Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Éléazar Blackson
Éléazar Blackson
« Marquis de Sade »
http://www.nous-sommes-de-ceux.com/t12979-eleazar-tout-est-bon-q
▹ DISPONIBILITE : Oui
▹ MESSAGES : 1930
▹ INVESTISSEMENT : 11

▹ AGE : 43 y.o
▹ APPART : #1501
▹ TAF : avocat en droit des affaires
▹ AVATAR : Benedict Cumberbatch
▹ DC : Rau / Franz / Popi / Nikita



MA RENOMMÉE DE MERDE :
MessageSujet: Éléazar || Tout est bon quand il est excessif   Éléazar || Tout est bon quand il est excessif EmptyMer 29 Nov - 1:08

Éléazar Blackson
Tout est bon quand il est excessif



(NOM) Blackson, le patronyme de cette famille britannique, dont il a hérité son regard clair et son air sombre. Fier de son nom, il renie pourtant fermement son paternel: c’est à cause de lui si Éléazar n’a jamais été digne de sa famille.(PRÉNOM) Éléazar ce prénom qu’il doit à son grand père paternel, Éléazar l’aime profondément, c’est en lui qu’il trouve sa filiation.  César c’est le cadeau légué de sa bien aimée mère, qui l’a voulu lié à la culture antique de son propre pays. Pour un Blackson, quoi de mieux que le nom d’un empereur? ( GE) 42 ans, à l’aube de sa quarante-troisième année, Éléazar redoute le réveillon du Nouvel An cette année, à 43 ans, son père a tout perdu. Soucieux de ne pas vieillir, il redoute ses anniversaires comme la peste: l’an dernier, à la même date, il fêtait son anniversaire avec l’amour d’ue vie, cette année, il sera seul : dans une certaine mesure, lui aussi, a tout perdu. (DATE ET LIEU DE NAISSANCE) 1 er janvier 1975 - Londres - Angleterre  pour la date, elle est aisée à retenir, il fut le premier événement de l'année pour ses parents, poussant son premier cri à 00h04, le premier janvier de l'année, il est né à Londres, au domicile des parents de son père, un grand père médecin, une grand mère sage femme ça aide à naître à domicile(OCCUPATION OU ACTIVITÉ) Avocat en droit des affaires Une carrière toute tracée, un emploi du temps stricte, une vie privée qui en pâtit : une épouse qui se lasse, un mari qui s’épuise, puis plus rien. (NATIONALITÉ)Britannique Même s’il vit sur le territoire américain depuis des années, Éléazar n’a jamais demandé la reconnaissance de sa nationalité américaine, sans doute l’esprit trop marqué par la culture de son enfance. (ORIGINES)Anglo-italienne Héritier d’une riche famille de l’ancienne noblesse anglaise, qui a fricoté, fut un temps, avec la Russie, il en garde son amour du thé et du bon whisky. Italien par sa mère, il connaît la langue italienne et adore l’opéra. (STATUT CIVIL) Divorcé. Deux fois. Toujours dans les larmes, jamais dans la bassesse. (ORIENTATION SEXUELLE) Bisexuel avéré depuis son second mariage avec Lhaar Baush. Plus de réputation, plus d’image, tout à refaire. (DATE D'ARRIVÉE AU PARKING)   5 décembre 2017, il pose à peine ses valises.. (GROUPE) de ceux qui survivent

« C’est Monsieur Blackson. Estimez vous heureux de ne pas m’appeler maître.  »

(Quand et comment avez vous emménagé au Parking ?) Le Parking, c’était autrefois le souvenir des immeubles crasseux dans lesquels son père l’a plongé alors qu’il n’était qu’un enfant, le cauchemar du petit garçon qu’il a été. Ca a été le lieu de tous ses vices, ça a été le lieu de ses premières amours homosexuelles, ça a été le lieu qu’il s’est empressé de quitter au bras de son meilleur ami, pour se tourner vers une vie meilleure. Aujourd’hui, il revient, comme une évidence. Il y loue un appartement, il en possède un autre face à l’université de New York. Franchir la porte du Parking lui est encore difficile, mais d’aussi loin qu’il s’en souvienne, son meilleur ami a toujours eu raison: on y revient toujours.

(Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ?)L’immeuble, les voisins, tout cela n’a rien à voir avec le monde que fréquente ordinairement Éléazar, et il en avait rapidement perdu l’habitude. Son monde est composé de palissade blanches, propres, de cages d’escaliers rangées, d’ascenseur qui ne tombent jamais en panne, de voisins qui sourient, même quand votre chat pisse dans leurs pelouses, pendant que les enfants font leur devoirs. Mais paradoxalement, Éléazar respire au Parking. Ici, il n’a pas besoin de faire semblant, il n’a pas besoin de donner le change, il n’a rien à reconstruire, et c’est atrocement reposant.

(Quelle est votre réputation au sein du quartier ?)De réputation, Éléazar n’en a plus vraiment. Le fait qu’il ne vive pas ici à temps plein en fait un locataire fantôme. Certaines personnes du quartier le connaissent, pour avoir eu recours à ses services d’avocat par le passé, pour avoir été le témoin de ses amours passées aussi.  La voiture, toujours luxueuse, qui passe dans le quartier, le démarque des autres, et il se contente de poser son regard froid sur ceux qui ont le malheur de le croiser. Éléazar est de ces hommes qu’on a pas envie de croiser, qu’on suit du regard par fascination, mais qui glace le sang en un regard.

PSEUDO/PRENOM : Lolita GE : 22 PAYS : France FRÉQUENCE DE CONNEXION : 7/7 COMMENT AVEZ VOUS TROUVÉ LE FORUM ? :un jour de st valentin REMISE EN JEU A voir (TYPE DE PERSO) inventé HE IS BAAAACK (CRÉDITS) tumblr COMMENTAIRE OU SUGGESTION : noooope AVATAR : Benedict Cumberbatch

Nous sommes de ceux



Dernière édition par Éléazar Blackson le Mer 29 Nov - 1:09, édité 1 fois
Éléazar Blackson
Éléazar Blackson
« Marquis de Sade »
http://www.nous-sommes-de-ceux.com/t12979-eleazar-tout-est-bon-q
▹ DISPONIBILITE : Oui
▹ MESSAGES : 1930
▹ INVESTISSEMENT : 11

▹ AGE : 43 y.o
▹ APPART : #1501
▹ TAF : avocat en droit des affaires
▹ AVATAR : Benedict Cumberbatch
▹ DC : Rau / Franz / Popi / Nikita



MA RENOMMÉE DE MERDE :
MessageSujet: Re: Éléazar || Tout est bon quand il est excessif   Éléazar || Tout est bon quand il est excessif EmptyMer 29 Nov - 1:09

Raconte moi une histoire...
Le ver est dans le fruit.


L’année 1975 venait de pointer le bout de son nez, en même temps que les coups de la lourde pendule du salon, on avait pu entendre, dans toute la maison Blackson, les cris d’Ariana fendre l’air. Les larmes aux yeux, le corps en nage, cette toute jeune mère venait de donner naissance à son premier enfant, sous les mains expertes de sa belle-mère, sage femme de son état, et l’oeil attentif de son beau-père, médecin de famille et de ville. Loin d’être la première à tenir cet enfant au regard perçant dans ses bras, ce fut dans les bras de cet aïeul que le cordon fut coupé entre la mère et l’enfant, comme une cassure ferme et définitive entre l’enfant et ses parents. Dans les yeux du patriarche Blackson, une lueur de fierté brillait face à cette enfant qui porterait le même prénom que lui: Éléazar senior avait failli avec son fils, il ne tolérerait pas d’échec auprès de son petit fils. Au delà de cette ressemblance physique évidente entre les deux hommes, il y avait quelque chose de plus insidieux: il y avait tout ce que représentait cet enfant, à savoir la possibilité de redorer l’honneur d’une famille. Si le père faisait tâche dans l’arbre généalogique, Éléazar renouerait avec la lignée des Blackson. Quoi qu’il en coûte.

Assis sur le rebord du bureau de son grand père, Éléazar suivait du doigt la ligne qu’il était en train de lire et sentit bientôt une main frapper contre son mince poignet d’enfant: ”Les gens du monde lisent sans les mains Ez.” L’enfant redressa ses grands yeux clairs vers ceux de son grand père et hocha la tête simplement, bien décidé à être de ces hommes du monde qu’il voyait défiler dans les salons de la maison familial et reprit sa lecture, avec difficulté. Maîtrisant à peine la lecture, il avait l’impression de rater des mots, mais lorsque sa main avait le malheur d’approcher des lignes de texte, celle de son grand père venait la reprendre, avec fermeté. Ses après-midis, Éléazar les passait avec cet homme qui prenait en charge toute son éducation, lui répétant, autant que nécessaire cette phrase, qui encore aujourd’hui, teinte dans l’esprit de l’homme qu’il est aujourd’hui devenu: ” Éléazar, tu seras un homme respectable et respecté. Quoi qu’il arrive, il te faudra toujours penser à la famille. Personne n’a le droit de te commander, c’est toi qui commandera les autres. Tu es de ceux qui dominent.”  Alors, il reprenait ses lectures, apprenant à aimer les tragédies, les romans initiatiques, et l’histoire des empereurs romains.

Alors que l’avion se posait sur le tarmac New Yorkais, Éléazar s’enfermait dans un mutisme des plus profonds. En quittant l’Angleterre, l’enfant n’avait pas laissé derrière lui ses amis, il avait laissé derrière lui ses véritables parents: pas ceux qui lui avaient transmis leur patrimoine génétique, mais ceux qui veillaient à son éducation depuis sa naissance. Montant dans le taxi, il n’ouvrit pas la bouche, arrivant dans l’appartement miteux, il n’ouvrit pas la bouche. En l’emmenant ici, son père n’avait pas seulement blessé Éléazar, il avait cassé toute possibilité pour lui de renouer avec ce-dernier. Ce départ pour les États-Unis, c’était la blessure dont il ne pourrait jamais se remettre; c’est la cause des cauchemars qui animent encore son sommeil aujourd’hui, lorsqu’il pense à ce grand père qu’il n’a jamais pu revoir, auquel il n’a jamais dit au revoir. Une semaine après, Éléazar faisait ses premiers pas à l’école, refusant de quitter son uniforme de petit écolier anglais, et refusant d’ouvrir la bouche. La main du père, usé du mutisme de son fils, claque sur son visage, marquant pour de bon cette rupture qui avait été acté à sa naissance.

Le reste de son adolescence, Éléazar le passa à travailler pour devenir cet homme fort qu’il avait promis de devenir à son grand père. C’est de cet homme travailleur et cultivé que tomba amoureux Cornélia, jeune étudiante américaine en architecture. Elle passa de longues heures à l’observer, de loin, à croiser son regard dans les rayonnages de la bibliothèque, avant de lui demander s’il allait oser l’inviter. Incapable de répondre, il hocha simplement la tête. L’amour qui naquit entre Cornélia et Éléazar fut de ces amours aussi fulgurants qu’évidents. Cornélia, c’était le soleil, la lumière qui manquait au quotidien d’Éléazar, ce fut le premier, et longtemps le seul, corps qu’il connut. De cette union naquit deux enfants, Reagan et Anselme. Clés de voute de ce mariage qui dura vingt ans, ces enfants demeurent, à l’heure actuelle, la plus grande fierté de la vie d’Éléazar.

De retour de l’une de ses après midi de travail, il avait passé la porte du domicile familial avec cet éternel sourire froid qu’il ne quittait jamais vraiment. Cornélia l’attendait, et dans des excès de joie, elle lui annonçait sa grossesse.  Alors, la porte de la salle de bain vérouillée, il lui semblait entendre encore la joie de son épouse. Fermant les yeux, laissant couler l’eau de la douche, il laissa tomber ses vêtements sur le sol et attrapa la cordelette rouge qui se trouvait dans son tiroir et la noua fermement autour de ses chevilles, la machoîre serrée. Sur sa peau diaphane, la corde tranchait somptueusement. De ses mains, Éléazar fit glisser sa verge et ses bourses dans l’étreinte ferme d’un cockring de métal, et commença à se branler. Les cris de sa femme s’éloignaient, doucement. Brutalement, de sa main libre, Éléazar tira sur le bout de la cordelette, s’arrâchant un feulement d’inconfort. Les cris de sa femme étaient étouffés. De cette même main, il attrapa un paddle de cuir qu’il fit claquer contre son torse, déjà marqué. Les yeux posés sur les lignes du texte de Sade, Éléazar lisait sans les mains. Sa verge se tendit, et sa femme n’existait plus.
Cornélia, hurlant, se demandait pourquoi il ne se réjouissait pas avec elle
Si Cornélia avait pu ouvrir la porte, elle aurait su pourquoi: parce qu’il n’était pas ce père idéal qu’elle imaginait.
Elle lui aurait dit d’aller voir un psy.
Et Éléazar savait bien que c’était mal.
Éléazar savait, mais il aimait ce mal.

Mais bientôt, en parallèle de cette vie exemplaire, Éléazar entâma une double vie dans laquelle il laissait ses pulsions les plus profondes prendre le dessus, dans laquelle il n’était plus vraiment cet homme respectable. C’est à cause du malaise qu’il ressentait à l’égard de cette double vie qu’il franchit un jour la porte du centre social du Bronx. Derrière la porte, il rencontra son meilleur ami, celui qu’il épousera un an plus tard, après avoir traversé l’impossible à ses côtés. Partant vivre en France, Lhaar et Éléazar vécurent une année de bonheur qui n’avait cependant plus la saveur de leurs débuts: d’un commun accord, les deux hommes signèrent les papiers du divorce, Lhaar pourrait bientôt reprendre la danse, et il savait qu’au bout du fil, ou du même plug, il trouverait toujours son meilleur ami. Éléazar allait réapprendre à vivre seul, avec la certitude que les soirs d’orages, ou de froid, les bras et la voix de son meilleur ami seraient là. Ils se le sont promis à même la peau ce toujours. Ils se sont juste plantés sur la nature de ce dernier.
Et s’il a permis à Lhaar de renaître et de recommencer à vivre, Éléazar a réalisé une chose récemment: peut-être qu’il peut encore aider quelqu’un, ici, dans le Bronx.





Nous sommes de ceux
Lincoln Moore
Lincoln Moore
« Chouchou d'Al »« Chouchou d'Al »
http://www.nous-sommes-de-ceux.com/t8762-lincoln-it-s-morning-ag
▹ DISPONIBILITE : Oui
▹ MESSAGES : 1899
▹ INVESTISSEMENT : 36

▹ AGE : Dix-huit désillusions.
▹ APPART : #1411, les Boloss.
▹ TAF : Survivre et c'est à plein temps.
▹ AVATAR : Bjorn Winiger
▹ DC : Maddox l'intox & Georges la douceur.



MA RENOMMÉE DE MERDE :
MessageSujet: Re: Éléazar || Tout est bon quand il est excessif   Éléazar || Tout est bon quand il est excessif EmptyMer 29 Nov - 2:28
Bof, passable.

Re :l:
Niilo Dahl
Niilo Dahl
« Soldat de la Tsarine »« Soldat de la Tsarine »
http://www.nous-sommes-de-ceux.com/t6315-niilo-kuolema-tekee-tai
▹ DISPONIBILITE : Oui
▹ MESSAGES : 5962
▹ INVESTISSEMENT : 75

▹ AGE : 37 ans
▹ APPART : #902
▹ TAF : Agent de sécurité du Red Light | Protecteur des meilleurs (Blackson, Coalman, Kourakine, Williamson)
▹ AVATAR : Lasse Matberg
▹ DC : Mimi, Ness, Dei.



MA RENOMMÉE DE MERDE :
MessageSujet: Re: Éléazar || Tout est bon quand il est excessif   Éléazar || Tout est bon quand il est excessif EmptyMer 29 Nov - 9:02

Validé !
Félicitations, tu rejoins le Parking !

Félicitations ! La Concierge a bien étudié ton dossier et a décidé de t'attribuer un appartement au sein de son précieux immeuble ! Il a beau commencer à décrépir, elle l'aime son Parking alors si tu veux un conseil: ne tue jamais personne sur la moquette des couloirs parce que sinon, c'est toi qui va y passer ! En attendant de t'installer, pense à bien remplir ton profil et t'inscrire sur les listings:

Listing des Appartements Obtenir un rang
Listing des Métiers Créer sa fiche de perso
Listing des Multi-ComptesCommuniquer avec les autres
Roulette du RPGérer son compte

Et si t'es un dingue, tu viens directement sur les Topics Libres !


©️ Nous sommes de ceux
Sway Larsen
Sway Larsen
http://www.nous-sommes-de-ceux.com/t6310-sway-to-the-sound-of-a-
▹ DISPONIBILITE : Non
▹ MESSAGES : 1448
▹ INVESTISSEMENT : 8

▹ AGE : vingt sept ans de béton et d'abus, jamais comptés, jamais célébrés. que des cases sur le calendrier (seize avril)
▹ APPART : homeless, partie le coeur au ventre, des monstres à ses chevilles, revenue avec des morceaux de vérité qu'il faudra recoller.
▹ TAF : rien d'autre que la médiocrité sous les ongles, des doigts maintenant saignés d'avoir trop gratté les cordes de fer d'un instrument-béquille.
▹ AVATAR : freja beha erichsen


MA RENOMMÉE DE MERDE :
MessageSujet: Re: Éléazar || Tout est bon quand il est excessif   Éléazar || Tout est bon quand il est excessif EmptyMer 29 Nov - 15:36
CE RETOUR :l:
OMG OMG OMG
Éléazar Blackson
Éléazar Blackson
« Marquis de Sade »
http://www.nous-sommes-de-ceux.com/t12979-eleazar-tout-est-bon-q
▹ DISPONIBILITE : Oui
▹ MESSAGES : 1930
▹ INVESTISSEMENT : 11

▹ AGE : 43 y.o
▹ APPART : #1501
▹ TAF : avocat en droit des affaires
▹ AVATAR : Benedict Cumberbatch
▹ DC : Rau / Franz / Popi / Nikita



MA RENOMMÉE DE MERDE :
MessageSujet: Re: Éléazar || Tout est bon quand il est excessif   Éléazar || Tout est bon quand il est excessif EmptyMer 29 Nov - 18:50
Oh sway des étoiles :l:
Merci :hihi:
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Éléazar || Tout est bon quand il est excessif   Éléazar || Tout est bon quand il est excessif Empty
Sauter vers:  
© NOUS SOMMES DE CEUX | Optimisé sous Google Chrome et Firefox.
Merci de respecter notre travail, nos idées ainsi que celles de nos membres.