’existence de mes projets, et, réalisant que leur fille cadette ne deviendrait jamais la potiche qu’ils avaient tant espéré, ils ont remué ciel et terres pour me ramener à Oxford. Les mauvais.
Voila pourquoi j’ai changé de nom. Voila pourquoi j’ai changé de vie.
Désormais, je suis une Turner, et voila un an que je vis dans le Bronx dans l’ombre de mes parents, et je suis danseuse dans un cabaret burlesque victorien, à l’arrière d’un bar de Manhattan. L’incarnation parfaite de l’endroit sordide, secret, adepte de faits peu orthodoxes et lieu de dépravation. Je n’aurais pas pu rêver mieux, au grand damn de ma famille. Mais une chose est sûre, je compte bien garder pour moi ma véritable identité et ne suis autre qu’une simple New-Yorkaise sans nom issue de la Haute désormais. Disons que ce sera, mon petit secret….Je viens de vous le confier, prenez-en soin.
Bien bien bien, dans le détail, je m'appelle Andrea, 19 ans et étudiante en fac de Droit. Je suis passionnée par des tas de choses comme le yoga, la danse classique, la lecture, la mode, le cinéma et j'en passe. Je suis végétarienne, j'adore les jours de pluie, et les Paris Brest. Ce sera tout pour cette partie mes petits !
Dernière édition par Dawn Turner le Jeu 16 Juil - 1:20, édité 9 fois |
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