Joe Di Stefano ►Bella Hadid

« Joya » Joe Di Stefano
L’éternité, devant toi, derrière moi, en nous

(NOM) Di Stefano, tu connais ? Pourtant, tu devrais connaître. Celle qui gère depuis des décennies... Nicolo, Vitto et Vittorio Di Stefano, ça ne te dit toujours rien ? Tout ce que j'ai à te dire, c'est que notre famille représente l'honneur et le respect. C'nom de famille n'passe pas vraiment inaperçu et vaut mieux pour toi. Tu en est fière et le petit joyaux de cette famille, puisque tu es la princesse de Daddy Di Stefano. De cette famille dont tu t'estimes être un atout primordial, chaque syllabe est une énième piqûre de rappel à ton devoir. Ta main sur ton coeur ou ce qui s’y ressemble, dans chaque famille rien n’est gravé dans la roche. (PRÉNOM) Joya, prénom de ton ancêtre, prénom d'une grande reine, pour qui la couronne n’a jamais été un poids mais un don. Tu aimerais lui ressembler, tu aimerais pouvoir être aussi forte. Une fleur aussi belle qu’épineuse, aussi douce que mystérieuse, un symbole éternel à l’instar de sa chère princesse. Et, ton deuxième prénom, Athéna...bordel, tu a le prénom d'une déesse Grec. Une DÉESSE quoi. J'sais pas si tu visualises bien l'truc là, les attentes à la con liées à ce prénom, pour influencer ta personnalité et ta vie. Toi,déesse fatale, dont les consonances volcaniques et intemporelles, celle qui combat le monde et fait mourir les hommes d’un claquement de doigt, ton sourire angélique n’en est pas un. Tu es née pour régner sur ce monde et pas pour être l’esclave. Joya est surnommé « Joe », en réalité, tu a horreur des surnoms, mais Joya s’est auto- attribué un surnom « gloria » un nom d’emprunt, le prénom de ta grand-mère, cette femme teigneuse en espérant rendre ainsi ton existence plus « glorieuse ». (ÂGE) Connasse capricieuse. vingt-cinq bougies en cercle, onze soufflées et quatorze petites flammes et du haut de tes vingt-cinq ans, tu agis comme la pire des garces, on dit de toi que tu es mature, parfois aussi que tu te comporte comme une véritable gamine. Le quart de siècle et toutes les conneries qui vont avec. L’envie d’étendre tes déviances. D’en ressentir les prémices. De t’évader. Toujours plus vite. Toujours plus loin. Encore et encore. (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) Quatorze février mille neuf nonante-trois, New-York, ton acte de naissance comme l’unique trésor de cette famille. Seule et unique certitude. Tu aimes cette ville, tu en est presque la reine. Princesse de son macadam. Ton territoire. Ton joyeux bordel. (OCCUPATION OU ACTIVITÉ) Suceuse de fric. Tu n’a besoin de rien dans la vie. Est-ce que tu a une tête à bosser ? La réponse est non. C’est sûrement à cause de ça que tu ne gardes jamais tes boulots. Ton truc ? Tu n’a aucun truc, comme ça c’est dit. Et puis à côté, tu fais ta bitch. Celle qui aime jouer sans foi ni loi. C’est orgasmique. C’est risqué et t’aimes ça. (NATIONALITÉ) Américaine trop fière nourrit à youporn, xvideos et redtube. Américaine trop virulente. Violente. Outrecuidance pour son pays, penseuse pathétique qui se dit laïc. Extrémiste dans ses choix, dans son lynchage envers les autres. Mais ton âme est New -Yorkaise,pure souche, pur jus. Avec les sautes d'humeurs, la folie qui va avec. (ORIGINES) L’Italie, le charme à l’italienne. Quelque chose glisse en toi. Doux et enivrant parfum en héritage, enchanteresse et divine, si dure, si complexe, remplie de rêve et de voyage. (STATUT CIVIL) Stand by des émotions et des sentiments, l'amour dis-tu ? Tout le monde en rêvent et pourtant si peu de personnes arrivent à être combler. Cœur meurtri. Le prince charmant, tu n'y croyais point. C'est ce que tu laissais entendre, en tout cas... Mais le bonheur, s'arrêtent un jour ou l'autre, tu ne comprends toujours pas les gens. L'amour est-il vraiment pour toi ? Aujourd'hui, fiancé à Roméo, mais ce n'est aucun cas une idylle heureuse, de part sa réputation, de par son argent, de par bien des manières, il y a beaucoup trop de monde qui te poussent dans ce sens, trop de choses qui te force à ne croire en rien. Il n'y a qu'un seul homme dans ton esprit et encore dans ton cœur, Carl, c'était lui et personne d'autre, l'homme que tu n'arrivera jamais à oublier. C’était un amour qui comptait pour toi, l’amour qui t’a fait hurler, l’amour qui te pousse jusqu’au précipice de l’enfer. (ORIENTATION SEXUELLE) Hétérosexuelle, les hommes et toujours les hommes. Séductrice et enjôleuse, tu n'aimes qu'une seule chose : te faire désirer. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING) Allée, venue. Tu rôdes, t'es dans le quartier. Avec Roméo, que tu fuis, encore et encore. Tu guette les appartements, les recoins, en quête, peut-être à la recherche d’une personne en particulier. (GROUPE) Ceux qui vivent.

« Je suis une putain de tragédienne ne l’oublies jamais »

(Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) Y a jamais eu d'emménagement pour toi, ouais tu flânes à gauche à droite. Tu es un ouragan qui fait vivre l’enfer autour de toi. Mais tu te sens bien mieux dans ton château dorée, où la bouffe italienne coule à flots, pour le plus grand bonheur de tes cousins. Joe ne reste pas en place, fille capricieuse qui domine le monde d’un mouvement de cil. Tu pourrais faire semblant et prétendre être une autre personne, c’était pas ton truc. Une lubie de plus a ton effigie. Tu trouves de l'intimité chez les autres, dans des voitures, t'as pas beaucoup de pudeur et c'est pas la chose qui te dérange le plus de ramener quelqu'un chez papa. Ouais, même ton fiancé s’en branle. En public, faut privilégier les apparences, mais en privé y a plus de limites. Tu en a jamais eu de toute manière. En allant au parking, tu trouves ça normal de faire la bonnase partout, là luxure c’est trop bon bébé. Tu t’amuse des autres, tu aimes ça et c’est tellement facile pour toi de jouer la comédie.

(Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?) Tu t’en fiches des autres ; Les paumés, les drogués, les connards en tout genre, les gueulards, les morts en sursis. Le bas-peuple où tu refuses d’être et de te mélanger. Antipathique dira-on ? Certainement. Tu te plaît à commander tout le monde sans exception. Y a un paquet de pourriture qui logent dans ce parking. Ça pue grave l’humanité. Parfois les gens te sourie. Merde. Erreur intersidérale. Y a des crevards, des gens qu’on ne voient que dans des films, chacun a sa place.

(Quelle est votre réputation au sein du quartier ?) Tu es deux. Joya/Joe. Joya, cette princesse qui se fiche des autres et qui déteste tout le monde. Et puis, Joe, là ténébreuse - la sexy volcanique ténébreuse. La fille au visage cassé, comme si la vie t’avait trop frappée en pleine face. Des traits durs, une mine boudeuse. Ils ne voient pas ta douceur, ils ne voient pas ton amour sans faille, sincère et immense. Ils ne voient que ta folie, que tes différences. La garce aux allures d'ange. Ta mère qui se plaignait avec ses amies que tu étais une enfant trop difficile à gérer, mythomane et dégénérée. Alors au fil du temps, t'es passée de la gentille polissonne, à la malade mentale instable qu'il faut éviter à tout prix. Et les gens se heurtent à cette image qui te colle à la peau, ils ne cherchent pas à voir l'étincelle dans tes yeux. Tu es celle qui encule le monde à sa manière. Celle qui est aussi chaleureuse qu’une porte de prison. Celle qui possède les âmes et qui les détruit d’un claquement de doigts. Celle qui émet le son le plus tyrannique du monde. Celle qui baise comme une déesse. Aucune honte. Aucune crainte. Tu es une putain d’énigme ! Tu provoques des crises de folies pour obtenir ce que tu désires. Quand tu as pas ce que tu veux ? Tu t’empêches de respirer. Psychopathe ? Ne lui dites jamais ça, tu pourrais devenir son souffre-douleur à tout jamais. Brune qui met le feu aux poudres. Satanique. Cruelle. Trop bonne, ouais trop bonne. Celle qui achève ses victimes d’un talons 10 centimètres en pleine tronche. La reine des abeilles. La reine des glaces aux triples facettes. La bonne salope qui fait de toi une putain de légende.

PSEUDO/PRENOM : Psykooo2/Elisa ÂGE : Vingt-cinq presque vingt-six PAYS : Pays des frites ALCONTENT

FRÉQUENCE DE CONNEXION : La diablesse qui est en moi ne dort jamais COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : SLURP

REMISE EN JEU Ah parce que tu crois que je vais me barrer ? JEREM LE HERISSON

(TYPE DE PERSO) scénario de @"Carl Oritz" (CRÉDITS)

:dino: COMMENTAIRE OU SUGGESTION : Tu veux être mon amie ? GEEK

AVATAR : Bella sexy hadid

️ Nous sommes de ceux

the same smile everyday
And Sirens Calling Away

(FAMILIA DI STEFANO ) Oh grand dieu, Familia Di Stefano, un apanage qui fait son petit effet dans ce monde cruel. La famille, ce havre de sécurité et en même temps le lieu de la violence extrême. C’était ce que racontait « Dady Di Stefano » Née à New-York, ta sainte mère était Australienne pure souche, et ton père italien. Oh, l’Italie, douce famille italienne. Daddy ramène toujours des gens de toutes sortes à votre table. Une table majestueuse. A cette composition ; des cousins germains qui parlaient beaucoup trop fort, des cousines aussi bécasses les unes que les autres, des oncles un peu trop près du mini bar et ta mère qui était une très bonne serveuse. Ouais une serveuse. Les hommes à table et les femmes dans la cuisine. Tu es la seule fille de cette famille, aimante ouais avec ta famille tu essaies de l’être. Mais c’est pas gagné ! Tu est le fruit d’un amour pure et sincère. Tu ne pensais pas être aussi chère aux yeux de ton père. Surtout aux yeux de ton père. Le patriarche. El Patron. Dieu en somme. Toi, le bébé de la famille, le bijoux, la princesse, tes parents t’ont toujours protéger. Ils ont des projets pour toi. De bien beaux projets. Princesse mais pas seule héritière. Princesse mais pas seule enfant du couple. Princesse mais petite sœur. Fille cadette. Fille unique. Joe a toujours été privilégiée, sûrement dû a la popularité de son père. Sûrement a cause de sa réputation qui faisait si peur. Et, ta mère c’était une grande dame, une femme qui ne parlait pas beaucoup mais qui lorsqu’elle ouvrait la bouche faisait fureur. Ses mots sanglants faisaient froid dans le dos. (il diavolo)Ton père était trop protecteur et possessif aussi. Un mélange bien explosive. Joe était devenue sa seule priorité, il ne pouvait pas la perdre de vue. Tu a donc grandit dans une espèce de bulle qu’il avait crée autour de toi. Toujours surveiller tes fréquentations, les allées et venues, ouais un vrai flic de merde. Il a même déjà essayé de te mettre en couple avec des garçons de bonne famille. Sa nouvelle lubie te fiancer avec les fils de ses amis pour être sûr que plus tard tout se passe bien pour ton avenir. Alors, Joe faisait bonne figure devant lui et quand tu sortait dehors c’était le néant. Le diable était libre. Avec ta bande de moutons, qui te suivaient comme des chiens, ouais des toutous qu’on avait dressé. La reine des garces, voilà ce que tu était. Au diable Blair Warldof, au diable Regina Georges et toutes ces idiotes qui pensaient être à la tête d'une empire, Joe avait créé ce que la fiction n'était même pas capable d'envisager. Tu était à la tête de tout. Les professeurs n'osaient même pas hausser le ton avec toi par peur de ce qui pourrait arriver. Ce côté peste, tes caprices incessants, ton insolence, ton arrogance avait beau agacer tout le monde, tout le monde en avaient peur. (vendetta piccante) Tu grandis à vue d’œil, les seins qui se forment, un corps de rêve pour tout le monde. Surtout les hommes. Trop d’hommes. Tu restes pure et innocente, une vertu que peu de fille savent accomplir. Et, c’était la coutume dans la famille. Garder les jambes serrées. menaçant tout les garçons avec qui tu sortais de leur casser les jambes s'ils osaient essayer quoi que ce soit. Et ça te plaisait, de voir le désir dans leurs yeux, de rien leur donner. Détournant la tête lorsqu'ils essayaient même un simple baiser. Ça t'amusait de les chauffer, avec tes yeux brûlant, en t'asseyant et te frottant sur leurs cuisses, en caressant leurs lèvres du bout des doigts. Tu était une belle salope avec eux. « Ils te l'ont fait à l'envers, Sofia te l'a fait à l'envers ! » voilà ce que tu entendait partout, surtout dans la bouche de fille que tu méprisais. Joe serra les dents pendant qu'un petit monde s'agitait autour. Que va-tu faire ? L’anéantir ? Oh mon dieu ! Tu fusille cette fille d’un simple regard. Un regard glacial. Une douce vengeance se préparait. Cette fille a osé lui mentir et on ne ment pas à la reine des abeilles. (dura adolescenza) L'adolescence avec ton père n’a pas été une partie de plaisir. Il n'a jamais rien compris. Tu grandissais, devenant une jolie jeune femme, et lui continuait à te voir comme sa poupée. Un matin, en te réveillant et en te voyant aller au lycée apprêtée et maquillée comme une pute. Sur le moment, il n’a rien dit, trop choqué, mais le soir en revenant vous avez eu une grande discussion qui n’a mené à presque rien. Toi, tu voulais plus d'indépendance, lui plus d'obéissance. On dit tout le temps qu'un adjectif qualifie une personne de A à Z, pour décrire la belle Joe il faudrait inventer bien des choses. Honnêtement, c’est du baratin tout ça. Comment peut-on définir une personne à travers un seul mot ? C'est impossible, même si emmerdeuse te colle parfaitement à la peau. Tu t’assumes pleinement, être une garce avec tout le monde c’est jouissive. Pour tout dire, t’aime vraiment ça. Tu tient ça de ton père ...quoi que non, ça ne fait aucun doute. C’est bien du Joe tout craché dans toute sa splendeur. Mais, d'autres ne seront pas d'accord avec ça. Genre ton père lui-même. Pour lui, tu es l'incarnation de la perfection. Y a des sérieux doutes sur le concept de la perfection, mais c'est à des années-lumières de ta personnalité. Enfin, tu crois. Tu te prends pour dieu. Dieu n'est pas arrogant. Quoi qu'il prétend avoir créé le monde. Balivernes ! C'est une preuve d’arrogance extrême. Et, en réfléchissant ; tu cogites en y repensant, il est narquois en faisant croire qu'il veut le bien. Il nous laisse crever comme des merdes. Il se fout bien de notre gueule. Finalement, tu crois bien que le padre a raison, tu es l’incarnation même de la méchanceté. Dieu et toi, vous êtes comme les deux doigts d'une même. Un repas avec pour seul aliment du sang, c'est un peu lassant à force. Il s'avère que tu peux être une fille attentionnée, et oui, la vie réserve des surprises. Tu a mis longtemps pour savoir que tu pouvais l’être, mais ironie du sort il y a un petit coeur qui bat dans ce corps de déesse. Par contre, obéir et faire ce qu’on te demande ce n’est vraiment pas ton truc. Et, écouter les autres ? Désolé, mais écouter les merdes des autres, comment dire.... tu en a rien a foutre. (amore eterno) Joe s’est attachée une fois et de façon intensive et dangereuse à un homme. Le mal attire le mal. Un proverbe bien menteur. Le raz-de-marée se prénomma Carl. Ce mâle, ce voyou, ce mauvais garçon t’a attiré dans ses filets. Toi, poupée brune incendiaire, tu a succombé à ses mots, sa façon d’être à tes côtés. Tes prunelles terreuses se sont mêlées à la forêt des siennes, et il était trop tard. C’était quoi ce putain de truc ? L’amour ? Un amour qui se consume, un amour qui déchire les chairs. Mais tu ne pouvais pas l’embrasser, imaginer un futur, l’aimer ou encore moins penser à lui. L’amour tu es passion quand vient l’aube et tu déchires les passions quand vient le crépuscule. Simplement tu rends malheureux, tu rends triste parce que tu sais comment briser les coeurs. Mais l’amour peut parfois rendre véritablement heureux. L’amour n’est pas que trahison et mensonge, l’amour est parfois fragile mais sincère. L’amour c’est un cri dans la nuit noire lorsque le silence est d’or. Il suffit de se rappeler, le premier amour, le véritable, celui qui n’est que magie et beauté. Le premier amour de jeunesse qui construit une vie après tout. Qu’est-ce que le premier amour après tout ? Juste une émotion qui envahit chaque parcelle du corps, une sensation frissonnante qui nous transporte. Que cherches-tu ? Qu’as-tu dans la tête qui fait que tes pensées s’emmêlent et s’entremêlent ? Tel le syndrome de la page blanche, gribouillis qui se superposent, incompréhension totale. Ce n’est plus linéaire, c’est par vague. Comme le manque de quelque chose, parce qu’il subsiste au fin fond de l’esprit. On ne le voit pas toujours, alors il arrive que parfois on l’oublie. Mais il revient toujours, ce petit quelque chose qui ne veut pas disparaitre. Il est là, bien présent et il prouve son existence chaque jour qui passe. Regarde au loin et observe les étoiles, peut-être que la lune te parlera. C’est étrange ce ressenti, doux sentiment d’amertume qui brûle la langue, la gorge, tout le corps et même l’esprit. L’âme à la dérive, tout part en vrille. La vérité ? C’est ça que tu cherches ? Mais tu l’as perdu, depuis longtemps, depuis toujours elle s’en est allée. Envolée, la vérité. A cause de qui, a cause de quoi. Alors pourquoi poser la question, pourquoi demander la souffrance que tu ne mérites pas ? Mais le temps défile, passe trop vite. Bordel, pourquoi ne pas arrêter l’horloge ? On laisse les aiguilles au cadran là où elles étaient et on retourne en arrière, juste cinq minutes. Non, impossible. Alors le temps passe, avance. Votre relation ne devait pas voir le jour. Surtout pour la familia Di Stefano. Une relation qui a été détruite, détruite par certaines personnes. La princesse et le truand, quel beau mélange explosif. Joe avait finit par craquer et lui laisser avoir une petite place dans son cœur. Une place qui s'est à chaque fois plus agrandie au fur et à mesure du temps que vous passiez ensembles, des étés pendant lesquels il revenait te voir, mais qui te faisait toujours plus mal à chaque fois qu'il devait repartir. Vous aviez donc vécu une histoire d’amour, partagée entre bonheur et souffrance. Et, pourtant Joe a dû se résoudre à l’oublier. C'était pas un bon gars, c'était qu'un brigand, un sale petit voleur, un putain de menteur. C’est ce que disaient tes parents, inutile d’en faire une maladie. Un amour qui rimait entre haine et amour. Alors, tu avais accepter à contre coeur, ton père en était content de cette décision. (l'inferno è la mia vita) Tu comptes les étoiles mais bien vite tu perds le fil des nombres. Une perle nacrée roule le long de ta joue porcelaine. Brisée tu es, meurtrie ton coeur se fait, perdue tu ressens le sentiment de dégoût et d’abandon, de trahison et de colère. C’est un couteau planté au centre de ton âme, une massue qui s’abat sur ton être frêle et fragile. Tu te sens minable, une impression s’égrainant dans ton être tout entier. Tu n’es rien, rien du plus qu’un misérable grain de poussière que le vent emportera avec lui lorsqu’il soufflera. Transparente, invisible aux yeux du monde, cruel et infâme, écrasant et sadique. Tu sais ce que tu es, princesse, un pion. Un de ces foutus pions qu’on s’est amusé à placer sur un échiquier géant et avec lequel on joue durant des heures, avant de se lasser et alors de te jeter comme un vulgaire objet. Pour tes parents cela ne faisaient aucun doute, ils se sont servis de toi. Ce monde n’a aucune pitié pour toi, il ne t’épargneras pas, quoi que tu fasses, quoi que tu dises, il te fera souffrir, te prendra entre ses mains et t’écrasera avec toute sa force. Toi, tu lutteras, en vain, parce que tu es beaucoup trop faible pour réussir un exploit et le faire lâcher prise. Lâcher prise. Dans ce monde où tout tourne trop vite autour de toi, tu ne demandes que ça. Lâcher prise. Pouvoir pardonner tous ces mensonges, toutes ces trahisons et enfin reprendre le cours normal de ta petite vie bien tranquille. Mais il n’y a plus de vie tranquille, il n’y a plus de retour en arrière possible. Parce que tu réalisais que tu l'aimais profondément, qu'il serait le reste de ta vie, celui avec qui te te marierais et t'aurais des mômes. Celui que t'attendrait quand il irait en taule. Parce que tu ne voyais pas d'autres avenir pour toi, qu'avec lui. Qu'en réalisant que tu serais prête à donner ta vie pour la sienne, y'a des fusibles qui ont sautés dans ta cervelle. Tu a trahis ton bien aimée, tu a accepter de suivre les règles de ta famille. Tu n’était qu’une garce après tout. (senza anima) au revoir Joe pour n’être que Joya, la meuf sans âme. Oui, parce que avec lui tu en avais une. Tu sors de ta léthargie, redevient l’amante luciférienne, l’insatisfaite traînée. Provocante, hautaine et racoleuse attire dans ses filets méphistophéliques des hommes de passage, des bruns ténébreux, des sales types qui sauront te faire rugir d’extase jusqu’au petit jour. La saleté, la vulgarité et l’indécence sont tes moteurs, la source d’une vue. C’était surtout pour oublier ton seul amour. Sous les néons, tu danse, t’enivre, embrasse les interdits, épouse le danger. Nul ne saurait contrôler la folie qui t’anime, calmer cette fille n’est pas possible. Parce qu’au fond, tu fais toujours ce que tu veux. Mais Joya est pleine de colère. Une meuf qui va faire mal, comme un bidon d’essence qui peut exploser à tout moment. Tellement de questions qui fusent encore et encore. Carl l’aime encore oui ou non ? Avec cet esprit de haine terrible, aux creux de la bouche, le ventre en réclame davantage. Celui qui brûle d’un feu incertain mais qui détruit tout sur son passage. Celui qui fait tomber de haut parce qu’on ne s’y attend pas. Le pouls accélère puis ralenti, laissant le rythme cardiaque incertain. Sentiments déstabilisants. Coeur ouvert, déchiré, arraché. Coeur meurtri par les plaies encore bien saignantes. T'aimes pas grand monde, au fond. T'es plutôt renfermé sur toi-même, aussi. Pour autant tu fais tout pour trouver la compagnie des autres. T'as besoin de cette compagnie, t'as besoin de te sentir importante pour les gens. Du coup tu passes pas mal de temps sur twitter et instagram, comme si ça pouvait pallier au manque affectif. Tu passes aussi beaucoup de temps dehors, beaucoup de temps en soirée, entourée par des corps chaud qui dansent au même rythme que le tien. Habitée par l'alcool et les quelques autres substances que t'as pu ingurgiter dans la nuit, t'es quelqu'un d'autre, une fille fêtarde et excessive qui ne sait jamais quand s'arrêter. Pour autant, t'es assez différente depuis quelques temps, surtout depuis que tu la vu. Squattant un immeuble, le parking qui pue littéralement. (destinati) Tu ne veux rien à faire avec lui, et pourtant ton coeur dit le contraire. Te voilà fiancé à un homme de bonne famille, un homme que tu n’aimes pas comme Carl. Un homme pour faire plaisir à papa. Quelle bonne fille à papa ! Tu essaies de vivre ta vie tranquillement, mais au fond de toi tu a peur, et c’est probablement normal. Tu es curieuse, avide de vérité, de nouveauté. Tu as toujours ressenti ce besoin d’évasion et voilà que la possibilité s’offre à toi. Aujourd’hui, ton destin est entre tes mains. C’est pourquoi tu commences à préparer les préparatifs à ce mariage, un mariage qui va faire fureur. Acceptera-tu d’aller jusqu’au bout ? Voudra-tu voir Carl et lui annoncer la nouvelle, ou tu t’en moques peut-être ? Il faudra le vivre pour le croire.

️ Nous sommes de ceux

T belle

Je survalide ce choix de vava et hate d'en lire plus sur ta petite Joe !
Bienvenue et bon courage pour la ficheee coeur

Jax Abalhadj a écrit:: T belle
Je survalide ce choix de vava et hate d'en lire plus sur ta petite Joe !
Bienvenue et bon courage pour la ficheee

Merci Jax

Tu est beau également, merci au plaisir de te revoir.

Bienvenue parmi nous JAIME

Très bon choix de scénario CUTE

Et bon courage pour ta fiche :l:

C'te bombe O_O
Bienvenue !

On se calme c'est pas la meuf à votre mere Surprised

T'es belle t'es bonne t'es à moi Emo

Bienvenue, et merci encore d'avoir choisis ma belle joe :l:

Ca va t'en as une déjà Surprised

laisse un bout Emo

bon choix de scénario en tout cas CUTE

bienvenue ici :l:

Carl Ortiz a écrit:: On se calme c'est pas la meuf à votre mere
T'es belle t'es bonne t'es à moi

Bienvenue, et merci encore d'avoir choisis ma belle joe

J’aime quand tu montre que je suis à toi HOT