jalil parker-santos ~ hey mr rager

Jalil Parker-Santos

"once upon a time, nobody gave a fuck"

Nom Parker-Santos. Prénom Jalil. Date et lieu de naissance Le 03 février 1987, à New York. Âge Vingt huit ans. Nationalité Américaine Origines Kenyanes par sa mère, cubaines par son père. Un mélange improbable dû au hasard et aux hormones désordonnées des deux parties. Statut matrimonial Célibataire. C'est déjà assez casse-burnes d'entretenir un cactus nain, alors une gonzesse... Surtout quand on squatte, contraint et forcé, dans le cagibi de sa grand-mère. Orientation sexuelle Hétérosexuel Job ou Activité Hier zonard érudit mais fauché, aujourd'hui ex-détenu en réinsertion difficile, il enchaîne les jobs alimentaires pas bien glorieux. Depuis peu, il sert du poulet frit de jour et ramasse les verres de Bloody Mary à moitié bus de nuit. En parallèle, il achète, consomme et revend un peu d'herbe - parce que quand on a décider de jouer au con, autant jouer jusqu'au bout.Groupe De ceux qui vivent. Type de perso InventéCrédits moi-je Autorisez-vous, en cas de suppression, l'utilisation de vos scénarios et/ou familles par d'autres joueurs ? non.

Quand et comment avez vous emménagé au Parking ? "J'ai posé mon sac à dos entre ces quatre murs il y a environ un an. Une heure et des patates après que mon père m'aie laissé entendre qu'il s'enjaillait pas trop à l'idée d'héberger un ex-détenu, même un ex-détenu issu de son harras de spermatozoides. Sale influence sur les petits, regards tordus de la poignée de cas-soc' qui zonaient avec nous sur le terrain vague... des arguments solides. J'ai donc toqué à la porte de ma grand-mère maternelle, plan Z bis, avec un beau sourire et un paquet de Twinkies en offrande. Sans travail conséquent ni garant valable, je continue de squatter sa minuscule chambre d'ami en espérant qu'elle m'appelle un jour par mon prénom, et pas celui de son ex-mari ou du cousin du jardinier."
Que pensez-vous de l'immeuble et vos voisins ? "J'en pense que c'est un toit, mieux que la rue, la taule ou un canapé qui pue le whisky à deux dollars. Au moins, il y a de la vie, des voix, des histoires. Un peu trop, peut être. Mais c'est pas mes oignons, et si j'aspire à le quitter un jour prochain, j'y suis aussi bien qu'un loseur peut l'être. Et puis d'après ce qui se murmure dans l'ascenseur, on serait plusieurs à avoir pris du bon temps à l'ombre - on va peut être pouvoir monter une amicale."
Quelle est votre réputation au sein du quartier ? "Oh, un jeune homme très sympathique, bien sûr. Bien sûr... un peu sorti de nulle part, hein. Soit-disant le petit fils de Louise Parker - mais si, tu sais, la... [geste] - avant qu'il se pointe comme une fleur l'année dernière, on l'avait jamais croisé. Ah, toujours souriant, charmant, vraiment, et puis toujours prêt à rendre service. Comme s'il cherchait à compenser, hmm ? Je ne suis pas mauvaise langue, mais pourquoi se voiler la face ? Il a purgé sa peine, certes, mais si tu veux mon avis, les casseurs de flics... on est bien trop clément depuis Obama. Enfin, que veux-tu, c'est dans les gènes, il faut croire. Ils ont beau essayer, ça ne prend pas - ils se retrouvent toujours dans les emmerdes, ces gens-là. Enfin, tu sais - ces gens là [geste]. Les socialistes."

feat kid cudi

Tiraillé entre un père d'un catholicisme aussi fervent que personnalisé et une mère de confession musulmane, Jalil a choisi la deuxième option. Depuis, il débat avec son Dieu tous les jours, mais vu la tournure qu'a pris sa vie, ou Il s'est mis sur répondeur, ou bien Il n'aime vraiment pas sa gueule. Vu que le contexte n'est pas très favorable à l'Islam, il évite de s'en vanter - mais bon, heureusement qu'on le traite d'abord de "négro" avant de songer à l'accuser de terrorisme.

• Il est le fruit d'un coup de tête (et de queue) hâtif sous la promenade d'Ocean City entre un immigré cubain rejeté par les vagues de Miami et une adolescente, radieuse et désoeuvrée. Avant le Parking et la case "prison", Jalil a passé les dix huit premières années de sa vie dans un mobil-home échoué près d'une plage du New Jersey, avec ses parents et une demi-soeur de trois ans son aînée ramenée un beau matin par son géniteur sans trop d'explication. Les Parker-Santos ont déménagé à Harlem à la naissance d'Isaac, petit frère n°1. N°2, lui, a poussé son premier cri alors que son illustre aîné tournait en rond dans sa cellule.

• Interdit de fac par son père, Jalil s'est éduqué sur le tas, dans la rue, comme auparavant. Pour compenser ce trou dans le CV, il s'est rapidement investi dans l'activisme politique auprès d'un collectif militant Afro-Hispanique, sur l'impulsion de son cousin Troy. A la clé, des souvenirs impérissables, des bleus, plusieurs avertissements, une arrestation musclée et quatre ans foutus en l'air. YOLO, mon gars.

• Il aime les femmes, il les a toujours aimées – et comme dans tous les aspects de sa vie, avec ferveur et enthousiasme. D'un naturel nonchalant et chaleureux, il s'investit autant pour une relation longue que pour une brêve passade. Traiter les coups de trois soirs comme les amours qui durent avec respect et spontanéité – un principe de base que sa bande observait de loin, avec admiration et perplexité.

• Malgré une situation familiale peu propice à l'érudition, Jalil a développé sa curiosité dès le plus jeune âge. Apprendre, découvrir est pour lui un plaisir sans cesse renouvelé. Il se passionne pour tout ce que la vie et l'homme ont à offrir, de Run DMC à Roland Barthes, et déprime de ne pas pouvoir tout lire, tout écouter, tout voir.

•A six ans, il a voulu fuguer en Alaska, mais n'est pas allé plus loin que le Walmart à trois pâtés de maison. La famille le fatigue, l'épuise, l'irrite. Mais elle n'en demeure pas moins sacrée - il est le seul à pouvoir la rabaisser, et quiconque s'y risque se mange invariablement un rappel à l'ordre cinglant.

• Raconte 10 points cruciaux sur ton personnage, sa marque de dentifrice habituelle ou encore la pointure de ses chaussures, ce genre d’éléments indispensables quoi !

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• Jalil est un animal social : pour survivre, il a besoin de chaleur, d'agitation, de stimulation, de vannes et de débats. Le silence l'angoisse. Les pigeons et les vieux, aussi. Putain, les vieux, quoi.•

Développe en un minimum de 400 mots l’histoire ou une anecdote déterminante dans la vie de ton personnage.

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Ton Pseudo

passe ta souris !

Alors bonswaaaar, ici Tonton Gérard (je mens) (ou mens-je ?) (ohoho) Je suis une fille, oui, et j'ai entre 5 et 65 ans (plus vers 65, wink wink) Je me remets doucement au RP, y'avait de la lumière et ça avait l'air sympa, du coup je tente ici, voilà. Et sinon, j'aime le gangsta-rap et les pandas roux, et vous avez l'air assez swaggey et je me tais.