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Xander Wainwright

It’s a very difficult era in which to be a person, just a real, actual person, instead of a collection of personality traits selected from an endless Automat of characters. - I contain and compartmentalize to a disturbing degree: In my belly-basement are hundreds of bottles of rage, despair, fear, but you'd never guess from looking at me. (Gillian Flynn - Gone Girl)

Nom Wainwright Prénom Xander. Se fait souvent appeler par son nom de famille. Parfois X. N'aime pas être trop intime. Date et lieu de naissance 1.32 am. 17 octobre 1978. Un hôpital malfamé de Queens. Sa mère a ensuite déménagé au New Jersey avec Xander. Il a fait ses études à Boston. Âge 37 ans. L'âge des vieux enfants. Un trentenaire ordinaire vous direz, à la vue de ses yeux cernés. Nationalité Américaine. Origines Britanniques (côté maternel) et américaines (père inconnu, à New York) Statut matrimonial Seul Orientation sexuelle Grandes tendances asexuelles Job ou Activité Médecin radié. Ses temps libres sont donc consacrés à la création de drogues de synthèses et à la revente. Date d'arrivée au Parking Il y a environ deux ans, suite au décès de sa mère. Groupe De ceux qui survivent Type de perso Inventé Crédits gifs: fuckyeahwillgraham / avatar: moi-même Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? Non

Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? Mother was breathless. I can still hear her muffled words, the way our conversations died slowly, her failing words coming out of her breath, disappearing. Suite à la mort de ma mère, il y a deux ans, je suis revenu. Ici. À New York. Dans le gris, dans la nuit. J'ai classé les papiers. Un notaire m'a lu son testament. J'ai revendu sa machine qui lui permettait de respirer la nuit. J'ai dû réglé ses dettes. J'ai dû trouver une solution pour payer le centre privé. La drogue. La création de synthèse pour rembourser l'argent qu'elle a prit pour souffler ses dernières années. Les soins personnalisés. How fucking ironic.

J'ai emménagé dans un taudis, à côté de voisins taciturnes et silencieux.

Je suis venu parce que je n'avais plus le choix. Je suis venu parce que j'étouffais. Je suis venu pour l'enterrer. Redevenir inconnu, invisible, insignifiant.

Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? En autant qu'un signe de tête signifie un bonjour. En autant que je reste ici, tapi, et que ça suffise. En autant qu'on ne pose pas trop de questions.

L'immeuble est grand. Grand. Laid. Ça me rappelle mon enfance dans Queens. L'aéroport. Les avions. L'envie de partir. Loin. Les souvenirs partent ; les structures grises, les rectangles multicolores, le jaune canari et l'asphalte brûlante. L'envie de partir loin.

L'immeuble est laid. Laid. Grand. Si je n'apprécie pas particulièrement la compagnie des autres, j'en retire ce qui cherche. Juste. Austère. Je me perds.

Le Bronx est différent. Différent de Queens. Différent de Boston. Je pourrai m'y effacer.
Quelle est votre réputation au sein du quartier ? La silhouette noire. Il est tard. Et pourtant, le lendemain, un signe de tête. Le loyer est payé. Les problèmes sont négociés. Le ton est franc, presque doux, il semblerait. Une impression de communication. Un homme atypique. Les mots comme des poings. Les doigts qui découpent. Le regard chirurgical. Une minutie, un papier déposé au bon endroit, au bon moment. Et pourtant, le lendemain. Le lendemain. Quelqu'un. Quelque chose. Une arnaque, un mensonge. La lumière réfléchissante, le soleil qui tape sur la fenêtre de sa chambre. Une intransigeance, une dureté. Et pourtant, tout est si bien calculé. Je suis un inconnu anonyme. Un impensable penseur.

feat hugh dancy

the rules of a fundamentalist Excessivement sévère et austère envers les autres et lui-même, il tolère mal les écarts aux règles. Cette logique et cette rigueur l'entraînent dans une certaine violence psychologique très rarement. • the liar Il ne vous le mentionnera pas. Vous le prendrez pour un asocial, peut-être. Mais pas comme un médecin. Vous le croirez pourtant si bien, après. Mais pas maintenant. Il cache son jeu. Il cache qui il est. • the paradoxal unloyalty L'argent n'est pas important pour X. C'est le contrat qui l'est. C'est l'accord de la confiance. Non. Le pouvoir. • implacable, invisible Étudiant brillant, il pratiquait la médecine jusqu'à très récemment. Il représentait une certaine figure d'autorité dans sa spécialisation, en restant pourtant très discret à ce propos. • determined, ruthless Persuadeur et manipulateur, diplomatique, il accumule les informations, bâtissant un réseau de distribution infaillible. Sceptique, il n'accepte que très peu dans son commerce lucratif et il les tient à l'écart de ses activités. • the bastard's mind Cynique, il est dépressif sévère. Il préfère souvent rester seul. Il utilise les mots intelligemment et sait généralement quand dire quoi comment. Fin observateur, il est la caricature du sociopathe par excellence. • the ruse, the muse Connu pour ses recours peu orthodoxes, c'est un homme doté d'intelligence. Tête pensante, il a été impliqué dans de nombreuses activités illégales. • cold, cold heart S'ignorant asexuel en grande partie, il a eu très peu d'expériences puisqu'il ne connait pas les troubles, qu'ils soient amoureux ou sexuels. Il semble ainsi froid, en contrôle, la plupart du temps. • the ghostInsoupçonnable. Indomptable. Invisible. Sa silhouette n'est que le contour de ce qu'il est réellement. • polite son of a bitchÉtonnement éloquent par moment, il s'exprime avec un ton doux. C'est sa diplomatie. C'est ses années d'études et de pratique. Pourtant, il préfère travailler en coulisses. C'est une force tranquille. Insoupçonnable. •quiet mind, violent thoughts Il peut être impulsif s'il est provoqué. Bien que manipulant de manière rudimentaire les armes à feu, il a une excellente poigne avec les armes blanches.

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CHAPITRE i: skill & skin
harvard medical school, boston, massachusetts - 9.27 am
And who are you, the proud Lord said that I must bow so low? Only a cat of a different coat, that's all the truth I know. / George R.R. Martin

Les traces du marqueur noir, sur la peau. La lame, précise. Les mains, en contrôle. La froideur de l’âme. Les murs, gris. Les gants, en sang. Et cette sensation de déloger le Malheur du monde, au fond des entrailles. Les bêtes, comme des masses entassées au fond de l’être.

J’extirpe les métastases du patient. Bruit d’aspiration. Pompe mécanique. Scalpel. Un travail de boucher. Une viande décortiquée, avariée. Des calculs variables. Les détails d’une vie.

It’s not as you think it is. It creeps in. It’s like those. It creeps in and you don’t know. It is a strange thing. Life.

Une survivance ordinaire – des bruits de pas dans un couloir interminable, long, mort. Je n’aurais pas dû m’occuper de bêtes vivantes. De bêtes mortelles. J’aurais dû être ici, à la morgue.

Et pourtant, j’étais doué. Pas réellement aimé de mes collègues. Mais j’étais doué. Je m’étais taillé une place, ici. It was necessary. University funds. The bastard’s boy with little money. The boy with the single mother. The bastard with everything to lose.

“Wain’. Wain! Wait.” Je m’arrête. Me retourne. Elle me fait signe, elle reprend son souffle. “Something’s come up.”

[…]

Mes lunettes abandonnées sur la table de chevet. Ma vision floue. Mon reflet déformé. À m’entendre parler, j’aurais peut-être dû creuser à l’intérieur des gens. Not the other way around.

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CHAPITRE ii: avenging animosity & affection
senior care residency
staten island, new york - 3.46 pm
We all labor against our own cure, for death is the cure of all diseases / Thomas Browne

Mother, dressed to be dead. Mother, speaking of God. Mother, lost in her final thoughts. Mother, haven given anything for her dear boy. Her gentle, broken boy, sitting in front of her.

The tears, trapped in my teal eyes. A concealed, apathetic smile hiding behind a beard.

I was about to commit agreed-upon murder. I was about to kill her. It was the first time in years I felt empathy. She was suffering.

Me? I haven’t felt this in years of practice. Mary, the tramp. Mary, the mother. Mary, the prostitute. Mary, the angel. Mary, the breathless ghost. Mary. Maybe I loved her too much – or too little. Maybe it was an excuse to not feel sorry anymore. Maybe it was to stop playing this smart-ass. Maybe I did it all for myself.

[…]

Elle souffrait. Moi, peut-être aussi.

[…]

Une fiole qui s’ouvre. A needle caressing her skin. This uneasy feeling. The mild sadness. The sociopath tendencies. But, underneath a character lies some truth, some goodwill. A humane thing. A thing for redemption. A longing to be rescued. Un liquide qui se répand sous sa peau blanche, dans ses veines bleuies. Comme le titre d’un film. Comme j’ai tué ma mère.

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CHAPITRE iii: nightmares & nights
queens, new york - 1.28 am
A lie that is half-truth is the darkest of all lies. / Alfred Tennyson

It has been two years. I survived, but it has been a hassle. What is left of me?

Je pars, tôt le matin. Ordonné. Méthodique. Le bon mot. Mais pas bavard. J’ai un alibi. Un travail. Une occupation. Un bureau loué proche des usines. Un bureau loin. Un bureau propre. Bizarrement. Bizarre.

Je calcule. Je m’obstine à calculer les milligrammes maladivement. Puis, je revends. Je suis sur mes gardes. L’argent est blanchi. I am not mad. Nor bad. Just breaking bad. I have been in the system. I know. I know how it works.

Simple soldat. Bureaucratique. Non. Oui. Peut-être. Non. Pas depuis Mary. Mary la traînée. Mary la mère. Mary la morte. Les médicaments sur le comptoir. La fiole vidée. La licence enlevée. L’impression de vide, de ne plus croire en la vie. De ne plus croire aux règles. Le chaos. Le chaos modulaire, adaptable. Le chaos calme. La force tranquille. The salvation of rage. The revenge of the ordinary guy. The fucked up guy. Les mots, comme armes. Les informations, comme monnaie d’échange. Cette sensation qui me dévore. Le pouvoir d’être imprévisible. Les menaces violentes de l’homme trop calme.

Direction du désordre. Absolution de règles. Du bien. Du mal. Les mensonges, puisque la vérité est triste, que l'existence est monotone. La lourdeur de vivre, remplacée par l'imprévisibilité de la survivance. Les contours de ma silhouette, inatteignables. Mon visage, presque charismatique, peu empathique. Une voix qui résonne. La mienne.

"What is truly terrifying is not a person. What is truthful, a man? And what is terrifying? A man against others? But what is truly terrifying? I am not truthful. Nor I am terrifying. And that is what makes me truly terrifying."

everydayfeelsliketoday

passe ta souris !

Bien le bonjour, mon nom est Émilie. (ou everydayfeelsliketoday) Connue pour jouer (il y a quelques temps) les James Dean et compagnie sur NY-TDS. Je ne tarderai pas à envahir (de manière assez fréquente, ne vous inquiétez pas!) le forum. J'espère que le cœur sombre et mélancolique de mon personnage (mon archétype préféré Cool

) va vous plaire. Il y avait beaucoup de drogues mais personne qui en faisait. N'hésitez pas à me faire des commentaires comme je suis dans la rédaction de son histoire et que bien des détails sont à voir. (Sombrer dans la paranoïa, ça me semble bien, comme évolution de personnage. HEHE

) J'apprécie aussi les mp. MIAOU

Mot de la fin? Chaos isn't a pit. Chaos is a ladder.

Hugh Dancy JAIME

Bienvenue !

huuuuuuugh :bave:BIENVENUE AU PARKING :l:

Huuuuuu(...)uuugh LOVE

Bienvenue ici et de ce que j'ai lu dans la partie invité, ce perso a l'air plutôt pôô mal SUPER

Finalement t'es là, et t'es beau, wala SIFFLE

Bienvenue, hésite pas si t'as besoin POTTE

Bienvenuuuue :l:

Bienvenue officiellement par ici donc et bonne chance pour ta fiche.

Merci pour les mots de bienvenue. BRILLE

Apparemment, vous aimez bien Hugh ~~Will Graham~~. Ça tombe bien parce que moi aussi Cool

Yours truely.

Bienvenue o/ coeur

Bienvenue, personnage intéressant.

Haaaaa je suis fan ! FAN

Bienvenue par ici avec cet avatar de fouuuuu ! JAIME

bienvenue sur le forum coeur

MON DIEU HUGH. FAIS MOI DES GOSSES.

Merci à tous pour l'accueil. Il ne me reste plus que l'histoire! HAN

Esteban ; Merci. J'espère bien. What a Face

Charles ; Pas le seul truc de fou. MIAOU

Carmen ; See you around, kid. Cool

J'étais persuadée de t'avoir souhaité la bienvenue ici aussi. J'aime ton personnage là ! J'ai hâte de pouvoir te lire aussi, ça promets. Encore bienvenue du coup et courage pour la suite !