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Anonymous
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MessageSujet: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 0:52
Charleston Marie Brigham
j'me suis perdu, j'ai bu la tasse.
Nom Brigham, celui de sa mère célibataire à laquelle elle est reliée jusqu'à son propre mariage. Cependant, elle descend aussi d'un Horton qu'elle ne connaît pas encore. Prénom Charleston, dit Charly, cette seule danse qu'elle a apprit à danser sans manquer de tomber à chaque pas. Évidement, rien ne valait le prénom de sa mère pour en faire son second, celui de la sainte vierge même : Marie. Date et lieu de naissance écrire ici, Âge déjà vingt-deux ans l'air de rien, et sa vie reste un méandre. Nationalité une américaine typique avec quelques origines françaises qui lui valent des petites expressions à rayures. Origines françaises. Statut matrimonial un cœur à prendre, des jambes fermées. Elle porte toujours sa bague de pureté typiquement américaine qu'elle ne se doit d'enlever qu'après son mariage. Seulement, elle est incapable d'aimer le moindre homme. Orientation sexuelle là est bien le problème, proclamée hétéro, mais totalement lesbienne en son cœur. Job ou Activité étudiante aux beaux arts de la ville, passionnée par la restauration des vitraux. Traductrice à ses heures perdues, de latin ou de français, et promeneuse de chiens pour quelques dollars.  Date d'arrivée au Parking un an auparavant.  Groupe ceux qui rêvent. Type de perso  inventé. Crédits josaisplus.  Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? non.

   Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? C'était il y a un an environ. Tout le monde se souvient sans doute de ce débarquement comme je m'en souviens aussi. On a descendu chacun des huit chats un par un, et tout le monde les regardait en se demandant si ce défilement allait bien s'arrêter un jour. Certains m'ont aidés, d'autres non. Mais je leur offrait à tous le plus beau des sourires. C'est un peu un événement à chaque emménagement, comme à chaque déménagement d'ailleurs. J'étais heureuse quant à cette perspective de nouvelle vie, je suis de ceux qui voit le verre toujours à moitié plein.
   Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? C'était quelque chose de tout nouveau pour moi, ces brouhahas dans les couloirs, l'ascenseur occupé, les bonjours à des inconnus le matin ; j'étais loin de ma vie à la campagne qui ne me manquait pourtant pas. Tout n'était pas rose, j'en étais sans doute consciente, mais je m'émerveillais tout de même. Tout le monde est unique ici, et je suis bien placée pour parler.
   Quelle est votre réputation au sein du quartier ? En vérité, cela dépend. Pour certains, voilà que je suis cette espèce de folle dingue courant après un chat ou un autre qui vient de se sauver par la fenêtre alors qu'il n'y est pas autorisé, et qui s'excuse platement lorsqu'elle percute un inconnu dans sa course poursuite. Pour d'autres, je suis une adorable voisine souriante qui tient la porte et renvoie simplement l'ascenseur. Et peut-être pour d'autres encore, cette sainte-ni-touche dont on ne cherche pas à connaître l'histoire, qu'on aimerait bien serrer mais qu'on préfère laisser pour ne pas finir au poste de police. Et moi, passant mes journées à lire ou à peindre, voilà que je ne me rend compte de rien.



   
feat Lily Collins
Est une amoureuse de la nature comme on en voit que dans les sims, élevée à l’air libre loin de tout écran que sa mère condamnait. (+) Artiste dans l’âme, ne vit que pour ses toiles et vitraux dans laquelle elle se spécialise. (+) Est une croyante très pratiquante, et ne se sépare jamais de sa médaille autour du cou. (+) Est née d’une relation en dehors du mariage entre sa mère et l’homme dont elle était amoureuse, la honte a fait basculé la chère madame Brigham dans une folie dissimulée. (+) S’est découvert des attirances envers les femmes très tôt, mais on lui a bourré le crâne que c’était terriblement mal. (+) A même été poussé à devenir religieuse, comme une héroïne de Diderot, mais cela ne l’a jamais attiré. (+) A quitté la maison de campagne familiale dès qu’elle a pu, rêvant malgré elle d’aventures et d’inspiration citadine. (+) Est restée fragile face à ce monde inconnu dont elle était éloignée depuis l’enfance, où les gens sont toujours pressés et où personne ne sourit. (+) Mais en grande optimisme, a trouvé de la beauté partout, même dans les rues polluée par les gaz d’échappement. (+) N’a pas énormément de moyen et ses études sont payées par une maigre bourse, se doit d’enchainer les petits boulots pour espérer manger le soir. (+) Consulte un psychiatre sous les conseils de sa mère, pour l’aider à se guérir de sa « perversion envers les femmes ». (+) Un peu poétesse dans l’âme, elle se surprend à écrire sur les belles femmes qu’elle voit passer dans la rue. (+) Vit avec huit chats venant du refuge qui sont comme des amis, et qu’elle chouchoute comme jamais. (+) A terriblement peur de sa mère. (+) Adore les enfants. (+) Impulsive, elle a parfois du mal à contrôler ses envies. (+) Chausse du trente-huit.
   
   

- Des chants de Noël diffusés sur le vieux tourne-disque familial, ma petite robe bleue marine au col claudine, ma médaille en or sagement accrochée autour de mon cou et un sapin sentant bon ses odeurs que l’on n’oublie jamais. C'est le souvenir le plus ancien que j’ai de mon enfance, l’un de mes premiers Noël. Il est un peu usé et effacé par le temps, mais quelques éléments me reviennent sans mal : comme l’odeur du sapin, comme je le disais, ou même celui des gâteaux tout juste sortis du four, que maman laissait refroidir sur la table de la cuisine. Je ne devais pas avoir plus de six ans, mais j'étais née dans cette maison froide de campagne dans laquelle je resterais jusque mes dix-huit ans, avant de rejoindre la ville. Sans doute que si ce souvenir me marque autant, c'est parce que ce jour là même le jour de la naissance du Christ n'arrivait pas à calmer maman. Elle avait l'air mal en point ce jour là, j'ignore pourquoi. Mais après tout ce n'était que le début de la soirée. Ce jour là... maman m'avait offert une sublime poupée comme j'en avais rêvé. Pas ces poupées barbies commerciales que n'importe quelle petite fille aurait pu voir à la télé, non, une poupée en porcelaine à la peau blanche et aux grands yeux bleus. Je n'avais qu'un seul cadeau, car maman disait toujours qu'une bonne âme se devait de vivre dans la pauvreté et l'humilité, mais j'en étais amplement contente. Elle sortit après le repas pour aller compléter la crèche avec le Christ nouveau né, et moi je n'avais d'yeux que pour ma poupée en porcelaine.
- C'est là que votre mère a commencé à suspecter votre attirance envers les femmes, n'est-ce pas ?
- Non. Non, pas tout de suite en vérité. Tout allait encore bien à ce moment là. Ce fut les jours suivants qu'elle commença en effet à se faire inquiète. Elle m'a toujours raconté avec quelle fascination je regardais toujours ma poupée, comme je ne voulais pas m'en séparer. Je ne la voyais pas comme un bébé qu'on câline et auquel on donne son biberon, mais comme une fille de mon âge, comme une vraie petite fille. Maman trouvait ça dégoûtant.
- L'était-ce ?
- Je ne sais pas. Non ? Peut-être ? Je ne crois pas. Elle était comme une amie, une amie vraiment très belle, une véritable princesse que j'admirais véritablement. Mais ça n'avait rien de... Péché, à cette époque là, docteur. C'était doux, un amour des plus platoniques. Une admiration.
- Qu'est-il arrivé par la suite ?
- Par la suite...
- N'ayez pas peur de vous exprimer, mademoiselle Brigham. Je ne suis pas là pour vous juger mais pour vous soigner. Ma méthode est à 100% efficace, mais pour qu'elle fonctionne il faut que je connaisse la source du problème, la gravité de votre cas.
- Vous pensez vraiment que je suis malade ?
- Vous en doutez ?
- ...Non. Non bien sûr que non, pardonnez moi docteur. Je n'en sais rien en vérité, j'aimerai juste être une bonne chrétienne, rendre fière ma mère.
- Allez parlez moi.
- Eh bien, après survint l'adolescence. Pour mes quinze ans, je réussi à convaincre ma mère de m'offrir des cours de charleston, une danse qu'elle adorait étant plus jeune. C'était surtout une excuse pour voir la ville, que je ne voyais qu'une fois tous les quatre mois, quand maman devait régler des affaires importantes. Je me prenais à rêver à être cette adolescente banale qui va en cours, blasée, les yeux sur son walkman. Maman me faisait les cours à la maison, vous savez, elle a un diplôme d'institutrice... Qu'elle n'a sans doute jamais utilisé. Elle a finit par céder et me payer ses fameux cours. C'était sans doute les plus belles heures de ma vie. Parmi la foule de danseur j'étais la petite timide qu'on adorait, pour son prénom bien qualificatif et son insouciance. Je me fis rapidement des amis, mais une en particulière fut un peu spéciale à mes yeux, Billie. Elle était un peu mon monde, mais c'est elle qui m'emmenait dans le sien. Avec elle, il n'y avait pas de tabou, elle était tendre, douce, elle me parlait comme son égale et ne cherchait pas à me changer. Je changeais toute seule, pour lui ressembler, car je l'admirais. Elle n'avait pas de limites, elle dirigeait seule sa vie. J'admirais sa façon de prendre tout comme un défi et non comme une fatalité, comme j'avais l'habitude de le faire. Je l'aimais.
- Vous en êtes tombé amoureuse ?
- Follement. Comme jamais je n'ai aimé personne. Sans doute que je serai encore avec elle aujourd'hui, si maman ne s'était pas douté de quelque chose avec mes petits sourires niais et ma mine rêveuse. Dès qu'elle a trouvé la photo d'elle que j'avais sous mon oreiller, j'ai compris que tout était terminé, j'étais dévastée : le lendemain, j'étais désinscrite du cours de charleston.
- C'est votre seule expérience homosexuelle jusqu'à ce jour ?
- Oui. La seule, la douloureuse. Maman m'a fait redoublé de pratiques envers la foi après cela, et a commencé à me parler de son idée de faire de moi une bonne sœur. Mais j'ai toujours refusé. C'est devenu de plus en plus compliqué à la maison, maman s'emportait, me frappait, m'enfermait à clé dans ma chambre pour m'empêcher de sortir. Elle me hurlait que j'étais contre nature, et que je me laissais posséder. Ça a été les pires années de ma vie. Alors je me suis fais petite, sage, discrète. J'obéissais à tout, tout ce qu'elle me demandait de faire. Elle ne cessait de pleurer, et dès que je voulais l'approcher, elle se remettait à hurler. Elle me traînait à la messe presque tous les jours. Mais je ne flanchais pas, et redoublais de vigueur dans mon enseignement. Si bien que dès que j'ai eu dix-huit ans, j'ai fais ma valise et je me suis plantée devant elle : "Je pars", j'ai dis, et elle n'a pas eu l'air vraiment surprise. Je n'avais jamais vu ses yeux si creux, si usés par les larmes. Et comme elle ne répondait pas, j'ai déposé un baiser sur sa joue, et je suis partie.
- Vous avez revu Billie ?
- Non. Je ne sais pas ce que j'aurai pu lui dire après tout ça. Elle a du croire que je l'avais quitté... quoique, Billie a toujours tout su. Peut-être qu'elle s'est doutée que ma mère avait agit. Je n'ai pas cherché à la revoir, car je me susi toujours dis que si un jour je la recroisais, alors ce serait un signe que Dieu m'autorise à être avec elle. Ma bourse m'a permis de louer un petit appartement minuscule à trois pièces que je partage avec huit chats trouvés un peu partout, dont je prend soin. Je n'ai pas la vie dont je rêve, mais j'ai cette liberté que je n'avais pas avant, et qui m'avais toujours manqué.
- Vous êtes heureuse alors ?
- Non. Quelque chose me manque.
- Quoi donc ?
- La réponse à mes questions. Et je crois que même vous n'êtes pas en mesure d'y répondre.
- Qui alors ?
- Mais Dieu, bien sûr.

   
Wednesday'
passe ta souris !
Alors, pouet pouet, moi c'est Camille & j'aurai dix-sept ans dans un peu moins d'un mois. Je me connecte le plus souvent possible et je trouve ce forum ouffissime, surtout avec ce joli drapeau multicolore sur sa bannière (-lovewins-).  :l:





Dernière édition par Charleston Brigham le Ven 24 Juil - 14:05, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 0:55
bleuh :hihi: (j'éditeaprès)
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 1:03
Bienvenue. :l:
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 1:18
Bienvenue parmi nous HAWW

Original le choix du prénom ! HAN
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 1:28
Lily BRILLE
Bienvenue :l:
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 1:39
Trop jolie :l: Bienvenue !
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 3:46
un personnage prometteur! :hihi:

bienvenue ici. :l:
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 11:02
Bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 12:28
FRANGIIIIIIIIINE POTTE

Encore et encore bienvenue HAN
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 15:55
Welcome here ! HAN
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 17:40
Bienvenue par ici !

très jolie vava ! CUTE
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 17:56
J'adore le pseudo OMG
Et si Antonin cris à la "frangine", c'est que l'on aura un lien aussi MDR

Bref, bienvenue :l:
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 17:58
Le prénom et puis l'avatar quoi je meurs CUTE CUTE

Bienvenue :l:
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 21:44
Merci beaucoup à tous pour vos compliments et bienvenus, je vous aime déjà. JAIME DE CEUX

Gabriel Hemingway a écrit:
bleuh :hihi: (j'éditeaprès)

qu'est-ce que t'es moche toi. HEHE DE CEUX j'attend. ho :l:

Sidney Moriarthy a écrit:
un personnage prometteur! :hihi:

bienvenue ici. :l:

Contente qu'il te plaise, merci. DE CEUX

Antonin Jacoby a écrit:
FRANGIIIIIIIIINE POTTE

Encore et encore bienvenue HAN

FREROOOOOOT ! ho ho ho ho
Merci beaucoup. JAIME :l:

Riley Holmes a écrit:
J'adore le pseudo OMG
Et si Antonin cris à la "frangine", c'est que l'on aura un lien aussi MDR

Bref, bienvenue :l:

Oooh, merci c'est adorable. ho :l:
Ah oui, j'irai squatter ta fiche de lien alors ? BRILLE
Merci ! POTTE :l:
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. EmptyLun 13 Juil - 21:55
une homosexuelle ! (enfin! :hihi: ) trop belle BAVE2
bienvenue !
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MessageSujet: Re: (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie.   (charly) les seins de marilyn ou les saints de marie. Empty
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